C'était à prévoir
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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C'était à prévoir
Je suis prête à recevoir une nouvelle volée de bois vert, mais la demande est telle, que je me dois de satisfaire certains lecteurs et lectrices. Je souhaite bonne lecture pour certain, désolée pour les autres. Il en faut pour tout le monde, j'assume entièrement.
Lucette, très jeune, séduite par Maurice, un coureur de jupons notoire, est enceinte. À cette époque, être enceinte sans être mariée était une honte pour toute la famille. Les deux jeunes se marient un peu par obligation. Un bébé vient au monde, ils lui donnent le prénom de Marc. Les années passent, mais Maurice continue sa double vie de séducteur. Les scènes de ménage se multiplient, de temps en temps Marc tente de s'interposer vainement.
Marc et sa maman sont très fusionnels, ils se disent tout. Mais un jour, Marc a une proposition d'emploi très intéressante à l'autre bout de la France, il en parle à sa maman. Bien que ce soit un malheur supplémentaire qui s'abat sur elle, elle l'encourage, il faut qu'il pense à son avenir.
Souvent, il est en contact avec sa maman et sait très bien que sa situation ne s'améliore pas, au contraire. Maurice ne cache même plus son infidélité, Lucette est la risée du quartier, elle est montrée du doigt à son passage, et des ricanements se font entendre derrière son dos. Elle n'en peut plus.
Sont fils qui à maintenant trente-cinq ans, téléphone fréquemment à sa maman, il sait que sa maman vit un drame, comme le divorce est mal vue, Lucette endure les pires humiliations. Marc lui propose de là faire venir habiter chez lui. Après une longue réflexion et des scènes journalières, elle décide de quitter son mari pour rejoindre son fils.
Elle arrive chez son fils, les mois passent, elle se sent revivre. Marc, beau garçon, est un célibataire endurcit. Quelques fois, il ramène une femme chez lui et passe la nuit avec. Lucette qui a sa chambre juste à côté, entend les gémissements et les cris de jouissances des deux amants. Elle est heureuse pour son fils, et cela l'excite même.
Maintenant la coquine de maman attend avec impatience que son fils ramène sa conquête chez lui. Pendant que les deux amants s'envoient en l'air.
Lucette, tout ouïe, entrouvre même sa porte pour mieux entendre. Elle repousse les draps, retrousse sa nuisette et comme elle ne porte pas de sous-vêtements, se caresse longuement la vulve, pour Ensuite, saisir son clito et le malmener.
Elle s'acharne sur lui, pour obtenir comme à chaque fois plusieurs jouissances.
C'est très détendue qu'elle se lève le matin pour préparer le petit déjeuner des amants. Les deux descendent, la femme en nuisette a les traits tirés, des cernes sous les yeux, à chacun de ses pas, elle ondule du bassin avec la souplesse d'un félin.
Marc la suit vêtue d'un boxer, il est encore à moitié endormi. Les trois se saluent, en s'embrassant. Marc dit :
-Au fait maman, je te présente Adeline, ma future femme !
Lucette sourit à cette annonce et sert le café, les deux tourtereaux prennent place l'un à côté de l'autre. Ils se regardent amoureusement.
Sans se soucier de la présence de sa maman, pendant le repas, le coquin, passe sa main sous la nuisette de la femme, lui triture la chatte, en retire sa main pour la mettre sous son nez, il hume fortement, et dit en riant :
-Hum sens encore l'amour !
Très gênée, la femme rougit, en regardant Lucette, qui répond par un large sourire. Lucette est rayonnante, son fils semble aimer cette femme, qui au fil des jours, et petit à petit devient son amie. Adeline et Lucette, n'ont plus de secrets, elles se racontent tout de leur vie. Souvent le soir, ils regardent la télé ensemble. Les trois se blottissent l'un contre l'autre en ronronnant comme des félins. Marc à la place d'honneur, il est entre les deux femmes.
