Brûlante mère au foyer
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Brûlante mère au foyer
Kléber attendait son tour dans la salle d'attente de son ORL quand prit place en face de lui une petite famille composée d'un enfant d'environ trois ans coiffé d'une casquette, son père et sa mère, deux trentenaires. L'homme, brun, paraissait un peu malingre à côté de son épouse qui capta aussitôt le regard de Kléber. Vêtue d'une combinaison short qui dévoilait une paire de cuisses blanches et charnues, chaussée de tongs montrant des orteils aux ongles peints rouge carmin, arborant une chevelure châtain clair bouclée cascadant sur ses épaules, des tatouages apparents au bras gauche, un visage joufflu révélant encore des traits non atteints par l'âge et enfin une poitrine bien pleine, il lui trouva d'emblée un petit côté salope, appréciation purent subjective puisque rien sur le moment ne la corroborait. C'était juste une maman amenant son fiston pour que l'ORL lui examine ses oreilles.
Quelque chose lui disait pourtant que cette femelle juteuse ne devait pas se contenter sexuellement de son mari. "Elle baise, j'en suis sûr", se dit-il. Puis l'ORL l'appela et il oublia la jeune femme si prometteuse.
Jusqu'au jour où, en faisant ses courses au supermarché, il la croisa avec son gamin dans le caddy. Vêtue d'une mini robe à boutons sur le devant, ouverte sur son sillon mammaire, elle déclencha illico dans le tréfonds de Kléber un flot d'hormones mâles qui le poussèrent à aborder la jeune mère, avec le culot dont il savait faire preuve dans ce genre de situation.
- Bonjour madame. Je vous ai vue l'autre jour avec votre mari et votre enfant chez l'ORL, vous vous souvenez ?
- Euh... ah oui, c'est vrai. Vous me dévisagiez...
- Exact. Je vous trouve superbe.
- Merci, c'est gentil.
- Votre enfant va bien ?
- Oui, on lui a mis des diabolos, il avait des otites.
- Vous habitez dans le quartier ?
S'ensuivit une conversation plutôt banale alliant les habitudes alimentaires, la cherté de la vie, la qualité de vie locale, bref la jeune femme se faisait gentiment draguer et finit par concéder son prénom : Célia. Kléber l'accompagna dans ses courses, la conseilla sur certains produits et la suivit jusqu'à la caisse avant de l'aider à charger sa voiture. Il en profita pour mater sa croupe moulée par la robe à boutons et se demanda bêtement si elle portait un slip. Il l'aurait bien vue cul nu sous la robe vu les globes bien dessinés. Le désir devait se lire dans son visage car quand elle lui tendit la main pour le quitter, elle lui adressa un regard un peu trouble tout en redressant le buste.
- On se reverra peut-être ? demanda-t-il.
- Qui sait ? Vous savez maintenant où me trouver, répondit-elle, ambiguë.
Et il la regarda prendre place au volant, la robe remontant si haut qu'il crut apercevoir la ficelle d'un string. Elle n'était donc pas cul nu...
*******
Il la revit un peu plus tard dans le parc où il faisait son footing. Elle se trouvait en compagnie de son mari et son gamin en chemin vers l'ilôt de jeux réservé aux enfants. Une attitude banale pour une mère et il finit par se dire qu'il s'était fait un film pour rien. A quoi bon alimenter ses fantasmes pour une jeune femme au fond très ordinaire.
Pourtant, un jour qu'il occupait son poste de vendeur-conseiller au rayon multimédias d'une grande chaine d'électro-ménager, il la vit venir vers lui, seule, toujours avec sa tunique short et ses tongs. Ils furent l'un et l'autre surpris de cette confrontation inattendue.
- Ah, vous travaillez ici ? lui dit-elle.
- Ben oui. Content de vous revoir. Vous n'avez pas le fiston avec vous ?
- Non, il va à la maternelle maintenant, je suis davantage libre de mes journées car je ne travaille pas.
- Et en quoi puis-je vous aider ?
Elle voulait acheter un ordinateur portable, cadeau de son mari. "Pour surfer sur internet et ne pas monopoliser notre pc", précisa-t-elle.
Il la conseilla pour un produit assez simple, pas trop onéreux, lu demandant tout de même si elle comptait télécharger des films.
- Euh je ne sais pas, peut-être oui.
