Cadeau de la Saint Valentin
Récit érotique écrit par ForX [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cadeau de la Saint Valentin
La Saint Valentin est une fête commerciale… Pas si vrai que cela puisqu’elle m’a permis de vivre un moment de bonheur intense.
Ce fut d’abord une journée, où nous avons ma femme et moi raté de nombreuses occasions de passer du temps ensemble. Elle était restée à la maison pour se reposer, se sentant faible.
J’ai fini mon travail relativement tôt pour organiser un repas en amoureux à la maison. En rentrant des courses, je retrouvais Karine à la maison, les yeux noisettes brillants. Elle m’accueillit avec un grand sourire, dans son jean moulant. Son corsage mettait harmonieusement ses seins en valeur grâce à un décolleté profond.
Nous nous sommes allongés sur notre canapé, se faisant de petits câlins. Sa main a commencé à déboutonner ma chemise. De mon coté je m’amusais à l’embrasser partout, caressant sa poitrine. Mes mains s’aventuraient plus que souvent entre ses cuisses qu’elle entrouvrais pour me faciliter l’accès vers sa vallée des roses. elle a commencé à me pincer le sein de plus en plus fort. Parfois elle enfonçait ses ongles dans mes mamelons, me tirant des cris de douleur et de jouissance intimement mêlés. Voyant que je bandais, elle m’a demandé de me préparer à être à ton service pour ce soir.
Cette proposition, je l’attendais depuis si longtemps. Cela signifiait que je devais me présenter devant elle, nu, un collier autour du cou avec une laisse au sexe. Il était évident que je devais arriver avec un plug dans les fesses.
Pendant que je m’affairais à être présentable elle est partie mettre une jupe très courte, de longues cuissardes et un magnifique corset.
Je bandais quand je l’ai retrouvé dans le salon. Sa beauté était mise en valeur par son habillement. Elle m’a demandé de me tourner. Prenant une cravache, elle m’a fais rougir les fesses.
Je suis parti préparer le repas. Elle avait déjà dressé la table pour deux. Les bougies éclairaient la pièce. Des cœurs étaient éparpillés sur la table.
Elle m’a surveillé pendant toute la préparation du repas, me donnant quelques coups de cravaches pour me réchauffer. Une fois le repas prêt, elle m’a attaché au pied de sa chaise en me mettant un bandeau sur les yeux. Agenouillé, les mains attachées dans le dos, j’attendais.
Le carillon de la porte a résonné dans la maison. Pourvu que cela ne soit pas la famille, pensais-je paniqué. J ai entendu des rires.Mort de honte je l’ai entendu venir vers moi. Les yeux bandés je ne pouvais imaginer que de sa voix joyeuse elle m’annonce :
« Mon chéri, je te présente mon amant. Je ne pouvais pas passer la Saint Valentin sans lui, n’est ce pas ? Tu vas nous servir comme il faut. Je vais t’enlever ton bandeau…mais attention, je ne veux pas t’entendre, sinon nous partons chez lui….A toi donc de choisir »
Un défilé d’images de leurs corps emmêlés passe devant moi. De la colère, de l’incompréhension, et une excitation trouble me poussent à accepter la situation d’un geste de la tête.
Karine m’enlève le bandeau. Je la regarde et dévisage un bellâtre de 40 ans le style italien qui me toise ironiquement.
« Qu’attends-tu pour servir Michel et ta maîtresse à boire ? » me demanda ma femme. Je m’empressais de remplir des verres. Au deuxième verre remplit, Karine me donna une écuelle et me dit de me servir. Elle m’expliqua que je devais servir, immédiatement me mettre à ses genoux et manger dans ma gamelle.
Je m’efforçais de servir discrètement tant ils avaient l’air de s’aimer et tant ils m’ignoraient. Lorsque je voulus manger dans ma gamelle, on m’interdit de m’aider des mains. C’est Karine qui m’enfonça la tête dans la sauce en m’appuyant sa botte sur ma nuque. Je me redressais pitoyable âpres avoir fini, sous les moqueries de son amant.
Michel s’est levé et est venue derrière Karine, toujours assise sur la chaise… J’ai vu ma femme rejeter la tête en arrière, tendre ses lèvres à son amant, entourer de ses mains le visage de son amant. Leurs lèvres se sont jointes en un baiser passionné. Michel a commencé à faire glisser ses mains dans le corsage, extirpant un sein au mamelon érigé. Karine semblait aux anges, poussant des soupirs. Ma femme s’est levée, et est venue se jeter dans les bras de Michel, l’embrassant fougueusement. Ma femme massait le sexe de son amant.
