Brune et rousse
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Brune et rousse
La brune est assez potelée. C’est surtout sa poitrine qui est développée. Assez
grande, le tout parait normal. L’autre une belle rousse est du genre faux maigre. Les
deux ont en commun un sex-appeal développé. Mettez les deux à une table de restaurant
et vous comprendrez bien vite qu’elle donne envie de les prendre dans les bras. Et
pourtant, si elles se montrent ce n’est pas pour conquérir un homme. Elle s’en fiche
totalement des hommes. Elles s’aiment simplement, comme deux être humains. Elles
aiment s’aimer dans un lit.
Elles sont heureuses de la journée, elles vont rejoindre leur hôtel après le repas. Si
le matin elles se sont bien caressées, elles comptent bien en faire plus l’après midi.
Dans la chambre, enfin elles sont vite nues, presque trop vite. Elles connaissent le
corps de l’autre par cœur. Elles savent comment faire jouir la partenaire.
Au début de leur « odyssée » ils leur manquaient les détails des endroits marquant
leur désir. Leur premier plaisir était de masturber l’autre. Ensuite elles ont aimé
pratiquer les 69. Leurs langues prenaient des habitudes sur la chatte de l’autre.
Elles préféraient ça à une bite plantée dans le ventre pour le plaisir égoïste d’un
homme.
Les voici donc couchées, nues, bien serrées contre l’autre, déjà une main sur le
clitoris de l’autre. Elles se branlent comme elles aiment, trop sans doute. Pas
suffisant en tout cas pour leur équilibre sexuel. Elles s’envoient en l’air
facilement. Il leur faut du « ha rd ». Elles le trouveront tout à l’heure.
La rousse couche son amie sur le dos, elle écarte les jambes offertes. Elle se couche
sur le ventre entre les cuisses en regardant à peine la fente de l’autre. Elle fait
ouvrir la bouche de la brune pour y entrer deux doigts. La brune les lèche comme une
sucette, avant de les mordiller lentement. Elle sent sur un sein l’autre main venir
les caresser comme elle aime : si le sein est caressé surtout vers le bas, le téton
n’est pas oublié. Il durcit sans cesse.
La bouche s’attarde dans le nombril en la faisant frémir. La rousse sait ce qu’elle
fait. Si la langue est dans l’ombilic, elle se prépare à aller sucer d’abord le
clitoris.
Sa bouche descend lentement d’abord sur le pubis, passe sur les poils avant de
chercher le bouton qui n’attend que ça. Maintenant les bras entourent les cuisses, la
tête entre les deux cuisses se prépare à la faire jouir. Lentement la langue lèche
autour du bouton venant enfin de satisfaire le désir de la brune.
Maintenant elle aspire l’entier clitoris entre les lèvres. Le bas ventre de la sucée a
un sursaut de bonheur. Son ventre se creuse quand la langue la lèche dans la bouche.
Elle caresse la tête de l’amante, sans la forcer : c’est inutile. Elle sent monter
dans son ventre le plaisir qu’elle adore. C’est d’abord une impression de plénitude
avant qu’éclate un soleil de plaisir dans tout le corps.
La blonde ne la laisse pas, elle continue son travail de sape. La langue libérée de la
bouche et du clitoris descend tout en bas, elle va sur l’anus.
Elle connaît assez son amante pour la satisfaire en tout. Et là, elle sait ce qu’il
faut faire. La langue fouille entre les fesses, sur l’anus. Les deux filles aiment
bien jouir ainsi. La langue n’entre nulle part, elle lèche simplement la partie
visible de l’anus. Lorsque la langue est sèche, elle crache un peu sur le cul pour
recommencer. La brune ne sait plus à quel saint de vouer, elle jouit déjà.
La blonde profite de l’abandon de son amie pour forcer un peu les limites du cul.
Lentement elle enfonce la langue dans l‘anus. L’effet de la feuille de rose est
qu’encore il déclenche un orgasme. La blonde sens les spasmes de la jouissance autour
de sa langue. Comme un bourreau de l’époque médiévale, elle insiste toujours.
Quand elle sent que les limites sont atteintes, elle arrête. A son tour de donner son
bas ventre. Elle est trempée de désir. Cette rousse se met sur sa compagne comme pour
un 69. Si elle donne son entrejambes c’est pour être sucée non pas sur le clitoris.
Elle donne son cul aussi.
La langue de la brune s’insinue entre les fesses, lèche depuis le con jusqu’à l’anus.
La langue frotte sans cesse l’entrée du cul. Son amie réagit fort bien en remuant le
cul de droite à gauche. Par contre quand la langue entre, là, elle s’arrête, son corps
fait des va-et-vient, comme si une queue était dans son cul.