Saisissant la balle au bond, il lui glissa avec un sourire en coin :
- Pour regarder des vidéos coquines avec votre mari, peut-être ?
- Oh non, ce n'est pas son truc.
- Et vous, si ?
Elle le regarda droit dans les yeux et répondit :
- Peut-être...
Il en aurait presque rougi. Cette Célia, il avait retrouvé son prénom, n'était peut-être pas uniquement une mère modèle. Si elle voulait vraiment regarder des vidéos de cul, c'est peut-être parce que son appétit sexuel n'était pas totalement assouvi. Bref, elle acheta le produit et il prit connaissance de son adresse et de son numéro de téléphone en remplissant le bon de commande. Il lui donna quelques conseils et lui dit :
- Si vous avez un souci d'adaptation, passez-moi un coup de fil.
Et il lui donna son numéro de portable.
******
Quelques jours plus tard, il reçut un appel. C'était Célia. Elle paniquait parce qu'un bug avait bloqué son ordinateur portable. Elle le priait de venir la dépanner chez elle. Il lui demanda pourquoi elle ne pouvait pas apporter son outil au magasin, selon l'usage.
- Je suis bloquée chez moi, dit-elle succinctement.
Il n'approfondit pas. Il lui proposa de venir après son travail mais elle préférait qu'il la dépanne à l'heure du déjeuner, s'il pouvait se libérer. Il demanda à un collègue de le remplacer "pour une urgence". Et il arriva à l'appartement de la jeune femme. Elle lui ouvrit dans une tunique short qu'elle semblait décidément affectionner. Il remarqua aussitôt qu'elle ne portait pas de soutien gorge et la tunique boutonnée sur le devant s'ouvrait sur une vallée profonde entourée de collines soyeuses. Elle lui fit un accueil rayonnant et l'entraina dans la pièce principale, ce qui lui permit de mater son cul vibrant sous la toile légère du short. "Pas de culotte", conclut-il, déjà émoustillé.
Il comprit rapidement d'où venait le blocage. Un virus s'était insinué dans l'ordinateur portable. Il se concentra pour l'évacuer malgré la présence émouvante à ses côtés de deux beaux nichons aux deux tiers découverts. En consultant l'historique d'internet, il découvrit que Célia s'était connectée sur plusieurs sites pornos douteux.
- Faites attention quand vous allez sur ces sites, lui dit-il, ils peuvent abimer votre ordinateur.
Célia avait rougi, troublée qu'il ait pu découvrir son péché mignon. Il la rassura :
- Il n'y a pas de honte à avoir. Vous faites juste partie de l'immense majorité des utilisateurs d'internet. En revanche, je vais vous conseiller un ou deux sites où vous ne risquerez rien.
Il connecta alors l'outil sur un site connu. Malin, il l'orienta sur "real couple" et ils découvrirent une sextape ou un homme et sa compagne, la trentaine, adoptaient les diverses positions de l'amour, visiblement filmées par un comparse. Il sentit qu'elle respirait d'une manière un peu saccadée, à l'évidence fascinée par les ébats.
- Vous avez vu la bite du gars ? Il la régale, hein ? souffla-t-il, lui aussi bien excité. Il bandait.
- Oui et... ça fait envie, répondit-elle, un peu haletante.
- Vous aimez regarder, hein ? Voyeuse ?
- J'aime voir le plaisir chez les autres. Mais j'aime le mien aussi.
C'est alors qu'il se décida. La cuisse charnue, largement découverte sur la chaise à côté, appelait la main. Il la caressa tout en continuant de visionner la vidéo. Le cul de l'homme virevoltait entre les cuisses de sa compagne qui couinait d'extase.
- Il la baise bien, lâcha-t-elle, de plus en plus oppressée. Elle n'avait pas repoussé sa main qui poursuivait son exploration.
Lorsque l'homme prit sa compagne par derrière, exposant l'un et l'autre le visage du plaisir sexuel, Célia craqua. Sa main se posa sur la braguette de Kléber et constata son érection. Il l'aida à libérer son pénis et le le branla tout en continuant à regarder la vidéo. L'homme et la femme se trouvaient cette fois de profil et à leur posture, on pouvait comprendre qu'il la sodomisait. Célia était écarlate et obéissant à un instinct irrésistible, elle se pencha vers le giron de Kléber et entama une fellation. Il glissa ses mains dans son décolleté pour lui pétrir les seins pendant qu'elle le suçait et le résultat ne se fit pas attendre : il explosa dans sa bouche. Pas une goutte de sperme n'en sortit. Elle avait tout avalé. Elle se releva les joues roses, échevelée, dépoitraillée et eut cette réflexion bizarre :
- Excusez-moi, je n'ai pas pu me retenir.
