Brèves, anecdotes ou extraits. (1/2)
Récit érotique écrit par Lesbicamille [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Brèves, anecdotes ou extraits. (1/2)
J'ai toujours essayé d'imaginer, d'être une pute, obligée d'écarter les cuisses pour des billets jetés sur la table de nuit...je l'ai fait une fois, pas tout à fait ça, mais dans l'esprit...un ami de mes parents, Christian, un français vivant à Vancouver, achète des usines en faillite un peu partout dans le monde, je ne vois pas très bien pourquoi faire, je lui ai pas demandé, mais ce monsieur me draguait malgré que je sois la fille de ses amis..
Il correspondait avec moi par mail sous un pseudo féminin, rien ne s'était jamais passé entre nous, c'était plutôt un jeu coquin..très pervers..
Bref, il devait rencontrer 3 étrangers pour affaire, des Turcs, à Paris, pourquoi à Paris...sait pas, et dans nos délires par mail, il m'avait carrément proposé de l'accompagner toute la soirée pour les charmer un peu, pour faciliter la signature..
Le restaurant s'est passé normalement sauf qu'ils poussaient un peu sur le champagne, j'étais en robe assez légère et surtout très vague, ample à partir de la taille, nous sommes allés ensuite dans une boite, ils avaient repris du champagne, à une table au fond, près du mur, en retrait de la piste pour ne pas être trop assourdis, les Turcs m'avaient présenté la banquette en cuir contre le mur, je suis passée et ils se sont assis de chaque coté, mon ami et l'autre turc en face.
L'humeur est joviale, je ne comprends pas grand chose, je suis mauvaise en Anglais, mon ami traduit, mais au bout d'un moment je sens une main posée sur le siège qui touche un peu mon genou, elle est appuyée là naturellement, comme si ce n'était pas fait exprès...je ne bouge pas ma jambe, j'oublie cette main, j'écoute la musique un peu absente de leur discussion à laquelle je ne comprends rien, et je sens quand même que cette main est très appuyée contre, je me dit "ça y est"...il insiste, je ne m'en occupe pas comme si je ne m'en rendais pas compte, puis la main se pose "sur" le genou..
Mon ami m'avait demandé d'être compréhensive, sans plus, c'était donc à moi d'interpréter ce mot, je ne bouge pas, je la laisse là et il me le caresse en égarant un peu sa main un peu plus loin...il me teste, il conserve le terrain acquis mais n'ose pas perdre ce qu'il a déjà...ça m'amuse et je ne fais rien pour l'encourager ou le dissuader...quel pouvoir nous avons les femmes...j'adore toujours ces moments d'hésitations de l'homme partagé entre son envie qui le tenaille dans le pantalon, et l'hésitation qui le tenaille dans la tête...qui va prendre le dessus?...la tête ou la queue? Mais chez l'homme c'est souvent en bas que ça se passe et sans réaction de ma part, il progresse rapidement jusqu'à ma culotte et caresse mes lèvres doucement à travers l'étoffe. Je laisse faire..
Il dit quelque chose en Turc à mon autre voisin de banquette, lui n'hésite pas..il estime que je ne dirai rien comme pour son ami, de l'autre coté. Sa main passe sous la table et me prend l'autre cuisse. Ma robe de ce fait est remontée jusqu'à la culotte, j'ai un peu chaud aux joues, je ris un peu nerveusement parce qu'ils tirent ma culotte. Je lève un peu mes fesses pour qu'elle passe, mon ami canadien voit bien qu'il se passe quelque chose et se penche pour regarder sous la table, il voit et éclate de rire,les autres aussi.
Ils finissent de descendre ma culotte aux genoux, je la pousse et elle tombe sur mes pieds, une main prend un genou et écarte ma jambe d'un coté, ouvrant le passage et se plaque entre mes cuisses, l'autre me pétrit la cuisse de son coté mais l'accès à ma chatte est pris, il tente de passer sa main sous mes fesses. Je me penche pour laisser le passage en m'avançant, assise au bord de la banquette, penchée un peu en avant comme si je voulais me rapprocher de ceux qui sont devant pour leur parler plus facilement à cause du bruit, ils peuvent ainsi me doigter la chatte et l'anus...
