Brève correspondance

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Brève correspondance Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Brève correspondance
1) Chère maman,
Ce petit mot pour te faire savoir que notre lune de miel se passe merveilleusement bien, comme tu l’avais prévu. Kevin ne s’est toujours pas remis de la réception du mariage. Depuis notre arrivée à l'hôtel, il ne décolère pas. Il est toujours contrarié de m’avoir vue flirter avec tous ces gars sympas que tu avais invité pour mon mariage. 
Il déteste me voir discuter avec des garçons plus grands et plus beaux que lui. Déjà qu’il a du mal à accepter le fait que je sois plus grande que lui, et que j’ai du succès avec les beaux garçons, mais me voir danser, chahuter et flirter avec tous ces beaux mecs l’a rendu enragé.

Comme je vous l'ai promis à toutes, lors de la soirée d’enterrement de ma vie de jeune fille, j'ai bien l'intention de diriger mon petit mari d’une main de fer. Et je puis t’assurer que j’y travaille quotidiennement.

Le manager de l'hôtel, un étalon dans la quarantaine nommé Robert, nous a accueilli à notre arrivée pour nous offrir son assistance. Vraisemblablement, le fait que Kevin se débattait avec nos deux énormes valises a potentiellement aidé. Mais j’ai refusé qu’il le secoure, je lui ai tendu mon bras et il m’a accompagné en personne jusqu’à ma chambre.

Quelques indices : il est très grand, très athlétique et très mâle, tout le contraire de Kevin. Je me suis assise sur le lit pour en tester le confort et j’ai invité Robert à prendre place à côté de moi. Bien entendu, je me suis faite chatte en minaudant et en collant ma cuisse contre la sienne.

Je portais une jupette extra courte, avec un haut très échancré, l'encolure bien dégagée pour montrer tout ce grand décolleté que j'ai hérité de toi. Cette vision de mon buste a beaucoup intéressé Robert.

Pendant que Kevin tentait de reprendre son souffle en traînant les valises, je chahutais et batifolais aimablement sur le lit avec mon nouveau chevalier servant. Tu aurais dû voir à quel point mon nouveau mari était bouleversé. On aurait dit qu'il avait mangé des couleuvres, c’était trop drôle.

Je dois me presser maintenant car nous allons déjeuner. J'ai insisté pour que nous prenions le repas ici, à l'hôtel, car je veux rencontrer à nouveau Robert. À en juger par le renflement de son pantalon, il mérite mon attention. J'adorerais contempler son sceptre royal.

J'espère que mon beau-père te donne beaucoup de satisfaction. Maintenant qu’il ne porte plus de pantalon à la maison, il expose sa petite bistouquette pathétique dans sa cage de chasteté, et avec les zébrures de ses fesses quotidiennement fouettées, je le trouve adorable. Vivement que j’arrive au même stade avec mon gentil mari.

À bientôt, Valérie

2) Chère maman,
La soirée d’hier a été très fructueuse. J'ai accusé Kevin d'avoir flirté avec ton amie Marie lors de la réception du mariage. Pas surprenant qu'il l'ait fait, car j'ai insisté pour ne plus avoir de relations sexuelles pendant tous ces mois de fiançailles, jusqu'à ce qu’il me passe la bague au doigt. Le pauvre chéri est toujours bouillonnant de désir. Je suppose que de lui demander de me sucer la chatte ne l’a pas aidé à se calmer. Et comme tu avais briefer la jolie Marie pour qu’elle le chauffe, pas étonnant qu’il ait craqué pour elle.

Quoi qu'il en soit, j'ai utilisé ce prétexte pour lui refuser les relations sexuelles tant désirées. Je voulais le faire mariner le plus longtemps possible. Mais j’ai eu un coup de chance. Une femme de chambre est allée prévenir Robert, en disant qu'elle avait entendu une grosse dispute, et qu’elle avait peur pour moi. Robert est venu vérifier que tout allait bien. Je l'ai fait entrer et je me suis mise à pleurer.

J'ai accusé mon nouveau mari d’avoir eu un comportement indélicat. Robert a sauté sur l’occasion de me prendre dans ses bras pour me consoler. Je n’étais vêtue que d’une nuisette minimaliste et d’un déshabillé transparent. Blottie dans ses bras puissants, je laissais ses grandes mains faire connaissance avec mes charmes.