Il la rassura en l'embrassant pendant qu'elle se reboutonnait, lui disant qu'elle avait cédé à une pulsion naturelle et il l'en remerciait.
- Au moins, vous voilà dépannée, lui dit-il drôlement.
Ils échangèrent alors quelques mots. Elle lui avoua qu'elle faisait très peu l'amour avec son mari, très occupé par son travail alors qu'elle avait fait le choix de ne plus avoir d'emploi pour élever leur enfant. Ses journées étaient longues, elle s'ennuyait et surfer sur le net lui permettait d'attendre la sortie de l'école. Il conclut qu'elle se masturbait, était archi disponible sexuellement, prête à basculer dans l'adultère. Mais il ne fallait peut-être pas brûler les étapes, bien qu'il ait très envie de voir son cul à l'air. Elle voulut le payer pour sa prestation informatique. Il refusa. Il lui dit simplement :
- Si vous avez encore besoin de moi, vous savez où me trouver.
******
Il se demanda où cette histoire pouvait le mener. A l'évidence, Célia était une gourmande frustrée mais irait-elle pour autant jusqu'à aller à l'adultère ? La manière avec laquelle elle l'avait pompé... et avalé pouvait laisser supposer que oui. Kléber était fier de son pénis, rigide, épais, bien décalotté lors de ses puissantes érections, aussi sexué qu'une paire de seins lourds chez une femme. Il avait réjoui bien des partenaires et il ne voyait pas pourquoi celle-ci ne cèderait pas à son attrait d'une manière encore plus concrète.
Et pourtant, pendant plusieurs jours, Célia ne se manifesta pas. Il commençait à se dire que son coup était fichu lorsqu'elle se pointa à nouveau à son magasin, toujours vêtue de sa combinaison-short. Elle n'avait pas cette fois de demande particulière, sauf une, qu'elle exprima ainsi :
- Je suis libre pendant la pause déjeuner. Il fait beau et si ça vous dit, on pourrait faire un tour à la campagne. J'ai ma voiture.
C'était une invitation pour le moins directe, à laquelle il était difficile de renoncer. Il alla trouver un collègue qui comprit la situation et accepta de le remplacer au pied levé. Et dix minutes plus tard, il se trouvait sur le siège passager en train de mater les cuisses découvertes, légèrement écartées, comme une promesse, de Célia. Elle savait où elle allait. Ils se garèrent dans un chemin jouxtant un petit bois et donnant sur un grand champ. Ils n'avaient pas échangé trois mots dans le trajet, tout à la tension érotique qui planait dans l'habitacle. Sa voiture était un monospace. Elle en sortit, ouvrit la cinquième porte, baissa sans façon sa tunique short dont elle émergea nue, s'assit sur le coffre pour ôter ses sandales et se posa sur ses coudes avec un air de défi.
- Déshabille-toi et embrasse moi, lui dit-elle.
Devant le spectacle de cette femelle juteuse, offerte, indécente, il triquait comme un dingue. Il lui accorda un long baiser pendant qu'elle s'emparait de sa queue pour le branler. Il était rarement entré aussi vite dans le vif du sujet alors qu'elle s'était fait si longtemps désirer. Il avait une furieuse envie de la pénétrer, sa chatte était gluante sous ses doigts et après avoir fourragé dans son sac pour lui trouver une capote, signe d'une incontestable préméditation, elle la lui posa délicatement en roulant bien le bord vers le bas comme pour apprécier la base épaisse du pénis. Puis elle se plaça au bord du coffre, les jambes en dehors, logées dans les bras de Kléber. Il la prit debout, d'une seule poussée rectiligne, très profondément et il cogna. Dur. Le monospace tangua sur ses amortisseurs. Célia s'accrochait au montant du coffre pour lui renvoyer la balle tandis qu'il matait le roulement de ses seins lourds sur le torse et son visage concentré, lubrique, rayonnant de la femme qui baise.