Il lui arrive de poser ses mains sur les cuisses des deux femmes et de les caresser machinalement. Mais ce soir, c'est plus osé. Les mains, bien synchronisées, glissent sous les jupes, et lentement progressent sous les tissus. Lucette défaille, cela fait des années qu'on ne l'a caressée. Elle frissonne, rouge de honte, elle se penche pour regarder Adeline, leur regard se croise, Adeline est souriante. Elle baisse la tête légèrement, pour regarder la main de Marc glisser sur la cuisse de sa maman.
Les doigts atteignent leurs buts. Elles appuient doucement sur les vulves qui commencent à chauffer, le petit frottement sur sa fente que seule protège la culotte, rend la maman nerveuse. Lucette a trop honte, elle repousse doucement la main de son fils et se lève. Elle se dit fatiguée et après avoir souhaité une bonne nuit à Adeline et Marc, prend la direction de sa chambre. C'est très perturbée qu'elle enfile sa nuisette, avant de s'allonger sur son lit.
Elle fixe le plafond, elle sent encore les doigts de son fils qui montent et descendent sur sa fente. Elle ravale sa salive, et ne peut se retenir, elle passe sa main sous le tissu et entreprend une masturbation d'enfer. Elle se fait jouir plusieurs fois, avant de chercher le sommeil qu'elle ne trouve pas. Elle se lève, descend et en passant devant le salon, elle entend des gémissements. Elle pousse doucement la porte et voit Adeline sur le canapé, jambes ouvertes avec Marc entre ses cuisses qui la pilonne férocement.
Lucette serre les poings, Adeline pousse des cris de bête en rut. Marc la défonce comme un sauvage. Lucette voit de son poste d'observation la queue vigoureuse de son fils qui entre et ressort de la chatte en ébullition d'Adeline. Un cri terrible fait cabrer Adeline, sa jouissance est phénoménale.
Lucette disparait rapidement, elle va à la cuisine, se sert un verre d'eau et se laisse tomber sur une chaise, sa chatte est brûlante. Ses mains tremblent, elle avale d'un trait son verre puis rejoint discrètement sa chambre.
Une nouvelle série de masturbations est nécessaire pour calmer le feu qui lui ronge les entrailles. Comme c'est le week-end, c'est la grâce matinée. Lucette est déjà debout, le petit déjeuner est prêt. Marc descend en s'étirant, sa maman est appuyée contre l'évier, elle fait la vaisselle de la veille. Soudain, son fils l'enlace, il se colle à elle et en lui donnant pleins de petits baisers sur la nuque et le cou, lui souhaite le bonjour. Lucette répond faiblement.
Marc ne la lâche pas, il ondule du bassin en se frottant contre ses fesses. Sa maman se contracte en serrant les poings, elle soupire fortement, le gredin de fiston lui mordille le lobe de l'oreille, et lui tire sur les hanches pour bien la plaquer contre son bas-ventre, contre ses fesses bien rebondies. Lucette tremble comme une feuille, elle défaille, son cœur bat très fort dans sa poitrine, sa respiration s'accélère. Les ondulations du bassin contre son fessier portent ses fruits, une érection se fait sentir contre ses fesses.
Lucette se dégage comme elle peut et fait volte-face à son fils trop entreprenant. Les visages sont très près l'un de l'autre. Les souffles chauds se mêlent. Marc serre sa maman contre lui, elle sent sur son ventre le membre dressé de son fils. Des larmes emplissent ses yeux, Marc voit le désarroi de sa maman, il lui donne un petit baiser sur les lèvres, puis prend place à table. Lucette, soulagée, pousse de gros soupirs et sert le café. Marc la regarde intensément, cela gêne sa maman, qui regarde du coin la verge tendue qui déforme le boxer de son fils. Puis, qu'après que sa maman est prise place à table et qu'Adeline les a rejoints, Marc dit en regardant sa maman :
-Maman, je sais que toute ta vie avec papa à était un enfer et que malgré cela, tu as été toujours à mes côtés, tu t'es sacrifiée pour moi. Je ne sais comment te remercier pour l'amour que tu me donnes encore aujourd'hui, je sais qu'il est sans failles, car tu me prouves chaque jour !
