Boxer et chaussettes sales

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Boxer et chaussettes sales Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Boxer et chaussettes sales
A cette époque je vivais encore chez mes parents, je venais d'avoir 18 ans et ma belle queue me démangeait de plus en plus.
J'avais bien quelques copains, mais je n'avais guère fait grand chose avec eux, bisous, branlettes, quelques pipes mais on ne s'était jamais retrouvé dans un lit pour en faire plus.
Je me gavais de petits films pornos trouvés sur le net et les branlettes se succédaient.

Ce samedi soir là, mes parents étaient invités chez des amis et bien sûr je devais suivre.
Cela ne me gênait pas d'aller chez ces amis, ils avaient un fils de même âge que moi et j'aurais bien aimé le convaincre de me montrer sa queue. Mon père est un grand ami avec son père, ils étaient à l'école ensemble. Ils ont maintenant 45 ans mais ce sont de beaux mecs, certes trop vieux pour moi, mais ils allaient souvent courir ensemble.
Mais, grande déception en arrivant, le fiston n'était pas là... parti surveiller la grand-mère malade.

Le fiston est un beau mec, et quand on est seul il parle souvent de sexe, mais de nanas qu'il aimerait bien se faire sucer. Mais il n'a jamais compris que j'étais prêt à lui faire.
J'étais donc plus attentif à la discussion entre les adultes et la curiosité m'a pris. J'ai posé des questions sur leurs années collège et lycée. C'étaient apparemment de sacrés queutards et, devant leurs femmes, racontaient leurs conquêtes.
-oh y'a prescription chérie, dit Sylvain l'ami de mon père à sa femme.
Ce fût un gros brouhaha de voix, ils se chamaillaient comme des gosses.
J'avoue qu'ils m'ont bien fait rire.

L'envie de pisser m'a pris. Je savais où c'était, alors je me suis relevé de table partant en direction des WC. Ils m'ont vu partir mais ils continuaient leur discussion.
Les toilettes étaient au fond du couloir. Différentes portes donnaient sur le dit couloir, une seule était ouverte, je jette un œil en passant c'est la salle de bains et mon regard est attiré par le panier de linges sales.

D'un seul coup tout s'enflamme en moi. Je regarde derrière moi dans le couloir, personne. J'entre dans la salle de bains vite fait pour regarder dans le panier et au milieu, prônant de toute sa splendeur un beau boxer bleu, l'avant tourné vers moi comme s'il avait été posé là, comme ça. La forme des couilles et du sexe est encore visible comme s'il venait d'être quitté à l'instant.

Je me retrouve à genoux, ma queue a l'étroit, bandante la coquine. Je la bouge dans mon pantalon et j'ose tendre la main toucher le boxer bleu, toucher la bosse pleine de vide. J'ai chaud, je suis presque en transe tellement cela me fait bander. Je serre la bosse entre mes doigts, j'en gémis doucement. J'ai l'impression de sentir les couilles.
Est-ce le boxer du fils ou du père ?

Je le prends en main et le porte à mon nez. Je hume à pleins poumons m'engouffrant cette bonne odeur de mâle dans le nez, ça sent le cul, la bite. Quelques traces suspectes d'urine que je touche de la pointe de la langue et je pose l'intérieur du boxer sur ma figure en frottant légèrement comme pour garder l'odeur en moi.

Je bande comme c'est pas permis. Je me touche la bite, me caresse sur mon pantalon. J'ai envie de la sortir et de me branler dans ce boxer.
Mes yeux tombent sur une chaussette. Une petite chaussette, mon autre main s'en empare, c'est doux, c'est chaud. Je la porte immédiatement à mon nez et, pareil je la respire bien fort pour récupérer cette bonne odeur de pieds.
J'ai toujours le boxer en main, je l'approche de la chaussette et je respire les deux tour à tour, fermant les yeux.

Ca appartient à Sylvain, j'en suis sûr... ça sent trop le mâle comme ceux de mon père.
Je respire, je hume, je bande.