Instantanément, Kevin s'est mis en colère ! Il s’est précipité sur le manager, mais dans sa rage il l’a loupé et Robert, qui m’avait lâchée, l’a bloqué avec une clé au bras et l’a poussé contre le mur. Robert a déclaré que Kevin l'avait agressé et qu’il devait appeler la police, pour dénoncer un individu au comportement dangereux, soupçonné de violences conjugales et d’agression envers le personnel de l’hôtel. 
J'ai dû lutter pour ne pas éclater de rire. J'ai confirmé les accusations de Robert avec une voix bouleversée et des sanglots contenus. Kevin est devenu très nerveux et il a juré qu'il ferait n'importe quoi pour éviter les problèmes juridiques. Je me suis blottie à nouveau dans les bras de Robert pour me calmer. Serrée tout contre lui, j’ai tourné mon visage chamboulé vers lui en le suppliant de m’embrasser pour me réconforter. Juste pour être sûre qu'il m’avait bien comprise, j'ai glissé ma main entre nos deux corps, pour attraper son paquet volumineux. Immédiatement, je l’ai senti se tendre et se raidir.

Mon crétin de mari était désemparé lorsque nos lèvres se sont touchées. Honteux et confus, il n’osait plus intervenir. J'ai mis ma langue dans la bouche de Robert, et il m'a rendu mon baiser. J'ai demandé à Robert de rester un moment avec moi jusqu'à ce que je me calme et que je me sente en sécurité.

Puis, j'ai demandé à Kevin d'appeler le service d'étage pour une bouteille de Champagne. Pendant que cet idiot s’escrimait au téléphone pour joindre le service concerné, j’ai donné à Robert un peu plus de «récompense», avec ma langue dans sa bouche, et ma main frottant sa verge. Ensuite, j’ai raconté à Robert toutes les méchancetés que je pouvais inventer à propos de mon méchant mari. Kevin s’est recroquevillé de s’être si mal comporté. 
Je savais que je le tenais en laisse. La bouteille est arrivée. Robert et moi avons trinqué et partagé quelques verres. Je n'ai pas autorisé Kevin à boire parce que j’avais peur qu'il redevienne violent. Robert et moi, nous avons échangé un long baiser, pour nous souhaiter une bonne nuit. Pour me réconforter, il m’a promis un dîner gratuit. Il voulait être sûr que tout allait bien. Ouais, je vais bien, très bien même.

Ta fille digne de toi, Valérie

3) Chère maman,
C'est arrivé. Robert m'a fait livrer un très bon dîner, accompagné d’un sandwich pour Kevin. J’étais mouillée de voir cet avorton insulté de cette façon. Puis Robert est venu me rendre visite. J'avais juste enfilé une nuisette transparente sur ma lingerie. Kevin était tellement excité. Sa petite bite dégoulinait probablement. Pauvre idiot. 
Dès que Robert est entré dans la chambre, Kevin a essayé de me couvrir avec un peignoir. J’ai refusé, alors il a insisté. Je me suis fâchée en élevant la voix. Je lui ai reproché sa jalousie maladive, sa méchanceté, sa cruauté envers sa pauvre femme. Je lui ai dit que s’il ne voulait pas que tout soit fini entre nous, il devait prouver sa bonne foi en passant un test. Il était terrifié, prêt à tout accepter.

Mon «test», bien évidemment, concernait Robert. Je l’ai fait asseoir sur le bord du lit et, penchée sur lui, je l’ai embrassé langoureusement. Puis j'ai pris sa main pour la poser sur mon sein, afin qu’il sente battre mon cœur. J'ai jeté un coup d'œil à Kevin pour larguer ma bombe sur lui. Je lui ai expliqué que j'allais faire l’amour à Robert, maintenant, devant lui, et qu'il ne devait pas dire un mot s'il voulait sauver son mariage. 
Je lui ai rappelé ses fiançailles interrompues avec Sylvie, la fille que tu avais fait ensorceler par un de tes étalons pour qu’elle le quitte, et ses faibles chances de réussir à séduire une fille aussi sexy que moi. Il a cédé en reniflant. 
J’avais du mal à croire que j’arrivais à lui faire gober toutes ces histoires. Quel crétin ! Je devais me retenir de rire. Puis j'ai commencé à déshabiller Robert. Lentement, en couvrant son torse musclé de petits baisers sonores, tandis que mon mari se tortillait et s'inquiétait. Puis, allongés sur le lit, nous nous sommes caressés longuement, l'énorme sexe de Robert oscillant dans l’air.

Après les préliminaires, la baise a commencé. Magnifique. Tout le temps, j'ai insulté Kevin en comparant les mérites de l’un et de l’autre. Allongée sur le dos, les jambes repliées et largement écartées, j’ai encouragé mon avorton à admirer la bite d’un vrai mâle, élargissant ma petite chatte en la pénétrant.

