Cadeau de Noël!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cadeau de Noël!
-Eh bien ! Me fait Brigitte, en me repoussant du pied. Tu vois, je le savais ! Je te donne mon pied, tu prends mon sexe. Dégage de chez moi, tout de suite sale pervers. Faire ça à une femme mariée, mais putain où va-t-en !
J’ai attendu une bonne semaine avant d’avoir de nouveau de ses nouvelles. Je me trouvais dans le hall à attendre le facteur quand elle a fait son apparition.
-Toi là ? Me fait-elle, en refermant la porte du hall.
-Bonjour Madame. Je lâche.
-Pourquoi Madame et non pas Brigitte ? Tu sais, ajoute-t-elle, j’ai bien réfléchi pour la dernière fois.
-Ah oui Brigitte.
-Et je me suis traitée de folle.
-Oui… oui, je sais, je tenais à m’excuser d’avoir abusé de vous.
-Mais pas du tout, tu n’y es pas là mon chou. Tout au contraire, je pense, enfin si tu es d’accord, qu’il serait bien de donner une suite à notre petite aventure, qu’est-ce que tu en dis ?
-A vrai dire, je ne dis pas non !
-Mais il ne faut pas que cela se sache, tu le comprends bien !
-Parfaitement, Brigitte !
-Maintenant, si tu veux bien me suivre, j’ai envie que tu me fasses des choses ! Sale !
Sitôt dans le salon, ses mains se crispent sur mes cheveux pour me guider entre ses jambes. Ma langue s’active de plus belle. Je n’hésite plus à l’enfoncer profondément entre ses lèvres, puis dans son vagin. Brigitte commence à se tendre, à donner des petits coups de reins au rythme de ma langue. Elle tire sur mes cheveux, mais la douleur provoquée ne fait qu’accentuer mon action.
Elle m’appuie sur l’arrière du crâne pour que j’enfonce ma langue plus profondément. L’odeur âcre du début a disparu. Laissant place à une saveur légèrement salée, délicieuse. Elle mouille beaucoup, mon visage en est complètement trempé. J’avale ce que je peux. Je la sens venir. Elle se crispe, serre ses jambes autour de mon cou, m‘empêchant de nouveau de reprendre mon souffle. Elle est soudain prise de petits spasmes orgasmiques.
Je continue tant bien que mal, à la lécher copieusement. Je sens sur ma langue un jet de liquide tiède, toujours légèrement salé, mais un peu plus onctueux que précédemment. Elle jouit sur ma langue.
Heureux de moi, je continue à me délecter de son délicieux liquide intime. Au bout de longues secondes, elle se recule et s’allonge presque complètement sur le divan. Elle dégage ses jambes de mon cou, par la même occasion, les lèves et les croises. Elle doit se reposer après tant d’émotions ?
Alors je me redresse, lui soutiens les jambes, le visage toujours au contact de son corps de femme mûre. Elle replie tout de même les jambes sur son corps, et de ses bras, entoure ses genoux. C’est maintenant son anus, qui me fait face. Bien ouvert et accueillant. Un léger filet de liquide blanchâtre, s’écoule. Dernière trace de son orgasme, glisse entre ses fesses douces et luisantes de sueur.
Toujours au comble de l’excitation, je ne peux résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses. M’approchant progressivement de son petit trou dont s’en dégage une forte odeur précieuse pour moi. Je frotte ma langue. Son muscle anal est complètement relâché, ma langue peut s’y introduire sans peine. À ma grande satisfaction, elle semble aimer ça. Car elle se met à jouer avec.
-Mais dis-moi, c’est mon ange gardien qui t’envoie ?
Elle resserre et relâche successivement son muscle anal. Ma langue est donc tour à tour happée dans le petit trou, puis expulsée l’instant d’après, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu dure un long moment. Puis elle passe ses jambes derrière ma tête. S’amuse à appuyer dessus, afin que ma langue s’infiltre plus profondément.
-Mais… mais… c’est bon mon cochon !
