C'était trop bien
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
C'était trop bien
Peu de temps après avoir rencontré Abdel, Je lui proposais de venir manger à l’appart.
Il est tout à fait OK, après le boulot. J’achète traiteur et je me décarcasse aussi pour lui faire des trucs qui sortent de l’ordinaire. Il arrive avec des chocolats – trop mignon -. Je le reçus en slip, comme je suis quand je suis à l’appart. Il en fut surpris agréablement et demanda s’il pouvait en faire autant. Evidemment ! Brief blanc grande marque US, parfaitement ajusté.
On passa à l’apéro – il buvait de l’alcool -. On enchaîna les cachaças bien dosées. Il avait l’air de tenir l’alcool. J’étais complètement sous son charme. On discutait tous les deux, de tout et de rien, à perdre haleine.
Abdel avait remarqué l’appart d’en face – celui de Paul et de Fabrice -. Illuminé, sans rideaux, avec nos deux gaillards qui se baladaient en slips. Il posa des questions. Je lui expliquais. A nouveau, il était bluffé.
« -Mais c’est ici que je veux venir habiter !!! C’est trop bien, sérieux ! ».
Dès lors, je vais le présenter – par-dessus les balcons – à Paul et à Fabrice qui sont enchantés. On promet de se revoir rapidement.
Le repas fut très joyeux – cachaças aidant ? -. On rigola à perdre haleine. Décidément, Abdel se révélait être un compagnon intéressant. Bien sûr, les allusions et la conversation tournèrent essentiellement autour du sexe. J’ en profitais pour discuter avec Abdel de son « éjaculation précoce – et des moyens que Rémi avait appris en Inde pour maitriser ça. Cela plut beaucoup à Abdel qui promit de suivre ça à la lettre.
Tard dans la soirée – mais pas tant que ça finalement car on en avait très envie -, on se dirigea vers la chambre. Au passage, Abdel nous fit remarquer qu’en face, Paul et Fabrice étaient entrain de grimper aux rideaux… Je lui dis que, dans peu de temps, on allait leur offrir le même spectacle !
« -Alors là, je suis out ! J’aurais jamais imaginé tout ça. Mais ça me branche bien. J’ai jamais fait ça dans ces conditions là mais ça m’excite grave ! »La séance fut longue, douce, sensuelle, progressive. Abdel était chaud bouillant, vibrant de désir contenu. Je lui fis la totale. Je le caressais, le léchais partout partout. Je le frottais avec ma bite partout partout. Je la lui fis goûter. Je le branlais doucement, le doigtais longuement. Je lui passais délicatement le gode de Paulo pour achever de le dilater. Il adorait ça, les godes. Il en avait un chez lui. Même que son petit frère était tombé dessus une fois, dans sa chambre…Moi aussi, j’aimais le faire aller et venir doucement dans son trou, en attendant d’y aller moi-même.
Puis, je me mis à califourchon sur son cou et lui présentais ma bite, mes couilles, mon bas ventre. Lui frottant le visage avec tout mon matos, lui faisant sucer ma pine baveuse. Abdel était aux anges. Surtout qu’il avait remarqué que Paul et Fabrice, en slips, suivaient la scène avec intérêt depuis leur balcon.
« -Wouah ! C’est un super pîed !
Maintenant, je pouvais y aller. Je pouvais le pénétrer. D’ailleurs, il me suppliait presque de le faire, tellement il en avait envie. Je m’enfonçais d’un seul coup en lui, jusqu’à la garde.
« Ouuuaaah ! Enfin !!!! »Moi aussi j’étais chaud bouillant. J’avais bien envie de le démonter à fond. Je m’y suis mis direct. A fond. J’avais trop de désir contenu. Il fallait que ça explose. Vite. Fort. Abdel se tortillait en gémissant sous mes coups de reins, les bras en croix, les poings serrés agrippant le drap. Il redressait son bassin en s’appuyant sur ses jambes fléchies pour mieux s’offrir. Quelle samba ! Malheureusement, elle se termina par un long cri de bête et deux jets de sperme qui remplirent son trou…Un peu après, , je voulus m’offrir à lui, à sa belle, longue et fine bite qui n’en pouvait plus. Je me mis à plat dos, jambes relevées, ouvertes, offert. Lui aussi me prend direct et me perce d’un coup, jusqu’à la garde. Mais, par contre, il n’entre pas tout de suite dans un rythme effréné. Bien au contraire. Il gère avec beaucoup de maîtrise. On dirait qu’il commence à bien respirer et à mieux se contrôler. Il en est le premier surpris et le premier réjoui. Mais sa tension sexuelle est depuis trop longtemps exacerbée et contenue. Alors il se met à taper de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ca claque ! Ca cogne ! Trop bien ! Il se retire alors et m’inonde littéralement de sperme chaud. Sur le ventre, le torse, le visage, les cheveux… Il veut me lécher mais je lui demande de tout laisser ainsi. On s’endort, exténués, remplis d’odeur de sexe, de sperme qui nous dégouline sur les jambes, collés l’un à l’autre, ruisselants. Nos deux voisins sont restés dans la fraîche de la nuit jusqu’à la fin du set.