Je dus sur les ordres de mon épouse, défaire la ceinture de son amant, ouvrir la braguette de son pantalon et extirper moi-même, son sexe. Un beau sexe qui palpitait et que Karine a vite fait de prendre en main pendant qu’elle me repoussait du pied.
Ma femme s’est agenouillé devant son amant et a pris son sexe en bouche. Etant moi-même agenouillé depuis mon repas, je fus aux premières loges pour voir ma femme engouffrer avec plaisir le sexe de son amant. Je voyais sa langue qui courrait sur le méat avant de le gober…Cette vision me faisait bander comme un fou.
Michel m’a fait mettre à 4 pattes. Karine est venue se mettre sur moi. J’ai assisté, témoin passif, à une longue et sauvage pénétration de ma femme qui invitait son amant à la prendre plus fortement. Je ressentais les coups de boutoirs de Michel ainsi que la tension et l’excitation de mon épouse. Karine eut deux orgasmes coup sur coup. Son amant se répandit sur son dos : Une partie du sperme me coula dessus.
Si ma femme semblait fatiguée, Michel affichait toujours une belle érection. Il emmena Karine au salon et exigea une fellation. Ma femme s’empressa de la lui offrir et me demanda de me masturber pendant ce temps. Je jouis presque aussitôt. Michel me demanda de lécher tout mon sperme, même celui mis par terre. Je m’exécutais.
Michel éjacula peu de temps après. Je fus impressionné par la quantité de sperme.
Karine me regarda avec sourire et me demanda d’aller mettre le plug électrique dans les fesses, au maximum de l’intensité sans oublier les pinces aux seins. Elle m’attacha et en s’excusant presque elle me demanda de l’attendre car Michel et elle préférait faire l’amour tranquillement sans moi.
Deux heures après, mon épouse est venue me délivrer après le départ de Michel. Elle m’a détaché et nous avons fait l’amour très fort malgré toutes ses jouissances précédentes avec son amant. Elle m’a fait promettre de la laisser recommencer…
Devinez ma réponse...
Ce fut d’abord une journée, où nous avons ma femme et moi raté de nombreuses occasions de passer du temps ensemble. Elle était restée à la maison pour se reposer, se sentant faible.
J’ai fini mon travail relativement tôt pour organiser un repas en amoureux à la maison. En rentrant des courses, je retrouvais Karine à la maison, les yeux noisettes brillants. Elle m’accueillit avec un grand sourire, dans son jean moulant. Son corsage mettait harmonieusement ses seins en valeur grâce à un décolleté profond.
Nous nous sommes allongés sur notre canapé, se faisant de petits câlins. Sa main a commencé à déboutonner ma chemise. De mon coté je m’amusais à l’embrasser partout, caressant sa poitrine. Mes mains s’aventuraient plus que souvent entre ses cuisses qu’elle entrouvrais pour me faciliter l’accès vers sa vallée des roses. elle a commencé à me pincer le sein de plus en plus fort. Parfois elle enfonçait ses ongles dans mes mamelons, me tirant des cris de douleur et de jouissance intimement mêlés. Voyant que je bandais, elle m’a demandé de me préparer à être à ton service pour ce soir.
Cette proposition, je l’attendais depuis si longtemps. Cela signifiait que je devais me présenter devant elle, nu, un collier autour du cou avec une laisse au sexe. Il était évident que je devais arriver avec un plug dans les fesses.
Pendant que je m’affairais à être présentable elle est partie mettre une jupe très courte, de longues cuissardes et un magnifique corset.
Je bandais quand je l’ai retrouvé dans le salon. Sa beauté était mise en valeur par son habillement. Elle m’a demandé de me tourner. Prenant une cravache, elle m’a fais rougir les fesses.
Je suis parti préparer le repas. Elle avait déjà dressé la table pour deux. Les bougies éclairaient la pièce. Des cœurs étaient éparpillés sur la table.
Elle m’a surveillé pendant toute la préparation du repas, me donnant quelques coups de cravaches pour me réchauffer. Une fois le repas prêt, elle m’a attaché au pied de sa chaise en me mettant un bandeau sur les yeux. Agenouillé, les mains attachées dans le dos, j’attendais.
