Cadeau d'anniversaire chapitre 02
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cadeau d'anniversaire chapitre 02
Cadeau d'anniversaire chapitre 02
Y allez ? Allez où ? Aucun son ne sort de ma gorge, uniquement des petits grognements. Je me sens de nouveau perdu dans mes idées, perdu entre mes actes possibles et ce que je fais réellement. Perdu entre mes envies et mes engagements, perdu entre ce que je veux faire et ce que je peux faire. L'envie de fuir est présente, l'envie de découvrir ce monde de dépravation l'emporte. Je me laisse guidé vers la porte de ma chambre dans cet accoutrement si ridicule, si provoquant, si humiliant mais oh si doux, si beau, si troublant.
Sans y être physiquement forcé, je sors de la chambre, guidé par ce jeune et beau Luc. Je parcours de longs corridor, sur le qui vive à chaque bruit suspect, devant chaque passage de porte, à chaque coin. Nous ne croisons personne mais, au loin, de nombreuses voix se font entendre. Plus nous avançons, plus nous descendons, plus les voix sont présentes. Je n'ose pas imaginer ce qui m'attend. La force qui m'attire vers ses voix menaçante est terriblement bien plus forte que la volonté de faire demi-tour.
Face à une double porte vitrée ouverte, je peux voir un nombre important de personnes en habits de soirée, des hommes élégants en smoking, des femmes en superbes longues robes. Personne ne m'a aperçu et, pourtant, je sens déjà un inconfort immense m'envahir. Je reste figé sur place, mon sexe ne dégonfle pas, la tache autour du gland maintenant enveloppé s'étend de plus en plus.
Luc, plus stoïque qu'avant, se retourne vers moi. Luc tend une main vers moi, je lui tends la mienne. Sa puissante main ne vient pas chercher la mienne, elle vient s'accrocher solidement autour de ma hampe. Je tente de reculer, je ne fais qu'aggraver la pression et le large sourire sur son visage me montre son énorme plaisir. Luc avance lentement vers la foule, je peine à le suivre, scrutant interminablement autour de moi. Luc s'impose parmi la foule qui s'écarte et je peux sentir tous les regards fixés sur moi. Les discutions s'interrompent pour laisser place à des cris de fascination, d'émerveillement. Je ne peux voir ou sentir aucun étonnement, aucune offuscation ni dégoût. Tout ceci semble leur paraître si naturel.
Luc est maintenant à hauteur d'un homme imposant, un homme d'un immense charisme, un homme grand et large, solide et magistral. Son entourage s'écarte au fur et à mesure que nous approchons et je me sens de plus en plus nerveux. Je me sens encore plus attiré, hypnotisé par cet homme que je ne l'ai été par Luc et, pourtant, il me fait peur aussi.
L'homme ne bouge pas, son visage est neutre mais je peux percevoir une grande émotion dans ses beaux yeux bruns. Je réalise alors que ma posture n'est pas la bonne et j'incline la tête, je baisse les yeux vers le sol et je gonfle le torse. J'ai envie d'écarter les jambes mais pour marcher ce n'est pas pratique. Je sens aussi la main sur mon gland se serrer au point de faire mal, je sens une tension extrême dans le corps de Luc.
- Monsieur, voici mon cadeau !
Luc s'est agenouillé humblement de l'homme et la pression sur ma hampe me force sur mes genoux, je vacille. La voix de Luc est tremblante, remplie d'un incroyable émoi qui révèle une fragile émotion, un immense respect. La main de Luc abandonne subitement sa prise tandis qu'il s'approche, seul, vers l'Homme, la tête penchée. L'Homme tend les bras pour accueillir Luc et celui-ci se redresse et bondit dans la chaleureuse accolade. Luc semble fondre en larme. L'Homme relève la tête de Luc pour un puissant baiser, un profond baiser Français. Ce tendre baiser dure une éternité pour moi qui attend là, perversement travesti en cadeau d'anniversaire et je comprends alors la situation. Je suis le présent pour Pierre. Voilà donc Pierre, Monsieur Pierre, Maître Pierre. Me voici donc le cadeau d'un merveilleux Homme pour un week-end, me voici donc la chose offerte à cet Homme extraordinaire. Cette nouvelle réalisation me trouble encore plus. Moi qui m'étais si docilement habitué à l'idée d'être le jouet de Luc, un jouet tantôt brutalisé, tantôt choyé, j'étais maintenant offert à un Homme qui m'impressionnait. Cet Homme était un inconnu pour moi car j'étais maintenant conscient, voyant sa grande surprise, qu'il n'était pas au courant de mon existence. Cette pensée me fit frémir de plus belle. Malgré le coté effrayant, mon sexe palpitait de plus belle, mon cœur s'emballait et la chaleur amenait mon corps à dégouliner. D'un autre coté, je sentais cet Homme si incroyable, si impérieux, si attirant que mon excitation dominait, seule, mes sentiments. Le coté sexuel l'emportait sur toute raison. Ma queue rigide contrôlait mon corps et mon esprit. Chaque petit regard lancé vers le couple m'émouvait encore plus et je me sentais fondre, fondre.
