Brigade du stupre (fin)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2020 dans la catégorie Plus on est
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Brigade du stupre (fin)
Suite et fin des aventures des dames de la brigade des PTT désireuses de profiter de leurs derniers instants de liberté avant de retourner dans le foyer conjugal. Une partie à quatre dans une seule chambre est bien engagée mais le plus cru est à venir...
*******
Une fois passé le stade du sexe buccal, réduit à une simple mise en bouche, c'est le cas de le dire, les deux couples passèrent à celui très attendu et longuement espéré de la pénétration. Nantis de l'obligatoire latex, les deux mâles produisirent une rafale de coups de bite qui confirmait leur impatience. Couchées sur le dos, les pieds en l'air et les mains crispées qui sur les reins, qui sur les fesses de leur amant, Edith et Nicole (qui avait défait son chignon mais gardé ses lunettes) manifestaient chacune à leur manière leur satisfaction d'être enfin baisées. Edith produisait une espèce de gargouillis mélangé à de sonores interjections tandis que Nicole scandait chaque coup de queue d'un "oui" qui valait évidemment approbation à l'auteur. Le tout dans une ambiance de claquements de peaux et de lits chahutés si bien qu'un curieux passant dans le couloir, et collant son oreille à la porte de la chambre comme l'avait fait Edith un peu plus tôt pour sa collègue Christiane, en aurait aussitôt déduit : "ça baise dur à l'intérieur".
Oui, ça baisait dur comme la queue de Stéphane et Pierre, subjugués par le tempérament de leur partenaire et oublieux de la promiscuité qu'elles leur avait imposé. Ils ne voyaient plus que leurs nibards chahutés, leur cul frémissant, leur regard énamouré, leurs coups de rein frénétiques si bien qu'ils sentaient leur sperme monter le long de leur hampe et envisageaient une éjaculation prématurée car Nicole, avec la prescience de l'expérience, acheva sa série de "oui" pour dire "stop" et permettre à son amant de souffler, incitant Edith à faire de même.
Alors s'engagea sur les lits un dialogue entre les deux couples nus, les hommes conservant heureusement leur tige dressée puisque tel était le but de la manoeuvre. Mais auparavant, chacun s'efforçait de reprendre ses esprits après cette très chaude entrée en matière. Stéphane était légèrement inquiet des griffures produites par les ongles d'Edith sur son dos et ses fesses, qu'il lui faudrait vérifier absolument avant de retrouver le domicile familial. Il se demandait même si ses reins n'étaient pas marqués par la pression des talons de la blonde tant elle avait été forte. Pierre avait encore dans les oreilles les "oui" sonores de Nicole à chaque fois qu'il la percutait mais aussi une petite douleur sur ses couilles parce qu'elle avait trouvé le moyen de les palper pendant qu'il la pilonnait.
Du côté féminin, Edith ressentait un véritable orgueil d'être aussi bien honorée par un mâle aux pectoraux et aux abdominaux saillants, ce qui constituait un hommage indirect à son charme dont elle doutait parfois. Le désir palpable de son athlétique amant lui faisait regretter que celui qui occupait son lit le reste de l'année ne fût pas aussi sexy et aussi aussi dur... de partout. Par ailleurs, elle était assez estomaquée elle aussi par le comportement sexuel de Nicole qui révélait une autre facette de son personnage. Elle devait toutefois admettre que ses multiples "oui" n'avaient pas peu contribué à son excitation et de ce fait à concurrencer sa collègue par ses manifestations verbales autant que corporelles. "Baiser à quatre, c'est quand même autre chose", se disait-elle.
Quant à Nicole, elle était littéralement en transes et n'attendait qu'une occasion pour virer Edith et essayer la queue du Belge qui donnait tant de bonheur à sa collègue. Pour elle, cette séance de sexe était sans doute la dernière avant longtemps car une quinquagénaire, qu'on le veuille ou non, a moins d'occasion de s'envoyer en l'air hors mariage qu'une femme plus jeune.
- Vous assurez, les gars, bravo, dit-elle aux deux hommes.
- J'ai bien cru que j'allais tout lâcher, tu es infernale, répondit Pierre.
- C'est de votre faute, ça fait deux semaines que vous nous chauffez, poursuivit Edith.
Tout en parlant, celle-ci titillait d'un doigt mouillé le gland de Stéphane afin de maintenir son érection tandis que ce dernier soupesait les seins plantureux d'Edith d'une main chaude, le pouce sur leurs pointes érigées. Pierre enduisait de gel la chatte surmenée de Nicole, laquelle proférait de petits cris, la tête en arrière et les hanches en légère rotation. Cette pause de baise préludait à l'évidence à une deuxième mi-temps torride que les quatre protagonistes semblaient retarder avec volupté.
