C'est comme au cinéma !
Récit érotique écrit par Alain40 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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C'est comme au cinéma !
Ce texte était une commande d'une lectrice qui a aimé mes précédents récits. Le thème qu'elle voulait que j'écrive était sur "l'amour dans une ruelle".
Si comme elle, vous voulez me donner un sujet, je le transcrirai à ma manière.
La ruelle
Il était 20 h quand la séance allait débuter. C'était un de ces films à la mode à aller voir au cinéma. Vous avez, ces films avec une histoire d'amour, mais mêlés de scènes érotiques voire plus qu'érotiques. Ce n'est pas le genre de films pour pervers, non car pas assez porno. Cela permet de s'encanailler, sans aller dans des lieux non fréquentables. C'est un parfait mélange de sensualité, d'amour et d'érotisation de l'esprit, donc du corps.
Il y avait surtout des couples dans cette salle, enfin, je ne voyais pas grand chose dans cette endroit obscur. Juste quelques rires nerveux pendant les pubs ; des rires d'adolescents qui allaient dépasser l'interdit : voir de la nudité au cinéma , comme dans les meilleurs fantasmes de ménagère.
Il n'en manquera pas dailleurs de nudité ! De belles femmes, des hommes musclés, des poitrines androgynes aux tétons paraissant énormes, quelques cravaches et lingeries exagérées. Mais il y avait aussi des baisers langoureux, des pleurs et des yeux amoureux.
J'ai aussi deviné quelques bruits sensuels ne venant pas de l'écran mais de la salle... Je ne voyais rien mais entendais quelques gémissements, quelques slurps et bruits de succion trois rangs devant. Pourtant je ne voyais qu'une tête au dessus du fauteuil, une tête qui s'agitait de plaisir j'en suis sûr. J'en étais persuadé quand une deuxième tête décoiffée et toute ébouriffée s'est relevée.
De mon côté, j'ai bien bandé pendant une heure trente. J'attends un peu de ramollir pendant le générique de fin, question de ne pas trop me faire remarquer. Je me dirige vers la porte, tiens la porte à la personne derrière moi qui me dit un grand merci, très féminin.
« Je vous en prie ». lui dis-jeJe retiens à nouveau la porte suivante et elle me remercie à nouveau.
Mon deuxième « je vous en prie » est dit avec un sourire.
Une grande brune, bien faîte et toute seule.
«Vous avez aimé ? » je lui demande. Il fallait absolument que j'entame la conversation. Ses yeux sont coquins. Le film qu'elle vient de voir est coquin. Son débardeur rempli d'une belle poitrine est coquin. Je suis coquin.
Elle rougit. Que répondre à cette question concernant un tel film ! Je lui aurai demandé « avez vous aimé star wars », pas de gêne, mais là...
« C'est une belle histoire d'amour. Et je dois vous avouer, me dit elle, en se pinçant les lèvres, que c'est aussi très sensuel., surtout la scène dans la ruelle sombre. »
Je me lance... « prendriez vous un verre ».
Elle me répond j'aimerai plutôt voir une deuxième fois ce film ».
Je tente alors un« Je peux vous accompagner ? » « Avec plaisir » fit-elle sans réfléchir,
Nous voilà alors à la séance de 22h, moins de monde dans la salle.
Elle est à côté de moi et on a les mêmes rires idiots que les précédents spectateurs. On a chacun un bras sur le même accoudoir. J'ai une vue plongeante sur ses seins imposants.
Son pantalon blanc laisse deviner la couleur de ses jambes.
J'aime son odeur.
Le film commence. Je lui lance quelques coups d'oeil quand les scènes deviennent obscènes. Elle croise le mien et garde ses yeux posés sur les miens. C'est moi qui perd cette bataille des regards et redirige mes yeux sur l'écran.
Puis vient sa scène préférée de la petite ruelle abandonnée.
Quand je tourne ma tête vers elle, je vois le bout de ses doigts titiller machinalement le haut de sa poitrine. Elle s'en rend compte quand elle croise mon regard...
« Cette scène vous excite vraiment ? »« Ouuiii » soupire t-elle.