Une fois le baiser rompu sous les acclamations de toute l'assemblée, j'ai senti tous les regards se poser sur moi. Un seul existait pour moi, celui de cet Homme, mon Propriétaire pour un week-end. Je me sentais déjà Sa chose, incapable de me refuser à Lui, insatiable à tout ce qu'il allait me demander, m'imposer, d'ordonner. Je me sentais déjà Sien, j'étais Sien. Je voulais tant me redresser et bondir vers Lui pour Lui offrir mon corps entier, tous mes orifices pour être comblés, tous mes appendices pour le satisfaire. Mais je suis resté en posture d'offrande, là devant Lui, dans un profond respect et une immense admiration, Lui montrer combien je me sentais soumis, totalement dominé.
A un moment donné, Luc s'est approché de moi, s'est agenouillé devant moi. Il a sorti une sangle de sa poche, a fixé fermement la laisse autour de mon sac tendu pour tendre l'autre extrémité à Monsieur Pierre afin de sceller officiellement mon acquisition. Sous les acclamations torrides des invités, Monsieur Pierre, d'un coup sec sur la laisse m'a tiré vers Lui. Dès que la tension sur la sangle me l'a permis, je me suis prosterné à ses pieds.
- Que la fête commence !
L'annonce de Monsieur Pierre provoqua le début d'un capharnaüm.
Une quantité invraisemblable de vêtements vola dans les airs, révélant de la chair nue, du simple torse au corps complet. Une orgie commença sous mes yeux
A suivre pour votre plaisir et le mien, Alain
Y allez ? Allez où ? Aucun son ne sort de ma gorge, uniquement des petits grognements. Je me sens de nouveau perdu dans mes idées, perdu entre mes actes possibles et ce que je fais réellement. Perdu entre mes envies et mes engagements, perdu entre ce que je veux faire et ce que je peux faire. L'envie de fuir est présente, l'envie de découvrir ce monde de dépravation l'emporte. Je me laisse guidé vers la porte de ma chambre dans cet accoutrement si ridicule, si provoquant, si humiliant mais oh si doux, si beau, si troublant.
Sans y être physiquement forcé, je sors de la chambre, guidé par ce jeune et beau Luc. Je parcours de longs corridor, sur le qui vive à chaque bruit suspect, devant chaque passage de porte, à chaque coin. Nous ne croisons personne mais, au loin, de nombreuses voix se font entendre. Plus nous avançons, plus nous descendons, plus les voix sont présentes. Je n'ose pas imaginer ce qui m'attend. La force qui m'attire vers ses voix menaçante est terriblement bien plus forte que la volonté de faire demi-tour.
Face à une double porte vitrée ouverte, je peux voir un nombre important de personnes en habits de soirée, des hommes élégants en smoking, des femmes en superbes longues robes. Personne ne m'a aperçu et, pourtant, je sens déjà un inconfort immense m'envahir. Je reste figé sur place, mon sexe ne dégonfle pas, la tache autour du gland maintenant enveloppé s'étend de plus en plus.
Luc, plus stoïque qu'avant, se retourne vers moi. Luc tend une main vers moi, je lui tends la mienne. Sa puissante main ne vient pas chercher la mienne, elle vient s'accrocher solidement autour de ma hampe. Je tente de reculer, je ne fais qu'aggraver la pression et le large sourire sur son visage me montre son énorme plaisir. Luc avance lentement vers la foule, je peine à le suivre, scrutant interminablement autour de moi. Luc s'impose parmi la foule qui s'écarte et je peux sentir tous les regards fixés sur moi. Les discutions s'interrompent pour laisser place à des cris de fascination, d'émerveillement. Je ne peux voir ou sentir aucun étonnement, aucune offuscation ni dégoût. Tout ceci semble leur paraître si naturel.