Un doigt est totalement enfoncé dans mes fesses, il tente deux, doucement, délicatement, me touchant quand même le bas de ma chatte et son compagnon de son coté a pris un rythme pas très discret, et sa position pour me doigter n'est pas très naturelle non plus, je suis de plus en plus excitée, la situation me dépasse, j'ai envie de me laisser aller en arrière, mettre les pieds sur la table, ouverte, à la disposition de toutes les mains, je mouille abondement, je ne peux maîtriser mon bassin qui bouge à la rencontre de ces doigts. Mes jambes commencent à trembler, je suis chaude, très chaude... J'essaie de regarder autour de moi si l'on nous regarde, malgré que notre table ne soit pas trop dans les éclairages.
Il y a un groupe de fêtards un peu à part aussi compte tenu du nombre, une vingtaine de types, des Allemands je pense, bien chauds aussi, mais par la boisson, qui semblent regarder de temps en temps dans notre direction. J'essaie de reprendre une attitude plus normale devant cette table, mais elle est basse et se trouve tout juste à la hauteur de ma taille, masquant mes cuisses nues, mais ma robe repoussée fait malgré tout des plis au niveau de la table, et je pense que d'où ils sont, ils doivent avoir des doutes.
Je pense soudainement à ma culotte, avec tout ça elle est restée par terre, je le souffle à mon ami qui se penche et la ramasse, mais tellement peu discrètement que la table des Allemands éclate de rire. Pas malin Christian! Mais les choses ne sont plus tenables, le plaisir monte, je bouge de plus en plus, je cache mon visage dans mes bras croisés sur la table pendant qu'ils me fouille des deux cotés...
Il se passe un temps indéfini, toute à mon plaisir quand mon ami leur parle. Ils s'arrêtent et retirent leurs doigts. Je me redresse soudainement, étonnée. Stoppée ainsi je ne peux m'empêcher de mettre ma main sur ma chatte, frottant mon clit, mais Christian me dit sèchement d'arrêter, que l'on va dans un endroit plus tranquille. Je réagis, me calme et ajuste ma robe. Il paie, on se lève je vois que les Allemands ne sont plus là, je ne les ai pas vu partir la tête dans les bras..
Nous arrivons au parking et en nous dirigeant vers notre voiture, on aperçoit un car prêt à partir, dans lequel sont nos Allemands de tout à l'heure. Ils rient et parlent fort en nous voyant, faisant des signes auxquels je réponds bêtement, sans intention particulière, comme ça... Ils me crient quelque chose que je ne comprends pas. Nous arrivons à la voiture. A l'aller j'étais assise à la place passager à coté du chauffeur, Christian, mais là il me dit de me mettre à l'arrière. Je comprends et je souris. On va pouvoir me reprendre en mains et je me retrouve au milieu de mes deux Turcs, confortablement installée sur les sièges en cuir.
Bien encadrée, nous quittons Louveciennes et allons récupérer l’autoroute A13 pour regagner Paris, Christian a poussé le chauffage, et je comprends quand l'un des Turcs tire ma robe par la tête, il ne me reste plus que le soutien que le second s'empresse d'enlever, ma culotte doit être dans la poche de Christian, nue entre deux hommes habillés nous ne roulons pas très vite sur la file de droite, Christian a réglé son rétro intérieur sur moi, et il regarde l'évolution de la situation tout en surveillant la route..
