CADEAU DE NOËL
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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CADEAU DE NOËL
J’introduisis fébrilement une pièce dans la fente de la machine à boissons. Un léger ronronnement se fit entendre, avant qu’un jus noir fumant coule dans le gobelet, dégageant une forte odeur de bon café qui vint titiller mes narines, ainsi que celle de ma collègue Anna tout proche de moi.
C’étaient les vacances de fin d’année et la plupart des employés avaient pris leurs congés. Même la société qui rénovait l’étage était absente.
C’était la première qu’Anna se laisser entraîner jusqu’à la machine à café. Elle était du genre discret. Même si aujourd’hui elle se lâcher. Et ce n’était pas pour me déplaire.
- Tu sais ce que qui me tente à cet instant ? Me fit-elle.
- Non, mais je pense que je ne vais pas attendre longtemps pour le savoir ! Non, je me trompe ?
- D’aller faire un tour jusqu’à mon prochain bureau, me fit-elle, avant de porter le gobelet à ses lèvres et d’en boire une gorgée.
Je m’attendais à tout mais pas à ça.
- Je ne vois pas ce qu’il y a d’intéressant à aller voir son bureau en plein travaux. M’hasardais-je à lui dire.
Elle me sourit comiquement en reprenant une nouvelle rasade de café.
- Ça m’amuserait pourtant d’y aller. C’est comme ça, je ne peux rien n‘y faire… - C’est tout de même risqué… Si jamais on te surprenait là-bas… je te rappel que c’est interdit au public… lui désignant de l’index le panneau.
- Mais regarde autour de nous. Qui veux-tu qui me surprenne ? Soit réaliste, nous sommes les seuls à travailler dans ce foutue bâtiment.
- Alors pourquoi t’en cause. Grimpe les marches et vas-y !
- Oui ! Mais pas toute seule.
- Tu vois ! Je ne sens pas la sérénité chez toi !
- Tu veux m’accompagné ? Allez soit gentil… - Et pourquoi le ferais-je. Cela ne m’intéresse pas… - Pour me faire plaisir… tiens !
Elle jeta son gobelet dans la corbeille, et s’avança jusqu’à l’escalier en marbre. Elle se retourna, et comme je n’avais pas bougé, elle m’apostropha : - Allez viens !
Je vidais le contenu du gobelet et le jetai dans la corbeille avant de la suivre dans sa frasque. Se tenant d’une main à la rampe, elle grimpa l’unes après l’autre les marches en roulant des fesses. Consciente que sa robe moulait étroitement le sillon des fesses.
Arrivée sur le pallier, elle constata que je ne lui avais pas menti. Il n’y avait rien d’intéressant à voir. Que des pièces vides, avec ça et là des tas de gravats, de cartons, de plastiques. Mais qu’une chose intéresser Anna, celui de découvrir ses nouveaux locaux. Et pour ça, elle m’entraîna jusqu’au fond du couloir là où se situé son bureau. Que fut sa surprise de constater que lui, était à peu près fonctionnel. Trois bureaux de métal partagés l‘espace, ainsi que des fauteuils tendus de skaï. Des étagères vides habillées le mur repeint en banc. Ils avaient même remplacé les vielles fenêtres par des baies vitrées. D’ailleurs comme il pleuvait, l’eau ruisselait sur les carreaux. À travers le rideau de pluie, je distinguais la ville avec ses quelques fenêtres éclairées d’une lumière jaune.
- Ils n’ont pas rechigné sur la qualité, fit-elle en ouvrant les tiroirs de son ce qui devait être son espace de travail dans les prochains jours. Il te plaît ?
- Oui, mais dit moi pourquoi le troisième bureau. À ce que je sache vous n’êtes que deux. Toi et Dolorès.
- Delphine vient nous rejoindre.
- Ah oui ! Je n’étais pas au courant.
- Tiens ! Tiens ! Elle ne te la pas dit ?
Elle me coulait un regard en biais, attendant ma réponse : - Non ! Et pourquoi me l’aurait-elle dit ?
- Je ne sais pas moi ! Des bruits de couloirs racontent que vous avez l’air de bien vous entendre tous les deux.
- Ce ne sont que des bruits de couloirs… répliquais-je - Ah oui ! Pas plus que ça ?
- Je sens que tu veux en savoir plus sans payer ! Je me Trompe ?
- Avec mon aire de conne et ma vue basse, je ne reste pas moins au courante de pas mal de chose… tu peux me croire… Je ne pus m’empêché de rire.
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Tu n’es pas obligé… mais si tu me le dis je te jure de le garder pour moi !
- J’avoue que oui, il m’arrive de prendre du bon temps avec elle. Entre-nous elle me suce tellement bien… Elle resta un instant sans réaction. Ne s’attendant sans doute pas à entendre sortir de ma bouche de tel propos.
- Oh ! Sans déconner ? Fit-elle, se décidant malgré-elle de rompre le silence.
Je me rapprochais d’un pas.
- C’est qu’elle sait y faire… elle, la coquine.
- Ooooh ! J’en suis les jambes coupées. Et sur ça elle se laissa tomber sur le siège.