Enfin, lassée par cet exercice, la voilà qu’elle me repousse le visage d’un pied, pour se redresser. Elle s’assoit sur le divan, me poussant violemment, une fois de fois. Je tombe à la renverse, assis sur le parquet, un peu surpris.
-Laisse-moi m’occuper de toi à présent ! Me lance-t-elle.
Avec ses deux pieds, elle saisit mon sexe toujours en érection. Elle le caresse avec ses orteils. De la base jusqu’au gland. Puis ses orteils le pétrissent doucement, le prend en sandwich, pour l’instant d’après commencer un mouvement de va-et-vient. D’abord doucement, puis progressivement accélère le mouvement. Très vite la pression devient plus forte, jusqu’à en devenir douloureuse. La pression monte dans mon corps, et enfin, l’orgasme pointe son nez, jusqu’à l’explosion. Aspergeant de sperme, ses divins pieds, avant de redescendre en saccades le long de ma queue.
Il s’en est suivi depuis cet instant, entre nous, les jours suivant quand elle était seule chez elle, des tas de jouissances. Pour elle, comme pour moi.
Un jour, toujours après avoir conduit ses enfants à l’école, elle me propose de la suivre de nouveau jusqu’à chez elle.
-Est-ce que tu accepterais un petit jeu ? Me fait-elle, en pouffant à moitié. Fermant la porte derrière moi.
-J’aimerais une fois encore profiter de tes services !
Elle m’entraîne comme toujours jusqu’à son salon, sans m’avoir préalablement demandé de me déchausser. Puis Brigitte se sépare de sa jupe portefeuille assez courte, ma foi, en jean, et de son chemisier en résille.
-Comment tu trouves cela ?
-Très excitant !
-C’est pour toi que j’ai passé ces vêtements ce matin. J’étais persuadé que j’allais te rencontrer.
En-dessous, elle porte un body de vinyle noir, en forme de short moulant, fendu où il faut, qui offre un bon accès à son intimité. Elle se serre par-derrière contre moi. La chaleur de son corps, le contact de ses mamelons enflés et la pression de ses doigts me font bander comme un âne. D’une main posée sur ma nuque, elle me fait me pencher en avant. J’appuie mes avant-bras sur l’accoudoir du divan. Elle fait glisser mon pantalon.
Elle se saisit d’un tube de gel. Intrigué, je la regarde faire. Elle étale une grosse noix sur ses doigts. Je frissonne quand elle promène ses doigts dans le sillon de mes fesses. Je me cambre quand je sens qu'elle introduit son index dans mon anus.
-On t’a déjà enculé ? Me demande-t-elle.
Je me garde de lui dire oui, c’était à l’époque où je faisais des choses pas propres avec mon copain Manu. Alors je lui réponds un simple non.
-Alors ça va être ta première !
Comme je suis du genre aventurier côté sexe, je me laisse faire alors qu’elle m’enfonce son doigt dans le cul. Elle fouille mon anus avec des mouvements tournants. Je sens mon fourreau s’ouvrir progressivement. Mon sexe est dur.
-Ça à l’air de te plaire ? Fait-elle en s’apercevant alors qu’elle effleure mes couilles.
Elle retire son doigt, et se saisit d’un gode enfoui sous le coussin.
-Cadeau de mon mari pour mes moments de solitude ! Il est attentionné, non ?
-Je vois…
Là, elle se met à parler au gode comme à une personne. Lui demandant d’être bien gentil avec moi. Va jusqu’à le flatter. Puis elle l’embouche avec une locution vorace, abject, et c’est à la téter, en engloutissant les trois quarts entre ses lèvres, pompant avec gloutonnerie sans me quitter des yeux. Puis elle le guide jusqu’à mon anus et me l’enfonce. Millimètre après millimètre, tout en massant mes couilles.
-Tu ne peux pas savoir combien ça m’excite de t’enculer comme si j’étais un mec.
Mes sphincters se relâchent laissant l’objet me pénétrer plus profond.
-Eh bien tu as le cul très ouvert ! Ça te fait du bien, dis-le !
-J’aime tout ce que vous me faites, Brigitte !
