Bungalow 5 SODOMIE

- Par l'auteur HDS Veilleur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Bungalow 5 SODOMIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Oh! Zut de zut, j’ai mes règles. Regarde. Ca tombe mal.
-Comme tous les mois, non?
-Mes vacances sont fichues. Tu m’as donné carte blanche, je ne pourrai pas en profiter.
-Bof, il n’y a pas que le cul pour passer de bonnes vacances. Et si tu en profitais pour t’occuper de ton mari pendant quatre ou cinq jours. J’aimerais des câlins, des bisous, des caresses, des marques simples d’affection. Jouir entre tes doigts serait agréable. Une sucette, des baisers amoureux me combleraient. Charité bien ordonnée commence par soi-même. Pourquoi serais sur la touche. Je veux bien me réjouir du plaisir que tu éprouves avec des amants de passage, mais je ne boude pas celui que je peux te donner et recevoir de toi.

-Il faut que je trouve une pharmacie

Nous ne sommes plus sur la même longueur d’ondes. Elle poursuit sa quête d’aventures comme si notre vie sexuelle n’offrait plus d’intérêt. Par bonheur Léa vient proposer une virée en ville. Mylène l’accompagne. Je fais la sieste.

-Jean chéri, j’ai acheté une coupelle menstruelle et des tampons hygiéniques. Veux-tu m’aider à poser la coupelle dans le vagin. Lis la notice, lave-toi les mains. Je prends une douche et tu viendras m’aider à enfiler cette protection. C’est bien, paraît-il, c’est hermétique, il n’y a ni écoulement ni odeur et ça peut se garder douze heures. C’est plus hygiénique que les tampons et surtout moins rebutant. Hélas, avec ce bouchon dans la place, pas de pénétration. Mais Léa et moi avons discuté. Finalement elle a raison, une femme a aussi deux mains, une bouche et un…..cre…cre, hum….un derrière avec un trou exploitable. Tu y avais fait allusion.
-Comme si c’était une découverte. Félicite-moi de t’avoir prise par derrière après ton carambolage avec Gérard, précisément pour te préparer à cette éventualité. Faute de recevoir en vagin tu feras salon dans ton cul. Le présentoir est majestueux et la porte d’entrée sera souple, accueillante: ils adoreront ta face arrière et voudront connaître la température du logement. C’est une chance d’être disponible pour attiser leur convoitise. Toutes les femmes n’ont pas ton degré de sagesse. Tu gagneras sur elles la connaissance du plaisir sodomite. Avec toi je suis heureux de te voir affronter avec cran une expérience nouvelle par sa nature et par le nombre des essais marqués par ces jeunes pleins d’ardeur. Tu leur plais comme femme, tu leur fourniras un plus par derrière.
- Je me souviens de ton essai récent et je sens encore une gêne dans mon anus quand je marche. Cela ne risque-t-il pas de s’amplifier?
-Au contraire, c’est en forgeant qu’on devient forgeron et c’est en se faisant enculer qu’on devient une amante parfaite. Les muscles s’adaptent aux situations. Je te souhaite bien du plaisir.

Elle a choisi avec Léa de se prêter à la sodomie, je ne saurais que l’encourager. Et si c’est douloureux, elle se fera une opinion par l’exercice, ça vaut tous les discours, surtout venant d’un mari toujours soupçonnable de partialité. J’en tirerai l’avantage d’appliquer des pommades sur les parties irritées, privilège de mari. Elle est rassurée et conclut:
-On peut donc contourner l’obstacle des règles et faire plaisir à un homme tous les jours si on sait s’y prendre et si on l’aime. Vive les vacances. Merci Chéri!