Il se lève et s'approche de sa maman, qui à les yeux embués par des larmes qu'elle ne peut cacher. Il lui prend les mains, elle se lève elle n'est pas très rassurée. Il la serre très fort dans ses bras et dit tendrement sous le regard ému d'Adeline :
-Maman si j'osais, je te ferais l'amour pour te montrer combien je t'aime !
Lucette sursaute, elle ne s'attendait pas à de tels propos, elle répond avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Mais mon chéri, je ne peux pas accepter tu es mon fils, mais pourquoi une telle proposition !
Marc relève le menton de sa maman avec deux doigts et lui :
-Pendant que je faisais l'amour avec Adeline, j'ai du me lever pour chercher une serviette, je suis passé devant ta chambre la porte était entrouverte, la lumière était allumée. Par curiosité j'ai regardé. Tu était en train de te masturber, je suis sûr que tu devais entendre nos gémissements !
Lucette regarde éberluée son fils, elle ravale sa salive, elle rougit de honte. Marc ajoute :
-Je suis sûr que tu as besoin de sexe, je suis d'accord avec se proverbe, que chat échaudé, craint l'eau froide. Mais Adeline et moi nous pouvons te faire reprendre le gout à la vie, et te rendre sexuellement heureuse, je sais que tu ne chercheras pas un autre homme tu as déjà donnée !
Lucette ne comprend plus rien, elle regarde Adeline en tremblant, elle s'enfuit à la cuisine pour sangloter. Adeline la rejoint, elle l'enlace et la serre dans ses bras. Elle lui dit :
-Nous en avons parlé Marc et moi, vous méritez d'être heureuse, c'est le moment d'en profiter ne gâchez pas votre chance Lucette, réfléchissez !
Les deux femmes se regardent intensément, les yeux d'Adeline pétillent, elle dépose un baiser bruyants sur les lèvres de Lucette, qui se retrouve d'un coup sans force. les deux femmes reviennent à table, la main de Lucette tremble, elle renverse un peu de café en buvons sa tasse. Toute la journée Lucette est ailleurs, quelques fois elle marmonne dans son coin, pousse de gros soupirs et s'occupe comme elle peut. Après le diner, les trois prennent place sur le canapé. Cette fois c'est Lucette qui se retrouve au milieu. Les deux se blottissent contre elle, le film qui passe ne les intéressent pas, Lucette est fébrile.
Doucement, une main se pose sur sa cuisse, et lui la caresse doucement. Lucette se contracte en serrant les dents. Avec douceur, la main d'Adeline, glisse sous la jupe. Soudain une autre main plus grosse se pose sur son autre cuisse et elle aussi passe sous la jupe. Lucette respire mal, elle serre les poings pour ne pas hurler. les mains arrivent ensemble sur l'entrejambe, les doigts glissent sur la culotte qui rapidement s'humidifie. Aline murmure à l'oreille de Lucette :
-Détendez-vous, laissez-vous aller, profitez de cet instant qui peut être magique !
Lucette soupire profondément, puis ferme les yeux. Les caresses sur la fente, cachée derrière le fin tissu, deviennent plus précises. Adeline se lève, et se place à genoux devant Lucette, elle glisse ses mains sous la jupe et agrippe la culotte. lentement elle tire dessus et la fait glisser lentement le long des cuisses. Inconsciemment. Lucette se contorsionne pour faciliter la descente du tissu. Marc lui à quitté la pièce.
Lucette, très jeune, séduite par Maurice, un coureur de jupons notoire, est enceinte. À cette époque, être enceinte sans être mariée était une honte pour toute la famille. Les deux jeunes se marient un peu par obligation. Un bébé vient au monde, ils lui donnent le prénom de Marc. Les années passent, mais Maurice continue sa double vie de séducteur. Les scènes de ménage se multiplient, de temps en temps Marc tente de s'interposer vainement.