Quand je sens ses couilles en silicone toucher mes fesses, je comprends que le gode est entièrement fiché en moi. J’ai la sensation d’être transpercé.
La tête posée sur mes avant-bras, je remue les hanches et les fesses pendant que Brigitte me branle le cul. Elle a le réflexe de s’arrêter avant que je jouisse.
- À mon tour maintenant… tu ne m’en veux pas !
Brigitte a les paupières hermétiquement closes et la bouche grande ouverte. Elle lâche des mots inaudibles. Son corps se colle contre moi, se tend en arc de cercle, m’appelle. Du bout des doigts, je joue quelques instants avec son clitoris.
Puis elle me fait m’asseoir sur le divan, et pose ma queue entre ses lèvres intimes. Sa chatte ne résiste même pas un instant, se recroquevillant davantage, puis se dilate d’un coup comme une bouche grasse aux lèvres fripées, et m’avale d’un trait jusqu’à la racine. Elle entame une sorte de danse. Elle se contorsionne en s’empalant.
-Putain que c’est bon !
Elle continue de se balancer. Elle est en sueur, acharnée, dévorée et tout cela sans un soupir, sans un râle, sans un cri, enfin sans rien. Elle se branle de plus en plus vite. Je ne peux retenir plus longtemps mon éjaculation. Me vidant à longs jets et je colle d’un coup de reins, ma bouche sur la sienne. Lui suçant la langue. Elle pousse un cri tel que je sursaute. Son vagin est parcouru de spasmes. Il me semble d’être comme aspiré par son con gluant. Comme le faisait sa bouche avide de sperme.
Rien ne m’excitait plus que son odeur corporelle. Et bien sûr, Brigitte était friande de ça. Elle se faisait même un plaisir d’en abuser.
Comme cet après-midi là, avant les congés de Noël de ses filles. Où toujours dans le salon, je lui masse lentement la voûte plantaire, sous sa demande. Tripotant savamment avec des gestes précis le pied emprisonné dans le voile du collant motte de sueur. Je sens ma queue durcir dans mon pantalon. Brigitte agite alors ses orteils odorants.
J’inspire profondément le fumet qui s’en dégage. Je crois défaillir de bonheur. Ça sent comme jamais.
-Il te plaît mon cadeau ? Me fait-elle. C’est Noël avant l’heure…
Pour toute réponse, je passe ma langue sur la plante du pied rugueuse à cause du nylon. Un goût très sale me picote la bouche. Je me mets à lécher onctueusement son pied tout imbibée de sueur à force d’être portée. J’observe sa propriétaire. Les yeux fermés, elle semble comme en transe.
-Alors, il te plaît ?
-Oh oui ! Ça sent fort, comme j’aime.
Dans un souffle, Brigitte acquiesce, les yeux toujours fermés. Dans un accès de fougue, je fonce bouche en avant à son entrejambe. Une odeur de crevette titille mes narines.
Je prends l’initiative d’écarter mon visage sur le collant. Mais ce n’est pas du goût de Brigitte, qui écarte au maximum le compas de ses jambes, et entreprend de plaquer ma tête contre sa fourche.
- Tu n’aimes plus mon odeur ?
Pour toute réponse, je prends de profondes inspirations. Me délectant du fumet capiteux que dégage le sous-vêtement. Mélange de mouille aux relents poissonneux. Mais aussi d’urine et de sueur macérée. Le nylon est fortement imprégné. Une pure merveille pour moi, très enivrante ? Même son cul à tamponner son empreinte.
Alors j’y frotte mon nez. Je m’emplie de sa saveur. Ça pue bon le cul, comme j’aime le sentir. Je caresse l’orifice étroit du doigt et m’introduis lentement. Entraînant avec lui le nylon. Très vite, il se trouve en contact avec une matière chaude et molle. Pas du moins dégoûté que ça, je plonge mon doigt dans le caca moelleux et chaud. Quand je le retire, une fine couche de matière brunâtre et puante le recouvre.