Celui de gauche a sorti son sexe bandé, brandit, puissant. Je le regarde, un peu interdite, alors il passe sa main sur ma nuque et me fait baisser la tête en direction de sa verge. Trop près de lui, je suis obligée de m'allonger un peu, de reculer mes fesses, et le deuxième Turc en profite pour m'aider en positionnant mon ventre sur ses genoux, comme pour une fessée, mes lèvres s'approche de son gland, mais il est impatient et appuyant fermement il entre dans ma bouche, je ne peux le prendre entièrement et je dois le retenir dans ma main.
Christian n'en perd pas une miette je pense, et pendant que je commence à m'activer sur cette queue, le deuxième commence à me caresser les fesses. Il écarte mes cuisses en poussant ma jambe droite, qui repose maintenant en partie sur le sol, ouverte ainsi, il constate que je mouille. Il dit quelque chose aux autres que je ne comprends pas, mais ils rient tous, et il commence à branler ma chatte, il va et vient, entre et sort ses doigts, deux qui me font du bien et me font redoubler d'attention à la queue du Turc, ma langue joue avec son gland tout en le branlant, le troisième Turc devant, un peu frustré me caresse les seins, comme je suis un peu de coté, il profite de la seule partie de mon corps disponible Une belle verge dans la bouche, des mains qui me fouillent, qui me pincent, tirent, tripotent mes seins, je réagis à toute cette situation, en gémissant lentement, langoureusement, d'un son de gorge un peu étouffé par ce sexe qui coulisse entre mes lèvres.
Je ne sait plus très bien ce que je fais, mon corps abandonné à leurs désirs, je me laisse faire et je fais comme ils veulent, le Turc va éjaculer, il me tient pour que je ne puisse l'enlever, je prends tout dans la gorge et je m'étouffe, je le pousse, je tousse et m'étrangle. Je me relève pour essayer de récupérer, le deuxième Turc m'aide à me redresser et je me retrouve adossée au siège les jambes très ouvertes l'une sur ses genoux, l'autre pied au sol.
Je commence à reprendre mes esprits au moment où je vois un autocar qui roule à coté de nous sur la file du milieu. Mon attention est attirée parce que je vois des types qui me font des signes, et je reconnais certains de la bande d'allemands de tout à l'heure. Ils nous ont rattrapés sans le faire exprès, je pense, mais comme Christian roule relativement doucement pour mater. Le fait est qu'ils sont en train de me voir nue au milieu des Turcs et ils ne nous doublent pas, ils sont tous collés aux carreaux à me regarder.
Nous arrivons au pont de St Cloud, et nous dirigeons sur le périphérique ouest, vers le 16ème, je me dis qu'il me ramène chez moi. Je renfile ma robe et à cette occasion je vois que le car est derrière nous, mais cela n'est pas étonnant, ils avaient une chance sur deux de se retrouver du même coté que nous.
Arrivés à la hauteur de la porte Dauphine Christian sort, mais au lieu de quitter la place à droite il continue à tourner sur le rond point pour en sortir à l'entrée du bois de Boulogne.
Je pose la question de ce qu'il veut faire, il répond qu'il cherche un coin tranquille et traduit aux Turcs qui me regardent, comblés et très très souriants, d'un sourire sans équivoque possible sur leurs intentions.
Nous arrivons vers une petite route qui mène au Polo club, il n'y a aucune circulation quand il est fermé, je connais bien le coin mais apparemment Christian aussi. Il s'arrête après le virage pour que l'on ne nous voit pas de la route principale, éteint ses feux. Nous voyons arriver dans les rétros juste derrière nous, des gros phares, et, nous retournant, constatons que le car se range derrière la voiture, presque à la coller. Nous n’avions plus pensé à lui, tout du moins moi, et j'en viens à me demander si Christian ne l'avait pas repéré et commencé à cogiter une suite très chaude...
A suivre...
Il correspondait avec moi par mail sous un pseudo féminin, rien ne s'était jamais passé entre nous, c'était plutôt un jeu coquin..très pervers..
Bref, il devait rencontrer 3 étrangers pour affaire, des Turcs, à Paris, pourquoi à Paris...sait pas, et dans nos délires par mail, il m'avait carrément proposé de l'accompagner toute la soirée pour les charmer un peu, pour faciliter la signature..
