C'était à prévoir 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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C'était à prévoir 2
Une fois la culotte sur le sol, lentement Adeline écarte les jambes de sa future belle-mère, elle regarde la chatte aux lèvres bien charnues, ruisselante de cyprine. Elle avance la main vers le puits d'amour. Caresse de base en haut la fente humide, et lentement enfonce un doigt dans le coquillage aux effluves odorantes. Lucette se cabre et ouvre les yeux, elle est rouge comme une pivoine. Le doigt fait quelques allers et retours dans la gaine, avant qu'un second visiteur le rejoigne.
Lucette mouille comme une fontaine, elle ne repousse pas les agresseurs, au contraire, elle gémit doucement. Adeline se redresse, Lucette se sent frustrer. Mais la coquine lui déboutonne son corsage et lui dégrafe le soutien-gorge. Elle fait jaillir la lourde poitrine qui s'affaisse sur le torse de la femme fébrile. Adeline est impressionnée par les bouts énormes qui sont plantés au centre des taches brunes. Elle ne peut s'empêcher de les triturer, comme de petits vérins les mamelons se tendent. Avec habileté, Adeline les agace, les fait encore grossir avant de les gober tour à tour.
Lucette croit rêvé, elle souffle à chaque succion sur ses bouts. Adeline se fait vorace, elle tète, suce comme un enfant qui s'allaite. Lucette gémit comme une bête agonisante. Enfin, après avoir fait durcir les seins, dévorée les mamelons, Adeline reprend place en face de Lucette. Elle lui écarte les cuisses et avance sa tête entre les cuisses, en s'approchant du fruit trop mûr qui rejette son jus. Dès que la bouche se pose sur sa vulve, Lucette pousse un gémissement terrible en se cabrant.
Avec une audace inouïe, Adeline lui dévore l'abricot en gémissant elle aussi. Sa langue s'enfonce profondément dans le vagin en ébullition, le fouille si fort que Lucette croit mourir de plaisir. Une première jouissance la fait cabrer. Mais Adeline n'en a pas fini avec elle, elle lui aspire le clito qui est devenue énorme. Elle le suce avidement, le mordille, le tète, elle veut que Lucette jouisse une nouvelle fois. C'est d'ailleurs ce qui se passe, c'est en criant son plaisir que Lucette jouit.
Marc refait son apparition, il est entièrement nu, sa verge est dressée comme un mat. Il s'avance vers le couple en caressant son mandrin. Adeline souriant se dégage des cuisses se Lucette, qui reste figée en regardant le membre menaçant de son fils s'approcher d'elle. Il le passe délicatement le gland sur les lèvres de sa maman qui voudrait hurler de honte. Mais les douces paroles que prononce son fils l'encourage :
-Suce maman, je sais que cela fait des années que tu n'as pas eu en bouche un membre, je t'offre le mien en signe d'amour, ouvre la bouche maman, ne sois pas réticente, fais-toi plaisir, retrouve les plaisirs du sexe !
Timidement en soupirant fortement, Lucette prend d'une main le verge vivante, elle sent battre le sang dans les veines. Elle ouvre la bouche puis, sans plus se poser de questions, gobe le gland. Les succions sont bruyantes, les aspirations redoutables font gémir Marc, instinctivement tout en suçant la verge, elle branle doucement l'engin de chair. Marc gémit :
-Oh maman, maman, je vais te remplir la bouche de ma semence, avale, maman, avale !
Marc se cabre, et en geignant envoie dans la bouche de sa maman sa semence épaisse. Elle rejette la verge, depuis toutes ses années sans sexe, Lucette avait oublié le goût de cette substance visqueuse. Elle avale à petites gorgées la crème onctueuse, elle sent descendre dans sa gorge le sperme brûlant. Marc se place entre ses cuisses. Elle regarde son fils en écarquillant les yeux et dit :
-Oh comme j'ai honte, non, il ne faut pas aller plus loin mon chéri, je suis ta maman, il ne peut y avoir de sexe entre nous !
