Ca n'arrive pas qu'aux autres
Récit érotique écrit par Patrick [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2003 dans la catégorie Plus on est
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Ca n'arrive pas qu'aux autres
Cette histoire s'est passée en 1976. Nous étions mariés depuis 6 ans et étions assez portés sur le sexe, surtout ma femme qui pouvait connaître 6 à 7 orgasmes à la suite. Un samedi soir nous étions partis au cinéma , et j'avais réussi à faire accepter à ma femme de nous rendre dans un cinéma porno, disparu aujourd'hui. Nous sommes entrés dans la salle et nous nous sommes assis sur le côté droit.
Les images défilées à l'écran et j'avais déjà ma main sous la jupe de Brigitte,et elle, la tête reposant sur mon épaule me caressait. Nous nous embrassons et mes doigts s'activent à écarter les bord de sa culottes. Je commence à la caresser. Elle mouille et de la façon qu'elle m'embrasse, mes caresses lui plaisent beaucoup.
A un moment, elle m'indique qu'un homme est venu s'installer à côté d'elle et qu'il a mis sa main sur sa cuisse. Je regarde son voisin et lui demande de stopper. Nous reculons d'un siège et continuons nos caresses. A nouveau elle me dit que la personne est revenue à ses côtés. Laisse, il le va pas te violer, ni te faire du mal. Quelques secondes après elle me dit : " Il me caresse ma fesse ". L'imagination aidant, je lui réponds : "Profites en, on ne le connait pas".
Petit à petit, elle m'explique ce qu'il fait et je constate que la main de l'inconnu se trouve dans la culotte de Brigitte et cherche à la masturber. Je retire ma main et je vois Brigitte fermant les yeux et ondulant délicatement du bassin. Sa respration s'active, elle me serre le sexe et jouit. Elle se reprend; à ce moment, je prends sa main gauche et la pose sur la braguette de son attoucheur et l'oblige à le caresser. Je regarde, l'homme sort son sexe et Brigitte commence à le branler. Après un moment, il éjacule sur le dossier de devant. Il reprends ses esprits, se met à genoux entre les jambres de Brigitte et commence à lui lécher sa chatte. Elle me dit : "Il m'a mis un doigt dans le cul". Je ne m'occupe de rien et les laisse faire. Sa respiration s'active et elle explose. Le gars se relève et disparaît.
"C'était bon !" je demande à Brigitte
"Incroyable de jouir comme cela avec un inconnu" me répond-t-elle.
J'étais tellement exité que j'attrape sa tête et je l'entraîne vers mon sexe. Elle le sort et le suce. Exité, après quelques va et vient je lui explose dans la bouche.
Cette aventure nous donne des idées.
La première Brigitte n'aimait pas tellement que l'on touche à son petit trou de cul. Chemin faisant, j'ai quand même réussi à la sodomiser.
La seconde c'est que si elle trouvait un mec à son goût elle me le disait. Ce qui arriva lors d'un anniversaire. Elle dansait avec et bien que vexé, je la vis effleurer ses lèvres. Elle ne me dit rien d'autres. Me posant des questions j'ai eu l'idée d'acheter un dictaphone (se mettant en route au son de la voix) et je le cachais dans la chambre.
J'avais raison, cet appareil me livra mes soupçons. J'entendis : "Pousse pas trop fort, Patrick ne me sodomise pas tous les jours" ou "Vas-y suce moi encore" ou "Pousse, jouis dans mon ventre". Le mieux est lorsque j'entendis mardi à 13h.
Le mardi comme à l'habitude, Brigitte m'indique qu'elle ne retourne pas à la maison et moi je lui indique que je déjeune à l'extérieur. Mon déjuener consistait à me rendre chez moi et attendre leurs ébats.
J'étais récompensé. Alors qu'ils étaient nus sur le lit, je fis mon apparition, discrétement. Leur étonnement était admiratif. Pas de colère, je me suis allongé à côté de Pierre, j'ai attiré la tête de Brigitte jusqu'à ma bitte et je l'ai obligé à me sucer. Pierre a souri, je lui ai dit de s'occuper de sa chatte, il s'est mis derrière Brigitte et l'a pris en levrette. J'ai joui dans sa bouche, elle semblait adorer le fait d'avoir deux homme pour elle. J'ai regardé Pierre la bourrer. "Défonce la" lui dis-je. Il s'activait davantage et elle se mit à jouir comme une vraie salope, elle râlait tellement son orgasme était violent. A son tour Pierre lui déchargea dans son vagin. Tout le monde était allongé et je leur racontais comment j'avais su. Brigitte avait dans chaque main un sexe qu'elle branlait. Le fantasme de chaque femme, être pris en sandwich, pouvait se réaliser pour Brigitte. J'allais à la salle de bain et prenais le tube de pommade pour les mains. Je lui demande de se coucher sur le ventre, je prends un noix de crème et lui introduis dans l'anus avec un doigt. J'en reprends et la je mets deux doigts et un troisième.
Je m'allonge sur le dos, Brigitte me tourne le dos et viens au dessus de mon sexe. Elle le prends et commence l'introduction dans son cul. La tête passe, elle le retire et à nouveau la rentre. Délicatement, un centimètre à la fois mon sexe disparaît à l'intérieur de son cul. Mes couilles touchent ses fesses. Elle commence ses va et vient et très vite elle comprime les muscles de son cul. J'indique à Pierre que la chatte est libre. Brigitte s'allonge sur moi, je lui écarte les jambes au maximun et Pierre l'introduit. Elle pousse des AHH!!!, "C'est bon, continuez, doucement pour que j'en profite". Je sentais le sexe se Pierre caresser le mien. Nous avons joui avec une intensité incroyable. Je ne regrette pas l'écart de ma femme. C'est le début de diversité car quand je lis les histoires je pense qu'il faut s'éclater le plus possible.
