C'était donc sa femme
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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C'était donc sa femme
C'était donc sa femme
Elle m'avait donné rendez-vous dans cette brasserie connue, on était à l'heure de pointe et elle avait commandé deux repas.
Je me demandais bien pourquoi j'avais accepter de la rencontrer, dès le départ l'idée m'avait parue totalement ridicule. Dans ma tête je me répétais toujours la même question.
– Mais pourquoi ais-je accepté ce rendez-vous ?
Je ne la connaissais pas mais ça ne faisait aucun doute, c'était bien elle, une femme encore très belle, très élégante elle était plus jeune que je ne le pensais. Bien plus jeune. Elle aurait du avoir entre quarante et cinquante ans mais enfin, elle était pas encore arrivée à trente. Ceci dit, elle était très belle.
– Ah c'est donc vous ! Me disait-elle sur un ton sec.
– Heu … bein … oui.
Là je ne vous dis pas mais je ne me sentais pas vraiment à mon aise. J'espère que vous me comprenez. Non seulement c'était la première fois que je la rencontrais mais en plus cette rencontre me paraissait tellement déplacée, tellement incongrue.
Mais franchement cette histoire n'avait pas de sens. Cette situation n'était pas convenable mais pas seulement c'était totalement déplacé.
– Mais prenez place voyons ! Me disait-elle sur un ton neutre.
Je tentais de bafouiller quelques mots de politesse mais finalement, je préférais me taire et prenais place. Je m'installais en face de la dame, en fait je ne savais pas vraiment ou me mettre. Elle avait commandé une choucroute.
– Depuis combien de temps dure cette aventure ? Me demandait-elle.
Il m'avait bien dit que sa femme était directe. Elle l'était de toutes évidences.
– Pas loin de six mois. Bafouillais-je.
– Il me semblait que ça devait durer depuis plus longtemps. Et ça ne vous dérange pas vous ?
– Bein non, mais oui, enfin je savais pas moi !
– Vous n'étiez pas au courant ?
– Enfin pas au début …
Suivait un long moment de silence, heureusement la choucroute était généreuse autant que délicieuse. C'est pas comme ça que j'allais garder la ligne mais je vous jure que ce n'est pas ce qui me préoccupait à ce moment précis.
– je comprend qu'au début mais enfin vous avez forcément fini par l'apprendre.
– Oui enfin, non mais c'est que … Je sais plus moi ! Là j'ai failli craquer.
Je pensais surtout à ses mains, Kevin avait des mains très douces et j'imaginais les sentir sur mon corps. Quelques jours plus tôt il était passé me voir, comme ça juste pour le plaisir. Je revivais la scène , il s'était glissé dans mon dos puis m'avait pris par les hanches.
Je sentais ses mains douces et fortes qui se refermaient sur moi avec des gestes calculés. Il était plus grand que moi, il posait son menton sur mon épaules, je tournais le visage vers lui et je sentais alors la douceur de ses lèvres. Ses baisers étaient doux et suaves, je me souviens, dès le premier jour c'est ce que j'ai remarqué chez lui. Il était câlin.
Je ne voudrait pas critiquer mais sa femme avait de la chance, à sa place je ne le laisserais pas partir.
Il était tellement câlin, il savait me faire vibrer me faire trembler quand il m'embrassait dans le cou. Quelquefois il y mettait les dents. Oh pas pour me faire mal mais juste pour me faire réagir, et ça marchait je vous jure.
Il savait m'embrasser les tétons avec les dents, il y mettait les dents du haut et la langue, il me mordillait les tétons avec tellement de douceur. Il ne pouvait pas me faire mal de cette manière, il me coinçait le téton entre ses dents et sa langue. Et là je vous jure il me faisait frémir.
– Vous restez protégés j'espère ? Me demandait la dame.
– Oouibiensûr ! Lui répondais-je en bafouillant.
Je me souvenais de la première fois, c'est moi qui avait demandé, exigé même qu'on reste couvert. Le préservatif, c'est pas un caprice. Et puis comme ça on reste serein, et vous connaissez la maxime … Restons serein mon canari ! … Nan ? C'est moi qui invente .