Le restaurant s'est passé normalement sauf qu'ils poussaient un peu sur le champagne, j'étais en robe assez légère et surtout très vague, ample à partir de la taille, nous sommes allés ensuite dans une boite, ils avaient repris du champagne, à une table au fond, près du mur, en retrait de la piste pour ne pas être trop assourdis, les Turcs m'avaient présenté la banquette en cuir contre le mur, je suis passée et ils se sont assis de chaque coté, mon ami et l'autre turc en face.
L'humeur est joviale, je ne comprends pas grand chose, je suis mauvaise en Anglais, mon ami traduit, mais au bout d'un moment je sens une main posée sur le siège qui touche un peu mon genou, elle est appuyée là naturellement, comme si ce n'était pas fait exprès...je ne bouge pas ma jambe, j'oublie cette main, j'écoute la musique un peu absente de leur discussion à laquelle je ne comprends rien, et je sens quand même que cette main est très appuyée contre, je me dit "ça y est"...il insiste, je ne m'en occupe pas comme si je ne m'en rendais pas compte, puis la main se pose "sur" le genou..
Mon ami m'avait demandé d'être compréhensive, sans plus, c'était donc à moi d'interpréter ce mot, je ne bouge pas, je la laisse là et il me le caresse en égarant un peu sa main un peu plus loin...il me teste, il conserve le terrain acquis mais n'ose pas perdre ce qu'il a déjà...ça m'amuse et je ne fais rien pour l'encourager ou le dissuader...quel pouvoir nous avons les femmes...j'adore toujours ces moments d'hésitations de l'homme partagé entre son envie qui le tenaille dans le pantalon, et l'hésitation qui le tenaille dans la tête...qui va prendre le dessus?...la tête ou la queue? Mais chez l'homme c'est souvent en bas que ça se passe et sans réaction de ma part, il progresse rapidement jusqu'à ma culotte et caresse mes lèvres doucement à travers l'étoffe. Je laisse faire..
Il dit quelque chose en Turc à mon autre voisin de banquette, lui n'hésite pas..il estime que je ne dirai rien comme pour son ami, de l'autre coté. Sa main passe sous la table et me prend l'autre cuisse. Ma robe de ce fait est remontée jusqu'à la culotte, j'ai un peu chaud aux joues, je ris un peu nerveusement parce qu'ils tirent ma culotte. Je lève un peu mes fesses pour qu'elle passe, mon ami canadien voit bien qu'il se passe quelque chose et se penche pour regarder sous la table, il voit et éclate de rire,les autres aussi.
Ils finissent de descendre ma culotte aux genoux, je la pousse et elle tombe sur mes pieds, une main prend un genou et écarte ma jambe d'un coté, ouvrant le passage et se plaque entre mes cuisses, l'autre me pétrit la cuisse de son coté mais l'accès à ma chatte est pris, il tente de passer sa main sous mes fesses. Je me penche pour laisser le passage en m'avançant, assise au bord de la banquette, penchée un peu en avant comme si je voulais me rapprocher de ceux qui sont devant pour leur parler plus facilement à cause du bruit, ils peuvent ainsi me doigter la chatte et l'anus...
Un doigt est totalement enfoncé dans mes fesses, il tente deux, doucement, délicatement, me touchant quand même le bas de ma chatte et son compagnon de son coté a pris un rythme pas très discret, et sa position pour me doigter n'est pas très naturelle non plus, je suis de plus en plus excitée, la situation me dépasse, j'ai envie de me laisser aller en arrière, mettre les pieds sur la table, ouverte, à la disposition de toutes les mains, je mouille abondement, je ne peux maîtriser mon bassin qui bouge à la rencontre de ces doigts. Mes jambes commencent à trembler, je suis chaude, très chaude... J'essaie de regarder autour de moi si l'on nous regarde, malgré que notre table ne soit pas trop dans les éclairages.