Elle profite au maximum de la sodomie. Elle adore ça, à tel point que quand elle se
branle elle se finit toujours de la même façon avec son gode particulier, celui
qu’elle à portée de main. Il s’agit d’un gode qui allie à sa forme en vaguelettes
parallèles, un mouvement de vas-et-viens.
La brune comprend les besoins de sodomie particulier de sa compagne. Elle fait avance
la rousse pour mieux lui cracher sur le cul. Quand elle entre facilement trois doigts,
elle fait pénétrer lentement le gode. La rousse commence par un long gémissement de
plaisir quand elle se sent pénétrée. Ses fesses suivent le mouvement comme si une
vraie bite était là, dans son ventre, dans son cul largement ouvert. Quelques fois son
amante sort en entier le gode pour le sucer avant de le planter à nouveau.
Juste avant de jouir, la rousse se penche complètement vers le sexe de son amie. Sa
langue lui lèche encore le clitoris. Elle entre deux doigts, pas plus quand le vagin
ouvert. Elle arrive ainsi à faire jouir son amie en même temps qu’elle.
Elles restent immobiles un instant, jusqu’au moment où la rousse reprend le
commandement. Elle prend son amie sur elle, en 69. Ainsi elle peut l’enculer
facilement. C’est toujours sa langue qui mouille bien l’anus en léchant longuement.
Quand à son avis le trou est assez mouillé, elle entre facilement le gode. Les va-et-
vient ont tôt fait de l’orgasme qui arrive.
Elles ne s’en rendent pas comte, elles baisent depuis bientôt 6 heures sans cesse,
pourtant elles en veulent encore. Elle commande un repas qui est vite servit. Pendant
le service un reste de pudeur fait qu’elles se couvrent d’un seul drap, sans tromper
pour cela la serveuse qui les regarde d’un air envieux. Si elle savait qu’elles
pourraient se la farcir elle aussi, elle ne demanderait pas mieux.
Enfin seules les voilà qui recommence leur plaisir. La brune prend une banane du fruit
du repas pour fourrer la chatte de son amie. Elle la mange directement dans le con de
son amante qui donne sa mouille pour aromatiser le fruit. Bien sur quand le fruit est
terminé, il ne reste plus que la langue pour la finir.
Le tout finit par un 69 spécial. Le gode est à nouveau sortit pour servie au cul de la
rousse, qui elle se sert des doigts pour enculer sa compagne.
Drôle de lesbiennes qui savent et aiment s’enculer.
grande, le tout parait normal. L’autre une belle rousse est du genre faux maigre. Les
deux ont en commun un sex-appeal développé. Mettez les deux à une table de restaurant
et vous comprendrez bien vite qu’elle donne envie de les prendre dans les bras. Et
pourtant, si elles se montrent ce n’est pas pour conquérir un homme. Elle s’en fiche
totalement des hommes. Elles s’aiment simplement, comme deux être humains. Elles
aiment s’aimer dans un lit.
Elles sont heureuses de la journée, elles vont rejoindre leur hôtel après le repas. Si
le matin elles se sont bien caressées, elles comptent bien en faire plus l’après midi.
Dans la chambre, enfin elles sont vite nues, presque trop vite. Elles connaissent le
corps de l’autre par cœur. Elles savent comment faire jouir la partenaire.
Au début de leur « odyssée » ils leur manquaient les détails des endroits marquant
leur désir. Leur premier plaisir était de masturber l’autre. Ensuite elles ont aimé
pratiquer les 69. Leurs langues prenaient des habitudes sur la chatte de l’autre.
Elles préféraient ça à une bite plantée dans le ventre pour le plaisir égoïste d’un
homme.
Les voici donc couchées, nues, bien serrées contre l’autre, déjà une main sur le
clitoris de l’autre. Elles se branlent comme elles aiment, trop sans doute. Pas
suffisant en tout cas pour leur équilibre sexuel. Elles s’envoient en l’air
facilement. Il leur faut du « ha rd ». Elles le trouveront tout à l’heure.
La rousse couche son amie sur le dos, elle écarte les jambes offertes. Elle se couche
sur le ventre entre les cuisses en regardant à peine la fente de l’autre. Elle fait
ouvrir la bouche de la brune pour y entrer deux doigts. La brune les lèche comme une
sucette, avant de les mordiller lentement. Elle sent sur un sein l’autre main venir
les caresser comme elle aime : si le sein est caressé surtout vers le bas, le téton
n’est pas oublié. Il durcit sans cesse.
La bouche s’attarde dans le nombril en la faisant frémir. La rousse sait ce qu’elle
fait. Si la langue est dans l’ombilic, elle se prépare à aller sucer d’abord le
clitoris.