Je toise Brigitte avec un sourire d’une infinie perversité et suce mon doigt fermant les paupières à demi afin de mieux savourer cette insolite découverte gustative. Là, elle lâche une phrase toujours gravée dans mon esprit, qui disait :
-Nous sommes vraiment faits pour nous entendre tous les deux… !
J’ai attendu une bonne semaine avant d’avoir de nouveau de ses nouvelles. Je me trouvais dans le hall à attendre le facteur quand elle a fait son apparition.
-Toi là ? Me fait-elle, en refermant la porte du hall.
-Bonjour Madame. Je lâche.
-Pourquoi Madame et non pas Brigitte ? Tu sais, ajoute-t-elle, j’ai bien réfléchi pour la dernière fois.
-Ah oui Brigitte.
-Et je me suis traitée de folle.
-Oui… oui, je sais, je tenais à m’excuser d’avoir abusé de vous.
-Mais pas du tout, tu n’y es pas là mon chou. Tout au contraire, je pense, enfin si tu es d’accord, qu’il serait bien de donner une suite à notre petite aventure, qu’est-ce que tu en dis ?
-A vrai dire, je ne dis pas non !
-Mais il ne faut pas que cela se sache, tu le comprends bien !
-Parfaitement, Brigitte !
-Maintenant, si tu veux bien me suivre, j’ai envie que tu me fasses des choses ! Sale !
Sitôt dans le salon, ses mains se crispent sur mes cheveux pour me guider entre ses jambes. Ma langue s’active de plus belle. Je n’hésite plus à l’enfoncer profondément entre ses lèvres, puis dans son vagin. Brigitte commence à se tendre, à donner des petits coups de reins au rythme de ma langue. Elle tire sur mes cheveux, mais la douleur provoquée ne fait qu’accentuer mon action.
Elle m’appuie sur l’arrière du crâne pour que j’enfonce ma langue plus profondément. L’odeur âcre du début a disparu. Laissant place à une saveur légèrement salée, délicieuse. Elle mouille beaucoup, mon visage en est complètement trempé. J’avale ce que je peux. Je la sens venir. Elle se crispe, serre ses jambes autour de mon cou, m‘empêchant de nouveau de reprendre mon souffle. Elle est soudain prise de petits spasmes orgasmiques.
Je continue tant bien que mal, à la lécher copieusement. Je sens sur ma langue un jet de liquide tiède, toujours légèrement salé, mais un peu plus onctueux que précédemment. Elle jouit sur ma langue.
Heureux de moi, je continue à me délecter de son délicieux liquide intime. Au bout de longues secondes, elle se recule et s’allonge presque complètement sur le divan. Elle dégage ses jambes de mon cou, par la même occasion, les lèves et les croises. Elle doit se reposer après tant d’émotions ?
Alors je me redresse, lui soutiens les jambes, le visage toujours au contact de son corps de femme mûre. Elle replie tout de même les jambes sur son corps, et de ses bras, entoure ses genoux. C’est maintenant son anus, qui me fait face. Bien ouvert et accueillant. Un léger filet de liquide blanchâtre, s’écoule. Dernière trace de son orgasme, glisse entre ses fesses douces et luisantes de sueur.
Toujours au comble de l’excitation, je ne peux résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses. M’approchant progressivement de son petit trou dont s’en dégage une forte odeur précieuse pour moi. Je frotte ma langue. Son muscle anal est complètement relâché, ma langue peut s’y introduire sans peine. À ma grande satisfaction, elle semble aimer ça. Car elle se met à jouer avec.
-Mais dis-moi, c’est mon ange gardien qui t’envoie ?
Elle resserre et relâche successivement son muscle anal. Ma langue est donc tour à tour happée dans le petit trou, puis expulsée l’instant d’après, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu dure un long moment. Puis elle passe ses jambes derrière ma tête. S’amuse à appuyer dessus, afin que ma langue s’infiltre plus profondément.
-Mais… mais… c’est bon mon cochon !
Enfin, lassée par cet exercice, la voilà qu’elle me repousse le visage d’un pied, pour se redresser. Elle s’assoit sur le divan, me poussant violemment, une fois de fois. Je tombe à la renverse, assis sur le parquet, un peu surpris.
