Brigitte, le sac à bites

- Par l'auteur HDS cocuavie -
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Récit libertin : Brigitte, le sac à bites Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Brigitte, le sac à bites
J'ai connu mon épouse quand elle avait 23 ans. Toute timide, elle ne voulait pas que je la touche et il m'a fallu deux mois pour enfin pouvoir me vider en elle. Par la suite, elle s'est un peu débridée et ce n'est que plusieurs années plus tard que j'ai su pourquoi elle était "coincée".
La mode de l'époque était aux bikinis triangle avec des lacets à petit nœuds sur les côtés du slip minimaliste. A la plage, les mâles bavaient devant elle et quand nous rentrions, je lui sautais dessus et tirais deux ou trois rafales dans son vagin large et profond. Son minois prude et sa chevelure bouclée m'excitaient au plus haut point, et peu à peu je devenais insultant chaque fois que nous mélangions nos poils abondants.
Un jour, alors que nous étions mariés depuis peu, elle me raconta comment elle avait été dépucelée. C'était par le fils d'amis de ses parents, qui voyaient leur idylle d'un œil bienveillant par conséquent. Lors du mariage de la sœur de ce fumier, alors qu'elle était en robe longue, il l' a emmenée dans les bois à quelques mètres de la soirée de mariage, et là il l'a prise à même le sol, dans sa belle robe, dans les aiguilles de pin, sans aucune précaution. Il l'a pilonnée comme un a****l, sans entendre les protestations de douleur qu'elle lui murmurait à l'oreille. Après l'avoir déchirée, éventrée, ravagée, il a éjaculé abondamment et au plus profond en l'insultant : "Tiens, prends ça, encaisse, salope, trou à bites". Puis il l'a laissée par terre, à moitié dévêtue, la robe déchirée, la culotte ensanglantée et enfoutrée, et il a regagné la noce comme si de rien n'était. Après s'être remise en état comme elle l'a pu, mon petit amour est passée par les toilettes avant de rejoindre elle-aussi les invités et les mariés et terminer la soirée en faisant semblant d'être joyeuse.
A partir du jour où elle m'a raconté ça, je l'ai prise comme une truie à chaque fois que j'avais les couilles pleines, c'est à dire trois fois par jour en moyenne. Je la traite encore aujourd'hui de salope, de vide-couilles, de pute, etc...
Une fois, j'ai fait un chèque de 1 000 € à l'ordre de "ma pute préférée". Là, elle a franchement gueulé mais je lui ai mis un giclée encore plus violente pour la calmer et .... en avoir pour mon pognon !
Quelques semaines après notre mariage, elle a commencé à aller souvent visiter mon vieil oncle, un queutard sans limites, pendant que je travaillais à 50 Km de là. Elle avait 24 ans, lui 68. L'après-midi, il la recevait dans le fournil de sa boulangerie. Là encore, c'est elle qui m'a raconté leurs entrevues quelques années plus tard. Sa femme était absente le mardi après-midi, et la séance durait de 14 à 17 heures. Au début, il se contentait de lui peloter les nibards. Il faut dire qu'elle a toujours eu une paire de mamelles fières, lourdes mais toujours bien droites, et des aréoles roses très larges (voir mes galeries). Après deux ou trois mardis, il l'a prise par surprise sur la machine à façonner. Il lui a appuyé la tête sur les tapis pleins de farine, et l'a pénétrée sauvagement en levrette en l'insultant. Pendant plusieurs semaines, la scène s'est répétée chaque mardi.
Le deuxième mois, un mardi elle s'est appuyée comme d'habitude, les coudes sur la machine, la robe relevée sur ses épaules. Mais cette fois-là, il lui a mis une noix de margarine dans l'anus et avant qu'elle réalise ce qu'il allait faire, il l'a sodomisée d'un coup sec, et elle n'a eu que le temps d'ouvrir la bouche de surprise. Il s'est rapidement vidé dans son gros intestin, comme il le faisait d'habitude dans son vagin, puisque à cette époque (avant 1985) le SIDA n'était pas connu et la grande majorité des couples en chaleur "travaillait" sans capote.
Pendant ces années de lune de miel, elle ne se contentait pas d'aller chaque mardi vidanger mon oncle. Elle m'a raconté également comment elle occupait les autres jours de la semaine. Avant de me connaître, et après avoir donc été décapsulée de la manière que j'ai narrée au début de ce récit, elle avait connu un garçon qu'elle ne savait pas être un de mes collègues de travail. Après notre mariage donc, elle l'a revu pendant des mois, alors qu'à présent je lui avais dit que je le connaissais depuis longtemps. Au boulot, nous savions tous que pour lui une femme ou une fille n'était "qu'un tas de trous", comme il le disait lui-même. Autant dire que mon épouse chérie lui a servi de vidoir, encore plus lorsqu'il a su que je l'avais épousée. Suivant les dires de ma chérie elle-même " je ne suis qu'un morceau de viande pour lui". Il la prenait partout, dans l'ascenseur, la cabine d'essayage de Tati, sous le pont de chemin de fer qui se trouvait au pied de notre immeuble, et bien entendu dans notre lit.
Ensuite, il y a eu mon fils, né de mon précédent mariage. J'en ai eu la garde quand il a eu 12 ans, et je l'ai aperçu plusieurs fois en train de se passer sur le visage un string ou un soutif que mon épouse avait étendus à sécher. Mais quand il a eu 15 ans, ça a changé. Un jour, en rentrant du travail, j'ai trouvé du sperme dans notre lit. Je me suis dit que la veille au soir, j'avais dû ouvrir les vannes trop grand dans le vagin de ma chérie et que ça avait débordé. Mais quelques jours plus tard, j'en ai trouvé sur la rallonge de la table de la cuisine. Bizarre.... Un mois plus tard, en arrivant, je vois une fenêtre grande ouverte sur le derrière de la maison. En m'approchant, j'ai entendu des gémissements et j'ai regardé discrètement à l'intérieur..... Mon fils était debout, avec les chevilles de mon petit amour sur ses épaules. Brigitte était couchée sur la table de la salle à manger, et mon fumier de fils lui tapait dans la panse à grands coups en l'insultant : " Tiens, prends ça, morue ! C'est pas la nouille de mon vieux, hein, vide-couilles ! Je vais te remplir le bide avec mon foutre, salooooooooooooooooooooope !" Et je le vis serrer les dents tandis qu'il déversait sa semence dans le système reproducteur de mon épouse, bien féconde à ce moment-là. Je reculai sans bruit, et allai au garage. Là, je me suis masturbé comme jamais.
Voilà pour nos 3 premières années de mariage. A 26 ans, la petite jeune fille timide que j'avais rencontrée était devenue un vagin et un anus sur pattes, prête à se laisser dominer et avilir par n'importe quel mâle portant une bite puissante et endurante et deux couilles gorgées de semence fertile, tout ce que je n'avais pas.

Les avis des lecteurs

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super femme et vide couilles j'aime

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Superbe cette histoire je donnerai ma femme bien volontiers à baiser par tous ces trous devant moi et devenir un cocu heureux.

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trop peux de détails

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bonne histoire du cocu et sa femme Brigitte une vide couilles

Histoire Libertine
Si elle aime se faire traiter comme de la merde ça la regarde. Mais le risque c'est polichinelle et MST ou IST .
Heureusement que l'IVG a été légalisé au vu du comportement de certains et certaines.



Texte coquin : Brigitte, le sac à bites
Histoire sexe : Une rose rouge
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