Il y a un groupe de fêtards un peu à part aussi compte tenu du nombre, une vingtaine de types, des Allemands je pense, bien chauds aussi, mais par la boisson, qui semblent regarder de temps en temps dans notre direction. J'essaie de reprendre une attitude plus normale devant cette table, mais elle est basse et se trouve tout juste à la hauteur de ma taille, masquant mes cuisses nues, mais ma robe repoussée fait malgré tout des plis au niveau de la table, et je pense que d'où ils sont, ils doivent avoir des doutes.
Je pense soudainement à ma culotte, avec tout ça elle est restée par terre, je le souffle à mon ami qui se penche et la ramasse, mais tellement peu discrètement que la table des Allemands éclate de rire. Pas malin Christian! Mais les choses ne sont plus tenables, le plaisir monte, je bouge de plus en plus, je cache mon visage dans mes bras croisés sur la table pendant qu'ils me fouille des deux cotés...
Il se passe un temps indéfini, toute à mon plaisir quand mon ami leur parle. Ils s'arrêtent et retirent leurs doigts. Je me redresse soudainement, étonnée. Stoppée ainsi je ne peux m'empêcher de mettre ma main sur ma chatte, frottant mon clit, mais Christian me dit sèchement d'arrêter, que l'on va dans un endroit plus tranquille. Je réagis, me calme et ajuste ma robe. Il paie, on se lève je vois que les Allemands ne sont plus là, je ne les ai pas vu partir la tête dans les bras..
Nous arrivons au parking et en nous dirigeant vers notre voiture, on aperçoit un car prêt à partir, dans lequel sont nos Allemands de tout à l'heure. Ils rient et parlent fort en nous voyant, faisant des signes auxquels je réponds bêtement, sans intention particulière, comme ça... Ils me crient quelque chose que je ne comprends pas. Nous arrivons à la voiture. A l'aller j'étais assise à la place passager à coté du chauffeur, Christian, mais là il me dit de me mettre à l'arrière. Je comprends et je souris. On va pouvoir me reprendre en mains et je me retrouve au milieu de mes deux Turcs, confortablement installée sur les sièges en cuir.
Bien encadrée, nous quittons Louveciennes et allons récupérer l’autoroute A13 pour regagner Paris, Christian a poussé le chauffage, et je comprends quand l'un des Turcs tire ma robe par la tête, il ne me reste plus que le soutien que le second s'empresse d'enlever, ma culotte doit être dans la poche de Christian, nue entre deux hommes habillés nous ne roulons pas très vite sur la file de droite, Christian a réglé son rétro intérieur sur moi, et il regarde l'évolution de la situation tout en surveillant la route..
Celui de gauche a sorti son sexe bandé, brandit, puissant. Je le regarde, un peu interdite, alors il passe sa main sur ma nuque et me fait baisser la tête en direction de sa verge. Trop près de lui, je suis obligée de m'allonger un peu, de reculer mes fesses, et le deuxième Turc en profite pour m'aider en positionnant mon ventre sur ses genoux, comme pour une fessée, mes lèvres s'approche de son gland, mais il est impatient et appuyant fermement il entre dans ma bouche, je ne peux le prendre entièrement et je dois le retenir dans ma main.
Christian n'en perd pas une miette je pense, et pendant que je commence à m'activer sur cette queue, le deuxième commence à me caresser les fesses. Il écarte mes cuisses en poussant ma jambe droite, qui repose maintenant en partie sur le sol, ouverte ainsi, il constate que je mouille. Il dit quelque chose aux autres que je ne comprends pas, mais ils rient tous, et il commence à branler ma chatte, il va et vient, entre et sort ses doigts, deux qui me font du bien et me font redoubler d'attention à la queue du Turc, ma langue joue avec son gland tout en le branlant, le troisième Turc devant, un peu frustré me caresse les seins, comme je suis un peu de coté, il profite de la seule partie de mon corps disponible Une belle verge dans la bouche, des mains qui me fouillent, qui me pincent, tirent, tripotent mes seins, je réagis à toute cette situation, en gémissant lentement, langoureusement, d'un son de gorge un peu étouffé par ce sexe qui coulisse entre mes lèvres.