- Tu aimes ça, hein ? souffla-t-il, autant pour s'exprimer que pour la faire parler, car il aimait les femmes qui parlent dans le sexe.
- J'adore ça. J'adore ta queue.
- Tu la sens bien ?
- Oh oui ! Elle est grosse, elle me remplit bien. T'arrête pas surtout.
- Tu as un cul magnifique. J'ai envie de t'enculer.
- Moi aussi j'en ai envie mais pas tout de suite. Laisse-moi venir sur toi.
Et il s'allongea à son tour dans l'habitacle. Elle l'enfourcha avec ardeur, faisant aller et venir sa croupe avec de profonds mouvements qui la pénétraient jusqu'à la garde pendant qu'il pétrissait ses plantureux nichons. C'est dans cette position qu'elle connut son premier orgasme après une série de curieux jappements qu'il n'avait encore jamais entendu d'une femme en train de baiser, "aw aw aw". Elle se raidit, haletante et se détacha, l'invitant à quitter le coffre pour la prendre debout, par derrière, elle à genoux à l'intérieur de l'habitacle. La hauteur était parfaite et après l'avoir bien ramonée en lui mettant le pouce dans l'anus, elle se retourna vers lui et lui dit :
- Fais-le maintenant.
Elle voulait donc être sodomisée. Il prit soin néanmoins de la préparer avec un puis deux doigts qu'il humecta de sa salive, savourant du regard cette belle croupe de femelle aux globes charnus à raie longue. Et il l'encula. Elle ne tarda pas à venir le chercher à coups de fesses, signe de son adhésion, ce qui fut confirmé lorsqu'elle tourna son visage vers lui, la langue entre les lèvres, l'encourageant à poursuivre, tout entière à son coït anal avec un enthousiasme qu'il avait rarement rencontré dans ses liaisons. Il repensa alors à la jeune mère assise dans la salle d'attente de l'ORL avec gamin et mari. A celle qui accompagnait son enfant au jardin public. A l'image convenable et honorable qu'elle donnait d'elle-même en faisant ses courses, nonobstant une tenue qui affichait sa féminité. Et c'est cette femme qui lui cria dans un orgasme anal :
- Ah c'est bon ah c'est bon jouis dans mon cul jouiiiis.
Irrésistible. Il la couvrit comme un chien sa chienne, penché en avant sur son dos et expulsa sa semence dans sa capote. Quand il la retira, en nage, elle se releva et le finit à la bouche alors qu'il se trouvait en demi érection. Et voilà, il l'avait baisée. Et bien baisée. La bouche encore pleine de ses dernières gouttes de sperme, elle l'embrassa avec passion, écrasant ses seins sur son torse, et lui dit simplement :
- Merci, c'était génial.
******
Ce fut le début d'une liaison torride entre une jeune femme affamée de sexe et un jeune homme fringant de la queue. Leurs ébats avaient lieu un peu partout sauf au domicile de Célia, qui se méfiait des commérages et ne voulait surtout pas mettre son couple en péril. Ils durèrent à période régulière jusqu'au jour où elle annonça à Kléber qu'elle était enceinte.
- Pas de toi, je te rassure, mais de mon mari. On voulait un deuxième.
Kléber fut soulagé car il craignait une défaillance de capote, toujours possible. Mais dès lors, leurs rencontres s'espacèrent jusqu'à devenir inexistantes. A l'évidence, Célia faisait passer la parturiente avant la maîtresse. Il l'aperçut un jour dans son magasin avec son gros ventre et son mari, sans doute pour un achat lié à sa maternité nouvelle, mais elle l'ignora. Il s'en accommoda d'autant mieux qu'il baisait désormais une collègue quinquagénaire et divorcée, très salope et fan de sa bite. Cependant, quelques mois plus tard, elle lui envoya un MMS avec la photo de son bébé nouveau né. Il la félicita et ce fut tout.
Néanmoins, il se dit qu'un jour ou l'autre, elle reviendrait le consulter au magasin pour quelque problème informatique servant de prétexte à une nouvelle partie de jambes en l'air. Il ne voyait pas pourquoi ce deuxième enfant aurait changé quoi que ce soit à son appétit sexuel. Et c'est dans cet espoir qu'il attendait ce jour là. Si possible avec cette tunique short qui l'avait tant excité.