Marc et sa maman sont très fusionnels, ils se disent tout. Mais un jour, Marc a une proposition d'emploi très intéressante à l'autre bout de la France, il en parle à sa maman. Bien que ce soit un malheur supplémentaire qui s'abat sur elle, elle l'encourage, il faut qu'il pense à son avenir.
Souvent, il est en contact avec sa maman et sait très bien que sa situation ne s'améliore pas, au contraire. Maurice ne cache même plus son infidélité, Lucette est la risée du quartier, elle est montrée du doigt à son passage, et des ricanements se font entendre derrière son dos. Elle n'en peut plus.
Sont fils qui à maintenant trente-cinq ans, téléphone fréquemment à sa maman, il sait que sa maman vit un drame, comme le divorce est mal vue, Lucette endure les pires humiliations. Marc lui propose de là faire venir habiter chez lui. Après une longue réflexion et des scènes journalières, elle décide de quitter son mari pour rejoindre son fils.
Elle arrive chez son fils, les mois passent, elle se sent revivre. Marc, beau garçon, est un célibataire endurcit. Quelques fois, il ramène une femme chez lui et passe la nuit avec. Lucette qui a sa chambre juste à côté, entend les gémissements et les cris de jouissances des deux amants. Elle est heureuse pour son fils, et cela l'excite même.
Maintenant la coquine de maman attend avec impatience que son fils ramène sa conquête chez lui. Pendant que les deux amants s'envoient en l'air.
Lucette, tout ouïe, entrouvre même sa porte pour mieux entendre. Elle repousse les draps, retrousse sa nuisette et comme elle ne porte pas de sous-vêtements, se caresse longuement la vulve, pour Ensuite, saisir son clito et le malmener.
Elle s'acharne sur lui, pour obtenir comme à chaque fois plusieurs jouissances.
C'est très détendue qu'elle se lève le matin pour préparer le petit déjeuner des amants. Les deux descendent, la femme en nuisette a les traits tirés, des cernes sous les yeux, à chacun de ses pas, elle ondule du bassin avec la souplesse d'un félin.
Marc la suit vêtue d'un boxer, il est encore à moitié endormi. Les trois se saluent, en s'embrassant. Marc dit :
-Au fait maman, je te présente Adeline, ma future femme !
Lucette sourit à cette annonce et sert le café, les deux tourtereaux prennent place l'un à côté de l'autre. Ils se regardent amoureusement.
Sans se soucier de la présence de sa maman, pendant le repas, le coquin, passe sa main sous la nuisette de la femme, lui triture la chatte, en retire sa main pour la mettre sous son nez, il hume fortement, et dit en riant :
-Hum sens encore l'amour !
Très gênée, la femme rougit, en regardant Lucette, qui répond par un large sourire. Lucette est rayonnante, son fils semble aimer cette femme, qui au fil des jours, et petit à petit devient son amie. Adeline et Lucette, n'ont plus de secrets, elles se racontent tout de leur vie. Souvent le soir, ils regardent la télé ensemble. Les trois se blottissent l'un contre l'autre en ronronnant comme des félins. Marc à la place d'honneur, il est entre les deux femmes.
Il lui arrive de poser ses mains sur les cuisses des deux femmes et de les caresser machinalement. Mais ce soir, c'est plus osé. Les mains, bien synchronisées, glissent sous les jupes, et lentement progressent sous les tissus. Lucette défaille, cela fait des années qu'on ne l'a caressée. Elle frissonne, rouge de honte, elle se penche pour regarder Adeline, leur regard se croise, Adeline est souriante. Elle baisse la tête légèrement, pour regarder la main de Marc glisser sur la cuisse de sa maman.