Au milieu de la nuit, j’entends un bruit de serrure. Je me lève. C’EST PAULO ! Nu, je lui fonce dessus et le débarrasse de ses deux trois vêtements. J’ai juste le temps de lui dire que nous serons trois dans le lit. Il m’a déjà allongé, cherchant à me dévorer comme quelqu’un qui vient de traverser le désert sans eau.
Toute cette agitation réveille bien sûr Abdel. Abdel a l’air un peu gêné mais aussi subjugué par la beauté de Paulo et sa totale impudeur. Surtout que Paulo veut le mettre à l’aise en le checkant. Voyant Paulo s’agiter comme un beau diable sur mon corps, sa fabuleuse bite cherchant à me pénétrer, Abdel ne sait plus où se mettre et veut nous laisser dans l’intimité. C’est Paulo lui-même qui le retient par le cou en lui posant un baiser sur ses lèvres charnues. Surprise totale d’Abdel mais, au fond, comme il meurt d’envie de rester….il reste ! Cela donne l’occasion à Abdel d’admirer Paulo sous un autre angle, cela lui laisse le temps de le détailler à fond, d’en admirer chaque parcelle, de voir sa fabuleuse bite en action. Pour ma part, j’attire la bouche de Paulo vers moi pour la dévorer encore et encore.
D’abord, il n’ose pas trop et se contente de se remplir les yeux du fabuleux corps de Paulo qui s’agite sur le mien. Excité, il se touche la bite qui est déjà plus que dressée. Paulo lui prend alors la main et la pose sur son cul à lui. Abdel ne pouvait rêver mieux. Il ne se fait pas prier pour le caresser vigoureusement. Paulo en profite pour lui toucher la bite de temps à autre. Abdel semble fasciné par la queue de Paulo qui entre et sort de mon ventre à bonne vitesse. Je pense qu’il est aussi bluffé par l’incroyable endurance de Paulo.
Voulant le faire participer lui aussi, je lui prends sa seconde main et la pose sur les couilles de Paulo qui apprécie et qui lui prouve en lui déposant, à nouveau, un baiser sur ses lèvres. Abdel est aux anges. Se sentant encouragé, Abdel s’enhardit à caresser Paulo partout. Surtout sur son cul, sa raie… sa rondelle. A voir la tête de Paulo, on comprend tout de suite que c’est open. Mais Abdel va quand même y mettre les formes.
« -Can I put a dildo on you ? » ( Est-ce que je peux te passer un gode ?)« -Of course, you can ! You even have to !! » ( Bien sûr que tu peux ! Tu dois même !)Alors, Abdel n’hésite plus. Il prend le gode sur la table de chevet – celui de la bite de Paulo – et l’enduit copieusement de gel. Comme il est dressé à genoux à côté de Paulo avec sa bite dressée comme un mât de navire – bien dégoulinante -, Paulo ne peut résister et, tout en continuant à me limer, il gobe son gland d’un coup. Abdel est ….électrisé. Bon prince, il lui offre la totalité de son membre à déguster quelques secondes. Puis, il lui titille la rondelle de son doigt plein de gel. Etonné de pénétrer aussi vite. Son majeur est déjà entièrement dans le trou de Paulo, il essaie déjà d’en passer un second. Paulo lui sourit, aux anges.
« -You can fuck me whenever you want… » ( Tu peux me baiser quand tu veux )Abdel n’attendait que ce signal pour aller plus loin. Il se place derrière Paulo qui se retire de mon trou le temps qu’Abdel puisse le pénétrer. Très vite Abdel est en lui, ravi au plus haut point d’avoir au bout de sa bite un tel cadeau. Abdel s’est littéralement collé à Paulo, agrippé avec ses bras sur ses pecs. Ils ne font plus qu’un seul corps. A deux, ils se mettent à me pilonner à tout va. Trop trop bien de sentir ainsi leurs forces décuplées me bourrer de toute la force de leur désir.