Le carillon de la porte a résonné dans la maison. Pourvu que cela ne soit pas la famille, pensais-je paniqué. J ai entendu des rires.Mort de honte je l’ai entendu venir vers moi. Les yeux bandés je ne pouvais imaginer que de sa voix joyeuse elle m’annonce :
« Mon chéri, je te présente mon amant. Je ne pouvais pas passer la Saint Valentin sans lui, n’est ce pas ? Tu vas nous servir comme il faut. Je vais t’enlever ton bandeau…mais attention, je ne veux pas t’entendre, sinon nous partons chez lui….A toi donc de choisir »
Un défilé d’images de leurs corps emmêlés passe devant moi. De la colère, de l’incompréhension, et une excitation trouble me poussent à accepter la situation d’un geste de la tête.
Karine m’enlève le bandeau. Je la regarde et dévisage un bellâtre de 40 ans le style italien qui me toise ironiquement.
« Qu’attends-tu pour servir Michel et ta maîtresse à boire ? » me demanda ma femme. Je m’empressais de remplir des verres. Au deuxième verre remplit, Karine me donna une écuelle et me dit de me servir. Elle m’expliqua que je devais servir, immédiatement me mettre à ses genoux et manger dans ma gamelle.
Je m’efforçais de servir discrètement tant ils avaient l’air de s’aimer et tant ils m’ignoraient. Lorsque je voulus manger dans ma gamelle, on m’interdit de m’aider des mains. C’est Karine qui m’enfonça la tête dans la sauce en m’appuyant sa botte sur ma nuque. Je me redressais pitoyable âpres avoir fini, sous les moqueries de son amant.
Michel s’est levé et est venue derrière Karine, toujours assise sur la chaise… J’ai vu ma femme rejeter la tête en arrière, tendre ses lèvres à son amant, entourer de ses mains le visage de son amant. Leurs lèvres se sont jointes en un baiser passionné. Michel a commencé à faire glisser ses mains dans le corsage, extirpant un sein au mamelon érigé. Karine semblait aux anges, poussant des soupirs. Ma femme s’est levée, et est venue se jeter dans les bras de Michel, l’embrassant fougueusement. Ma femme massait le sexe de son amant.
Je dus sur les ordres de mon épouse, défaire la ceinture de son amant, ouvrir la braguette de son pantalon et extirper moi-même, son sexe. Un beau sexe qui palpitait et que Karine a vite fait de prendre en main pendant qu’elle me repoussait du pied.
Ma femme s’est agenouillé devant son amant et a pris son sexe en bouche. Etant moi-même agenouillé depuis mon repas, je fus aux premières loges pour voir ma femme engouffrer avec plaisir le sexe de son amant. Je voyais sa langue qui courrait sur le méat avant de le gober…Cette vision me faisait bander comme un fou.
Michel m’a fait mettre à 4 pattes. Karine est venue se mettre sur moi. J’ai assisté, témoin passif, à une longue et sauvage pénétration de ma femme qui invitait son amant à la prendre plus fortement. Je ressentais les coups de boutoirs de Michel ainsi que la tension et l’excitation de mon épouse. Karine eut deux orgasmes coup sur coup. Son amant se répandit sur son dos : Une partie du sperme me coula dessus.
Si ma femme semblait fatiguée, Michel affichait toujours une belle érection. Il emmena Karine au salon et exigea une fellation. Ma femme s’empressa de la lui offrir et me demanda de me masturber pendant ce temps. Je jouis presque aussitôt. Michel me demanda de lécher tout mon sperme, même celui mis par terre. Je m’exécutais.
Michel éjacula peu de temps après. Je fus impressionné par la quantité de sperme.
Karine me regarda avec sourire et me demanda d’aller mettre le plug électrique dans les fesses, au maximum de l’intensité sans oublier les pinces aux seins. Elle m’attacha et en s’excusant presque elle me demanda de l’attendre car Michel et elle préférait faire l’amour tranquillement sans moi.
Deux heures après, mon épouse est venue me délivrer après le départ de Michel. Elle m’a détaché et nous avons fait l’amour très fort malgré toutes ses jouissances précédentes avec son amant. Elle m’a fait promettre de la laisser recommencer…
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