- Tu vas me prendre comment maintenant ? demanda Edith à Stéphane en faisant coulisser sa petite main sur la tige.
- J'ai envie de t'enculer, tu as un cul pour ça.
- Mmmh, je ne sais pas, je garde mon petit trou pour mon mari. Tu peux me prendre par derrière, simplement ?
- Moi, je veux bien que tu me prennes le cul, gloussa Nicole, qui sauta sur l'occasion de s'envoyer en l'air avec Stéphane.
- Pas question, ton cul est pour moi, riposta Pierre, que les deux copieux hémisphères de la quinquagénaire inspiraient depuis un bon moment.
Edith n'avait aucune envie de se montrer "en retrait" par rapport à sa collègue. Aussi décida-t-elle de la marche à suivre :
- Bon, vous ne prenez toutes les deux en levrette et on verra ensuite si vous méritez davantage...
Les deux brigadières se mirent à quatre pattes sur le lit, côte à côte, jambes écartées et fessier haut. La vision des deux fentes bien humides sous leurs croupes charnues électrisa les deux hommes, qui s'enfoncèrent quasi simultanément, comme dans du beurre. A nouveau, les peaux claquèrent, les râles s'élevèrent, les seins s'agitèrent et les bites clapotèrent. Collé au dos d'Edith, Stéphane empaumait par en dessous ses nichons en bataille tout en limant tandis que Pierre pétrissait les hanches de Nicole en la pilonnant. Les deux femmes jubilaient à tel point que dans le feu de l'action, elles se dévisagèrent et leurs langues se rencontrèrent. Elles n'auraient jamais envisagé d'en arriver à cette forme de lesbianisme soft mais elles ne s'appartenaient plus vraiment.
- Oh j'aime ça, oh j'aime ça, clamait Edith qui se sentait possédée comme une chienne.
- On prend notre pied, hein ? répondit Nicole. Puis, d'autorité :
- Enculez-nous maintenant. Toutes les deux. Mais léchez-nous d'abord. Ne lésinez pas sur la salive.
Comme un seul homme, Pierre et Stéphane installèrent leur museau dans la raie de leur partenaire et l'humectèrent d'abondance. Le chatouillis de la langue de Stéphane dans son anus fit vite balayer à Edith ses préventions initiales et elle se cambra dans l'attente. Le Belge s'enfonça avec précaution, ne voulant pas provoquer le retour d'une réticence et lorsqu'il fut totalement engagé, le couple d'à côté se trouvait déjà en pleine frénésie sodomique.
- Ah tes couilles sur ma chatte, tes couilles sur ma chatte ! clamait Nicole.
- Moi aussi, moi aussi ! répondit Edith qui ne voulait pas avoir l'air idiote face à sa collègue.
Toutes deux venaient chercher leur bite à grands coups de cul et les deux hommes comprirent très vite qu'à moins de se retirer illico (ce qui n'était pas envisageable), ils allaient gicler dans le fondement des deux brigadières.
- Allez allez encore encore protestaient-elles mais la résistance humaine a des limites et tous deux se vidèrent d'un coup, effondrés sur le dos de leur maitresse d'un jour.
Après quelques minutes, Edith avoua :
- Dommage, j'aurais bien continué un peu mais bon, on y est peut-être allé un peu fort, on avait trop envie, hein Nicole ?
- Ouais, c'est ça, dans l'état où je suis, je crois que j'aurais supporté un gang bang...
Eclats de rire dans la chambre. La tension retomba, chacun se relaya sous la douche et Edith annonça :
- Bon, c'est pas tout mais il faut qu'on dorme tous ici si on veut laisser Christiane avec son boy friend.
La place était réduite mais on se serra un peu et après quelques minutes, tout le monde trouva le sommeil jusqu'au lendemain matin. Premières réveillées, Nicole et Edith, après un bref conciliabule, réveillèrent les deux hommes d'une pipe, à ceci près qu'elles avaient échangé leur partenaire à la demande de Nicole, désireuse de ne pas revoir Paris avant d'avoir chevauché le Belge. Et c'est ainsi que celui-ci, comme Pierre, démarrèrent leur journée en voyant cavaler sur leur queue les deux affamées devenues échangistes.
Plus tard, beaucoup plus tard, ils retrouvèrent Christiane bras dessus bras dessous avec le chauffeur. La rouquine rayonnait malgré des cernes mauves bien visibles. Elle souffla à l'oreille d'Edith :
- Merci merci ! J'ai passé une merveilleuse nuit.