C’est Paulo qui va éjaculer tout le foutre de ses couilles en moi en premier. Je sens chacun de ses jets m’inonder de leur bonne chaleur. Il a crié, j’ai crié. Abdel, lui, passe à la vitesse maxi pour essayer, lui aussi, de jouir. Quand il veut, il peut ! Très vite, il hurle qu’il va jouiiiiir. Paulo est ravi de recevoir sa semence pour la première – mais sûrement pas la dernière – fois. On peut maintenant faire les vraies présentations, calmement, chaleureusement. On décide d’essayer de dormir un peu en se serrant un peu plus, tous les quatre en cuillers. Complètement outs, on s’effondre tels que, dans un sommeil lourd et réparateur.
Exceptionnellement, au cours du reste de la nuit, il n’y aura pas d’autre agitation sexuelle. Si ce n’est de superbes « morning glory « de nous quatre, le matin au réveil. C’est d’ailleurs je crois ce qui m’a réveillé. Sentir la bite raide d’Abdel dans ma raie, immobile. Je jette un œil. Hasard des ébats - ? -.Je savoure ce moment de calme où tout dort encore, sauf moi. Je remarque aussi que Paulo est enchassé dans Abdel – il a toujours su se placer ! -.
Petit à petit, ils vont émerger. On discute un bon moment au lit. Paulo fait plus ample connaissance avec Abdel – en anglais -. Puis on décide d’aller, tous les quatre à la douche. Longue séance de savonnages de caresses mutuelles, de bisous sous l’eau tiède. Tout le monde veut admirer de plus près la bite de Abdel. Paulo lui montre même comment apaiser son cul endolori avec un jet d’eau froide ! Trop bien ! Allez ! Petit déjeuner ! On discute sur ce qu’on va faire ce matin là. Abdel propose piscine ou jogging ( !), Paulo et moi marché en ville.
Finalement, après le marché en ville, on se retrouve tous…à la piscine. Il a fallu faire choisir un slip de bain à Abdel qui n’avait pas prévu. Quand on lui a présenté la collec de Paulo, il a poussé un cri.
« -Wow ! Je n’ai jamais vu autant de si beaux modèles de toute ma vie ! »Finalement, il a choisi un modèle très slippé bleu, blanc, rouge !
Notre arrivée dans la piscine n’est pas vraiment passée inaperçue. Trois jeunes hommes, en mini slips de bain de couleurs – pas noirs ! -, cela fit tourner quelques têtes, hommes comme femmes… Slimane est enchanté de nous revoir tous, en compagnie d’Abdel. Discrètement, il me demande si la nuit a été chaude. Je confirme. Paulo me glisse : « You know, he excites me seriously !
-I think, it’s reciprocal ! »On commence tous les quatre à labourer un sillon dans un couloir de nage, derrière Abdel. Très vite, ça se résume en une compet entre Paulo et Abdel. Personne ne veut lâcher le premier. Je me dirige alors vers les bulles. Après un bon moment, quand je reviens vers le grand bassin….Plus personne. Slimane nous indique par signes qu’ils sont aux douches. Il ne faut pas être grand devin pour supposer qu’ils sont tous les deux entrain de s’envoyer en l’air dans une cabine de douche.
Après un bon moment, ils réapparaissent. Abdel est radieux. Paulo aussi. Pour souffler un peu, ils me proposent de retourner aux bulles. Nous voilà tous les trois à chahuter dans le grand jacuzzi. J’en profite pour les tâter un peu. Vu l’état de la rondelle d’Abdel, c’est lui qui vient de se faire défoncer dans les douches par Paulo. Abdel nous gratifie de superbes poiriers – pour faire admirer son paquet ? -. On décide de rentrer.
Après le repas, on se met à comater doucement et Rémi repropose sa sieste crapuleuse… Accordé ! Ce sera très doux et cotonneux. Rémi était au paradis de pouvoir à nouveau fourrer Abdel qui rayonnait. Je retrouvais avec plaisir les cuisses douces, chaudes et accueillantes de Paulo Son ventre chaud aussi, sa feuille de rose superbe, son bas ventre légèrement ourlé de poils raz. Que du bonheur ! Pour finir en beauté, Paulo fera une très longue fellation à Abdel qui hurlera de plaisir. Paulo se réservant pour la nuit à venir ?
Abdel nous quitta, à regret, il devait aller voir sa mère qu’il n’avait pas vue depuis un moment. Il nous assura qu’il reviendrait.
