Brigida, hôtesse libre
Récit érotique écrit par Montespan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Montespan ont reçu un total de 11 126 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 171 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Brigida, hôtesse libre
Brigida avait toujours été une femme de contrastes : à la fois douce et déterminée, aérienne dans son rôle d’hôtesse de l’air, mais aussi résolue à vivre pleinement chaque instant. Lors de ses escales lointaines, elle n’éprouvait aucun scrupule à se laisser aller aux plaisirs éphémères d'un monde bouillonnant, profitant de l’anonymat des villes qu’elle parcourait.
Un soir, alors qu'ils se retrouvaient tous les deux dans leur appartement parisien, la conversation s’orienta vers son travail. Pierre, son mari, intrigué, lui demanda comment elle passait les longs temps d’attente dans ces destinations éloignées. Brigida, les yeux pétillants, se mit à raconter sans détour ses escapades.
Elle expliqua que, loin des regards, entre l'effervescence des aéroports et les nuits étoilées dans les avions, il y avait souvent des affinités qui naissaient dans les hôtels avec les pilotes. « C'est une sorte de rite, Pierre. Une manière de vivre intensément sans attaches », dit-elle avec un sourire malicieux. Chaque rencontre était marquée par l'éphémère, mais elle tenait à clarifier : « Pour tout ce qui est de l'intimité, je prends des précautions. Je n'oublie jamais que je suis toujours liée à toi, et rien ne peut altérer ce que nous avons ».
Pierre, surpris mais fasciné par son honnêteté, ne put s’empêcher d’admirer la manière dont sa femme embrassait sa sexualité. « Je comprends, » lui répondit-il, le regard complice. « Après tout, je ne peux qu’imaginer à quel point ils doivent te désirer. Si j’étais à leur place, je te défoncerais », avoua-t-il, l’ardeur dans les yeux.
Brigida, flattée par son compliment, ne put contenir un éclat de rire. Elle lui confia alors qu’elle avait, effectivement, déjà vécu ce genre d’expérience. Des pilotes lui avaient offert des nuits de passion dans des chambres d’hôtel lointaines , sous les néons d’une ville en pleine effervescence. Leurs corps se mêlaient, et elle avait tout oublié, même les limites qu’elle s'était fixées, même les préservatifs. Ils l’avaient prise côté face puis côté pile. Elle avait même joui avec la bouche. Pierre voulut savoir si elle avalait la semence des pilotes. Joueuse elle lui répondit que pas tout, mais pas que des pilotes. Il la traita de petite dévergondée. Elle répondit : »seulement dévergondée « ? Il se sentit obligé de la punir, et lui infligea une fessée, qui eut pour seul résultat de la faire mouiller. Il la menaça de faire venir un voisin, un vieux pas beau, bedonnant et à moitié chauve, un brin pervers, pour qu’il s’accouple avec elle. Elle répondit que c’était son fantasme absolu, être soumise à un pervers… Pierre prit son téléphone…
Ce moment de partage entre eux, mêlé de jalousie, d’admiration et de compréhension, les renforça d’une manière inattendue. Pierre se rendit compte que la beauté de leur relation était justement là : dans cette acceptation mutuelle de leurs désirs, même les plus sauvages. Ils baignaient tous deux dans les profondeurs de leur amour, oscillant entre l’érotisme et la tendresse, réalisant qu'ils formaient un tout, un équilibre fragile mais durable, au-delà des aventures et des escapades.
Un soir, alors qu'ils se retrouvaient tous les deux dans leur appartement parisien, la conversation s’orienta vers son travail. Pierre, son mari, intrigué, lui demanda comment elle passait les longs temps d’attente dans ces destinations éloignées. Brigida, les yeux pétillants, se mit à raconter sans détour ses escapades.
Elle expliqua que, loin des regards, entre l'effervescence des aéroports et les nuits étoilées dans les avions, il y avait souvent des affinités qui naissaient dans les hôtels avec les pilotes. « C'est une sorte de rite, Pierre. Une manière de vivre intensément sans attaches », dit-elle avec un sourire malicieux. Chaque rencontre était marquée par l'éphémère, mais elle tenait à clarifier : « Pour tout ce qui est de l'intimité, je prends des précautions. Je n'oublie jamais que je suis toujours liée à toi, et rien ne peut altérer ce que nous avons ».
Pierre, surpris mais fasciné par son honnêteté, ne put s’empêcher d’admirer la manière dont sa femme embrassait sa sexualité. « Je comprends, » lui répondit-il, le regard complice. « Après tout, je ne peux qu’imaginer à quel point ils doivent te désirer. Si j’étais à leur place, je te défoncerais », avoua-t-il, l’ardeur dans les yeux.
Brigida, flattée par son compliment, ne put contenir un éclat de rire. Elle lui confia alors qu’elle avait, effectivement, déjà vécu ce genre d’expérience. Des pilotes lui avaient offert des nuits de passion dans des chambres d’hôtel lointaines , sous les néons d’une ville en pleine effervescence. Leurs corps se mêlaient, et elle avait tout oublié, même les limites qu’elle s'était fixées, même les préservatifs. Ils l’avaient prise côté face puis côté pile. Elle avait même joui avec la bouche. Pierre voulut savoir si elle avalait la semence des pilotes. Joueuse elle lui répondit que pas tout, mais pas que des pilotes. Il la traita de petite dévergondée. Elle répondit : »seulement dévergondée « ? Il se sentit obligé de la punir, et lui infligea une fessée, qui eut pour seul résultat de la faire mouiller. Il la menaça de faire venir un voisin, un vieux pas beau, bedonnant et à moitié chauve, un brin pervers, pour qu’il s’accouple avec elle. Elle répondit que c’était son fantasme absolu, être soumise à un pervers… Pierre prit son téléphone…
Ce moment de partage entre eux, mêlé de jalousie, d’admiration et de compréhension, les renforça d’une manière inattendue. Pierre se rendit compte que la beauté de leur relation était justement là : dans cette acceptation mutuelle de leurs désirs, même les plus sauvages. Ils baignaient tous deux dans les profondeurs de leur amour, oscillant entre l’érotisme et la tendresse, réalisant qu'ils formaient un tout, un équilibre fragile mais durable, au-delà des aventures et des escapades.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Montespan
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