- Il n'était pas... trop gros ?
- Trop gros ? (elle pouffa) Oh non. C'était trop bon. On va peut-être vivre ensemble.
- Ah bon ? Déjà ?
- Pourquoi pas ? Il ne s'entend plus avec sa femme et moi, je suis libre.
Et c'est sur cette perspective maritale que les brigadières retournèrent à leur tâche alors que se profilait déjà la séparation définitive et le retour aux habitudes.
Le lendemain, l'ultime rassemblement eut lieu dans le grand centre des congrès parisien. C'était l'heure des adieux. Edith eut la visite de son mari et de ses deux enfants venus embrasser leur mère. Stéphane considéra la scène avec une pointe de nostalgie, en se tenant en retrait. Sa maitresse de circonstance lui fit un petit clin d'oeil avant de s'éclipser au bras de son époux. Elle ne lui avait même pas laissé son numéro de téléphone. "Est-ce qu'ils vont faire l'amour dès ce soir" ? se demanda le Belge en regardant le mari. Lui-même serait sans doute sollicité par sa légitime. Il risquerait fort de la trouver fade à côté de la volcanique blonde. Quant à Nicole, elle avait retrouvé sa posture classique : chignon, lunettes et pour la circonstance, tailleur. Pierre la salua comme il aurait salué une téléphoniste ordinaire, histoire de ne pas la mettre dans l'embarras mais il se demanda en la regardant si c'était bien la même qui lui avait crié : "tes couilles sur ma chatte" ! Parole, il avait dû rêver. Son chauffeur l'attendait, mais lui était flanqué de Christiane, rayonnante :
- Je te ramène à la gare, moi je reste à Paris, confia Patrick à son collègue.
"Finalement, se dit Pierre, c'est ce couillon le grand gagnant de l'histoire, avec sa rouquine qui ne s'attendait sûrement pas à cette issue."
C'était effectivement un bon résumé de cette aventure adultère qui s'était déroulée dans une autre époque que la nôtre. Une époque où la morale était beaucoup moins pesante et la technologie plus humaine. Comme quoi les PTT avaient du bon...
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Une fois passé le stade du sexe buccal, réduit à une simple mise en bouche, c'est le cas de le dire, les deux couples passèrent à celui très attendu et longuement espéré de la pénétration. Nantis de l'obligatoire latex, les deux mâles produisirent une rafale de coups de bite qui confirmait leur impatience. Couchées sur le dos, les pieds en l'air et les mains crispées qui sur les reins, qui sur les fesses de leur amant, Edith et Nicole (qui avait défait son chignon mais gardé ses lunettes) manifestaient chacune à leur manière leur satisfaction d'être enfin baisées. Edith produisait une espèce de gargouillis mélangé à de sonores interjections tandis que Nicole scandait chaque coup de queue d'un "oui" qui valait évidemment approbation à l'auteur. Le tout dans une ambiance de claquements de peaux et de lits chahutés si bien qu'un curieux passant dans le couloir, et collant son oreille à la porte de la chambre comme l'avait fait Edith un peu plus tôt pour sa collègue Christiane, en aurait aussitôt déduit : "ça baise dur à l'intérieur".
Oui, ça baisait dur comme la queue de Stéphane et Pierre, subjugués par le tempérament de leur partenaire et oublieux de la promiscuité qu'elles leur avait imposé. Ils ne voyaient plus que leurs nibards chahutés, leur cul frémissant, leur regard énamouré, leurs coups de rein frénétiques si bien qu'ils sentaient leur sperme monter le long de leur hampe et envisageaient une éjaculation prématurée car Nicole, avec la prescience de l'expérience, acheva sa série de "oui" pour dire "stop" et permettre à son amant de souffler, incitant Edith à faire de même.
Alors s'engagea sur les lits un dialogue entre les deux couples nus, les hommes conservant heureusement leur tige dressée puisque tel était le but de la manoeuvre. Mais auparavant, chacun s'efforçait de reprendre ses esprits après cette très chaude entrée en matière. Stéphane était légèrement inquiet des griffures produites par les ongles d'Edith sur son dos et ses fesses, qu'il lui faudrait vérifier absolument avant de retrouver le domicile familial. Il se demandait même si ses reins n'étaient pas marqués par la pression des talons de la blonde tant elle avait été forte. Pierre avait encore dans les oreilles les "oui" sonores de Nicole à chaque fois qu'il la percutait mais aussi une petite douleur sur ses couilles parce qu'elle avait trouvé le moyen de les palper pendant qu'il la pilonnait.