Luc est maintenant à hauteur d'un homme imposant, un homme d'un immense charisme, un homme grand et large, solide et magistral. Son entourage s'écarte au fur et à mesure que nous approchons et je me sens de plus en plus nerveux. Je me sens encore plus attiré, hypnotisé par cet homme que je ne l'ai été par Luc et, pourtant, il me fait peur aussi.
L'homme ne bouge pas, son visage est neutre mais je peux percevoir une grande émotion dans ses beaux yeux bruns. Je réalise alors que ma posture n'est pas la bonne et j'incline la tête, je baisse les yeux vers le sol et je gonfle le torse. J'ai envie d'écarter les jambes mais pour marcher ce n'est pas pratique. Je sens aussi la main sur mon gland se serrer au point de faire mal, je sens une tension extrême dans le corps de Luc.
- Monsieur, voici mon cadeau !
Luc s'est agenouillé humblement de l'homme et la pression sur ma hampe me force sur mes genoux, je vacille. La voix de Luc est tremblante, remplie d'un incroyable émoi qui révèle une fragile émotion, un immense respect. La main de Luc abandonne subitement sa prise tandis qu'il s'approche, seul, vers l'Homme, la tête penchée. L'Homme tend les bras pour accueillir Luc et celui-ci se redresse et bondit dans la chaleureuse accolade. Luc semble fondre en larme. L'Homme relève la tête de Luc pour un puissant baiser, un profond baiser Français. Ce tendre baiser dure une éternité pour moi qui attend là, perversement travesti en cadeau d'anniversaire et je comprends alors la situation. Je suis le présent pour Pierre. Voilà donc Pierre, Monsieur Pierre, Maître Pierre. Me voici donc le cadeau d'un merveilleux Homme pour un week-end, me voici donc la chose offerte à cet Homme extraordinaire. Cette nouvelle réalisation me trouble encore plus. Moi qui m'étais si docilement habitué à l'idée d'être le jouet de Luc, un jouet tantôt brutalisé, tantôt choyé, j'étais maintenant offert à un Homme qui m'impressionnait. Cet Homme était un inconnu pour moi car j'étais maintenant conscient, voyant sa grande surprise, qu'il n'était pas au courant de mon existence. Cette pensée me fit frémir de plus belle. Malgré le coté effrayant, mon sexe palpitait de plus belle, mon cœur s'emballait et la chaleur amenait mon corps à dégouliner. D'un autre coté, je sentais cet Homme si incroyable, si impérieux, si attirant que mon excitation dominait, seule, mes sentiments. Le coté sexuel l'emportait sur toute raison. Ma queue rigide contrôlait mon corps et mon esprit. Chaque petit regard lancé vers le couple m'émouvait encore plus et je me sentais fondre, fondre.
Une fois le baiser rompu sous les acclamations de toute l'assemblée, j'ai senti tous les regards se poser sur moi. Un seul existait pour moi, celui de cet Homme, mon Propriétaire pour un week-end. Je me sentais déjà Sa chose, incapable de me refuser à Lui, insatiable à tout ce qu'il allait me demander, m'imposer, d'ordonner. Je me sentais déjà Sien, j'étais Sien. Je voulais tant me redresser et bondir vers Lui pour Lui offrir mon corps entier, tous mes orifices pour être comblés, tous mes appendices pour le satisfaire. Mais je suis resté en posture d'offrande, là devant Lui, dans un profond respect et une immense admiration, Lui montrer combien je me sentais soumis, totalement dominé.
A un moment donné, Luc s'est approché de moi, s'est agenouillé devant moi. Il a sorti une sangle de sa poche, a fixé fermement la laisse autour de mon sac tendu pour tendre l'autre extrémité à Monsieur Pierre afin de sceller officiellement mon acquisition. Sous les acclamations torrides des invités, Monsieur Pierre, d'un coup sec sur la laisse m'a tiré vers Lui. Dès que la tension sur la sangle me l'a permis, je me suis prosterné à ses pieds.
- Que la fête commence !
L'annonce de Monsieur Pierre provoqua le début d'un capharnaüm.
Une quantité invraisemblable de vêtements vola dans les airs, révélant de la chair nue, du simple torse au corps complet. Une orgie commença sous mes yeux
A suivre pour votre plaisir et le mien, Alain
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