Quelque chose lui disait pourtant que cette femelle juteuse ne devait pas se contenter sexuellement de son mari. "Elle baise, j'en suis sûr", se dit-il. Puis l'ORL l'appela et il oublia la jeune femme si prometteuse.
Jusqu'au jour où, en faisant ses courses au supermarché, il la croisa avec son gamin dans le caddy. Vêtue d'une mini robe à boutons sur le devant, ouverte sur son sillon mammaire, elle déclencha illico dans le tréfonds de Kléber un flot d'hormones mâles qui le poussèrent à aborder la jeune mère, avec le culot dont il savait faire preuve dans ce genre de situation.
- Bonjour madame. Je vous ai vue l'autre jour avec votre mari et votre enfant chez l'ORL, vous vous souvenez ?
- Euh... ah oui, c'est vrai. Vous me dévisagiez...
- Exact. Je vous trouve superbe.
- Merci, c'est gentil.
- Votre enfant va bien ?
- Oui, on lui a mis des diabolos, il avait des otites.
- Vous habitez dans le quartier ?
S'ensuivit une conversation plutôt banale alliant les habitudes alimentaires, la cherté de la vie, la qualité de vie locale, bref la jeune femme se faisait gentiment draguer et finit par concéder son prénom : Célia. Kléber l'accompagna dans ses courses, la conseilla sur certains produits et la suivit jusqu'à la caisse avant de l'aider à charger sa voiture. Il en profita pour mater sa croupe moulée par la robe à boutons et se demanda bêtement si elle portait un slip. Il l'aurait bien vue cul nu sous la robe vu les globes bien dessinés. Le désir devait se lire dans son visage car quand elle lui tendit la main pour le quitter, elle lui adressa un regard un peu trouble tout en redressant le buste.
- On se reverra peut-être ? demanda-t-il.
- Qui sait ? Vous savez maintenant où me trouver, répondit-elle, ambiguë.
Et il la regarda prendre place au volant, la robe remontant si haut qu'il crut apercevoir la ficelle d'un string. Elle n'était donc pas cul nu...
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Il la revit un peu plus tard dans le parc où il faisait son footing. Elle se trouvait en compagnie de son mari et son gamin en chemin vers l'ilôt de jeux réservé aux enfants. Une attitude banale pour une mère et il finit par se dire qu'il s'était fait un film pour rien. A quoi bon alimenter ses fantasmes pour une jeune femme au fond très ordinaire.
Pourtant, un jour qu'il occupait son poste de vendeur-conseiller au rayon multimédias d'une grande chaine d'électro-ménager, il la vit venir vers lui, seule, toujours avec sa tunique short et ses tongs. Ils furent l'un et l'autre surpris de cette confrontation inattendue.
- Ah, vous travaillez ici ? lui dit-elle.
- Ben oui. Content de vous revoir. Vous n'avez pas le fiston avec vous ?
- Non, il va à la maternelle maintenant, je suis davantage libre de mes journées car je ne travaille pas.
- Et en quoi puis-je vous aider ?
Elle voulait acheter un ordinateur portable, cadeau de son mari. "Pour surfer sur internet et ne pas monopoliser notre pc", précisa-t-elle.
Il la conseilla pour un produit assez simple, pas trop onéreux, lu demandant tout de même si elle comptait télécharger des films.
- Euh je ne sais pas, peut-être oui.
Saisissant la balle au bond, il lui glissa avec un sourire en coin :
- Pour regarder des vidéos coquines avec votre mari, peut-être ?
- Oh non, ce n'est pas son truc.
- Et vous, si ?
Elle le regarda droit dans les yeux et répondit :
- Peut-être...
Il en aurait presque rougi. Cette Célia, il avait retrouvé son prénom, n'était peut-être pas uniquement une mère modèle. Si elle voulait vraiment regarder des vidéos de cul, c'est peut-être parce que son appétit sexuel n'était pas totalement assouvi. Bref, elle acheta le produit et il prit connaissance de son adresse et de son numéro de téléphone en remplissant le bon de commande. Il lui donna quelques conseils et lui dit :
- Si vous avez un souci d'adaptation, passez-moi un coup de fil.
Et il lui donna son numéro de portable.