-Mylène cesse de m’appeler chéri quand tu es dans les bras d’un autre; ça finit par me ridiculiser. Appelle-moi Jean, c’est plus neutre: les inconnus me considéreront comme un ami parmi les autres, un des leurs. Ah! Autre chose: Est-il indispensable pour baiser avec des étrangers d‘aller leur chatouiller les amygdales avec la langue pendant un quart d‘heure? Réserve devant moi, le baiser sur la bouche à l’homme avec lequel tu repartiras à la fin du séjour.
-Hi, hi, hi, que tu es drôle. Avec qui veux-tu que je reparte, sinon avec toi?
-Moi, je ne veux rien. C’est toi qui décideras. Selon moi tu repartiras avec celui que tu embrasses comme un mari.
-Mais alors, ton fantasme, il devient quoi? Je peux copuler comme je veux, mais tu dis « Fais pas ci, fais pas ça ». Si je baise, je baise sans restriction; j’écoute ma nature. C’est ton fantasme, tu veux voir comment je suis heureuse, tronchée par un autre. Alors laisse-moi apprécier ce qui me convient pour atteindre l’orgasme. Et s’il faut embrasser à bouche que veux-tu, j’embrasserai mon baiseur.
-Mon fantasme est réalisé, je t’ai vue deux fois faire l’amour avec des hommes. Donc, je ne te fais aucune obligation de battre des records, de recruter à tout va des tas de jeunes gens pour t’envoyer en l’air en ma présence. Comme de toutes les bonnes choses, il faut en user avec modération.
-C’est ça ta carte blanche? Je te croyais heureux de me voir heureuse. La seule obligation acceptable, c’est ta présence, d’ailleurs rassurante. Pour le reste, carte blanche, je veux agir à ma guise.
- C’est vrai, mais n’es-tu heureuse que dans le nombre et l’excès?
-Bon, tu m’enfiles ma coupelle?
-Je ne serais plus bon qu’à ça? T’es-tu donnée à moi hier? Je verrais d’un bon œil le dernier occupant des lieux, ton cher Léo, introduire dans ton sexe cette nouveauté. Appelons Léa et Léo. Je suis sûr que Léo sera content de s’amuser à plier et pousser ce truc dans ton vagin.
De fait Léo découvre l’objet, est ravi d’être le spécialiste chargé de le mettre en place.

-Il est écrit que tu dois te détendre. Ouvre les jambes, pousse ton postérieur au bord du matelas. Oh! Le bel abricot, bien reluisant. Jean, donne-moi un coup de main, tire sur les lèvres, il faut viser un trou bien visible et ouvert. Ne bouge plus. C’est un beau troutrou, tout rose et parfumé. Ma femme utilise le même parfum. Mylène, détends-toi, tu serres les fesses et tu contractes tes muscles. Léa, distrais-la. Tiens caresse lui les nichons. .. Là, encore un peu, bien droit…Ca entre, je pousse. Zut, il s’est mis de travers. Je recommence. Jean écarte un peu plus bas, tu as peur de la déchirer? Un sexe de femme c‘est extensible, tire. Heureusement, une bite entre plus facilement que cet engin. Attention…. Ouf. C’est fait. A changer toutes les douze heures. Jean, il faudra t’entraîner, je ne serai pas toujours là pour rendre service
Un service qui lui permet de voir et de toucher impunément l’intimité de ma femme. Il devrait jubiler, mais il songe déjà à me refiler la tâche. Evidemment c’est plus technique que des caresses ou une pénétration, ça désacralise le sexe féminin de le manipuler pour éviter les pertes et les odeurs de menstrues. On pense à autre chose habituellement quand on met une main au panier ou quand on enfile sa verge dans le ventre d’une jolie femme. Les règles, la mise en place de cette protection anti fuites, c’est beaucoup moins poétique pardi.
-Ca va Mylène, ça ne te gêne pas trop. Tu le sens?
-Non, c’est surprenant. Le pharmacien avait raison. Léa tu devrais acheter le même pour toi, crois-moi. Grâce à moi ton mari saura te la mettre.
-Peut-être aura-t-il besoin de mon aide pour ouvrir la porte. Chère Léa je serai toujours disponible pour t’ouvrir la moule ou pour te la mettre
-Jean, chéri, cesse de draguer.

Bien, il convient de se préparer pour le restaurant. A table Léa rappelle à Mylène que nous aurons des invités ce soir dans notre bungalow. J’espérais un report. Elles combinent, arrangent. Les deux maris seront à égalité en position de voyeurs. Trois jeunes hommes se sont portés volontaires pour faire l’amour à ma femme. Ce sera difficile, mais avec un peu d’imagination les deux morues leur donneront satisfaction. Le service de qualité les incitera à revenir. La quinzaine n’est pas finie. Mylène déteint sur Léa. Il y aura du spectacle.

-Hé, mais moi, je ne suis pas Jean, je ne rêve pas de voir ma femme sautée par des inconnus!

Le culot. Léo s’est fait la mienne et il veut se garder la sienne.
-Mon amour, as-tu protesté hier quand je me suis fait embrocher par Jean?
-En premier, j’étais trop occupé avec sa femme pour faire attention à vous deux. Et puis j’aurais été mauvais joueur de protester alors que je limais Mylène. Mais tes petits jeunes qu’offrent-ils en contrepartie?
-Ils vont nous donner du plaisir, c’est-le plus beau cadeau. Et après on les oubliera. Mais j’ai engagé ma parole. Je n’avais pas prévu le problème des règles de Mylène. Nous avons résolu le problème, les solutions existent et nos hôtes apprécieront.
-Donc toi aussi tu trouves que ton mari n’est pas à la hauteur et que notre vie sexuelle n’est plus excitante.