Marc ne l'écoute même pas, il frotte plusieurs fois son gland, contre les grandes lèvres détrempées, et pousse. Sa maman se cabre et tente de repousser son fils, elle grimace en répétant :
-Non, non, pas ça Marc, je t'en prie !
Mais le bougre est costaud, il s'accroche aux hanches de sa maman et continue de pousser. Irrémédiablement, sa bite s'enfonce dans le ventre de sa maman, qui instinctivement s'agrippe à lui en vociférant :
-Tu es un monstre, tu me hais pour me faire subir ça, non, non, retire-toi mon Dieu, Marc, non, non !
Adeline doit intervenir :
-Lucette, vous en avez envie autant que lui, laissez-vous aller, prenez du plaisir, ne vous occupez pas, de qui vous le donne !
Elle lui saisit le clito, et le branle rageusement, Lucette se cabre son fils dans un coup de reins, sa bite est totalement dans le ventre de sa maman. Il fait voyager sa bite de plus en plus vite dans la gaine brûlante qui enveloppe parfaitement le membre. À chaque enfoncement, sa maman pousse un gémissement. Plus il lui travaille le ventre, plus elle geint. La tension gagne encore un cran. Lucette plante ses ongles dans le dos de son fils et commence à agiter son bassin comme une forcenée. Elle ne cesse de dire :
-Oh mon chéri, mon chéri, je suis folle, oui, oui, aime ta maman, mon chéri, enfonce bien ta queue, oh comme je la sens bien dans mon ventre, mon Dieu comme tu me prends bien mon chéri, Marc, Marc, je jouiiiiiiiiiiiiis !
Une jouissance terrible fait cabrer Lucette, elle s'accroche à son fils comme un rapace sur sa proie. Marc la démonte comme un beau diable, sa queue voyage dans le ventre de sa maman en la faisant gémir de plaisir. Une seconde jouissant la fait hurler, Adeline lui branle le clito avec rage. Puis l'écrase fortement. Lucette se cambre en jouissant une troisième fois. Marc souffle comme un bœuf, sa respiration est rapide. Il se raidit en remplit le ventre de sa maman avec son sperme épais, en disant :
-C'est pour toi ma maman d'amour !
Il donne quelques estocades avant de se retirer. Lucette git sur le canapé sans force en haletant fortement et dit entre deux souffles :
-Mon chéri, nous sommes des monstres sans scrupules, jamais, nous aurons dû en arriver là, oh comme j'ai honte de moi, je dois-être maudite !
Adeline la caresse doucement et lui dit :
-Il ne faut rien regretter Lucette, ce sont les circonstances et Le manque de sexe qui vous ont poussés à vous aimer, je dois dire que vos jouissances sont fabuleuses, c'est un plaisir à voir et aussi de vous entendre hurler !
Adeline maintenant réclame sa part, elle aussi veut jouir. Elle retire rapidement ses vêtements. Elle regarde Lucette et lui dit :
-Aimez-moi, Lucette, je veux sentir votre bouche sur mon sexe, sur les seins, sur ma peau, aimez-moi, aimez-moi !
Lucette reste sans voix, c'est Marc qui doit la faire revenir sur terre :
-Maman Adeline veut que tu lui fasses l'amour, comme elle te l'a fait, vas-y, je sais que tu n'es pas lesbienne, mais elle n'en plus, pourtant elle t'a dévorée la chatte, fais sur elle ce que tu voudrais que l'on te fasse, aimez-vous mes chéries !
Lucette regarde le corps nu d'Adeline, elle commence maladroitement à lui caresser les seins, ses mains tremblent. Elle réussit à faire geindre Adeline avec sa bouche. Peu à peu, Lucette devient plus audacieuse. Elle travaille les mamelons, les étire, les pince, les roule entre ses doigts. Puis, elle les aspire l'un après l'autre. Les succions de Lucette font geindre fortement Adeline.
Comme une bonne lesbienne, sa bouche descend sur le corps fébrile d'Adeline, embrasse chaque parcelle de peau avant de donner quelques coups de langue sur le nombril. Adeline frissonne, elle se dit que Lucette peut-être une bonne amante, si elle se lâche totalement.