Il est tout à fait OK, après le boulot. J’achète traiteur et je me décarcasse aussi pour lui faire des trucs qui sortent de l’ordinaire. Il arrive avec des chocolats – trop mignon -. Je le reçus en slip, comme je suis quand je suis à l’appart. Il en fut surpris agréablement et demanda s’il pouvait en faire autant. Evidemment ! Brief blanc grande marque US, parfaitement ajusté.
On passa à l’apéro – il buvait de l’alcool -. On enchaîna les cachaças bien dosées. Il avait l’air de tenir l’alcool. J’étais complètement sous son charme. On discutait tous les deux, de tout et de rien, à perdre haleine.
Abdel avait remarqué l’appart d’en face – celui de Paul et de Fabrice -. Illuminé, sans rideaux, avec nos deux gaillards qui se baladaient en slips. Il posa des questions. Je lui expliquais. A nouveau, il était bluffé.
« -Mais c’est ici que je veux venir habiter !!! C’est trop bien, sérieux ! ».
Dès lors, je vais le présenter – par-dessus les balcons – à Paul et à Fabrice qui sont enchantés. On promet de se revoir rapidement.
Le repas fut très joyeux – cachaças aidant ? -. On rigola à perdre haleine. Décidément, Abdel se révélait être un compagnon intéressant. Bien sûr, les allusions et la conversation tournèrent essentiellement autour du sexe. J’ en profitais pour discuter avec Abdel de son « éjaculation précoce – et des moyens que Rémi avait appris en Inde pour maitriser ça. Cela plut beaucoup à Abdel qui promit de suivre ça à la lettre.
Tard dans la soirée – mais pas tant que ça finalement car on en avait très envie -, on se dirigea vers la chambre. Au passage, Abdel nous fit remarquer qu’en face, Paul et Fabrice étaient entrain de grimper aux rideaux… Je lui dis que, dans peu de temps, on allait leur offrir le même spectacle !
« -Alors là, je suis out ! J’aurais jamais imaginé tout ça. Mais ça me branche bien. J’ai jamais fait ça dans ces conditions là mais ça m’excite grave ! »La séance fut longue, douce, sensuelle, progressive. Abdel était chaud bouillant, vibrant de désir contenu. Je lui fis la totale. Je le caressais, le léchais partout partout. Je le frottais avec ma bite partout partout. Je la lui fis goûter. Je le branlais doucement, le doigtais longuement. Je lui passais délicatement le gode de Paulo pour achever de le dilater. Il adorait ça, les godes. Il en avait un chez lui. Même que son petit frère était tombé dessus une fois, dans sa chambre…Moi aussi, j’aimais le faire aller et venir doucement dans son trou, en attendant d’y aller moi-même.
Puis, je me mis à califourchon sur son cou et lui présentais ma bite, mes couilles, mon bas ventre. Lui frottant le visage avec tout mon matos, lui faisant sucer ma pine baveuse. Abdel était aux anges. Surtout qu’il avait remarqué que Paul et Fabrice, en slips, suivaient la scène avec intérêt depuis leur balcon.
« -Wouah ! C’est un super pîed !
Maintenant, je pouvais y aller. Je pouvais le pénétrer. D’ailleurs, il me suppliait presque de le faire, tellement il en avait envie. Je m’enfonçais d’un seul coup en lui, jusqu’à la garde.
« Ouuuaaah ! Enfin !!!! »Moi aussi j’étais chaud bouillant. J’avais bien envie de le démonter à fond. Je m’y suis mis direct. A fond. J’avais trop de désir contenu. Il fallait que ça explose. Vite. Fort. Abdel se tortillait en gémissant sous mes coups de reins, les bras en croix, les poings serrés agrippant le drap. Il redressait son bassin en s’appuyant sur ses jambes fléchies pour mieux s’offrir. Quelle samba ! Malheureusement, elle se termina par un long cri de bête et deux jets de sperme qui remplirent son trou…Un peu après, , je voulus m’offrir à lui, à sa belle, longue et fine bite qui n’en pouvait plus. Je me mis à plat dos, jambes relevées, ouvertes, offert. Lui aussi me prend direct et me perce d’un coup, jusqu’à la garde. Mais, par contre, il n’entre pas tout de suite dans un rythme effréné. Bien au contraire. Il gère avec beaucoup de maîtrise. On dirait qu’il commence à bien respirer et à mieux se contrôler. Il en est le premier surpris et le premier réjoui. Mais sa tension sexuelle est depuis trop longtemps exacerbée et contenue. Alors il se met à taper de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ca claque ! Ca cogne ! Trop bien ! Il se retire alors et m’inonde littéralement de sperme chaud. Sur le ventre, le torse, le visage, les cheveux… Il veut me lécher mais je lui demande de tout laisser ainsi. On s’endort, exténués, remplis d’odeur de sexe, de sperme qui nous dégouline sur les jambes, collés l’un à l’autre, ruisselants. Nos deux voisins sont restés dans la fraîche de la nuit jusqu’à la fin du set.