-Laisse-moi m’occuper de toi à présent ! Me lance-t-elle.
Avec ses deux pieds, elle saisit mon sexe toujours en érection. Elle le caresse avec ses orteils. De la base jusqu’au gland. Puis ses orteils le pétrissent doucement, le prend en sandwich, pour l’instant d’après commencer un mouvement de va-et-vient. D’abord doucement, puis progressivement accélère le mouvement. Très vite la pression devient plus forte, jusqu’à en devenir douloureuse. La pression monte dans mon corps, et enfin, l’orgasme pointe son nez, jusqu’à l’explosion. Aspergeant de sperme, ses divins pieds, avant de redescendre en saccades le long de ma queue.
Il s’en est suivi depuis cet instant, entre nous, les jours suivant quand elle était seule chez elle, des tas de jouissances. Pour elle, comme pour moi.
Un jour, toujours après avoir conduit ses enfants à l’école, elle me propose de la suivre de nouveau jusqu’à chez elle.
-Est-ce que tu accepterais un petit jeu ? Me fait-elle, en pouffant à moitié. Fermant la porte derrière moi.
-J’aimerais une fois encore profiter de tes services !
Elle m’entraîne comme toujours jusqu’à son salon, sans m’avoir préalablement demandé de me déchausser. Puis Brigitte se sépare de sa jupe portefeuille assez courte, ma foi, en jean, et de son chemisier en résille.
-Comment tu trouves cela ?
-Très excitant !
-C’est pour toi que j’ai passé ces vêtements ce matin. J’étais persuadé que j’allais te rencontrer.
En-dessous, elle porte un body de vinyle noir, en forme de short moulant, fendu où il faut, qui offre un bon accès à son intimité. Elle se serre par-derrière contre moi. La chaleur de son corps, le contact de ses mamelons enflés et la pression de ses doigts me font bander comme un âne. D’une main posée sur ma nuque, elle me fait me pencher en avant. J’appuie mes avant-bras sur l’accoudoir du divan. Elle fait glisser mon pantalon.
Elle se saisit d’un tube de gel. Intrigué, je la regarde faire. Elle étale une grosse noix sur ses doigts. Je frissonne quand elle promène ses doigts dans le sillon de mes fesses. Je me cambre quand je sens qu'elle introduit son index dans mon anus.
-On t’a déjà enculé ? Me demande-t-elle.
Je me garde de lui dire oui, c’était à l’époque où je faisais des choses pas propres avec mon copain Manu. Alors je lui réponds un simple non.
-Alors ça va être ta première !
Comme je suis du genre aventurier côté sexe, je me laisse faire alors qu’elle m’enfonce son doigt dans le cul. Elle fouille mon anus avec des mouvements tournants. Je sens mon fourreau s’ouvrir progressivement. Mon sexe est dur.
-Ça à l’air de te plaire ? Fait-elle en s’apercevant alors qu’elle effleure mes couilles.
Elle retire son doigt, et se saisit d’un gode enfoui sous le coussin.
-Cadeau de mon mari pour mes moments de solitude ! Il est attentionné, non ?
-Je vois…
Là, elle se met à parler au gode comme à une personne. Lui demandant d’être bien gentil avec moi. Va jusqu’à le flatter. Puis elle l’embouche avec une locution vorace, abject, et c’est à la téter, en engloutissant les trois quarts entre ses lèvres, pompant avec gloutonnerie sans me quitter des yeux. Puis elle le guide jusqu’à mon anus et me l’enfonce. Millimètre après millimètre, tout en massant mes couilles.
-Tu ne peux pas savoir combien ça m’excite de t’enculer comme si j’étais un mec.
Mes sphincters se relâchent laissant l’objet me pénétrer plus profond.
-Eh bien tu as le cul très ouvert ! Ça te fait du bien, dis-le !
-J’aime tout ce que vous me faites, Brigitte !
Quand je sens ses couilles en silicone toucher mes fesses, je comprends que le gode est entièrement fiché en moi. J’ai la sensation d’être transpercé.
