Brigitte - histoire érotique

Je m’appelle Jean Marc, j’ai maintenant 45 ans, j’ai une belle vie bien remplie, j’ai une jolie femme, deux beaux enfants, un garçon et une fille.
Je reprends mes écrits parce que l’autre jour, j’ai rencontré une autre fille, elle était très belle et ressemblait beaucoup a une de mes ancienne conquêtes. De la voir m’a fait repenser à ma vie avant mon mariage. Voici en détail mes souvenirs.

Brigitte
La première fille qui m’ait vraiment marqué, c’était ma voisine, Brigitte. C’est elle qui fut ma première, c’était une très belle femme, beaucoup plus vieille que moi, elle travaillait à l’usine du coin, elle avait un fiancé qui venait la chercher tous les samedis soir pour l’emmener danser.
J’étais tout jeune, en vacances, c’était l’été. En m’amusant dans le jardin, j’avais découvert que ma voisine faisait de temps en temps, quand elle était seule, des séances de bronzage intégral au fond de son jardin. J’avais trouvé une cachette d’où je pouvais l’observer. Pour moi, jeune débutant, c’était merveilleux de voir cette belle femme se déshabiller et s’allonger pour offrir son corps au soleil sous mes yeux.
Un jour, elle a dû se rendre compte de ma présence et s’est comporté d’une manière un peu bizarre. Quand elle s’est déshabillée, elle l’a fait très langoureusement puis elle a déplacé son relax pour être juste à la limite de mon champ de vision.
Ce qui devait arriver arriva, à force de m’étirer au-dessus du muret derrière la haie pour continuer de la voir, je suis tombé chez elle. Elle a d’abord fait comme si elle était outrée de ma présence chez elle ensuite elle s’est radoucie en me voyant si penaud.
Elle s’est approchée de moi, a pris ma main et l’a posée sur sa magnifique poitrine. Elle a éclaté de rire en me voyant rougir. Puis, en me regardant bien dans les yeux, elle a guidé ma main sur les poils de son sexe et l’a faite bouger de telle manière que je lui procure du plaisir. J’étais aux anges, j’avais pour la première fois de ma vie ma main sur la douce toison d’une femme. Elle a guidé mes doigts et j’ai senti l’humidité et la chaleur de son intimité. Au bout d’un petit moment, je l’ai senti avoir une sorte de spasme et elle a un peu gémi. Ses yeux brillaient comme jamais je ne les avais vus.
Après avoir repris son souffle, tout en me tenant une main sur son sexe, elle a baissé mon short, s’est émerveillée devant mon engin, l’a attrapé tout dur et raide qu’il était et s’est mise à le caresser.
Je n’ai pas été long, très rapidement, un grand jet lui a aspergé la poitrine. Elle a eu l’air surprise puis en s’essuyant elle m’a dit de me rhabiller et de rentrer chez moi.
Le lendemain, quand je l’ai vu, de la fenêtre de ma chambre, sortir de chez elle avec sa serviette, je suis vite retourné dans mon observatoire, elle était là, déjà toute nue, a me chercher du regard.
Quand elle m’a vu, elle m’a fait signe de venir puis elle m’a demandé de lui passer de l’huile solaire. Je me suis appliquée du mieux que j’ai pu, m’attardant sur sa magnifique poitrine que je voyais durcir et pointer. C’était merveilleux pour moi de caresser une si belle femme, rien à voir avec les gamines tout juste formées, qui étaient dans mon école. Quand elle a bien été tartinée d’huile, elle a écarté les jambes et m’a poussé la tété entre elles me collant le visage sur sa touffe. Ça sentait bon, c’était tout doux et humide. J’ai léché du mieux que je pouvais, de temps en temps elle guidait ma tête pour que ma langue soit à l’ endroit qui lui procurait le plus de plaisir. Après un petit moment j’ai senti ses mains se crisper sur ma nuque, elle s’est cambrée en gémissant et j’ai eu le visage inondé de son plaisir. Je lapais du mieux que je pouvais le jus qui sortait d’elle et elle continuait de gémir. Au bout d’un petit moment elle m’a repoussé, s’est relevé et autoritairement elle a baissé mon short, a attrapé mon sexe et en le caressant elle m’a demandé d’être plus long que la veille.
Je ne comprenais pas trop ce qu’elle voulait dire mais j’ai résisté pour ne pas jouir tout de suite.
Elle a semblé apprécier cet effort, elle s’est avancée vers moi et tout en me branlant elle a pris mon sexe dans sa bouche. C’était bon, chaud, je n’ai pas pu me retenir bien longtemps, et je lui ai remplie la bouche de mon plaisir.
Elle a eu l’air d’aimer ça, elle ne s’est pas arrêtée de sucer en me branlant. Je n’ai pas débandé, pour moi, c’était si agréable que ça faisait presque mal. Malgré tous mes efforts, quand elle s’est mise à me masser les couilles, je lui ai rapidement rempli la bouche une nouvelle fois.
Là elle s’est arrêté, m’a fait une bise sur la joue en me demandant de me rhabiller et de rentrer.
Ce jeu a duré pendant une quinzaine de jours, plus les jours passaient, plus je résistais et retardais mon éjaculation. Au fil des jours elle m’a appris à contrôler, à ressentir le moment crucial, elle m’a aussi appris la physiologie des femmes, les cycles menstruels et tout le reste.
Quand elle a trouvé que j’étais assez maitre de mon éjaculation, après avoir jouis une première fois sous les caresses de ma langue, elle m’a guidé et a fait entrer mon sexe dans le sien. C’était encore plus agréable que dans sa bouche. De ses mains elle guidait le mouvement de mon bassin, tantôt rapide et énergique, tantôt lent et léger.
Quand j’ai senti que j’étais sur le point de jouir, je lui ai fait savoir, comme elle me l’avait appris.
Précipitamment, elle m’a fait sortir d’elle pour me prendre dans sa bouche et a amplifié sa succion pour que je jouisse. J’étais ravi, je venais de faire l’amour à une femme pour la première fois de ma vie.

Avec elle, pendant cette fin d’été, j’ai tout appris sur la façon de donner du plaisir aux femmes et sur le plaisir qu’elles pouvaient me procurer.
A la fin de l’été, elle s’est marié et elle est partie vivre chez son mari, je ne l’ai plus jamais revue. En la quittant, Je me sentais sûr de moi et prêt à affronter la rentrée.