Il avait bien réagi, il n'en avait jamais utilisé mais quand on a toujours le même partenaire ou la même dans son cas, c'est logique et normal. Mais là les situations changeaient.
Après on s'était lâché, je n'ai jamais imaginé à ce moment qu'il avait une femme, il me l'a dit bien plus tard. J'ai pas compris, et je ne comprends toujours pas d'ailleurs. J'avais alors imaginé que c'était un PD honteux, qui ne s'assumait pas. Mais finalement non, même pas. Il était bi ! Mais pas pour faire des manière ou pour suivre la mode, non, il était bi. Juste bi.
Il lui avait semblé normal et surtout plus simple de se trouver une compagne et tout se passait bien pendant des années, mais avec le temps … Je vous rassure tout continuait à bien se passer, mais il m'a rencontrer et tout naturellement il a voulu essayer, m'essayer.
Il était canon, je ne vous dis pas, j'ai trouvé ça flatteur et j'ai pas posé de questions, en tout cas pas avant le petit déjeuner du lendemain matin … ' Thé ou café ? ' , il m'a répondu ' Chocolat ' …
Il était beau comme un prince, un peu plus de quarante ans, blond, le corps lisse, totalement imberbe. C'était pas totalement naturel mais bon, on va pas en faire une histoire. Il prenait soin de lui et faisait du sport et avait de très belles proportions. Il ne m'a fallu bien longtemps pour tomber sous le charme.
– J'ai toujours du mal à imaginer mon mari se faire enculer ! Déclarait la dame.
– Oh mais c'est du tout comme ça que ça se …
Je ne parvenais pas à terminer ma phrase, et je piquais du nez sur la choucroute. Elle me regardait d'un regard que je sentais lourd sur ma tête, je me sentais mal.
– C'est vous qui vous faites défoncer le cul. Oui là je reconnaît un peu mieux mon mari.
– GGG …
La je vous jure c'est tout ce que j'ai réussi à dire. Bon d'accord, j'ai pas beaucoup insisté non plus.
Elle me regardait d'une manière étrange, elle me faisait un peu peur. On continuait à manger en silence. Je n'osait pas trop la regarder, elle me mettait mal à l'aise.
Je pensais à Kevin, c'est vrai qu'on ne se voyait pas tous les jours mais on se voyait régulièrement, plusieurs fois dans la semaine. Pendant des mois il m'avait caché qu'il était marié puis à force discuter, avec le temps, on avait fini par apprendre à se connaître.
Clairement il ne quitterait pas sa femme, il était amoureux. Avec moi c'était une autre relation, mais il était amoureux aussi … Finalement c'était une situation plutôt agréable, il y avait bien sûr de ma part une relation affective, j'étais de plus en plus séduit mais je garderais ma liberté et mes petites habitudes. Mais quand on serait ensemble, on serait entièrement l'un à l'autre.
J'adorais sa manière de me prendre dans ses bras, j'adorais sa manière de me prendre … Il savait être très viril et très doux. Et ses vingt deux centimètres bien larges je savais les encaisser jusqu'à la garde.
– Avec ma femme j'ai pas le droit de passer par derrière ! M'a-t-il dit un jour, en pleine action, il faisait une pause puis comme un sauvage raffiné il reprenait avec force.
Moi j'aime bien quand on passe par derrière, je suis passif et j'adore les actifs bien montés. Avec lui j'étais gâté !
– Vous avez sans doute remarqué que mon mari a des besoins sexuels très importants ?
– Gni ouin beuh raitre … Lui répondais-je, elle me mettait mal à l'aise, mais elle ne me faisait pas répéter et c'était pas plus mal …
La première fois j'ai pris un pied terrible, il m'a retourné sur le ventre, il était couvert bien sûr, il m'a lubrifié comme il fallait puis il s'est allongé sur moi. Je sentais tout son corps qui me caressait, sa peau était tellement douce, son corps était fort, et ses caresses étaient fermes.