Robert et moi, nous nous sommes donnés beaucoup de plaisir. À plusieurs reprises, j’ai été bruyante, un peu trop, mais je voulais absolument que Kevin sache qu’il ne pourrait jamais me donner autant d’extase. Mon petit mari restait là, recroquevillé, sanglotant et se lamentant. Dominé, vaincu, soumis, il a accepté sa défaite, incapable de rivaliser. Sur le lit, nous avons continué à nous embrasser et à nous caresser, en nous chuchotant des serments d’amour.

Ce voyage de noces se déroule à la perfection. Fais-moi une faveur et transmets mes messages à ma tante Jeanne, ta petite sœur. Je sais qu'elle appréciera ces nouvelles autant que toi.

Satisfaite de l’évolution de mon ouvrage, Valérie

4) Chère tante Jeanne,
J'ai demandé à maman de te transmettre mes messages précédents, mais maintenant je dois te raconter ce qui s'est passé APRÈS que j'ai baisé avec Robert sous ses yeux. Bien évidemment, j'ai profité de l’état de choc de mon idiot de mari pour continuer mes expériences amoureuses avec Robert. C’est un très bon amant, tu sais, il m’a donné beaucoup de plaisir. Et devant mon cocu soumis, cela rajoute du piment.

Le voyage de noces terminé, nous sommes passés saluer maman. Je pense, d'après ses commentaires pendant le trajet, qu'il avait imaginé raconter mes frasques à ma maman, afin qu’elle me sermonne. Il s'est calmé dès notre arrivée ! Tu aurais dû voir la tête de mon pauvre mari quand mon beau-père nous a ouvert la porte. 
Maman lui fait porter maintenant des bas roses agrémentés de plumetis blancs, retenus par une ceinture de jarretelles, qui mettent en valeur son petit oiseau enfermé dans sa cage, et ses fesses molles zébrées par les stigmates de la cravache. Avant même que nous n'entrions à l'intérieur, sur le pas de la porte grande ouverte, j'ai obligé mon beau-père à se retourner et à se pencher pour nous montrer son plug anal.

C’est la que mon chéri a réalisé qu'il était foutu, et qu’il ne pouvait espérer aucune aide de maman. C’est mon beau-père qui a fait le service, équipé d’un charmant tablier blanc orné de dentelles. Champagne pour maman et moi, un verre d'eau du robinet pour mon gentil mari. 
Assises sur le canapé, les garçons assis par-terre à nos pieds, nous avons discuté de la meilleure façon de garder nos hommes parfaitement disciplinés et amoureux à la fois. Nous avons évoqué tous les aspects de sa vie quotidienne future : pas de sexe pour mon mari, l’obligation d’assumer la totalité des travaux ménagers, que je devais tenir seule les cordons de la bourse, et bien évidemment ma totale liberté de choisir mes amants au gré de mes désirs.

Nous avons évoqués enfin les châtiments corporels, les punitions, les brimades, en lui précisant bien que c’est parce que je l’aime que je fais tout ça, et qu’il ne me mérite pas. Je pouvais voir à ses yeux de chien battu qu’il réalisait parfaitement ce qui l’attendait, et qu’il mesurait clairement le chemin à parcourir pour devenir un mari parfait. Je le savais vaincu, battu, soumis. Plus aucune velléité de combat en lui.

Bien sûr, je devais m’assurer qu’il avait parfaitement intégré mes recommandations. Donc, nous avons convenu que c’est mon cocu qui irait ouvrir la porte à la prochaine sonnerie. Il s'est presque effondré quand il a ouvert à Robert. 
Nous avons installé Robert sur le canapé, entre nous, et nous avons joué un moment avec son grand sexe, sous les yeux admiratifs de nos cocus respectifs. Ensuite, Robert m’a emmenée au restaurant avant d’aller passer la nuit chez lui.
Mieux encore, j'ai laissé mon cocu soumis aux tendres miséricordes de ma maman. J'ai hâte de le récupérer demain, pour voir ce qu’il en reste. 
Comme je sais que tu aimes dresser les jeunes mâles arrogants pour en faire des animaux de compagnie serviles, j’ai hâte de te présenter mon cocu soumis. Si le cœur t’en dis, je pourrais te le laisser en pension quelques jours, afin que tu fignole son éducation et ses bonnes manières. De toute façon, je suis tranquille, entre maman et toi, je suis sûre que vous saurez me conseiller et m’aider efficacement, afin que je transforme ce bout de charbon brut en diamant étincelant.

Ta dévouée nièce, Valérie

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Nul nul nul. l auteur fait de la soupe très mauvaise d ailleurs que ne faut il pas faire pour bouffer.



Texte coquin : Brève correspondance
Histoire sexe : Une rose rouge
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