Bizarre, ce « toi aussi ». Cela sous-entend des confidences de Mylène selon lesquelles je ne suffis plus à satisfaire ses envies. Qui veut noyer son chien, dit qu’il a des puces et femme qui veut tromper son mari le déclare « insuffisant ». Je vais leur prouver le contraire.

-D’accord, je serai voyeur, mais moi aussi je pose une condition, comme Jean. Avant l’arrivée des invités je ferai l’état des lieux, extérieur et intérieur compris.

Le sol de notre salle de séjour est couvert de matelas jusqu’au canapé. Soudain Mylène et Léa terrassent Léo aux cris de « Inspection ». Elles le roulent à terre, lui arrachent ses vêtements et se partagent son corps.
- Fais ton état des lieux, vantard.

Par les cheveux il attrape Mylène et attire à sa bouche les lèvres rouges. Le baiser se noue. Je chasse un chat dans ma gorge. Ma femme tourne les yeux vers moi, fait avec les mains un geste d’impuissance, il est trop fort, il la tient et elle doit souhaiter que je comprenne la difficulté dans laquelle elle se débat. Mon deuxième chat dans la gorge est sans effet. La lutte est inégale entre celui qui veut et celle à qui ça ne déplaît pas vraiment. Léo accentue son pouvoir en prenant en main les seins et en coinçant un genou entre les cuisses de sa conquête. Ils sont repartis dans leur baiser profond, s’aspirent, se tordent et se caressent. Mon vœu ne vaut pas un pet. J’arrache Léa à la verge de son mari, la tringle sort de sa bouche avec un flop significatif. Je couche la belle femme le long des deux autres, à hauteur des yeux de ma femme et je me mets à bouffer le trognon de ce beau reste délaissé… Le spectacle a donné consistance à mes attributs, j’en profite, j’envoie l’oiseau vers sa cage. Je dénude sa poitrine et me gave de la chair de ses seins rebondis aux tétons réactifs. Surprise par la rapidité de l’attaque Léa facilite mon intrusion, m’ouvre de ses doigts l’accès à sa chatte et miaule en rigolant. Je m’enfonce en elle comme une souris dans la gueule de la chatte, et je passe sur son corps ma rage de voir Mylène se laisser embrasser trop amoureusement par Léo. Léa passe ses mains dans mes cheveux, exagère ses plaintes d’amour, crie
-Vas-y mon chéri, fais-moi bien l’amour. Oui, entre à fond, défonce-moi, bourre moi, je suis à toi, remplis-moi de ton sperme, bouge, plus fort. Ah! Ah!
Son sexe déjà pénétré et contenté hier, se donne pleinement, elle arque son corps sous le mien, se tend vers le plaisir et pour comble elle m’enlace et me livre sa bouche. C’est le don total, ce don dont j’ai tenté en vain de dissuader ma femme. Selon Mylène, cela fait partie du jeu et c’est indispensable pour atteindre la plénitude du plaisir: il n’y a pas de raison de m’interdire ce que ma femme s’accorde avec Léo. Et je colle aux lèvres de ma partenaire pour échanger un baiser fougueux. L’union parfaite se conclut en une jouissance partagée, mais bruyante chez Léa. Nous restons allongés, liés, nous attendons l’apaisement qui succède à l’orgasme. Léa serait-elle amoureuse de moi?

Par miracle Mylène a dégagé son bras et m’envoie une claque sur les fesses et sa bouche se libère. Léo n’y comprends rien, veut savoir ce qui arrive, cesse le baiser mais proteste
-Jean, stop, c’est ma femme. Faut pas abuser. Je ne peux pas prendre la tienne de cette façon à cause de ses règles; c’est injuste. Et c’est quoi cette manière de vous embrasser?
-Ma femme, tu l’as tringlée hier. Permets que j’honore ta femme de la même façon aujourd’hui. Et si tu ne peux pas posséder Mylène par devant, pourquoi ne l’encules-tu pas? Tu as mon accord pour lui défoncer le fion. As-tu besoin d’aide? Mylène peut te masturber et t’exciter avec la bouche. Quand tu te sentiras assez dur, fais signe, nous lui écarterons les fesses et tu pourras y faire trempette jusqu’à l’arrivée des trois visiteurs annoncés.