J'ai tout suite gémi de plaisir mais quand il a voulu me pénétrer, là j'ai eu mal à me retenir, j'ai hurlé de plaisir, en une petite seconde j'ai pris un pied terrible. Il avait une grosse queue mais qu'est ce qu'elle était bonne. Bien ferme, bien longue et bien large. Elle glissait malgré tout avec douceur et je la sentais s'enfoncer. Je sentais chaque centimètres, chaque millimètres qui s'enfonçait en moi.
Je sentais aussi mon anus se dilater, c'était terrible, c'était bon, je hurlais ' Encore … ' et encore des ' Encore ' ou des ' Oui vas y défonce moi le cul !'.
C'est ce qu'il a fait mais il l'a fait avec une douceur qui n'avait d'égal que sa virilité. Son corps glissait sur le mien, il me mordillait l'épaule, je gigotais sous l'effet du plaisir. Il me retenait et si par réflexe je tentais de m'échapper il me retenait dans ses bras avec force et me limait le cul de plus en plus vite.
– Vous n'allez pas tarder à voir que ses besoins sont vraiment important. Me faisait remarquer sa femme. Vous savez seule, j'ai du mal à les satisfaire … Aussi je me demandait si …
Il me l'a fait souvent, ensuite il lime, il peut limer pendant plus d'une demie heure. Il change de rythme, il accélère. Ses mouvement deviennent plus amples ou moins amples, il ne joue pas que sur la vitesse. Par moment il se retire et reviens bien à fond en un mouvement violent et rapide.
Là il faut que je me cramponne mais c'est le pied.
Puis quand il sent que je n'ai plus qu'une envie, grimper au rideaux, il se lâche et c'est là qu'il jouit, il éjacule, il gémit de plaisir, parfois il gémit fort. Ensuite il me sert dans ses bras, il me sert fort puis tout se calme.
On les sent bien passer, bien à fond ces quelques derniers instants de délire.
– Vous savez, je ne suis pas possessive.
– Grond ?
– Non mais c'est vrai que seule comme je vous disais, j'ai du mal à le satisfaire. On pourrait peut être s'y mettre à deux !
– Bleu .
– Oui à deux !
Elle marquait une pause, pour voir ma réaction et reprenait.
– Il faudra bien sûr vous assurer qu'il ne me ramène pas une maladie vénérienne, ça je ne l'accepterais pas. Mais pour le reste …
– Bouhin !
Ne cherchez pas comprendre ce que je répondais, elle ne semblait pas non plus chercher à comprendre ce que je disais.
– Je vous demanderais bien sûr de rester discret, au minimum, il n'y a rien de choquant si deux hommes, deux amis, passent une soirée ensemble mais si vous pouviez éviter de vous embrasser en public ou de vous peloter …
– Bah ça fait ba sa lors ! Lui répondais-je un peu surpris.
– Et si ce n'est pas trop demander je vous demanderais aussi de me laisser les week-end.
– Bhhhhh ! Bein oui quoi, comme vous pouvez le voir, j'étais surpris.
– Ceci dit je vous laisserai le vendredi soir, c'est une soirée très propice à des sorties en boites pas exemple. Je sais que William aime bien sortir en boite de temps en temps .
– William ? M'étonnais-je.
– Mon mari s'appelle William ! Vous ne le saviez pas ?
– Kevin ! Répondais-je, là d'un coup j'arrivais à parler ...
– Ah , je vois. Il s'est présenté à vous sous une autre nom.
– Kevin !
– Un petit brun moustachu …
– Un grand blond imberbe …
Il y avait brusquement un grand silence entre nous. Je ne savais plus quoi dire et elle ne disait rien. Nous étions arrivés au dessert.
– J'ai comme l'impression qu'il y a méprise rajoutait-elle.
– Heuuuuuu …
– Il semblerait que vous ne soyez pas l'amant de mon mari. Votre amant n'est pas mon époux. Déclarait-elle en se levant. J'aurais aimé, vous m'aviez l'air très sympathique.
– Héééééé !
Elle laissait quelques billet sur la table, c'est vrai que c'est elle qui m'avait invité, me saluait et se retirait.
Elle avait prononcé la dernière phrase à haute voix et tout le monde autour me regardait.
Je vous jure qu'à ce moment là, je ne savais vraiment plus ou me mettre !