La bouche approche du triangle, automatiquement Adeline ouvre les jambes. Lucette hume fortement la vulve qui dégage une bonne odeur d'amour. Elle donne des coups de langue sur la fente garnit d'une fine toison soyeuse. Sa langue s'insère entre les grandes lèvres et voyage de haut en bas et de base en haut dans le sillon qui sépare les grandes lèvres. Marc reste sans voix, sa maman, bien que non lesbienne, s'avère être une sacrée bouffeuse de minou. Elle se lâche complètement.
Elle enfonce sa langue dans le puits le plus loin possible, le fouille en faisant couiner de plaisir sa proie. Une première jouissance fait gémir Adeline, elle appuie sur la tête de son amante en geignant de plaisir. Adeline sursaute, Lucette vient de lui aspirer le clito et le dévore sans le ménager. Les cris d'Adeline sont bruyants. Lucette lui bouffe la chatte comme une affamée. Une seconde jouissance la fait hurler, Lucette s'en hardi, mais lorsque sa langue se pose sur l'anus d'Adeline et se met à le lécher, là, c'est summum du bonheur. Adeline croit mourir de plaisir, elle relève la tête en disant :
-Marc, Marc, elle me fait mourir ta maman, elle me bouffe le cul comme jamais, on ne me l'a fait, oh que c'est bon, oh putain, je vais encore jouir !
Adeline reçoit comme une décharge électrique dans le ventre, une jouissance monstrueuse la fait cabrer. Prise d'hystérie. Elle bascule Lucette et roule sur elle. Elle se met tête bêche, et rend au quintuple ce que lui à fait Lucette. Lucette gémit férocement lorsque Adeline lui lèche l'anus et réussit à y enfoncer sa langue.
Lucette se tortille comme un ver, c'est la première fois qu'une langue lui fouille l'anus. Elle tente de faire la même chose, c'est insistant qu'elle parvient à enfoncer sa langue dans l'anus d'Adeline. Les deux femmes sont au bord de la syncope. Une jouissance incontrôlable les fait hurler. Les femmes roulent sur le côté, elles halètent fortement.
Marc n'en revient pas, il félicite les amours de sa vie, et leur promet des jouissances avenir, exceptionnels. Il attend que les deux femmes refassent surface avant de reprendre les ébats
Lucette mouille comme une fontaine, elle ne repousse pas les agresseurs, au contraire, elle gémit doucement. Adeline se redresse, Lucette se sent frustrer. Mais la coquine lui déboutonne son corsage et lui dégrafe le soutien-gorge. Elle fait jaillir la lourde poitrine qui s'affaisse sur le torse de la femme fébrile. Adeline est impressionnée par les bouts énormes qui sont plantés au centre des taches brunes. Elle ne peut s'empêcher de les triturer, comme de petits vérins les mamelons se tendent. Avec habileté, Adeline les agace, les fait encore grossir avant de les gober tour à tour.
Lucette croit rêvé, elle souffle à chaque succion sur ses bouts. Adeline se fait vorace, elle tète, suce comme un enfant qui s'allaite. Lucette gémit comme une bête agonisante. Enfin, après avoir fait durcir les seins, dévorée les mamelons, Adeline reprend place en face de Lucette. Elle lui écarte les cuisses et avance sa tête entre les cuisses, en s'approchant du fruit trop mûr qui rejette son jus. Dès que la bouche se pose sur sa vulve, Lucette pousse un gémissement terrible en se cabrant.
Avec une audace inouïe, Adeline lui dévore l'abricot en gémissant elle aussi. Sa langue s'enfonce profondément dans le vagin en ébullition, le fouille si fort que Lucette croit mourir de plaisir. Une première jouissance la fait cabrer. Mais Adeline n'en a pas fini avec elle, elle lui aspire le clito qui est devenue énorme. Elle le suce avidement, le mordille, le tète, elle veut que Lucette jouisse une nouvelle fois. C'est d'ailleurs ce qui se passe, c'est en criant son plaisir que Lucette jouit.