J'enchaîne : « Vous savez où aboutit la sortie de secours de ce cinéma ? »
Elle se jette alors sur mes lèvres pour un baiser inondant nos bouches de sueurs buccales. Elle s'arrête et me défie du regard, prend ma main et m’emmène à l'extérieur
Nous voilà dehors, il ne fait pas si chaud, mais à nous de jouer notre scène érotique. On se dirige au fond de cette impasse, cachés de tout riverain . Elle est de dos, le long d'une voiture. On s'embrasse à nouveau. Fougueusement. Je lui abaisse son débardeur et sort ses seins fermes du soutien-gorge. Je commence à les pétrir et à les sucer. Ses tétons durs restent entre mes lèvres. Je les mords car il faut que ce soit rapide, violent entre nous. Elle veut rebaiser comme dans le film.
Elle gémit dans mon oreille qu'elle lèche. J'adore ça. j'adore bander grâce à cette langue à cet endroit.
On change les positions ; me voilà adossé. Elle arrache ma chemise car elle veut mon torse poilu, tout contre ses nichons. Elle glisse une main dans mon pantalon. Je l'aide en le dégrafant.Elle semble ravie de ma vitalité phallique. Je respire fort dans sa main. Je lui prend la tête et la dirige vers le sol..
Je la stoppe le long des tétons. Elle comprend qu'il faut me les sucer. Sa poitrine arrive à hauteur de mon gland. Je me branle à l'espagnole avec. Puis je l'accompagne vers ma bite qu'elle prend en bouche goulûment.. Ma bite est raide, dure. Elle me regarde vicieusement, une main dans sa culotte...
Je fais des va et viens, mimant une pénétration .
Elle pense me calmer en me mettant un doigt dans le cul ! Elle ne fait que m'exciter plus ; elle en est surprise mais prend goût à me doigter...
Je l'aide à se relever. Elle se met à poils. Une chatte parsemée, qui laisse voir tout son entre jambes. Elle me dit : « lèche moi vite ». Je lui obéis en enfonçant ma langue au travers de ce trou imbibé de nos liquides que je savoure.
Je lui rends mon doigt dans ses fesses Après lui avoir mangé sa chatte accueillante, je m'attaque plus méthodiquement à son clito que je lèche de bas en haut, doucement, puis avec force et entrain. Au fur et à mesure qu'elle mouille, moi j'aspire et savoure.Elle se tient sur la voiture, mais je sens ses jambes qui flageolent . Elle finit par trébucher dans un cri intense.
On s’est habitué à l'obscurité de cette ruelle, et on se voit mieux.
« Dans le film, elle est prise par derrière » me suggère t-elle. Je me rappelle bien de cette scène. Je la plaque la poitrine sur le capot de la voiture et lui plante mon phallus de bois dans sa chatte si légère. Je la trouve étroite. J'adore ça. Je commence mon rodéo sous les rebonds des amortisseurs de la caisse ? Mon souffle fort accompagne ses petits cris ? Je casse mon rythme par moments pour enfoncer mon dard plus énergiquement et puis, je me radoucit.
Je la tiens par le cul, chaque fesse dans une main, comme une poignée.
Elle désire changer de position . On se met debout. Elle lève un pied qu'elle pose sur le capot. Moi derrière, cest la position idéale pour que ma verge la pènetre au plus profond.. Elle sent tout de suite que je vais loin en elle. On a trouvé notre cadence, moi accroché à ses seins, elles se caressant..
Une petite pluie fait son apparition. On adore ça ! Je suis sûr qu'on ous observe, ce n'est pas possible de ne pas avoir été grillés, mais bon tant qu'on est pas arrêtés par les flics pour exhibition, on enchaîne. Cela augmente notre excitation.
Sentant que je ne pourrai aller plus loin sans éclater, je sors d'elle et la lèche par derrière.
« Tu sais, dans la ruelle je l'ai trouvée surprise subitement la fille ... alors toi aussi lèche moi l'anus » C'est une main sur son clito humide, que ma langue fait des ronds autour de son fion avant de revenir au centre ce celui-ci.
« Je ne t'enculerai pas ce soir »je lui dis sous fond de défi de se revoir...
« Tant que tu gardes ton sperme pour me le gicler sur mes seins, ça m'ira » gémit elle « mais avant, tu me rentrerais une main dans mon sexe ? »
« Comment », je bégaie. « Ce film est un mélange de sado et maso. Vivons le à fond. » affirme t-elle.
Donnez moi votre main » ; elle me la prend pour la lubrifier de salive puis me la dirige sur son entre jambes. Je fais ma main la plus petite possible en resserrant les doigts.
L'auriculaire, l'index et le majeur rentrent facilement et lui font plaisir..