FIN
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Elle m'avait donné rendez-vous dans cette brasserie connue, on était à l'heure de pointe et elle avait commandé deux repas.
Je me demandais bien pourquoi j'avais accepter de la rencontrer, dès le départ l'idée m'avait parue totalement ridicule. Dans ma tête je me répétais toujours la même question.
– Mais pourquoi ais-je accepté ce rendez-vous ?
Je ne la connaissais pas mais ça ne faisait aucun doute, c'était bien elle, une femme encore très belle, très élégante elle était plus jeune que je ne le pensais. Bien plus jeune. Elle aurait du avoir entre quarante et cinquante ans mais enfin, elle était pas encore arrivée à trente. Ceci dit, elle était très belle.
– Ah c'est donc vous ! Me disait-elle sur un ton sec.
– Heu … bein … oui.
Là je ne vous dis pas mais je ne me sentais pas vraiment à mon aise. J'espère que vous me comprenez. Non seulement c'était la première fois que je la rencontrais mais en plus cette rencontre me paraissait tellement déplacée, tellement incongrue.
Mais franchement cette histoire n'avait pas de sens. Cette situation n'était pas convenable mais pas seulement c'était totalement déplacé.
– Mais prenez place voyons ! Me disait-elle sur un ton neutre.
Je tentais de bafouiller quelques mots de politesse mais finalement, je préférais me taire et prenais place. Je m'installais en face de la dame, en fait je ne savais pas vraiment ou me mettre. Elle avait commandé une choucroute.
– Depuis combien de temps dure cette aventure ? Me demandait-elle.
Il m'avait bien dit que sa femme était directe. Elle l'était de toutes évidences.
– Pas loin de six mois. Bafouillais-je.
– Il me semblait que ça devait durer depuis plus longtemps. Et ça ne vous dérange pas vous ?
– Bein non, mais oui, enfin je savais pas moi !
– Vous n'étiez pas au courant ?
– Enfin pas au début …
Suivait un long moment de silence, heureusement la choucroute était généreuse autant que délicieuse. C'est pas comme ça que j'allais garder la ligne mais je vous jure que ce n'est pas ce qui me préoccupait à ce moment précis.
– je comprend qu'au début mais enfin vous avez forcément fini par l'apprendre.
– Oui enfin, non mais c'est que … Je sais plus moi ! Là j'ai failli craquer.
Je pensais surtout à ses mains, Kevin avait des mains très douces et j'imaginais les sentir sur mon corps. Quelques jours plus tôt il était passé me voir, comme ça juste pour le plaisir. Je revivais la scène , il s'était glissé dans mon dos puis m'avait pris par les hanches.
Je sentais ses mains douces et fortes qui se refermaient sur moi avec des gestes calculés. Il était plus grand que moi, il posait son menton sur mon épaules, je tournais le visage vers lui et je sentais alors la douceur de ses lèvres. Ses baisers étaient doux et suaves, je me souviens, dès le premier jour c'est ce que j'ai remarqué chez lui. Il était câlin.
Je ne voudrait pas critiquer mais sa femme avait de la chance, à sa place je ne le laisserais pas partir.
Il était tellement câlin, il savait me faire vibrer me faire trembler quand il m'embrassait dans le cou. Quelquefois il y mettait les dents. Oh pas pour me faire mal mais juste pour me faire réagir, et ça marchait je vous jure.
Il savait m'embrasser les tétons avec les dents, il y mettait les dents du haut et la langue, il me mordillait les tétons avec tellement de douceur. Il ne pouvait pas me faire mal de cette manière, il me coinçait le téton entre ses dents et sa langue. Et là je vous jure il me faisait frémir.
– Vous restez protégés j'espère ? Me demandait la dame.
– Oouibiensûr ! Lui répondais-je en bafouillant.
Je me souvenais de la première fois, c'est moi qui avait demandé, exigé même qu'on reste couvert. Le préservatif, c'est pas un caprice. Et puis comme ça on reste serein, et vous connaissez la maxime … Restons serein mon canari ! … Nan ? C'est moi qui invente .
Il avait bien réagi, il n'en avait jamais utilisé mais quand on a toujours le même partenaire ou la même dans son cas, c'est logique et normal. Mais là les situations changeaient.