Je ne sait plus très bien ce que je fais, mon corps abandonné à leurs désirs, je me laisse faire et je fais comme ils veulent, le Turc va éjaculer, il me tient pour que je ne puisse l'enlever, je prends tout dans la gorge et je m'étouffe, je le pousse, je tousse et m'étrangle. Je me relève pour essayer de récupérer, le deuxième Turc m'aide à me redresser et je me retrouve adossée au siège les jambes très ouvertes l'une sur ses genoux, l'autre pied au sol.
Je commence à reprendre mes esprits au moment où je vois un autocar qui roule à coté de nous sur la file du milieu. Mon attention est attirée parce que je vois des types qui me font des signes, et je reconnais certains de la bande d'allemands de tout à l'heure. Ils nous ont rattrapés sans le faire exprès, je pense, mais comme Christian roule relativement doucement pour mater. Le fait est qu'ils sont en train de me voir nue au milieu des Turcs et ils ne nous doublent pas, ils sont tous collés aux carreaux à me regarder.
Nous arrivons au pont de St Cloud, et nous dirigeons sur le périphérique ouest, vers le 16ème, je me dis qu'il me ramène chez moi. Je renfile ma robe et à cette occasion je vois que le car est derrière nous, mais cela n'est pas étonnant, ils avaient une chance sur deux de se retrouver du même coté que nous.
Arrivés à la hauteur de la porte Dauphine Christian sort, mais au lieu de quitter la place à droite il continue à tourner sur le rond point pour en sortir à l'entrée du bois de Boulogne.
Je pose la question de ce qu'il veut faire, il répond qu'il cherche un coin tranquille et traduit aux Turcs qui me regardent, comblés et très très souriants, d'un sourire sans équivoque possible sur leurs intentions.
Nous arrivons vers une petite route qui mène au Polo club, il n'y a aucune circulation quand il est fermé, je connais bien le coin mais apparemment Christian aussi. Il s'arrête après le virage pour que l'on ne nous voit pas de la route principale, éteint ses feux. Nous voyons arriver dans les rétros juste derrière nous, des gros phares, et, nous retournant, constatons que le car se range derrière la voiture, presque à la coller. Nous n’avions plus pensé à lui, tout du moins moi, et j'en viens à me demander si Christian ne l'avait pas repéré et commencé à cogiter une suite très chaude...
A suivre...
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je fais vite la suite
pleins de bisous la belle
cello
pleins de bisous la belle
cello
Super génial, j'adore.
Rudy
Rudy
Je n'arrête pas de me branler en te lisant, je vais vite lire la suite ! ;-p
Excelent debut...j'attends la suite avec impatience... J'espère qu'elle será bien hard
salace et pervers.... Comme tu en as l'habitude....
Slutyboy.
salace et pervers.... Comme tu en as l'habitude....
Slutyboy.
Excelent debut...j'attends la suite avec impatience... J'espère qu'elle será bien hard
salace et pervers.... Comme tu en as l'habitude....
Slutyboy.
salace et pervers.... Comme tu en as l'habitude....
Slutyboy.
vite vite camille, la suite... je n'ai pas étanché ma.. soif de jouissance..
merci pour ce nouveau texte tellement "bandant", cela me manquait de ne plus vous lire.
amitiés,
alexandre
merci pour ce nouveau texte tellement "bandant", cela me manquait de ne plus vous lire.
amitiés,
alexandre
ô mon dieu Camille, Attention, je crains que vous n'alliez en prendre une série
teutonne. Préparez-vous bien, cela risque de couiner....mmmm, super... Z
teutonne. Préparez-vous bien, cela risque de couiner....mmmm, super... Z