Marc refait son apparition, il est entièrement nu, sa verge est dressée comme un mat. Il s'avance vers le couple en caressant son mandrin. Adeline souriant se dégage des cuisses se Lucette, qui reste figée en regardant le membre menaçant de son fils s'approcher d'elle. Il le passe délicatement le gland sur les lèvres de sa maman qui voudrait hurler de honte. Mais les douces paroles que prononce son fils l'encourage :
-Suce maman, je sais que cela fait des années que tu n'as pas eu en bouche un membre, je t'offre le mien en signe d'amour, ouvre la bouche maman, ne sois pas réticente, fais-toi plaisir, retrouve les plaisirs du sexe !
Timidement en soupirant fortement, Lucette prend d'une main le verge vivante, elle sent battre le sang dans les veines. Elle ouvre la bouche puis, sans plus se poser de questions, gobe le gland. Les succions sont bruyantes, les aspirations redoutables font gémir Marc, instinctivement tout en suçant la verge, elle branle doucement l'engin de chair. Marc gémit :
-Oh maman, maman, je vais te remplir la bouche de ma semence, avale, maman, avale !
Marc se cabre, et en geignant envoie dans la bouche de sa maman sa semence épaisse. Elle rejette la verge, depuis toutes ses années sans sexe, Lucette avait oublié le goût de cette substance visqueuse. Elle avale à petites gorgées la crème onctueuse, elle sent descendre dans sa gorge le sperme brûlant. Marc se place entre ses cuisses. Elle regarde son fils en écarquillant les yeux et dit :
-Oh comme j'ai honte, non, il ne faut pas aller plus loin mon chéri, je suis ta maman, il ne peut y avoir de sexe entre nous !
Marc ne l'écoute même pas, il frotte plusieurs fois son gland, contre les grandes lèvres détrempées, et pousse. Sa maman se cabre et tente de repousser son fils, elle grimace en répétant :
-Non, non, pas ça Marc, je t'en prie !
Mais le bougre est costaud, il s'accroche aux hanches de sa maman et continue de pousser. Irrémédiablement, sa bite s'enfonce dans le ventre de sa maman, qui instinctivement s'agrippe à lui en vociférant :
-Tu es un monstre, tu me hais pour me faire subir ça, non, non, retire-toi mon Dieu, Marc, non, non !
Adeline doit intervenir :
-Lucette, vous en avez envie autant que lui, laissez-vous aller, prenez du plaisir, ne vous occupez pas, de qui vous le donne !
Elle lui saisit le clito, et le branle rageusement, Lucette se cabre son fils dans un coup de reins, sa bite est totalement dans le ventre de sa maman. Il fait voyager sa bite de plus en plus vite dans la gaine brûlante qui enveloppe parfaitement le membre. À chaque enfoncement, sa maman pousse un gémissement. Plus il lui travaille le ventre, plus elle geint. La tension gagne encore un cran. Lucette plante ses ongles dans le dos de son fils et commence à agiter son bassin comme une forcenée. Elle ne cesse de dire :
-Oh mon chéri, mon chéri, je suis folle, oui, oui, aime ta maman, mon chéri, enfonce bien ta queue, oh comme je la sens bien dans mon ventre, mon Dieu comme tu me prends bien mon chéri, Marc, Marc, je jouiiiiiiiiiiiiis !
Une jouissance terrible fait cabrer Lucette, elle s'accroche à son fils comme un rapace sur sa proie. Marc la démonte comme un beau diable, sa queue voyage dans le ventre de sa maman en la faisant gémir de plaisir. Une seconde jouissant la fait hurler, Adeline lui branle le clito avec rage. Puis l'écrase fortement. Lucette se cambre en jouissant une troisième fois. Marc souffle comme un bœuf, sa respiration est rapide. Il se raidit en remplit le ventre de sa maman avec son sperme épais, en disant :
-C'est pour toi ma maman d'amour !
Il donne quelques estocades avant de se retirer. Lucette git sur le canapé sans force en haletant fortement et dit entre deux souffles :
-Mon chéri, nous sommes des monstres sans scrupules, jamais, nous aurons dû en arriver là, oh comme j'ai honte de moi, je dois-être maudite !