La tête posée sur mes avant-bras, je remue les hanches et les fesses pendant que Brigitte me branle le cul. Elle a le réflexe de s’arrêter avant que je jouisse.
- À mon tour maintenant… tu ne m’en veux pas !
Brigitte a les paupières hermétiquement closes et la bouche grande ouverte. Elle lâche des mots inaudibles. Son corps se colle contre moi, se tend en arc de cercle, m’appelle. Du bout des doigts, je joue quelques instants avec son clitoris.
Puis elle me fait m’asseoir sur le divan, et pose ma queue entre ses lèvres intimes. Sa chatte ne résiste même pas un instant, se recroquevillant davantage, puis se dilate d’un coup comme une bouche grasse aux lèvres fripées, et m’avale d’un trait jusqu’à la racine. Elle entame une sorte de danse. Elle se contorsionne en s’empalant.
-Putain que c’est bon !
Elle continue de se balancer. Elle est en sueur, acharnée, dévorée et tout cela sans un soupir, sans un râle, sans un cri, enfin sans rien. Elle se branle de plus en plus vite. Je ne peux retenir plus longtemps mon éjaculation. Me vidant à longs jets et je colle d’un coup de reins, ma bouche sur la sienne. Lui suçant la langue. Elle pousse un cri tel que je sursaute. Son vagin est parcouru de spasmes. Il me semble d’être comme aspiré par son con gluant. Comme le faisait sa bouche avide de sperme.
Rien ne m’excitait plus que son odeur corporelle. Et bien sûr, Brigitte était friande de ça. Elle se faisait même un plaisir d’en abuser.
Comme cet après-midi là, avant les congés de Noël de ses filles. Où toujours dans le salon, je lui masse lentement la voûte plantaire, sous sa demande. Tripotant savamment avec des gestes précis le pied emprisonné dans le voile du collant motte de sueur. Je sens ma queue durcir dans mon pantalon. Brigitte agite alors ses orteils odorants.
J’inspire profondément le fumet qui s’en dégage. Je crois défaillir de bonheur. Ça sent comme jamais.
-Il te plaît mon cadeau ? Me fait-elle. C’est Noël avant l’heure…
Pour toute réponse, je passe ma langue sur la plante du pied rugueuse à cause du nylon. Un goût très sale me picote la bouche. Je me mets à lécher onctueusement son pied tout imbibée de sueur à force d’être portée. J’observe sa propriétaire. Les yeux fermés, elle semble comme en transe.
-Alors, il te plaît ?
-Oh oui ! Ça sent fort, comme j’aime.
Dans un souffle, Brigitte acquiesce, les yeux toujours fermés. Dans un accès de fougue, je fonce bouche en avant à son entrejambe. Une odeur de crevette titille mes narines.
Je prends l’initiative d’écarter mon visage sur le collant. Mais ce n’est pas du goût de Brigitte, qui écarte au maximum le compas de ses jambes, et entreprend de plaquer ma tête contre sa fourche.
- Tu n’aimes plus mon odeur ?
Pour toute réponse, je prends de profondes inspirations. Me délectant du fumet capiteux que dégage le sous-vêtement. Mélange de mouille aux relents poissonneux. Mais aussi d’urine et de sueur macérée. Le nylon est fortement imprégné. Une pure merveille pour moi, très enivrante ? Même son cul à tamponner son empreinte.
Alors j’y frotte mon nez. Je m’emplie de sa saveur. Ça pue bon le cul, comme j’aime le sentir. Je caresse l’orifice étroit du doigt et m’introduis lentement. Entraînant avec lui le nylon. Très vite, il se trouve en contact avec une matière chaude et molle. Pas du moins dégoûté que ça, je plonge mon doigt dans le caca moelleux et chaud. Quand je le retire, une fine couche de matière brunâtre et puante le recouvre.
Je toise Brigitte avec un sourire d’une infinie perversité et suce mon doigt fermant les paupières à demi afin de mieux savourer cette insolite découverte gustative. Là, elle lâche une phrase toujours gravée dans mon esprit, qui disait :
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