-mais tu fais quoi Fabrice ? fait la voix de Sylvain.
Je me redresse d'un bond, tenant encore la chaussette et le boxer en main, la chaleur m'envahit, je la sens se répandre sur mon visage, mon cou et descendre dans mon corps.

Je vois Sylvain s'approcher, un sourire carnassier aux lèvres, repousse la porte derrière lui, sans vraiment la fermer.
J'ai le dos collé au mur, il s'approche de moi toujours son sourire aux lèvres, ses yeux me fixent, sa tête s'approche.
-alors le fils de mon pote est une salope ? ils te plaisent mes chaussettes et mon boxer ?
Je baisse les yeux. J'ai honte comme jamais j'ai eu honte de ma courte vie. J'ai envie de m'ensevelir 150 km sous terre.

Il pose sa main sur le mur, près de ma tête et son autre main vient se poser sur mon sexe, le serrant dans sa main chaude. Je croyais que je ne bandais plus, mais non ma queue se réveille encore plus sur cet assaut pourtant brutal.
-et en plus il bande ! mais t'es vraiment une salope, alors t'aimes mes odeurs ? tu voudrais peut être voir et toucher ma queue ? la prendre dans ton petit cul de pédé. T'es pédé ? hein ma salope...?

J'ai la bouche à moitié ouverte, j'ai chaud, je halète en le regardant... son souffle se répand sur mon visage pendant qu'il me parle, oh pas fort! doucement mais durement comme un mec qui sait diriger.

Sa main malaxait durement ma queue sans me branler, juste la serrer durement dans sa main. Je sentais une onde de plaisir se répandre dans mon corps. Jamais on ne m'avait fait ça et, de ma bouche est sorti un son plaintif, presqu'un gémissement qui l'a fait sourire.
-écoute moi bien ma belle petite salope, tu viens demain après midi à 16 heures, on aura deux heures tous les deux, seuls et je t'apprendrais tout ce que tu dois savoir car je suis sûr que tu sais pas grand chose, hein ma petite salope ?
Je le regardais tétanisé, je ne pouvais émettre aucun son.
Sa main s'est enlevée de mon sexe.
-alors ? tu viendras ?
-oui Sylvain dis je dans un souffle.
Il me fait un bisou sur le nez et sort de la salle de bains rejoindre mes parents et sa femme.

J'ai attendu quelques instants avant de les rejoindre.
-ça va chéri ? ma demandé ma mère, t'es tout pâle.
-oui oui ça va, j'ai un peu mal au ventre.
Ils ont continué leur discussion, je n'osais plus regarder Sylvain. J'avais vraiment honte de m'être fait surprendre.

Quand on est enfin parti, j'ai l'habitude de leur faire la bise. Là, j'ai eu comme un geste de recul quand Sylvain s'est approché de moi, il m'a pris dans ses bras, m'a serré contre lui.
-t'es comme mon fils Fabrice, t'as bien grandi mon petit.
Et, en même temps qu'il me faisait la bise, j'ai senti sa main me caresser les fesses et me mettre une claque faisant rire mon père.

En arrivant à la maison, je me suis enfermé dans ma chambre repensant à tout ce qui venait de se passer.
Est-ce que j'irais demain ?

Je me suis déshabillé. J'enlève mes chaussettes, les jette sur mon lit, retire mon boxer, ma queue est redevenue raide et attend ma main.
De voir sur le lit mon boxer et mes chaussettes m'excitent encore plus que d'habitude. Je prends le tout en main et les sniffe comme il faut, ma queue fait des bonds, je m'allonge sur le dos, posant boxer et chaussettes sur mon nez et de mes deux mains je me branle, une main pour la queue et l'autre pour les couilles et le cul. Et c'est parti. Ma main caresse bien ma grosse queue qui palpite, l'autre main caresse les couilles, les triturant puis un doigt file vers mon trou serré. Je mouille un doigt et l'enfonce dans mon cul et fait des vas et viens légers qui m'électrisent.