Après on s'était lâché, je n'ai jamais imaginé à ce moment qu'il avait une femme, il me l'a dit bien plus tard. J'ai pas compris, et je ne comprends toujours pas d'ailleurs. J'avais alors imaginé que c'était un PD honteux, qui ne s'assumait pas. Mais finalement non, même pas. Il était bi ! Mais pas pour faire des manière ou pour suivre la mode, non, il était bi. Juste bi.
Il lui avait semblé normal et surtout plus simple de se trouver une compagne et tout se passait bien pendant des années, mais avec le temps … Je vous rassure tout continuait à bien se passer, mais il m'a rencontrer et tout naturellement il a voulu essayer, m'essayer.
Il était canon, je ne vous dis pas, j'ai trouvé ça flatteur et j'ai pas posé de questions, en tout cas pas avant le petit déjeuner du lendemain matin … ' Thé ou café ? ' , il m'a répondu ' Chocolat ' …
Il était beau comme un prince, un peu plus de quarante ans, blond, le corps lisse, totalement imberbe. C'était pas totalement naturel mais bon, on va pas en faire une histoire. Il prenait soin de lui et faisait du sport et avait de très belles proportions. Il ne m'a fallu bien longtemps pour tomber sous le charme.
– J'ai toujours du mal à imaginer mon mari se faire enculer ! Déclarait la dame.
– Oh mais c'est du tout comme ça que ça se …
Je ne parvenais pas à terminer ma phrase, et je piquais du nez sur la choucroute. Elle me regardait d'un regard que je sentais lourd sur ma tête, je me sentais mal.
– C'est vous qui vous faites défoncer le cul. Oui là je reconnaît un peu mieux mon mari.
– GGG …
La je vous jure c'est tout ce que j'ai réussi à dire. Bon d'accord, j'ai pas beaucoup insisté non plus.
Elle me regardait d'une manière étrange, elle me faisait un peu peur. On continuait à manger en silence. Je n'osait pas trop la regarder, elle me mettait mal à l'aise.
Je pensais à Kevin, c'est vrai qu'on ne se voyait pas tous les jours mais on se voyait régulièrement, plusieurs fois dans la semaine. Pendant des mois il m'avait caché qu'il était marié puis à force discuter, avec le temps, on avait fini par apprendre à se connaître.
Clairement il ne quitterait pas sa femme, il était amoureux. Avec moi c'était une autre relation, mais il était amoureux aussi … Finalement c'était une situation plutôt agréable, il y avait bien sûr de ma part une relation affective, j'étais de plus en plus séduit mais je garderais ma liberté et mes petites habitudes. Mais quand on serait ensemble, on serait entièrement l'un à l'autre.
J'adorais sa manière de me prendre dans ses bras, j'adorais sa manière de me prendre … Il savait être très viril et très doux. Et ses vingt deux centimètres bien larges je savais les encaisser jusqu'à la garde.
– Avec ma femme j'ai pas le droit de passer par derrière ! M'a-t-il dit un jour, en pleine action, il faisait une pause puis comme un sauvage raffiné il reprenait avec force.
Moi j'aime bien quand on passe par derrière, je suis passif et j'adore les actifs bien montés. Avec lui j'étais gâté !
– Vous avez sans doute remarqué que mon mari a des besoins sexuels très importants ?
– Gni ouin beuh raitre … Lui répondais-je, elle me mettait mal à l'aise, mais elle ne me faisait pas répéter et c'était pas plus mal …
La première fois j'ai pris un pied terrible, il m'a retourné sur le ventre, il était couvert bien sûr, il m'a lubrifié comme il fallait puis il s'est allongé sur moi. Je sentais tout son corps qui me caressait, sa peau était tellement douce, son corps était fort, et ses caresses étaient fermes.
J'ai tout suite gémi de plaisir mais quand il a voulu me pénétrer, là j'ai eu mal à me retenir, j'ai hurlé de plaisir, en une petite seconde j'ai pris un pied terrible. Il avait une grosse queue mais qu'est ce qu'elle était bonne. Bien ferme, bien longue et bien large. Elle glissait malgré tout avec douceur et je la sentais s'enfoncer. Je sentais chaque centimètres, chaque millimètres qui s'enfonçait en moi.