Adeline la caresse doucement et lui dit :
-Il ne faut rien regretter Lucette, ce sont les circonstances et Le manque de sexe qui vous ont poussés à vous aimer, je dois dire que vos jouissances sont fabuleuses, c'est un plaisir à voir et aussi de vous entendre hurler !
Adeline maintenant réclame sa part, elle aussi veut jouir. Elle retire rapidement ses vêtements. Elle regarde Lucette et lui dit :
-Aimez-moi, Lucette, je veux sentir votre bouche sur mon sexe, sur les seins, sur ma peau, aimez-moi, aimez-moi !
Lucette reste sans voix, c'est Marc qui doit la faire revenir sur terre :
-Maman Adeline veut que tu lui fasses l'amour, comme elle te l'a fait, vas-y, je sais que tu n'es pas lesbienne, mais elle n'en plus, pourtant elle t'a dévorée la chatte, fais sur elle ce que tu voudrais que l'on te fasse, aimez-vous mes chéries !
Lucette regarde le corps nu d'Adeline, elle commence maladroitement à lui caresser les seins, ses mains tremblent. Elle réussit à faire geindre Adeline avec sa bouche. Peu à peu, Lucette devient plus audacieuse. Elle travaille les mamelons, les étire, les pince, les roule entre ses doigts. Puis, elle les aspire l'un après l'autre. Les succions de Lucette font geindre fortement Adeline.
Comme une bonne lesbienne, sa bouche descend sur le corps fébrile d'Adeline, embrasse chaque parcelle de peau avant de donner quelques coups de langue sur le nombril. Adeline frissonne, elle se dit que Lucette peut-être une bonne amante, si elle se lâche totalement.
La bouche approche du triangle, automatiquement Adeline ouvre les jambes. Lucette hume fortement la vulve qui dégage une bonne odeur d'amour. Elle donne des coups de langue sur la fente garnit d'une fine toison soyeuse. Sa langue s'insère entre les grandes lèvres et voyage de haut en bas et de base en haut dans le sillon qui sépare les grandes lèvres. Marc reste sans voix, sa maman, bien que non lesbienne, s'avère être une sacrée bouffeuse de minou. Elle se lâche complètement.
Elle enfonce sa langue dans le puits le plus loin possible, le fouille en faisant couiner de plaisir sa proie. Une première jouissance fait gémir Adeline, elle appuie sur la tête de son amante en geignant de plaisir. Adeline sursaute, Lucette vient de lui aspirer le clito et le dévore sans le ménager. Les cris d'Adeline sont bruyants. Lucette lui bouffe la chatte comme une affamée. Une seconde jouissance la fait hurler, Lucette s'en hardi, mais lorsque sa langue se pose sur l'anus d'Adeline et se met à le lécher, là, c'est summum du bonheur. Adeline croit mourir de plaisir, elle relève la tête en disant :
-Marc, Marc, elle me fait mourir ta maman, elle me bouffe le cul comme jamais, on ne me l'a fait, oh que c'est bon, oh putain, je vais encore jouir !
Adeline reçoit comme une décharge électrique dans le ventre, une jouissance monstrueuse la fait cabrer. Prise d'hystérie. Elle bascule Lucette et roule sur elle. Elle se met tête bêche, et rend au quintuple ce que lui à fait Lucette. Lucette gémit férocement lorsque Adeline lui lèche l'anus et réussit à y enfoncer sa langue.
Lucette se tortille comme un ver, c'est la première fois qu'une langue lui fouille l'anus. Elle tente de faire la même chose, c'est insistant qu'elle parvient à enfoncer sa langue dans l'anus d'Adeline. Les deux femmes sont au bord de la syncope. Une jouissance incontrôlable les fait hurler. Les femmes roulent sur le côté, elles halètent fortement.
Marc n'en revient pas, il félicite les amours de sa vie, et leur promet des jouissances avenir, exceptionnels. Il attend que les deux femmes refassent surface avant de reprendre les ébats
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tout ce que j'aime 😍😍😍
Merci Linsee
Cyrille
Merci Linsee
Cyrille
Rien à dire
Merci linsee
Comme dab
Francie et Luc
Francie et Luc
Terrible