Les doigts atteignent leurs buts. Elles appuient doucement sur les vulves qui commencent à chauffer, le petit frottement sur sa fente que seule protège la culotte, rend la maman nerveuse. Lucette a trop honte, elle repousse doucement la main de son fils et se lève. Elle se dit fatiguée et après avoir souhaité une bonne nuit à Adeline et Marc, prend la direction de sa chambre. C'est très perturbée qu'elle enfile sa nuisette, avant de s'allonger sur son lit.
Elle fixe le plafond, elle sent encore les doigts de son fils qui montent et descendent sur sa fente. Elle ravale sa salive, et ne peut se retenir, elle passe sa main sous le tissu et entreprend une masturbation d'enfer. Elle se fait jouir plusieurs fois, avant de chercher le sommeil qu'elle ne trouve pas. Elle se lève, descend et en passant devant le salon, elle entend des gémissements. Elle pousse doucement la porte et voit Adeline sur le canapé, jambes ouvertes avec Marc entre ses cuisses qui la pilonne férocement.
Lucette serre les poings, Adeline pousse des cris de bête en rut. Marc la défonce comme un sauvage. Lucette voit de son poste d'observation la queue vigoureuse de son fils qui entre et ressort de la chatte en ébullition d'Adeline. Un cri terrible fait cabrer Adeline, sa jouissance est phénoménale.
Lucette disparait rapidement, elle va à la cuisine, se sert un verre d'eau et se laisse tomber sur une chaise, sa chatte est brûlante. Ses mains tremblent, elle avale d'un trait son verre puis rejoint discrètement sa chambre.
Une nouvelle série de masturbations est nécessaire pour calmer le feu qui lui ronge les entrailles. Comme c'est le week-end, c'est la grâce matinée. Lucette est déjà debout, le petit déjeuner est prêt. Marc descend en s'étirant, sa maman est appuyée contre l'évier, elle fait la vaisselle de la veille. Soudain, son fils l'enlace, il se colle à elle et en lui donnant pleins de petits baisers sur la nuque et le cou, lui souhaite le bonjour. Lucette répond faiblement.
Marc ne la lâche pas, il ondule du bassin en se frottant contre ses fesses. Sa maman se contracte en serrant les poings, elle soupire fortement, le gredin de fiston lui mordille le lobe de l'oreille, et lui tire sur les hanches pour bien la plaquer contre son bas-ventre, contre ses fesses bien rebondies. Lucette tremble comme une feuille, elle défaille, son cœur bat très fort dans sa poitrine, sa respiration s'accélère. Les ondulations du bassin contre son fessier portent ses fruits, une érection se fait sentir contre ses fesses.
Lucette se dégage comme elle peut et fait volte-face à son fils trop entreprenant. Les visages sont très près l'un de l'autre. Les souffles chauds se mêlent. Marc serre sa maman contre lui, elle sent sur son ventre le membre dressé de son fils. Des larmes emplissent ses yeux, Marc voit le désarroi de sa maman, il lui donne un petit baiser sur les lèvres, puis prend place à table. Lucette, soulagée, pousse de gros soupirs et sert le café. Marc la regarde intensément, cela gêne sa maman, qui regarde du coin la verge tendue qui déforme le boxer de son fils. Puis, qu'après que sa maman est prise place à table et qu'Adeline les a rejoints, Marc dit en regardant sa maman :
-Maman, je sais que toute ta vie avec papa à était un enfer et que malgré cela, tu as été toujours à mes côtés, tu t'es sacrifiée pour moi. Je ne sais comment te remercier pour l'amour que tu me donnes encore aujourd'hui, je sais qu'il est sans failles, car tu me prouves chaque jour !
Il se lève et s'approche de sa maman, qui à les yeux embués par des larmes qu'elle ne peut cacher. Il lui prend les mains, elle se lève elle n'est pas très rassurée. Il la serre très fort dans ses bras et dit tendrement sous le regard ému d'Adeline :
-Maman si j'osais, je te ferais l'amour pour te montrer combien je t'aime !