« Vas y » me supplie t-elle.L'annulaire les rejointLe pouce s'insert en écartant les lèvres mais il me devient difficile de passer la paume.
Elle écarte ses lèvres en écartant les jambes et par aspiration voilà ma main en elle. Je dois la laisser ferme pour qu'elle ne ressorte pas comme un suppo ! Je la bouge dans son sexe béant, et lèche son abricot bien mur. Elle décolle.... Elle se trémousse et me demande d'aller plus haut. Ma main sur ma bite me laisse droit. Son vagin paraît court, mais j'arrive au dessus du poignet. Quelle drôle de sensation d 'être dedans. Je tend le bout de mes doigts sur ses parois, le secret de tout bon doigtage.
On est tout trempés par la pluie qui vient de cesser. Ses cheveux ont une forme sauvage et bestiale... pour deux animaux en rûte que nous sommes.
En jouissant une dernière fois, elle veut que je la repénètreMa bite ferme et dure, retourne la visiter mais sans douceur...
Je sens ma queue si fine, dans ce sexe élargi par ma main, mais elle semble quand même apprécier...
« Jouis moi dessus » me propose t-elle
J'aime jouir loin et fort, alors il faut vraiment que je sois au bout de l'excitation. Alors je la bourre très vite, à nous en couper le souffle.
« Je te sens gros », et elle a raison.
Je suis si gonflé, que je sens le bon moment de me retirer.
Je retire la capote ...Et en me branlant un peu, explose en contractant tout mon corps Je la souille d'un premier éclat puissant plus haut que ses seinsIl faut être un homme pour comprendre ; quand on jouit cela dure le temps de quelques jets. Quand le premier jet part mal, la jouissance n'est pas terrible. Ce n'est pas le cas ici.
Je me sens tomber lors du deuxième jet sur ses seins. D'un doigt elle étale ma semence sur toute sa poitrine. Elle reçoit le troisième jet sur son cou, ce qui la surprend mais la fait sourire.
Les autres jets plus anecdotiques lui permettront un massage gluant... Elle s'en léchera les doigts de plaisir, tout en m'y faisant goûter.
On reste quelques secondes essoufflés sur cette voiture …Elle se rhabille.
Moi aussi.
Elle s'en va sans moi.
« Comment se reverra t-on ? » Je lui lance.
Elle ne répond pas et continue sa route
Elle se retourne quand même : « j'adore le cinéma le mercredi soir à 20h.. »
Si comme elle, vous voulez me donner un sujet, je le transcrirai à ma manière.
La ruelle
Il était 20 h quand la séance allait débuter. C'était un de ces films à la mode à aller voir au cinéma. Vous avez, ces films avec une histoire d'amour, mais mêlés de scènes érotiques voire plus qu'érotiques. Ce n'est pas le genre de films pour pervers, non car pas assez porno. Cela permet de s'encanailler, sans aller dans des lieux non fréquentables. C'est un parfait mélange de sensualité, d'amour et d'érotisation de l'esprit, donc du corps.
Il y avait surtout des couples dans cette salle, enfin, je ne voyais pas grand chose dans cette endroit obscur. Juste quelques rires nerveux pendant les pubs ; des rires d'adolescents qui allaient dépasser l'interdit : voir de la nudité au cinéma , comme dans les meilleurs fantasmes de ménagère.
Il n'en manquera pas dailleurs de nudité ! De belles femmes, des hommes musclés, des poitrines androgynes aux tétons paraissant énormes, quelques cravaches et lingeries exagérées. Mais il y avait aussi des baisers langoureux, des pleurs et des yeux amoureux.
J'ai aussi deviné quelques bruits sensuels ne venant pas de l'écran mais de la salle... Je ne voyais rien mais entendais quelques gémissements, quelques slurps et bruits de succion trois rangs devant. Pourtant je ne voyais qu'une tête au dessus du fauteuil, une tête qui s'agitait de plaisir j'en suis sûr. J'en étais persuadé quand une deuxième tête décoiffée et toute ébouriffée s'est relevée.
De mon côté, j'ai bien bandé pendant une heure trente. J'attends un peu de ramollir pendant le générique de fin, question de ne pas trop me faire remarquer. Je me dirige vers la porte, tiens la porte à la personne derrière moi qui me dit un grand merci, très féminin.
« Je vous en prie ». lui dis-jeJe retiens à nouveau la porte suivante et elle me remercie à nouveau.
Mon deuxième « je vous en prie » est dit avec un sourire.
Une grande brune, bien faîte et toute seule.