******
Quelques jours plus tard, il reçut un appel. C'était Célia. Elle paniquait parce qu'un bug avait bloqué son ordinateur portable. Elle le priait de venir la dépanner chez elle. Il lui demanda pourquoi elle ne pouvait pas apporter son outil au magasin, selon l'usage.
- Je suis bloquée chez moi, dit-elle succinctement.
Il n'approfondit pas. Il lui proposa de venir après son travail mais elle préférait qu'il la dépanne à l'heure du déjeuner, s'il pouvait se libérer. Il demanda à un collègue de le remplacer "pour une urgence". Et il arriva à l'appartement de la jeune femme. Elle lui ouvrit dans une tunique short qu'elle semblait décidément affectionner. Il remarqua aussitôt qu'elle ne portait pas de soutien gorge et la tunique boutonnée sur le devant s'ouvrait sur une vallée profonde entourée de collines soyeuses. Elle lui fit un accueil rayonnant et l'entraina dans la pièce principale, ce qui lui permit de mater son cul vibrant sous la toile légère du short. "Pas de culotte", conclut-il, déjà émoustillé.
Il comprit rapidement d'où venait le blocage. Un virus s'était insinué dans l'ordinateur portable. Il se concentra pour l'évacuer malgré la présence émouvante à ses côtés de deux beaux nichons aux deux tiers découverts. En consultant l'historique d'internet, il découvrit que Célia s'était connectée sur plusieurs sites pornos douteux.
- Faites attention quand vous allez sur ces sites, lui dit-il, ils peuvent abimer votre ordinateur.
Célia avait rougi, troublée qu'il ait pu découvrir son péché mignon. Il la rassura :
- Il n'y a pas de honte à avoir. Vous faites juste partie de l'immense majorité des utilisateurs d'internet. En revanche, je vais vous conseiller un ou deux sites où vous ne risquerez rien.
Il connecta alors l'outil sur un site connu. Malin, il l'orienta sur "real couple" et ils découvrirent une sextape ou un homme et sa compagne, la trentaine, adoptaient les diverses positions de l'amour, visiblement filmées par un comparse. Il sentit qu'elle respirait d'une manière un peu saccadée, à l'évidence fascinée par les ébats.
- Vous avez vu la bite du gars ? Il la régale, hein ? souffla-t-il, lui aussi bien excité. Il bandait.
- Oui et... ça fait envie, répondit-elle, un peu haletante.
- Vous aimez regarder, hein ? Voyeuse ?
- J'aime voir le plaisir chez les autres. Mais j'aime le mien aussi.
C'est alors qu'il se décida. La cuisse charnue, largement découverte sur la chaise à côté, appelait la main. Il la caressa tout en continuant de visionner la vidéo. Le cul de l'homme virevoltait entre les cuisses de sa compagne qui couinait d'extase.
- Il la baise bien, lâcha-t-elle, de plus en plus oppressée. Elle n'avait pas repoussé sa main qui poursuivait son exploration.
Lorsque l'homme prit sa compagne par derrière, exposant l'un et l'autre le visage du plaisir sexuel, Célia craqua. Sa main se posa sur la braguette de Kléber et constata son érection. Il l'aida à libérer son pénis et le le branla tout en continuant à regarder la vidéo. L'homme et la femme se trouvaient cette fois de profil et à leur posture, on pouvait comprendre qu'il la sodomisait. Célia était écarlate et obéissant à un instinct irrésistible, elle se pencha vers le giron de Kléber et entama une fellation. Il glissa ses mains dans son décolleté pour lui pétrir les seins pendant qu'elle le suçait et le résultat ne se fit pas attendre : il explosa dans sa bouche. Pas une goutte de sperme n'en sortit. Elle avait tout avalé. Elle se releva les joues roses, échevelée, dépoitraillée et eut cette réflexion bizarre :
- Excusez-moi, je n'ai pas pu me retenir.
Il la rassura en l'embrassant pendant qu'elle se reboutonnait, lui disant qu'elle avait cédé à une pulsion naturelle et il l'en remerciait.
- Au moins, vous voilà dépannée, lui dit-il drôlement.