Au milieu de la nuit, j’entends un bruit de serrure. Je me lève. C’EST PAULO ! Nu, je lui fonce dessus et le débarrasse de ses deux trois vêtements. J’ai juste le temps de lui dire que nous serons trois dans le lit. Il m’a déjà allongé, cherchant à me dévorer comme quelqu’un qui vient de traverser le désert sans eau.
Toute cette agitation réveille bien sûr Abdel. Abdel a l’air un peu gêné mais aussi subjugué par la beauté de Paulo et sa totale impudeur. Surtout que Paulo veut le mettre à l’aise en le checkant. Voyant Paulo s’agiter comme un beau diable sur mon corps, sa fabuleuse bite cherchant à me pénétrer, Abdel ne sait plus où se mettre et veut nous laisser dans l’intimité. C’est Paulo lui-même qui le retient par le cou en lui posant un baiser sur ses lèvres charnues. Surprise totale d’Abdel mais, au fond, comme il meurt d’envie de rester….il reste ! Cela donne l’occasion à Abdel d’admirer Paulo sous un autre angle, cela lui laisse le temps de le détailler à fond, d’en admirer chaque parcelle, de voir sa fabuleuse bite en action. Pour ma part, j’attire la bouche de Paulo vers moi pour la dévorer encore et encore.
D’abord, il n’ose pas trop et se contente de se remplir les yeux du fabuleux corps de Paulo qui s’agite sur le mien. Excité, il se touche la bite qui est déjà plus que dressée. Paulo lui prend alors la main et la pose sur son cul à lui. Abdel ne pouvait rêver mieux. Il ne se fait pas prier pour le caresser vigoureusement. Paulo en profite pour lui toucher la bite de temps à autre. Abdel semble fasciné par la queue de Paulo qui entre et sort de mon ventre à bonne vitesse. Je pense qu’il est aussi bluffé par l’incroyable endurance de Paulo.
Voulant le faire participer lui aussi, je lui prends sa seconde main et la pose sur les couilles de Paulo qui apprécie et qui lui prouve en lui déposant, à nouveau, un baiser sur ses lèvres. Abdel est aux anges. Se sentant encouragé, Abdel s’enhardit à caresser Paulo partout. Surtout sur son cul, sa raie… sa rondelle. A voir la tête de Paulo, on comprend tout de suite que c’est open. Mais Abdel va quand même y mettre les formes.
« -Can I put a dildo on you ? » ( Est-ce que je peux te passer un gode ?)« -Of course, you can ! You even have to !! » ( Bien sûr que tu peux ! Tu dois même !)Alors, Abdel n’hésite plus. Il prend le gode sur la table de chevet – celui de la bite de Paulo – et l’enduit copieusement de gel. Comme il est dressé à genoux à côté de Paulo avec sa bite dressée comme un mât de navire – bien dégoulinante -, Paulo ne peut résister et, tout en continuant à me limer, il gobe son gland d’un coup. Abdel est ….électrisé. Bon prince, il lui offre la totalité de son membre à déguster quelques secondes. Puis, il lui titille la rondelle de son doigt plein de gel. Etonné de pénétrer aussi vite. Son majeur est déjà entièrement dans le trou de Paulo, il essaie déjà d’en passer un second. Paulo lui sourit, aux anges.
« -You can fuck me whenever you want… » ( Tu peux me baiser quand tu veux )Abdel n’attendait que ce signal pour aller plus loin. Il se place derrière Paulo qui se retire de mon trou le temps qu’Abdel puisse le pénétrer. Très vite Abdel est en lui, ravi au plus haut point d’avoir au bout de sa bite un tel cadeau. Abdel s’est littéralement collé à Paulo, agrippé avec ses bras sur ses pecs. Ils ne font plus qu’un seul corps. A deux, ils se mettent à me pilonner à tout va. Trop trop bien de sentir ainsi leurs forces décuplées me bourrer de toute la force de leur désir.