Léo s’installe sur le canapé. Ma femme s’agenouille sur le matelas entre ses jambes et saisit à deux mains une queue déjà présentable. Elle la masturbe avec entrain, avec l’espoir de réserver ses forces et ses orifices à ceux qu’elle attend. Ses mains s’activent, l’une fixe la base à hauteur des testicules, l’autre parcourt avec science la tige de Léo et dans certains mouvements elle décalotte le gland. La recommandation pour le baiser bouche à bouche ne s’applique pas ici. Aussi complète-t-elle le travail de ses doigts par de rapides baisers sur la tête de la verge. Du petit bisou elle passe à un léger enveloppement. La bouche reçoit une part de plus en plus grande de la bite, se met à aspirer. Mylène y prend goût, suce et enfourne avec un plaisir indéniable. Elle est à son affaire. Sous moi Léa admire mais s’impatiente
-Hé, tu m’oublies?
Léo de son côté sent monter la sève:
-Bon, ça va Mylène, grimpe sur le canapé et présente-moi la porte arrière. Je ne vais pas dédaigner l’offre de ton mari. Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. Battons le fer tant qu’il est chaud; l’occasion ne se présentera peut-être plus. Un petit tour à Sodome ne me déplaira pas et Léa va venir faciliter l’entrée. Tu veux bien? Je n’osais pas te mettre ma queue dans les entrailles. Merci Jean pour ton ouverture d’esprit.

Léa l’interrompt
-Voilà du nouveau. Jamais tu n’as voulu me prendre par derrière sous prétexte que c’était sale. Pourquoi le cul de Mylène serait-il plus propre que le mien? Si tu lui fourres ta bite dans les tripes, tu devras me ramoner la cheminée, quitte à me faire d’abord un lavement.
Mylène dégage sa responsabilité:
-Sur ordre de mon mari, je me soumets à cette nécessité. S’il te plaît, sois patient, ne me déchire pas la dernière salle d‘accueil, je crois que ce sera mon principal atout ce soir. Doucement. Je n’ai besoin de personne pour m’aider. Donne-moi deux doigts dans la bouche puis va les introduire dans mon anus. Tourne et enfonce, c’est particulier, sans doute une question d’habitude. Hum… vrille, creuse. Maintenant essaie avec ta queue.

Bon prince je délivre Léa de mon poids. Je tiens à assister à cette seconde sodomie de ma tendre chérie en quarante huit heures. Si elle jouit du cul avec Léo, j’aurai un bonheur supplémentaire. Je vois les mains de Mylène posées sur la pointe des fesses, en train de tirer les muscles vers l’extérieur. Léo tâtonne à l’entrée, pousse et s’étonne de pénétrer aussi facilement. Par à-coups, il fait disparaître sa pine dans les entrailles. Il observe les recommandations, se montre patient et doux. Il est debout derrière le fessier où il a planté son pieu, debout sur la pointe des pieds. D’un mot il obtient de ma femme qu’elle écarte davantage ses genoux. La croupe plus basse est au bon niveau. Léo cherche nos regards, fier de cette conquête. Au début il domine son instinct, son va et vient est lent, Mylène geint faiblement à chaque invasion. Peu à peu, boyaux et bite s’habituent, le rythme s’élève. Léo pose un pied sur le canapé, tend une main, saisit le haut du dossier, tire et réussit à monter son deuxième pied sur le canapé. Ainsi accroupi, il domine la croupe percée et se sent plus fort. Les coups se précipitent, son souffle s’emballe et les gémissements de ma femme sous la charge enragée de son enculeur deviennent des plaintes. Il lui allume un feu d’artifice dans l’arrière salle.

A ce moment Léa se dégage, approche du couple, va regarder de près ce piston violent. Par-dessous elle glisse une main sur la vulve hors d’usage et se met à la recherche du clitoris. Léo pompe, Léa frotte, Mylène se rend, crie de bonheur. Ca fait plaisir à entendre, je caresse ses seins et lis sur son visage l’explosion d’un orgasme fantastique. C’est fait, son corps n’a plus de mystère pour son collègue de travail; il retrouve pied sur la couche de matelas, abandonne l’antre pour essuyer, soucieux, un bâton aux couleurs mêlées de blanc et de brun.
Mylène récupère, souffle, figée dans la position du coït. Ma caresse sur sa poitrine l’apaise. Je me penche: Etrangement un liquide laiteux quitte avec de petites bulles pétillantes la rondelle élargie qui se referme. Léa s’en amuse et sur un index elle recueille du sperme de son mari pour le porter à sa bouche. Elle suit mon regard, abandonne son idée et va chercher une serviette pour nettoyer son doigt et l’entre-fesse brûlant de l’amie.
-Formidable, me dit Léo. Si le cœur t’en dit, sodomise Léa.
-Tu as encore une demi-heure avant l’arrivée des jeunes, je te laisse le plaisir de préparer ta femme à ce genre de fantaisie. Qui sait, ces jeunes n’ont peur de rien et pourraient s’intéresser à tous les orifices de nos chères dévergondées. Mylène n’aura pas grand-chose d’autre à leur donner. S’ils prennent goût à la sodomie, ta Léa aura droit à ce bonheur singulier. Initie-la ou elle t’en voudra d’avoir laissé à d’autres le soin et la joie de la découverte de la sodomie.

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