Du côté féminin, Edith ressentait un véritable orgueil d'être aussi bien honorée par un mâle aux pectoraux et aux abdominaux saillants, ce qui constituait un hommage indirect à son charme dont elle doutait parfois. Le désir palpable de son athlétique amant lui faisait regretter que celui qui occupait son lit le reste de l'année ne fût pas aussi sexy et aussi aussi dur... de partout. Par ailleurs, elle était assez estomaquée elle aussi par le comportement sexuel de Nicole qui révélait une autre facette de son personnage. Elle devait toutefois admettre que ses multiples "oui" n'avaient pas peu contribué à son excitation et de ce fait à concurrencer sa collègue par ses manifestations verbales autant que corporelles. "Baiser à quatre, c'est quand même autre chose", se disait-elle.
Quant à Nicole, elle était littéralement en transes et n'attendait qu'une occasion pour virer Edith et essayer la queue du Belge qui donnait tant de bonheur à sa collègue. Pour elle, cette séance de sexe était sans doute la dernière avant longtemps car une quinquagénaire, qu'on le veuille ou non, a moins d'occasion de s'envoyer en l'air hors mariage qu'une femme plus jeune.
- Vous assurez, les gars, bravo, dit-elle aux deux hommes.
- J'ai bien cru que j'allais tout lâcher, tu es infernale, répondit Pierre.
- C'est de votre faute, ça fait deux semaines que vous nous chauffez, poursuivit Edith.
Tout en parlant, celle-ci titillait d'un doigt mouillé le gland de Stéphane afin de maintenir son érection tandis que ce dernier soupesait les seins plantureux d'Edith d'une main chaude, le pouce sur leurs pointes érigées. Pierre enduisait de gel la chatte surmenée de Nicole, laquelle proférait de petits cris, la tête en arrière et les hanches en légère rotation. Cette pause de baise préludait à l'évidence à une deuxième mi-temps torride que les quatre protagonistes semblaient retarder avec volupté.
- Tu vas me prendre comment maintenant ? demanda Edith à Stéphane en faisant coulisser sa petite main sur la tige.
- J'ai envie de t'enculer, tu as un cul pour ça.
- Mmmh, je ne sais pas, je garde mon petit trou pour mon mari. Tu peux me prendre par derrière, simplement ?
- Moi, je veux bien que tu me prennes le cul, gloussa Nicole, qui sauta sur l'occasion de s'envoyer en l'air avec Stéphane.
- Pas question, ton cul est pour moi, riposta Pierre, que les deux copieux hémisphères de la quinquagénaire inspiraient depuis un bon moment.
Edith n'avait aucune envie de se montrer "en retrait" par rapport à sa collègue. Aussi décida-t-elle de la marche à suivre :
- Bon, vous ne prenez toutes les deux en levrette et on verra ensuite si vous méritez davantage...
Les deux brigadières se mirent à quatre pattes sur le lit, côte à côte, jambes écartées et fessier haut. La vision des deux fentes bien humides sous leurs croupes charnues électrisa les deux hommes, qui s'enfoncèrent quasi simultanément, comme dans du beurre. A nouveau, les peaux claquèrent, les râles s'élevèrent, les seins s'agitèrent et les bites clapotèrent. Collé au dos d'Edith, Stéphane empaumait par en dessous ses nichons en bataille tout en limant tandis que Pierre pétrissait les hanches de Nicole en la pilonnant. Les deux femmes jubilaient à tel point que dans le feu de l'action, elles se dévisagèrent et leurs langues se rencontrèrent. Elles n'auraient jamais envisagé d'en arriver à cette forme de lesbianisme soft mais elles ne s'appartenaient plus vraiment.
- Oh j'aime ça, oh j'aime ça, clamait Edith qui se sentait possédée comme une chienne.
- On prend notre pied, hein ? répondit Nicole. Puis, d'autorité :
- Enculez-nous maintenant. Toutes les deux. Mais léchez-nous d'abord. Ne lésinez pas sur la salive.
Comme un seul homme, Pierre et Stéphane installèrent leur museau dans la raie de leur partenaire et l'humectèrent d'abondance. Le chatouillis de la langue de Stéphane dans son anus fit vite balayer à Edith ses préventions initiales et elle se cambra dans l'attente. Le Belge s'enfonça avec précaution, ne voulant pas provoquer le retour d'une réticence et lorsqu'il fut totalement engagé, le couple d'à côté se trouvait déjà en pleine frénésie sodomique.