«Vous avez aimé ? » je lui demande. Il fallait absolument que j'entame la conversation. Ses yeux sont coquins. Le film qu'elle vient de voir est coquin. Son débardeur rempli d'une belle poitrine est coquin. Je suis coquin.
Elle rougit. Que répondre à cette question concernant un tel film ! Je lui aurai demandé « avez vous aimé star wars », pas de gêne, mais là...
« C'est une belle histoire d'amour. Et je dois vous avouer, me dit elle, en se pinçant les lèvres, que c'est aussi très sensuel., surtout la scène dans la ruelle sombre. »
Je me lance... « prendriez vous un verre ».
Elle me répond j'aimerai plutôt voir une deuxième fois ce film ».
Je tente alors un« Je peux vous accompagner ? » « Avec plaisir » fit-elle sans réfléchir,
Nous voilà alors à la séance de 22h, moins de monde dans la salle.
Elle est à côté de moi et on a les mêmes rires idiots que les précédents spectateurs. On a chacun un bras sur le même accoudoir. J'ai une vue plongeante sur ses seins imposants.
Son pantalon blanc laisse deviner la couleur de ses jambes.
J'aime son odeur.
Le film commence. Je lui lance quelques coups d'oeil quand les scènes deviennent obscènes. Elle croise le mien et garde ses yeux posés sur les miens. C'est moi qui perd cette bataille des regards et redirige mes yeux sur l'écran.
Puis vient sa scène préférée de la petite ruelle abandonnée.
Quand je tourne ma tête vers elle, je vois le bout de ses doigts titiller machinalement le haut de sa poitrine. Elle s'en rend compte quand elle croise mon regard...
« Cette scène vous excite vraiment ? »« Ouuiii » soupire t-elle.
J'enchaîne : « Vous savez où aboutit la sortie de secours de ce cinéma ? »
Elle se jette alors sur mes lèvres pour un baiser inondant nos bouches de sueurs buccales. Elle s'arrête et me défie du regard, prend ma main et m’emmène à l'extérieur
Nous voilà dehors, il ne fait pas si chaud, mais à nous de jouer notre scène érotique. On se dirige au fond de cette impasse, cachés de tout riverain . Elle est de dos, le long d'une voiture. On s'embrasse à nouveau. Fougueusement. Je lui abaisse son débardeur et sort ses seins fermes du soutien-gorge. Je commence à les pétrir et à les sucer. Ses tétons durs restent entre mes lèvres. Je les mords car il faut que ce soit rapide, violent entre nous. Elle veut rebaiser comme dans le film.
Elle gémit dans mon oreille qu'elle lèche. J'adore ça. j'adore bander grâce à cette langue à cet endroit.
On change les positions ; me voilà adossé. Elle arrache ma chemise car elle veut mon torse poilu, tout contre ses nichons. Elle glisse une main dans mon pantalon. Je l'aide en le dégrafant.Elle semble ravie de ma vitalité phallique. Je respire fort dans sa main. Je lui prend la tête et la dirige vers le sol..
Je la stoppe le long des tétons. Elle comprend qu'il faut me les sucer. Sa poitrine arrive à hauteur de mon gland. Je me branle à l'espagnole avec. Puis je l'accompagne vers ma bite qu'elle prend en bouche goulûment.. Ma bite est raide, dure. Elle me regarde vicieusement, une main dans sa culotte...
Je fais des va et viens, mimant une pénétration .
Elle pense me calmer en me mettant un doigt dans le cul ! Elle ne fait que m'exciter plus ; elle en est surprise mais prend goût à me doigter...
Je l'aide à se relever. Elle se met à poils. Une chatte parsemée, qui laisse voir tout son entre jambes. Elle me dit : « lèche moi vite ». Je lui obéis en enfonçant ma langue au travers de ce trou imbibé de nos liquides que je savoure.
Je lui rends mon doigt dans ses fesses Après lui avoir mangé sa chatte accueillante, je m'attaque plus méthodiquement à son clito que je lèche de bas en haut, doucement, puis avec force et entrain. Au fur et à mesure qu'elle mouille, moi j'aspire et savoure.Elle se tient sur la voiture, mais je sens ses jambes qui flageolent . Elle finit par trébucher dans un cri intense.
On s’est habitué à l'obscurité de cette ruelle, et on se voit mieux.