Respirant à fond mon odeur, un doigt dans mon petit cul de pédé et l'autre main qui s'active de plus en plus vite sur ma queue je ne tarde pas à jouir, jouir en pensant à Sylvain, son regard fixé à moi, son haleine, son odeur, son boxer.
Je râle, je gémis et j'en fous partout. Je m'essuie avec le boxer et les chaussettes, file sous les draps et dans les 30 secondes je m'endors.

Rêves peuplés de Sylvain et d'autres mecs de son âge. Je faisais une partouze et j'avais trois sexes d'hommes qui me regardaient et je me suis réveillé, frustré mais avec une sacré gaule.
Branlette rapide.

Le dimanche s'est écoulé lentement, trop lentement.
Je n'irais pas... j'ai envie d'y aller... que va-t-il me faire ?... il faut que j'y aille... et à la dernière minute...
-je vais faire un tour maman, je rentre pas tard.
J'ai pris mon vélo et j'ai foncé chez Sylvain.

Il devait vraiment m'attendre, car j'ai juste eu le temps de sonner que la porte s'ouvrait sur ce mâle, viril, beau.
-entre Fabrice.
Il referme la porte derrière moi.
Ca y est j'y suis... on fait quoi ?
-suis moi.
Il m'emmène dans une chambre, se retourne me prend dans ses bras, relève ma tête de sa main.
-alors t'es pédé ? t'as fait quoi déjà avec les mecs ?

C'était direct au moins! et d'un seul coup tout s'envolait, tous les préjugés que je pouvais avoir sur les "vieux" partaient au loin. Je me sentais bien dans ses bras virils qui me serraient mais pas trop et je venais de comprendre que cet après midi j'allais en apprendre beaucoup de tout ce que je voulais savoir.
-pas grand chose dis je c'est pas facile de trouver quelqu'un tu sais.
-ça te fait quoi de respirer des sous vêtements ?

Je me suis senti rougir.
-t'es beau quand tu rougis mais n'ai pas honte.
-ça me fait bander bien dur.
-tu t'es branlé hier soir en rentrant ?
-oui dis je en rougissant encore.
-t'as pensé à moi en le faisant ?
Mais comment pouvait il savoir ça ?
-oui et j'ai juté beaucoup aussi en respirant mes affaires à moi.

Ses mains descendaient sur mon dos, prenant chacune une fesse, qu'il pétrissait.
-et moi j'ai baisé ma femme en pensant à ton petit cul de pédé.
Je n'en croyais pas mes oreilles.
-déshabille toi et fais ta salope.
Je ne savais pas ce qu'il voulait vraiment dire mais rapidement je me suis retrouvé nu devant lui. Il s'était reculé pour m'admirer.

J'étais face à lui, ma queue redressée collée à mon ventre et je mouillais comme jamais j'avais mouillé.
-tourne toi!
Je m'exécutais.
-penche toi en avant et écarte tes fesses.
Il aillait pas m'enculer direct quand même!
Je l'entends siffler et je sens ses mains me caresser les fesses, j'écarte bien les jambes et son doigt passe dans ma raie, touche mon anus fermé, le gratouille et poursuit son chemin.
-redresse toi et viens me déshabiller.

Je le regarde. J'approche, enlève son tee-shirt. Comme mon père, musclé fin, des poils partout contrairement à mon père qui est imberbe du torse. Je vois ses tétons érigés au milieu de la toison. Je n'ose pas les toucher. J'admire ce beau corps, cette toison qui donne envie de se frotter dessus.
-mon pantalon, enlève le.
Il enlève ses patins, je défais son pantalon qui tombe à ses pieds pour voir qu'il est en boxer bleu, le même apparemment que celui d'hier soir. Je regarde ses chaussettes les mêmes aussi.

Cela m'excite encore plus, ma queue me fait mal. J'ai envie de me branler rien que le voyant mais j'attends les ordres car je sens qu'il va se passer plein de trucs.
-à genoux!
Je m'installe face à lui, face au boxer bleu où une grosse chose est moulée.
-ma petite salope adorée, j'ai remis le boxer d'hier soir que tu sniffais avec tant d'intérêt... là il est rempli alors tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ton nez et ta bouche sans mettre les mains... sinon je te les attache dans le dos.