- Ah tes couilles sur ma chatte, tes couilles sur ma chatte ! clamait Nicole.
- Moi aussi, moi aussi ! répondit Edith qui ne voulait pas avoir l'air idiote face à sa collègue.
Toutes deux venaient chercher leur bite à grands coups de cul et les deux hommes comprirent très vite qu'à moins de se retirer illico (ce qui n'était pas envisageable), ils allaient gicler dans le fondement des deux brigadières.
- Allez allez encore encore protestaient-elles mais la résistance humaine a des limites et tous deux se vidèrent d'un coup, effondrés sur le dos de leur maitresse d'un jour.
Après quelques minutes, Edith avoua :
- Dommage, j'aurais bien continué un peu mais bon, on y est peut-être allé un peu fort, on avait trop envie, hein Nicole ?
- Ouais, c'est ça, dans l'état où je suis, je crois que j'aurais supporté un gang bang...
Eclats de rire dans la chambre. La tension retomba, chacun se relaya sous la douche et Edith annonça :
- Bon, c'est pas tout mais il faut qu'on dorme tous ici si on veut laisser Christiane avec son boy friend.
La place était réduite mais on se serra un peu et après quelques minutes, tout le monde trouva le sommeil jusqu'au lendemain matin. Premières réveillées, Nicole et Edith, après un bref conciliabule, réveillèrent les deux hommes d'une pipe, à ceci près qu'elles avaient échangé leur partenaire à la demande de Nicole, désireuse de ne pas revoir Paris avant d'avoir chevauché le Belge. Et c'est ainsi que celui-ci, comme Pierre, démarrèrent leur journée en voyant cavaler sur leur queue les deux affamées devenues échangistes.
Plus tard, beaucoup plus tard, ils retrouvèrent Christiane bras dessus bras dessous avec le chauffeur. La rouquine rayonnait malgré des cernes mauves bien visibles. Elle souffla à l'oreille d'Edith :
- Merci merci ! J'ai passé une merveilleuse nuit.
- Il n'était pas... trop gros ?
- Trop gros ? (elle pouffa) Oh non. C'était trop bon. On va peut-être vivre ensemble.
- Ah bon ? Déjà ?
- Pourquoi pas ? Il ne s'entend plus avec sa femme et moi, je suis libre.
Et c'est sur cette perspective maritale que les brigadières retournèrent à leur tâche alors que se profilait déjà la séparation définitive et le retour aux habitudes.
Le lendemain, l'ultime rassemblement eut lieu dans le grand centre des congrès parisien. C'était l'heure des adieux. Edith eut la visite de son mari et de ses deux enfants venus embrasser leur mère. Stéphane considéra la scène avec une pointe de nostalgie, en se tenant en retrait. Sa maitresse de circonstance lui fit un petit clin d'oeil avant de s'éclipser au bras de son époux. Elle ne lui avait même pas laissé son numéro de téléphone. "Est-ce qu'ils vont faire l'amour dès ce soir" ? se demanda le Belge en regardant le mari. Lui-même serait sans doute sollicité par sa légitime. Il risquerait fort de la trouver fade à côté de la volcanique blonde. Quant à Nicole, elle avait retrouvé sa posture classique : chignon, lunettes et pour la circonstance, tailleur. Pierre la salua comme il aurait salué une téléphoniste ordinaire, histoire de ne pas la mettre dans l'embarras mais il se demanda en la regardant si c'était bien la même qui lui avait crié : "tes couilles sur ma chatte" ! Parole, il avait dû rêver. Son chauffeur l'attendait, mais lui était flanqué de Christiane, rayonnante :
- Je te ramène à la gare, moi je reste à Paris, confia Patrick à son collègue.
"Finalement, se dit Pierre, c'est ce couillon le grand gagnant de l'histoire, avec sa rouquine qui ne s'attendait sûrement pas à cette issue."
C'était effectivement un bon résumé de cette aventure adultère qui s'était déroulée dans une autre époque que la nôtre. Une époque où la morale était beaucoup moins pesante et la technologie plus humaine. Comme quoi les PTT avaient du bon...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est toujours avec un grand intérêt que je découvre les textes de Micky, du fait de la qualité de son écriture et de par les situations particulièrement chaudes qu'elle décrit.
Ce récit est dans la continuité de ce qui fait de Micky mon auteure préférée sur ce site.
Le moins qu'on puisse dire est que ces dames se sont particulièrement lâchées!
Ce récit est dans la continuité de ce qui fait de Micky mon auteure préférée sur ce site.
Le moins qu'on puisse dire est que ces dames se sont particulièrement lâchées!