Ils échangèrent alors quelques mots. Elle lui avoua qu'elle faisait très peu l'amour avec son mari, très occupé par son travail alors qu'elle avait fait le choix de ne plus avoir d'emploi pour élever leur enfant. Ses journées étaient longues, elle s'ennuyait et surfer sur le net lui permettait d'attendre la sortie de l'école. Il conclut qu'elle se masturbait, était archi disponible sexuellement, prête à basculer dans l'adultère. Mais il ne fallait peut-être pas brûler les étapes, bien qu'il ait très envie de voir son cul à l'air. Elle voulut le payer pour sa prestation informatique. Il refusa. Il lui dit simplement :
- Si vous avez encore besoin de moi, vous savez où me trouver.
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Il se demanda où cette histoire pouvait le mener. A l'évidence, Célia était une gourmande frustrée mais irait-elle pour autant jusqu'à aller à l'adultère ? La manière avec laquelle elle l'avait pompé... et avalé pouvait laisser supposer que oui. Kléber était fier de son pénis, rigide, épais, bien décalotté lors de ses puissantes érections, aussi sexué qu'une paire de seins lourds chez une femme. Il avait réjoui bien des partenaires et il ne voyait pas pourquoi celle-ci ne cèderait pas à son attrait d'une manière encore plus concrète.
Et pourtant, pendant plusieurs jours, Célia ne se manifesta pas. Il commençait à se dire que son coup était fichu lorsqu'elle se pointa à nouveau à son magasin, toujours vêtue de sa combinaison-short. Elle n'avait pas cette fois de demande particulière, sauf une, qu'elle exprima ainsi :
- Je suis libre pendant la pause déjeuner. Il fait beau et si ça vous dit, on pourrait faire un tour à la campagne. J'ai ma voiture.
C'était une invitation pour le moins directe, à laquelle il était difficile de renoncer. Il alla trouver un collègue qui comprit la situation et accepta de le remplacer au pied levé. Et dix minutes plus tard, il se trouvait sur le siège passager en train de mater les cuisses découvertes, légèrement écartées, comme une promesse, de Célia. Elle savait où elle allait. Ils se garèrent dans un chemin jouxtant un petit bois et donnant sur un grand champ. Ils n'avaient pas échangé trois mots dans le trajet, tout à la tension érotique qui planait dans l'habitacle. Sa voiture était un monospace. Elle en sortit, ouvrit la cinquième porte, baissa sans façon sa tunique short dont elle émergea nue, s'assit sur le coffre pour ôter ses sandales et se posa sur ses coudes avec un air de défi.
- Déshabille-toi et embrasse moi, lui dit-elle.
Devant le spectacle de cette femelle juteuse, offerte, indécente, il triquait comme un dingue. Il lui accorda un long baiser pendant qu'elle s'emparait de sa queue pour le branler. Il était rarement entré aussi vite dans le vif du sujet alors qu'elle s'était fait si longtemps désirer. Il avait une furieuse envie de la pénétrer, sa chatte était gluante sous ses doigts et après avoir fourragé dans son sac pour lui trouver une capote, signe d'une incontestable préméditation, elle la lui posa délicatement en roulant bien le bord vers le bas comme pour apprécier la base épaisse du pénis. Puis elle se plaça au bord du coffre, les jambes en dehors, logées dans les bras de Kléber. Il la prit debout, d'une seule poussée rectiligne, très profondément et il cogna. Dur. Le monospace tangua sur ses amortisseurs. Célia s'accrochait au montant du coffre pour lui renvoyer la balle tandis qu'il matait le roulement de ses seins lourds sur le torse et son visage concentré, lubrique, rayonnant de la femme qui baise.
- Tu aimes ça, hein ? souffla-t-il, autant pour s'exprimer que pour la faire parler, car il aimait les femmes qui parlent dans le sexe.
- J'adore ça. J'adore ta queue.
- Tu la sens bien ?
- Oh oui ! Elle est grosse, elle me remplit bien. T'arrête pas surtout.
- Tu as un cul magnifique. J'ai envie de t'enculer.
- Moi aussi j'en ai envie mais pas tout de suite. Laisse-moi venir sur toi.