C’est Paulo qui va éjaculer tout le foutre de ses couilles en moi en premier. Je sens chacun de ses jets m’inonder de leur bonne chaleur. Il a crié, j’ai crié. Abdel, lui, passe à la vitesse maxi pour essayer, lui aussi, de jouir. Quand il veut, il peut ! Très vite, il hurle qu’il va jouiiiiir. Paulo est ravi de recevoir sa semence pour la première – mais sûrement pas la dernière – fois. On peut maintenant faire les vraies présentations, calmement, chaleureusement. On décide d’essayer de dormir un peu en se serrant un peu plus, tous les quatre en cuillers. Complètement outs, on s’effondre tels que, dans un sommeil lourd et réparateur.
Exceptionnellement, au cours du reste de la nuit, il n’y aura pas d’autre agitation sexuelle. Si ce n’est de superbes « morning glory « de nous quatre, le matin au réveil. C’est d’ailleurs je crois ce qui m’a réveillé. Sentir la bite raide d’Abdel dans ma raie, immobile. Je jette un œil. Hasard des ébats - ? -.Je savoure ce moment de calme où tout dort encore, sauf moi. Je remarque aussi que Paulo est enchassé dans Abdel – il a toujours su se placer ! -.
Petit à petit, ils vont émerger. On discute un bon moment au lit. Paulo fait plus ample connaissance avec Abdel – en anglais -. Puis on décide d’aller, tous les quatre à la douche. Longue séance de savonnages de caresses mutuelles, de bisous sous l’eau tiède. Tout le monde veut admirer de plus près la bite de Abdel. Paulo lui montre même comment apaiser son cul endolori avec un jet d’eau froide ! Trop bien ! Allez ! Petit déjeuner ! On discute sur ce qu’on va faire ce matin là. Abdel propose piscine ou jogging ( !), Paulo et moi marché en ville.
Finalement, après le marché en ville, on se retrouve tous…à la piscine. Il a fallu faire choisir un slip de bain à Abdel qui n’avait pas prévu. Quand on lui a présenté la collec de Paulo, il a poussé un cri.
« -Wow ! Je n’ai jamais vu autant de si beaux modèles de toute ma vie ! »Finalement, il a choisi un modèle très slippé bleu, blanc, rouge !
Notre arrivée dans la piscine n’est pas vraiment passée inaperçue. Trois jeunes hommes, en mini slips de bain de couleurs – pas noirs ! -, cela fit tourner quelques têtes, hommes comme femmes… Slimane est enchanté de nous revoir tous, en compagnie d’Abdel. Discrètement, il me demande si la nuit a été chaude. Je confirme. Paulo me glisse : « You know, he excites me seriously !
-I think, it’s reciprocal ! »On commence tous les quatre à labourer un sillon dans un couloir de nage, derrière Abdel. Très vite, ça se résume en une compet entre Paulo et Abdel. Personne ne veut lâcher le premier. Je me dirige alors vers les bulles. Après un bon moment, quand je reviens vers le grand bassin….Plus personne. Slimane nous indique par signes qu’ils sont aux douches. Il ne faut pas être grand devin pour supposer qu’ils sont tous les deux entrain de s’envoyer en l’air dans une cabine de douche.
Après un bon moment, ils réapparaissent. Abdel est radieux. Paulo aussi. Pour souffler un peu, ils me proposent de retourner aux bulles. Nous voilà tous les trois à chahuter dans le grand jacuzzi. J’en profite pour les tâter un peu. Vu l’état de la rondelle d’Abdel, c’est lui qui vient de se faire défoncer dans les douches par Paulo. Abdel nous gratifie de superbes poiriers – pour faire admirer son paquet ? -. On décide de rentrer.
Après le repas, on se met à comater doucement et Rémi repropose sa sieste crapuleuse… Accordé ! Ce sera très doux et cotonneux. Rémi était au paradis de pouvoir à nouveau fourrer Abdel qui rayonnait. Je retrouvais avec plaisir les cuisses douces, chaudes et accueillantes de Paulo Son ventre chaud aussi, sa feuille de rose superbe, son bas ventre légèrement ourlé de poils raz. Que du bonheur ! Pour finir en beauté, Paulo fera une très longue fellation à Abdel qui hurlera de plaisir. Paulo se réservant pour la nuit à venir ?
Abdel nous quitta, à regret, il devait aller voir sa mère qu’il n’avait pas vue depuis un moment. Il nous assura qu’il reviendrait.
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