« Dans le film, elle est prise par derrière » me suggère t-elle. Je me rappelle bien de cette scène. Je la plaque la poitrine sur le capot de la voiture et lui plante mon phallus de bois dans sa chatte si légère. Je la trouve étroite. J'adore ça. Je commence mon rodéo sous les rebonds des amortisseurs de la caisse ? Mon souffle fort accompagne ses petits cris ? Je casse mon rythme par moments pour enfoncer mon dard plus énergiquement et puis, je me radoucit.
Je la tiens par le cul, chaque fesse dans une main, comme une poignée.
Elle désire changer de position . On se met debout. Elle lève un pied qu'elle pose sur le capot. Moi derrière, cest la position idéale pour que ma verge la pènetre au plus profond.. Elle sent tout de suite que je vais loin en elle. On a trouvé notre cadence, moi accroché à ses seins, elles se caressant..
Une petite pluie fait son apparition. On adore ça ! Je suis sûr qu'on ous observe, ce n'est pas possible de ne pas avoir été grillés, mais bon tant qu'on est pas arrêtés par les flics pour exhibition, on enchaîne. Cela augmente notre excitation.
Sentant que je ne pourrai aller plus loin sans éclater, je sors d'elle et la lèche par derrière.
« Tu sais, dans la ruelle je l'ai trouvée surprise subitement la fille ... alors toi aussi lèche moi l'anus » C'est une main sur son clito humide, que ma langue fait des ronds autour de son fion avant de revenir au centre ce celui-ci.
« Je ne t'enculerai pas ce soir »je lui dis sous fond de défi de se revoir...
« Tant que tu gardes ton sperme pour me le gicler sur mes seins, ça m'ira » gémit elle « mais avant, tu me rentrerais une main dans mon sexe ? »
« Comment », je bégaie. « Ce film est un mélange de sado et maso. Vivons le à fond. » affirme t-elle.
Donnez moi votre main » ; elle me la prend pour la lubrifier de salive puis me la dirige sur son entre jambes. Je fais ma main la plus petite possible en resserrant les doigts.
L'auriculaire, l'index et le majeur rentrent facilement et lui font plaisir..
« Vas y » me supplie t-elle.L'annulaire les rejointLe pouce s'insert en écartant les lèvres mais il me devient difficile de passer la paume.
Elle écarte ses lèvres en écartant les jambes et par aspiration voilà ma main en elle. Je dois la laisser ferme pour qu'elle ne ressorte pas comme un suppo ! Je la bouge dans son sexe béant, et lèche son abricot bien mur. Elle décolle.... Elle se trémousse et me demande d'aller plus haut. Ma main sur ma bite me laisse droit. Son vagin paraît court, mais j'arrive au dessus du poignet. Quelle drôle de sensation d 'être dedans. Je tend le bout de mes doigts sur ses parois, le secret de tout bon doigtage.
On est tout trempés par la pluie qui vient de cesser. Ses cheveux ont une forme sauvage et bestiale... pour deux animaux en rûte que nous sommes.
En jouissant une dernière fois, elle veut que je la repénètreMa bite ferme et dure, retourne la visiter mais sans douceur...
Je sens ma queue si fine, dans ce sexe élargi par ma main, mais elle semble quand même apprécier...
« Jouis moi dessus » me propose t-elle
J'aime jouir loin et fort, alors il faut vraiment que je sois au bout de l'excitation. Alors je la bourre très vite, à nous en couper le souffle.
« Je te sens gros », et elle a raison.
Je suis si gonflé, que je sens le bon moment de me retirer.
Je retire la capote ...Et en me branlant un peu, explose en contractant tout mon corps Je la souille d'un premier éclat puissant plus haut que ses seinsIl faut être un homme pour comprendre ; quand on jouit cela dure le temps de quelques jets. Quand le premier jet part mal, la jouissance n'est pas terrible. Ce n'est pas le cas ici.
Je me sens tomber lors du deuxième jet sur ses seins. D'un doigt elle étale ma semence sur toute sa poitrine. Elle reçoit le troisième jet sur son cou, ce qui la surprend mais la fait sourire.
Les autres jets plus anecdotiques lui permettront un massage gluant... Elle s'en léchera les doigts de plaisir, tout en m'y faisant goûter.
On reste quelques secondes essoufflés sur cette voiture …Elle se rhabille.
Moi aussi.
Elle s'en va sans moi.
« Comment se reverra t-on ? » Je lui lance.
Elle ne répond pas et continue sa route
Elle se retourne quand même : « j'adore le cinéma le mercredi soir à 20h.. »
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