Il s'approche de moi. J'ai sa queue, sa grosse queue de mâle devant les yeux, les centimètres diminuent et l'odeur, l'odeur d'hier soir est là.

Je ferme les yeux et hume. Là ça sent encore plus la bite. Je colle mon nez sur les couilles qui remplissent bien le boxer, j'enfonce mon nez dedans, je renifle, j'aime cette odeur et j'ai l'idée de me servir de ma bouche, de ma langue. Je lèche le boxer sur les couilles qui durcissent on dirait encore plus, remonte sur la grosse hampe avec mon nez, faisant des bisous le long. Je lève les yeux, il me regarde en souriant.
-continue ma belle salope t'es bien parti!

Encouragé, je prends sa grosse tige dans la bouche, mouillant bien le tissu pour la voir se dessiner. J'en ai envie, je la veux...
Pas les mains a t-il dit! alors je remonte mes lèvres sur son ventre, prend le boxer entre mes dents et tire vers le bas. Le premier coup n'est pas le bon, mais je recommence et, enfin je délivre la prisonnière.

Ma première vraie bite de mâle, qui sent la bite!! je la regarde l'admire, le gland est bien décalotté et je vois la mouille sortir du méat.
J'excite vraiment un mâle, un vrai!
Ma bouche retourne aux couilles libres. Je les lèche, avec le nez sous la hampe respirant cette bonne odeur, la même qu'hier soir dans le boxer.
L'envie me prend de les avaler. Je peine à faire entrer les deux mais j'ai ma récompense mon mâle gémit!

Je suis aux anges.

Je remonte sous la hampe vers ce gros gland que j'observe. C'est bien la première fois que j'ai le temps d'en voir un de près. Mais sa main vient se poser sur ma tête. J'ai juste à ouvrir la bouche.
J'en ai déjà eu des bites en bouche, oh pas beaucoup, mais d'habitude c'est moi qui m'enfonce dessus et je suce.

Mais là, il tient ma tête, et sa queue s'enfonce dans ma bouche. Elle est trop grosse sa bite, elle coule, il m'en met partout. Je dégluti et je sens la mouille couler en moi. Il tient ma tête à deux mains et continue de m'investir. Son gland glisse sur ma langue et touche mon palais mais quand il touche le fond, d'un seul coup j'ai la nausée, je tousse, mes yeux pleurent à chaudes larmes... mais il me tient.

J'essaie de me débattre, mais il me tient fermement. J'ai bien cru que j'allais étouffer mais il relâche ma tête et sa queue sort lentement, remplie de bave encore accrochée à ma bouche. Je halète la bouche ouverte, sa queue juste posée à l'entrée de ma bouche, les larmes coulent encore sur mon visage.
Sa main me caresse la joue, il a le sourire aux lèvres.

Je le vois s'asseoir sur le lit je suis toujours à genoux devant lui.
Il me tend un pied.
-enlève la chaussette et sniffe mon pied et la chaussette.

J'obéis en me posant plein de questions... sniffer ses pieds! la chaussette oui mais son pied.
Quand la chaussette est enlevée je la porte à mon nez en le regardant toujours souriant, pour voir arriver son pied qui se colle sur mon visage. Les orteils devant les yeux.
-lèche mon pied ma belle salope!

Je ne savais comment m'y prendre vraiment mais on trouve et cela semblait lui faire plaisir, moi peut être un peu moins au début mais quand j'ai sucé son gros orteil j'ai bandé encore plus.
Sentir ce gros orteil bouger entre mes lèvres. J'ai passé ma langue partout où je pouvais avant qu'il ne me présente son autre pied avec lequel j'ai du tout recommencer.
Mais je l'ai fait avec plaisir.
Puis il m'a fait relever.
Je l'ai vu installer son boxer sur le lit, encadré des deux chaussettes.
Il ne disait rien.
-tu vas me montrer ton cul de pédé ! met toi à genoux sur le lit.

L'instant fatal arrivait, comme je le désirais et en même temps l'appréhendais.