Je vous raconterai autre chose plus tard.
Les images défilées à l'écran et j'avais déjà ma main sous la jupe de Brigitte,et elle, la tête reposant sur mon épaule me caressait. Nous nous embrassons et mes doigts s'activent à écarter les bord de sa culottes. Je commence à la caresser. Elle mouille et de la façon qu'elle m'embrasse, mes caresses lui plaisent beaucoup.
A un moment, elle m'indique qu'un homme est venu s'installer à côté d'elle et qu'il a mis sa main sur sa cuisse. Je regarde son voisin et lui demande de stopper. Nous reculons d'un siège et continuons nos caresses. A nouveau elle me dit que la personne est revenue à ses côtés. Laisse, il le va pas te violer, ni te faire du mal. Quelques secondes après elle me dit : " Il me caresse ma fesse ". L'imagination aidant, je lui réponds : "Profites en, on ne le connait pas".
Petit à petit, elle m'explique ce qu'il fait et je constate que la main de l'inconnu se trouve dans la culotte de Brigitte et cherche à la masturber. Je retire ma main et je vois Brigitte fermant les yeux et ondulant délicatement du bassin. Sa respration s'active, elle me serre le sexe et jouit. Elle se reprend; à ce moment, je prends sa main gauche et la pose sur la braguette de son attoucheur et l'oblige à le caresser. Je regarde, l'homme sort son sexe et Brigitte commence à le branler. Après un moment, il éjacule sur le dossier de devant. Il reprends ses esprits, se met à genoux entre les jambres de Brigitte et commence à lui lécher sa chatte. Elle me dit : "Il m'a mis un doigt dans le cul". Je ne m'occupe de rien et les laisse faire. Sa respiration s'active et elle explose. Le gars se relève et disparaît.
"C'était bon !" je demande à Brigitte
"Incroyable de jouir comme cela avec un inconnu" me répond-t-elle.
J'étais tellement exité que j'attrape sa tête et je l'entraîne vers mon sexe. Elle le sort et le suce. Exité, après quelques va et vient je lui explose dans la bouche.
Cette aventure nous donne des idées.
La première Brigitte n'aimait pas tellement que l'on touche à son petit trou de cul. Chemin faisant, j'ai quand même réussi à la sodomiser.
La seconde c'est que si elle trouvait un mec à son goût elle me le disait. Ce qui arriva lors d'un anniversaire. Elle dansait avec et bien que vexé, je la vis effleurer ses lèvres. Elle ne me dit rien d'autres. Me posant des questions j'ai eu l'idée d'acheter un dictaphone (se mettant en route au son de la voix) et je le cachais dans la chambre.
J'avais raison, cet appareil me livra mes soupçons. J'entendis : "Pousse pas trop fort, Patrick ne me sodomise pas tous les jours" ou "Vas-y suce moi encore" ou "Pousse, jouis dans mon ventre". Le mieux est lorsque j'entendis mardi à 13h.
Le mardi comme à l'habitude, Brigitte m'indique qu'elle ne retourne pas à la maison et moi je lui indique que je déjeune à l'extérieur. Mon déjuener consistait à me rendre chez moi et attendre leurs ébats.
J'étais récompensé. Alors qu'ils étaient nus sur le lit, je fis mon apparition, discrétement. Leur étonnement était admiratif. Pas de colère, je me suis allongé à côté de Pierre, j'ai attiré la tête de Brigitte jusqu'à ma bitte et je l'ai obligé à me sucer. Pierre a souri, je lui ai dit de s'occuper de sa chatte, il s'est mis derrière Brigitte et l'a pris en levrette. J'ai joui dans sa bouche, elle semblait adorer le fait d'avoir deux homme pour elle. J'ai regardé Pierre la bourrer. "Défonce la" lui dis-je. Il s'activait davantage et elle se mit à jouir comme une vraie salope, elle râlait tellement son orgasme était violent. A son tour Pierre lui déchargea dans son vagin. Tout le monde était allongé et je leur racontais comment j'avais su. Brigitte avait dans chaque main un sexe qu'elle branlait. Le fantasme de chaque femme, être pris en sandwich, pouvait se réaliser pour Brigitte. J'allais à la salle de bain et prenais le tube de pommade pour les mains. Je lui demande de se coucher sur le ventre, je prends un noix de crème et lui introduis dans l'anus avec un doigt. J'en reprends et la je mets deux doigts et un troisième.
Je m'allonge sur le dos, Brigitte me tourne le dos et viens au dessus de mon sexe. Elle le prends et commence l'introduction dans son cul. La tête passe, elle le retire et à nouveau la rentre. Délicatement, un centimètre à la fois mon sexe disparaît à l'intérieur de son cul. Mes couilles touchent ses fesses. Elle commence ses va et vient et très vite elle comprime les muscles de son cul. J'indique à Pierre que la chatte est libre. Brigitte s'allonge sur moi, je lui écarte les jambes au maximun et Pierre l'introduit. Elle pousse des AHH!!!, "C'est bon, continuez, doucement pour que j'en profite". Je sentais le sexe se Pierre caresser le mien. Nous avons joui avec une intensité incroyable. Je ne regrette pas l'écart de ma femme. C'est le début de diversité car quand je lis les histoires je pense qu'il faut s'éclater le plus possible.
Je vous raconterai autre chose plus tard.
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