Je sentais aussi mon anus se dilater, c'était terrible, c'était bon, je hurlais ' Encore … ' et encore des ' Encore ' ou des ' Oui vas y défonce moi le cul !'.
C'est ce qu'il a fait mais il l'a fait avec une douceur qui n'avait d'égal que sa virilité. Son corps glissait sur le mien, il me mordillait l'épaule, je gigotais sous l'effet du plaisir. Il me retenait et si par réflexe je tentais de m'échapper il me retenait dans ses bras avec force et me limait le cul de plus en plus vite.
– Vous n'allez pas tarder à voir que ses besoins sont vraiment important. Me faisait remarquer sa femme. Vous savez seule, j'ai du mal à les satisfaire … Aussi je me demandait si …
Il me l'a fait souvent, ensuite il lime, il peut limer pendant plus d'une demie heure. Il change de rythme, il accélère. Ses mouvement deviennent plus amples ou moins amples, il ne joue pas que sur la vitesse. Par moment il se retire et reviens bien à fond en un mouvement violent et rapide.
Là il faut que je me cramponne mais c'est le pied.
Puis quand il sent que je n'ai plus qu'une envie, grimper au rideaux, il se lâche et c'est là qu'il jouit, il éjacule, il gémit de plaisir, parfois il gémit fort. Ensuite il me sert dans ses bras, il me sert fort puis tout se calme.
On les sent bien passer, bien à fond ces quelques derniers instants de délire.
– Vous savez, je ne suis pas possessive.
– Grond ?
– Non mais c'est vrai que seule comme je vous disais, j'ai du mal à le satisfaire. On pourrait peut être s'y mettre à deux !
– Bleu .
– Oui à deux !
Elle marquait une pause, pour voir ma réaction et reprenait.
– Il faudra bien sûr vous assurer qu'il ne me ramène pas une maladie vénérienne, ça je ne l'accepterais pas. Mais pour le reste …
– Bouhin !
Ne cherchez pas comprendre ce que je répondais, elle ne semblait pas non plus chercher à comprendre ce que je disais.
– Je vous demanderais bien sûr de rester discret, au minimum, il n'y a rien de choquant si deux hommes, deux amis, passent une soirée ensemble mais si vous pouviez éviter de vous embrasser en public ou de vous peloter …
– Bah ça fait ba sa lors ! Lui répondais-je un peu surpris.
– Et si ce n'est pas trop demander je vous demanderais aussi de me laisser les week-end.
– Bhhhhh ! Bein oui quoi, comme vous pouvez le voir, j'étais surpris.
– Ceci dit je vous laisserai le vendredi soir, c'est une soirée très propice à des sorties en boites pas exemple. Je sais que William aime bien sortir en boite de temps en temps .
– William ? M'étonnais-je.
– Mon mari s'appelle William ! Vous ne le saviez pas ?
– Kevin ! Répondais-je, là d'un coup j'arrivais à parler ...
– Ah , je vois. Il s'est présenté à vous sous une autre nom.
– Kevin !
– Un petit brun moustachu …
– Un grand blond imberbe …
Il y avait brusquement un grand silence entre nous. Je ne savais plus quoi dire et elle ne disait rien. Nous étions arrivés au dessert.
– J'ai comme l'impression qu'il y a méprise rajoutait-elle.
– Heuuuuuu …
– Il semblerait que vous ne soyez pas l'amant de mon mari. Votre amant n'est pas mon époux. Déclarait-elle en se levant. J'aurais aimé, vous m'aviez l'air très sympathique.
– Héééééé !
Elle laissait quelques billet sur la table, c'est vrai que c'est elle qui m'avait invité, me saluait et se retirait.
Elle avait prononcé la dernière phrase à haute voix et tout le monde autour me regardait.
Je vous jure qu'à ce moment là, je ne savais vraiment plus ou me mettre !
FIN
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant tout ceci Je me suis bien vidé en lisant
Merci
Merci
Amusant cette histoire. J'ai beaucoup aimé