Et il s'allongea à son tour dans l'habitacle. Elle l'enfourcha avec ardeur, faisant aller et venir sa croupe avec de profonds mouvements qui la pénétraient jusqu'à la garde pendant qu'il pétrissait ses plantureux nichons. C'est dans cette position qu'elle connut son premier orgasme après une série de curieux jappements qu'il n'avait encore jamais entendu d'une femme en train de baiser, "aw aw aw". Elle se raidit, haletante et se détacha, l'invitant à quitter le coffre pour la prendre debout, par derrière, elle à genoux à l'intérieur de l'habitacle. La hauteur était parfaite et après l'avoir bien ramonée en lui mettant le pouce dans l'anus, elle se retourna vers lui et lui dit :
- Fais-le maintenant.
Elle voulait donc être sodomisée. Il prit soin néanmoins de la préparer avec un puis deux doigts qu'il humecta de sa salive, savourant du regard cette belle croupe de femelle aux globes charnus à raie longue. Et il l'encula. Elle ne tarda pas à venir le chercher à coups de fesses, signe de son adhésion, ce qui fut confirmé lorsqu'elle tourna son visage vers lui, la langue entre les lèvres, l'encourageant à poursuivre, tout entière à son coït anal avec un enthousiasme qu'il avait rarement rencontré dans ses liaisons. Il repensa alors à la jeune mère assise dans la salle d'attente de l'ORL avec gamin et mari. A celle qui accompagnait son enfant au jardin public. A l'image convenable et honorable qu'elle donnait d'elle-même en faisant ses courses, nonobstant une tenue qui affichait sa féminité. Et c'est cette femme qui lui cria dans un orgasme anal :
- Ah c'est bon ah c'est bon jouis dans mon cul jouiiiis.
Irrésistible. Il la couvrit comme un chien sa chienne, penché en avant sur son dos et expulsa sa semence dans sa capote. Quand il la retira, en nage, elle se releva et le finit à la bouche alors qu'il se trouvait en demi érection. Et voilà, il l'avait baisée. Et bien baisée. La bouche encore pleine de ses dernières gouttes de sperme, elle l'embrassa avec passion, écrasant ses seins sur son torse, et lui dit simplement :
- Merci, c'était génial.
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Ce fut le début d'une liaison torride entre une jeune femme affamée de sexe et un jeune homme fringant de la queue. Leurs ébats avaient lieu un peu partout sauf au domicile de Célia, qui se méfiait des commérages et ne voulait surtout pas mettre son couple en péril. Ils durèrent à période régulière jusqu'au jour où elle annonça à Kléber qu'elle était enceinte.
- Pas de toi, je te rassure, mais de mon mari. On voulait un deuxième.
Kléber fut soulagé car il craignait une défaillance de capote, toujours possible. Mais dès lors, leurs rencontres s'espacèrent jusqu'à devenir inexistantes. A l'évidence, Célia faisait passer la parturiente avant la maîtresse. Il l'aperçut un jour dans son magasin avec son gros ventre et son mari, sans doute pour un achat lié à sa maternité nouvelle, mais elle l'ignora. Il s'en accommoda d'autant mieux qu'il baisait désormais une collègue quinquagénaire et divorcée, très salope et fan de sa bite. Cependant, quelques mois plus tard, elle lui envoya un MMS avec la photo de son bébé nouveau né. Il la félicita et ce fut tout.
Néanmoins, il se dit qu'un jour ou l'autre, elle reviendrait le consulter au magasin pour quelque problème informatique servant de prétexte à une nouvelle partie de jambes en l'air. Il ne voyait pas pourquoi ce deuxième enfant aurait changé quoi que ce soit à son appétit sexuel. Et c'est dans cet espoir qu'il attendait ce jour là. Si possible avec cette tunique short qui l'avait tant excité.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique !
En tout cas Micky vos récits sont toujours bien écrits et bien racontés. Votre talent d’écrivaine n’est pas à contester.
En même temps elle est jeune comment arrive t’elle à s’ennuyer à ce point.
A part faire garder le petit le temps d’un WE pour se détendre avec le mari.
Parfois ils ont besoin d’un bon coup de pied au cul ( sens figure) pour comprendre.
Au moins 1 qui prends ses précautions.
A part faire garder le petit le temps d’un WE pour se détendre avec le mari.
Parfois ils ont besoin d’un bon coup de pied au cul ( sens figure) pour comprendre.
Au moins 1 qui prends ses précautions.
Oups, faute de frappe: excitante!
Un récit d'adultère, donc pas très moral. Mais l'histoire, sous la plume de Micky est particulièrement excitant!