Lucette sursaute, elle ne s'attendait pas à de tels propos, elle répond avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Mais mon chéri, je ne peux pas accepter tu es mon fils, mais pourquoi une telle proposition !
Marc relève le menton de sa maman avec deux doigts et lui :
-Pendant que je faisais l'amour avec Adeline, j'ai du me lever pour chercher une serviette, je suis passé devant ta chambre la porte était entrouverte, la lumière était allumée. Par curiosité j'ai regardé. Tu était en train de te masturber, je suis sûr que tu devais entendre nos gémissements !
Lucette regarde éberluée son fils, elle ravale sa salive, elle rougit de honte. Marc ajoute :
-Je suis sûr que tu as besoin de sexe, je suis d'accord avec se proverbe, que chat échaudé, craint l'eau froide. Mais Adeline et moi nous pouvons te faire reprendre le gout à la vie, et te rendre sexuellement heureuse, je sais que tu ne chercheras pas un autre homme tu as déjà donnée !
Lucette ne comprend plus rien, elle regarde Adeline en tremblant, elle s'enfuit à la cuisine pour sangloter. Adeline la rejoint, elle l'enlace et la serre dans ses bras. Elle lui dit :
-Nous en avons parlé Marc et moi, vous méritez d'être heureuse, c'est le moment d'en profiter ne gâchez pas votre chance Lucette, réfléchissez !
Les deux femmes se regardent intensément, les yeux d'Adeline pétillent, elle dépose un baiser bruyants sur les lèvres de Lucette, qui se retrouve d'un coup sans force. les deux femmes reviennent à table, la main de Lucette tremble, elle renverse un peu de café en buvons sa tasse. Toute la journée Lucette est ailleurs, quelques fois elle marmonne dans son coin, pousse de gros soupirs et s'occupe comme elle peut. Après le diner, les trois prennent place sur le canapé. Cette fois c'est Lucette qui se retrouve au milieu. Les deux se blottissent contre elle, le film qui passe ne les intéressent pas, Lucette est fébrile.
Doucement, une main se pose sur sa cuisse, et lui la caresse doucement. Lucette se contracte en serrant les dents. Avec douceur, la main d'Adeline, glisse sous la jupe. Soudain une autre main plus grosse se pose sur son autre cuisse et elle aussi passe sous la jupe. Lucette respire mal, elle serre les poings pour ne pas hurler. les mains arrivent ensemble sur l'entrejambe, les doigts glissent sur la culotte qui rapidement s'humidifie. Aline murmure à l'oreille de Lucette :
-Détendez-vous, laissez-vous aller, profitez de cet instant qui peut être magique !
Lucette soupire profondément, puis ferme les yeux. Les caresses sur la fente, cachée derrière le fin tissu, deviennent plus précises. Adeline se lève, et se place à genoux devant Lucette, elle glisse ses mains sous la jupe et agrippe la culotte. lentement elle tire dessus et la fait glisser lentement le long des cuisses. Inconsciemment. Lucette se contorsionne pour faciliter la descente du tissu. Marc lui à quitté la pièce.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que c'est bon de lire tes histoires, Linsee...
Tu sais nous transporter dans ce merveilleux monde du fantasme...
Merci
Cyrille
Tu sais nous transporter dans ce merveilleux monde du fantasme...
Merci
Cyrille
très bonne histoire ! j'ai savouré ! j'adore les récits d'inceste... entre autres !
Comme d'habitude beaucoup d'émotion merci Linsee
Francie et Luc
Francie et Luc
Magnifique
Justin
Justin
Quoique l'inceste ne soit pas nos lectures privilégiées, ce récit est très bien rédigé
J'adore
Lola
Lola
Nous adorons
Il ne faut pas trainer sur les sites de récits érotiques et dire après que c'est dégueulasse, c'est malhonnête de votre pas lecteur anonyme.
Josette de Toulouse
Josette de Toulouse
Genial
Bien dégueulasse
Une suite ???? Belle histoire !!!