Sa bouche descend lentement d’abord sur le pubis, passe sur les poils avant de
chercher le bouton qui n’attend que ça. Maintenant les bras entourent les cuisses, la
tête entre les deux cuisses se prépare à la faire jouir. Lentement la langue lèche
autour du bouton venant enfin de satisfaire le désir de la brune.
Maintenant elle aspire l’entier clitoris entre les lèvres. Le bas ventre de la sucée a
un sursaut de bonheur. Son ventre se creuse quand la langue la lèche dans la bouche.
Elle caresse la tête de l’amante, sans la forcer : c’est inutile. Elle sent monter
dans son ventre le plaisir qu’elle adore. C’est d’abord une impression de plénitude
avant qu’éclate un soleil de plaisir dans tout le corps.
La blonde ne la laisse pas, elle continue son travail de sape. La langue libérée de la
bouche et du clitoris descend tout en bas, elle va sur l’anus.
Elle connaît assez son amante pour la satisfaire en tout. Et là, elle sait ce qu’il
faut faire. La langue fouille entre les fesses, sur l’anus. Les deux filles aiment
bien jouir ainsi. La langue n’entre nulle part, elle lèche simplement la partie
visible de l’anus. Lorsque la langue est sèche, elle crache un peu sur le cul pour
recommencer. La brune ne sait plus à quel saint de vouer, elle jouit déjà.
La blonde profite de l’abandon de son amie pour forcer un peu les limites du cul.
Lentement elle enfonce la langue dans l‘anus. L’effet de la feuille de rose est
qu’encore il déclenche un orgasme. La blonde sens les spasmes de la jouissance autour
de sa langue. Comme un bourreau de l’époque médiévale, elle insiste toujours.
Quand elle sent que les limites sont atteintes, elle arrête. A son tour de donner son
bas ventre. Elle est trempée de désir. Cette rousse se met sur sa compagne comme pour
un 69. Si elle donne son entrejambes c’est pour être sucée non pas sur le clitoris.
Elle donne son cul aussi.
La langue de la brune s’insinue entre les fesses, lèche depuis le con jusqu’à l’anus.
La langue frotte sans cesse l’entrée du cul. Son amie réagit fort bien en remuant le
cul de droite à gauche. Par contre quand la langue entre, là, elle s’arrête, son corps
fait des va-et-vient, comme si une queue était dans son cul.
Elle profite au maximum de la sodomie. Elle adore ça, à tel point que quand elle se
branle elle se finit toujours de la même façon avec son gode particulier, celui
qu’elle à portée de main. Il s’agit d’un gode qui allie à sa forme en vaguelettes
parallèles, un mouvement de vas-et-viens.
La brune comprend les besoins de sodomie particulier de sa compagne. Elle fait avance
la rousse pour mieux lui cracher sur le cul. Quand elle entre facilement trois doigts,
elle fait pénétrer lentement le gode. La rousse commence par un long gémissement de
plaisir quand elle se sent pénétrée. Ses fesses suivent le mouvement comme si une
vraie bite était là, dans son ventre, dans son cul largement ouvert. Quelques fois son
amante sort en entier le gode pour le sucer avant de le planter à nouveau.
Juste avant de jouir, la rousse se penche complètement vers le sexe de son amie. Sa
langue lui lèche encore le clitoris. Elle entre deux doigts, pas plus quand le vagin
ouvert. Elle arrive ainsi à faire jouir son amie en même temps qu’elle.
Elles restent immobiles un instant, jusqu’au moment où la rousse reprend le
commandement. Elle prend son amie sur elle, en 69. Ainsi elle peut l’enculer
facilement. C’est toujours sa langue qui mouille bien l’anus en léchant longuement.
Quand à son avis le trou est assez mouillé, elle entre facilement le gode. Les va-et-
vient ont tôt fait de l’orgasme qui arrive.
Elles ne s’en rendent pas comte, elles baisent depuis bientôt 6 heures sans cesse,
pourtant elles en veulent encore. Elle commande un repas qui est vite servit. Pendant
le service un reste de pudeur fait qu’elles se couvrent d’un seul drap, sans tromper
pour cela la serveuse qui les regarde d’un air envieux. Si elle savait qu’elles
pourraient se la farcir elle aussi, elle ne demanderait pas mieux.
Enfin seules les voilà qui recommence leur plaisir. La brune prend une banane du fruit
du repas pour fourrer la chatte de son amie. Elle la mange directement dans le con de
son amante qui donne sa mouille pour aromatiser le fruit. Bien sur quand le fruit est
terminé, il ne reste plus que la langue pour la finir.
Le tout finit par un 69 spécial. Le gode est à nouveau sortit pour servie au cul de la
rousse, qui elle se sert des doigts pour enculer sa compagne.
Drôle de lesbiennes qui savent et aiment s’enculer.
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