J'avais bien vu dans les vidéos des mecs s'enculer. Deux ou trois crachats sur la rondelle et pan! la bite entrait facilement et le mec poussait des petits cris... mais là j'ai senti ses mains me caresser, m'ouvrir les fesses encore plus. Quelques claques amicales sur les fesses, ses mains étaient douces et chaudes.

J'ai senti ses pouces me toucher l'anus, appuyer dessus et ouvrir encore plus mes fesses. Je sentais mon petit trou s'ouvrir.
Puis son souffle est passé dans ma raie, un souffle chaud et sa langue est entrée en action, ça on ne m'avait jamais fait ça. Sa langue touchait l'anus, le titillait, il léchait en appuyant bien, je sentais mon cul trempé de salive et il continuait sans rien dire, sans faire de commentaires. Sa langue devenait de plus en plus indiscrète, je la sentais entrer en moi enfin j'ai cru mais en tout cas cela me faisait gémir et... bander!

Mais quand c'est son doigt qui l'a remplacé, s'enfonçant facilement en moi, sentir son doigt caresser la paroi, j'ai été envahi de frissons des pieds à la tête, mais des frissons agréables, je n'avais pas envie qu'ils s'arrêtent. Il faisait des vas et viens avec son doigt, qu'est ce que j'ai aimé sa caresse interne. Il faudra que je me fasse ça quand je me branle enfoncer le doigt plus profond en caressant la paroi.

D'un doigt il est passé à deux. Ce n'était pas désagréable cette sensation d'être ouvert, de sentir ses doigts chauds en moi et là, il fouillait et les tournait dans l'entrée de mon cul et je me suis surpris à apprécier.
Et j'ai eu droit à une seconde séance avec sa langue, alternant langue et doigts. Je n'arrêtais pas de râler ou de gémir de plus en plus fort.
Je me sentais ouvert, même quand il retirait ses doigts je trouvais que mon cul restait ouvert.
Je l'ai entendu bouger derrière moi, quelque chose de plus gros passer dans ma raie, se poser sur mon ouverture.

Ses mains sont venues devant moi, saisir les chaussettes et le boxer.
-ouvre la bouche ma petite salope.
Je l'ai fait et je me suis retrouvé avec les chaussettes et le boxer à moitié entré dans la bouche.
-comme tu vas gueuler fort ça évitera que les voisins entendent.
Et je l'entends rigoler en se redressant.

Je le vois prendre un tube sur la table de chevet, sentir un liquide froid sur mon trou. Il me tartinait de gel le cul et j'ai su après qu'il se le faisait à la bite.
Quand j'ai senti son gland se représenter à l'entrée, ses mains me saisir aux hanches. J'ai su que mon dépucelage du cul était en route!

Je ne pensais pas que cela fasse si mal de se prendre une belle queue dans le cul!
Il a pourtant été doux et tendre lors de son entrée dans mon cul de futur belle grande salope, mais la douleur que j'ai ressenti partie de mon cul et s'est répandue comme une trainée de poudre dans tout mon corps.
j'ai hurlé, crié mais pratiquement rien n'est sorti de ma gorge.

En fait, je la voulais sa queue, je voulais avoir son jus de mâle en moi, qu'il m'engrosse comme il avait engrossé sa femme. J'étais sa belle salope alors j'ai mordu dans les chaussettes et le boxer. Leurs odeurs envahissaient ma gorge et toute la queue est entrée en moi jusqu'au fond, son pubis bien collé à mon cul de pédé!

Ses mains sont arrivées sur ma poitrine, me relevant comme pour m'asseoir sur sa queue en moi. Je la sentais bouger dans mon cul, avancer encore en moi, elle me remplissait bien. Je sentais aussi ma queue raide qui coulait. J'ai collé ma tête le long de la sienne et j'ai gémi, gémi vraiment comme la salope que j'étais déjà.

Ses mains parcouraient mon corps. J'avais posé les miennes sur les siennes et je l'accompagnais. Ses lèvres se sont posées sur mon cou, sa langue me léchait, cette langue qui connaissait mon petit trou maintenant bien rempli.

