Brèves images clitoridiennes
Récit érotique écrit par Gouineur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Brèves images clitoridiennes
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Je lui écarte ses jambes, tout doucement, admirant cette offrande. Grande ouverte comme un calice d’une fleur exotique, couleur rouge-vif, bordures de lèvres généreuses, assombries, presqu’ébène. Pourtant, elle, la femme est blonde, type caucasienne.
J’hume ce plaisir, enivrant je titille les pétales, humm, délicieux ! Je les étire plus, les petits lèvres se décapuchonnent, replis tirés, faisant place à un développent spectaculaire, glandouillant, la petit excroissance de sa p’tite bite femelle. Il grossit sous les caresses buccales, languie d’avantage, soins prodiges.
L’encerclant avec la point de langue, il se ravi de son existence, en demandant plus encore : «Je suis le roi et l’as du jeu ! Tu es mon souverain ! Réclame-t-il », puis : « Le jeu commence ! Vive le jeu ! »
Oui cette petite tigette me parle. Il me parle d’un langage colorant, il se gorge de sang, il fait chanter la suppliante porteuse, il se présente comme premier atout. Fièrement dressé devant moi, il va se ressourcer dans le bonheur. Mes mains cherchent alors de bouger ses racines jusqu’au leur naissance, pubis fut massé de main ferme, à atteindre sa racine.
Pas un seul poile qui gène le mouvement pétrifiant son mont de vénus. – Juste un petit abandon, l’instant de faire parcourir la langue au sanctuaire voisin, festoyant l’antre, la paume d’une main effleure bourgeon, rotonde dessus, juste ce qu’il apprécie. Puis les nouvelles succions, s’alternent aux pressions entre deux doigts, le mordillant délicatement. Je le mouille par la cyprine, sortant comme convulsé, sous pression de son antre.
Quelques instants suivirent d’abreuvement de son miel, humm, humm. J’humidifie une partie son mont de vénus, pour l’huiler son appendice me jetant un regard arrogant, il se pourvoi comme centre de plaisir, commanda l’entrain incessant, sons aigues ahurissement audibles, chancelâtes épannent cantates. Le convoi est annoncé…en route…retour plus possible, infaillible.
Son tsunami me pourvoi d’une fontaine en plein figure. Une idée me fusse utile pour perdurer son cyclone terrifiant. : Sa rosette. Oui, oui, la corolle, je la joue, son excitation à l’extrême me facilite la visite phalanges, son sphincter se montre en harmonie, son clitoris embouché, trois doigts explorent en allant-retour les parois vaginales, l’excitation maintenu, je la guide de sommet en sommet, de nirvana en nirvana, le labeur conjoint fait tourner l’aiguille de plaisir comme une montre…
…qui osera à arrêter le temps ??? Dans ce jeu, rien est éphémère, car souvenir omniprésent, …à rejouer…et rejouer… !
Le Gouineur vous-le demande Mesdames.
Je lui écarte ses jambes, tout doucement, admirant cette offrande. Grande ouverte comme un calice d’une fleur exotique, couleur rouge-vif, bordures de lèvres généreuses, assombries, presqu’ébène. Pourtant, elle, la femme est blonde, type caucasienne.
J’hume ce plaisir, enivrant je titille les pétales, humm, délicieux ! Je les étire plus, les petits lèvres se décapuchonnent, replis tirés, faisant place à un développent spectaculaire, glandouillant, la petit excroissance de sa p’tite bite femelle. Il grossit sous les caresses buccales, languie d’avantage, soins prodiges.
L’encerclant avec la point de langue, il se ravi de son existence, en demandant plus encore : «Je suis le roi et l’as du jeu ! Tu es mon souverain ! Réclame-t-il », puis : « Le jeu commence ! Vive le jeu ! »
Oui cette petite tigette me parle. Il me parle d’un langage colorant, il se gorge de sang, il fait chanter la suppliante porteuse, il se présente comme premier atout. Fièrement dressé devant moi, il va se ressourcer dans le bonheur. Mes mains cherchent alors de bouger ses racines jusqu’au leur naissance, pubis fut massé de main ferme, à atteindre sa racine.
Pas un seul poile qui gène le mouvement pétrifiant son mont de vénus. – Juste un petit abandon, l’instant de faire parcourir la langue au sanctuaire voisin, festoyant l’antre, la paume d’une main effleure bourgeon, rotonde dessus, juste ce qu’il apprécie. Puis les nouvelles succions, s’alternent aux pressions entre deux doigts, le mordillant délicatement. Je le mouille par la cyprine, sortant comme convulsé, sous pression de son antre.
Quelques instants suivirent d’abreuvement de son miel, humm, humm. J’humidifie une partie son mont de vénus, pour l’huiler son appendice me jetant un regard arrogant, il se pourvoi comme centre de plaisir, commanda l’entrain incessant, sons aigues ahurissement audibles, chancelâtes épannent cantates. Le convoi est annoncé…en route…retour plus possible, infaillible.
Son tsunami me pourvoi d’une fontaine en plein figure. Une idée me fusse utile pour perdurer son cyclone terrifiant. : Sa rosette. Oui, oui, la corolle, je la joue, son excitation à l’extrême me facilite la visite phalanges, son sphincter se montre en harmonie, son clitoris embouché, trois doigts explorent en allant-retour les parois vaginales, l’excitation maintenu, je la guide de sommet en sommet, de nirvana en nirvana, le labeur conjoint fait tourner l’aiguille de plaisir comme une montre…
…qui osera à arrêter le temps ??? Dans ce jeu, rien est éphémère, car souvenir omniprésent, …à rejouer…et rejouer… !
Le Gouineur vous-le demande Mesdames.
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