Je lui ai offert mon cou, tourné la tête aux maximum pour avoir ses lèvres, ses lèvres de "vieux" mâles qui se sont emparées des miennes après avoir enlevé boxer et chaussettes, et, sa bonne langue est venue s'enrouler à la mienne, crachant toute sa salive que j'avalais avec un plaisir non dissimulé. Je l'entendais souffler par le nez. Il avait les yeux fermés et me dégustait donnant de petits coups de cul qui faisait bouger son gros mandrin en moi. Il a replacé chaussettes et boxer dans ma bouche.

Il m'a remis brusquement dans ma position à quatre pattes, ses mains sont revenues s'emparer de mes hanches et là j'ai dégusté, dégusté de sentir sa queue ressortir lentement, sentir son gros gland me racler l'intérieur. J'ai cru qu'il allait se retirer mais non, d'un coup de reins sa bite repartait au fond de mon cul et je recommençais à gueuler.

Les vas et viens se sont faits de plus en plus rapide, j'étais devenu une chiffe molle entre ses mains. Je ne sentais plus mon cul, j'ai bien cru que j'étais écartelé, ouvert que jamais ça se refermerait.
Et, lui s'en foutait complètement, il me secouait comme un prunier.

J'ai deviné quand j'allais être arrosé de l'intérieur car ses mains ont encore plus serré mes hanches. Il s'est bloqué d'un seul coup au fond de mon cul, son gros machin était dur et enflé et, quand il a poussé un cri, j'ai senti son bon jus gicler au fond de moi. Cette sensation d'humidité, de chaleur qui m'envahissait au fur et à mesure des giclées jusqu'à ce qu'il s'écroule sur mon dos et m'entraine à m'allonger sur le lit, toujours en moi.
-t'as un cul magnifique ma petite salope!

Il s'est mis à m'embrasser partout retirant les chaussettes et le boxer doucement.
-t'aimes ça te prendre une queue dans ton petit cul ?
-ça fait mal mais j'ai aimé ta queue Sylvain!
Il s'est retiré de moi délicatement. Il était au dessus de moi.
-tourne toi sur le dos.

Et, j'en suis pas revenu de le voir se pencher sur ma queue qui avait joui toute seule et qui coulait encore, toujours bandante.

Quelle douceur que les caresses de ses mains, puis de sa bouche, ses lèvres, sa langue. J'avais l'impression qu'ils étaient plusieurs à s'occuper de moi. J'ai osé lui mettre une main sur la tête, il m'a pipé comme un vrai chef! pas du bout des lèvres comme beaucoup, enfin quelques uns, me l'avaient fait.

Et le plaisir est revenu, je l'ai senti monter. Sa main c'était glissée sous mes fesses et un doigt me forait doucement quand j'ai crié que j'allais jouir, croyant qu'il allait se retirer mais non il a tout avalé. Je n'en revenais pas quand il est venu s'allonger sur moi, sa main qui tenait ma bite, ses lèvres humide de mon jus il m'a embrassé tendrement.
-tu le méritais bien ma belle petite salope.

Là c'est moi qui l'ai embrassé tendrement, comme un amoureux que j'étais devenu.
-on recommencera ? j'ai osé demander.
-c'est toi qui décide ma belle petite salope.
-alors quand tu veux Sylvain, je serais à toi.

Quel baiser j'ai reçu. Le vrai baiser d'un mâle! d'un vrai!
-dis Fabrice, t'as fait des trucs avec mon fils ?
-oh non dis je, il ne pense qu'à se faire sucer par une fille pourtant je lui aurais bien fait moi! mais en fin de compte je suis bien content que tu m'aies surpris hier soir dans la salle de bains.
-t'es vraiment une belle salope que j'adore!

Notre histoire a duré pendant un bon moment, jusqu'au jour où on a failli se faire surprendre par sa femme.
Il n'a plus voulu que je revienne chez lui...

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Texte coquin : Boxer et chaussettes sales
Histoire sexe : Une rose rouge
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