- La salope… la salope de Delphine, ça alors… c’était vrai ! Murmura-t-elle en se relevant aussi vite qu‘elle s‘était assise. Jurant comme un charretier : Oh merde ma robe !
- Que t’arrive-t-il ?
- La chaise… la chaise… il y avait de l’eau ? Gémit-elle en se frottant désespérément le postérieur.
- Attends, je vais t‘essuyé, fis-je en prenant un chiffon blanc qui traîné sur un siège.
- Mais non, insista-t-elle. Ce n’est pas la peine !
- Mais si, je t’assure ! Répondis-je en lui désignant le chiffon que je tenais en main.
Je lui pris d’autorité la taille d’une main, lui faisant pencher légèrement le buste en avant et entrepris de la frotter. J’en profitais bien, pour lui peloter le derrière de haut en bas. Il n’en fallait pas plus pour faire grimper ma libido en flèche. Au point de me faire dire n’importe quoi : - Tu as sûrement la culotte mouillée aussi ? Tu permets que je vérifie ?
- Ne profite pas trop de la situation, veux-tu ? Répliqua-t-elle, en riant. D’un rire nerveux comme pour laisser filer sa tension et minimiser le caractère hors normes de la situation vécue.
Faisant la sourde oreille, je pris l’initiative de retrousser sa jupe. Et par ce geste je fis connaissance avec sa culotte. Elle était en dentelle noire, tendue à craquer sur les fesses. Pas un seul moment elle avait essayé de la rabattre. Comme si elle avait laissé sa retenue dans son sac à main, en bas dans son bureau de substitution. Je profitais de sa docilité, pour lâcher le chiffon. Et à l’aide de mes doigts, j’appuyais sur l’empiècement du slip, faisant entrer celui-ci dans la raie des fesses.
- C’est vraiment trempé. Constatais-je. Appuie-toi sur le bureau, ça sera plus pratique.
Elle s’exécuta, posant ses deux avant-bras sur le plateau poussiéreux. Elle toussa de surprise quand je glissais mes doigts sous la ceinture de la culotte. Elle toussa toujours, alors que je le baissais, découvrant son fessier, dont j’admirai sa rondeur.
J’allais de surprise en surprise avec cette collègue plantureuse. Que j’avais de prime abord, mais visiblement à tort, rangée dans la catégorie des secrétaires réservées, voire timorées.
La raie était profonde, entre les deux globes d’un blanc laiteux. La peau se couvrait de chair de poule. Pour en voir un peu plus, je me baissais, me saisissant par la même occasion du sous vêtement. Je pus alors apercevoir la vulve poilue. Je ne pus résister de lui effleurer la peau de haut en bas, tout en me redressant. Je lui murmurais d’une voix traînante : - Tu sais, Delphine aussi, elle a de belles rondeurs, comme toi, ainsi qu’une taille aussi fine.
C’est alors qu’Anna éclata de rire.
- Delphine… une taille de guêpe ! Tu te moques de moi… Alain.
L’excitation me faisait dire n’importe quoi.
- Bon… bon, j’avoue… qu’elle est bien en chair !
- Oh… - Mais hormis son physique, c’est tout de même une bonne suceuse.
Je l’effleurais de nouveau. Sous ma caresse, la peau s’hérissa de nouveau de chair de poule. À cet instant, plus rien compter pour moi que de découvrir son anus. J’écartais pour cela furtivement les deux globes et une odeur forte monta jusqu‘à mes narines. Mais pas le temps de m‘attarder dessus que déjà Anna se redressa en minant la colère.
- Bon ! On arrête là… avant de faire de grosses bêtises… d’ailleurs… - D’ailleurs quoi, tu es excitée, raillais-je. Tu sens la femme en rut… Elle poussa un cri de honte.
- Arrête ! Je n’aime pas ça !
- Moi j’aime ! Et c’est pour cela que tu vas te laisser faire… - Oh non ! Gémit-elle, sans chercher, le moindre du mode à m’échapper.
Je triomphais, et j’en profité pour aventurer mon index là où je le désirais. Son anus était si dilaté qu’il coulissait sans effort. Je griffais doucement l’intérieur du conduit anal. Elle donna même un coup de reins en arrière, en poussant une plainte.
- Mais si ! Tu vois que tu aimes ça.
Elle était trop attisée pour protester. Je fis tourner mon doigt, alors qu’elle remuait son cul. Sa respiration s’était accélérée. Un filet de mouille s’écoulait le long de ses cuisses. Je m’enivrais de l’odeur forte de mouille et de sueur chaude qui émanait de l’entrejambe.
Je la pris aussitôt dans mes bras. Elle tremblait, alors que je caressais ses genoux, avant qu’elle disparaisse entièrement sous sa robe. On n’entendait dans le bureau que la pluie frappant sa colère sur les vitres.
Elle avait la peau si douce et chaude. Peu à peu ma main fit son chemin, parvenant sur le renflement pubien. Anna vint au-devant de ma tendresse, alors que je passais mes doigts dans la forêt de poils fin et doux. Continuant, leur pèlerinage, ils trouvaient le clitoris durci qu’ils dégageaient de son capuchon. Le majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. Elle respirait bruyamment, ouvrant et refermant les cuisses.
Mes doigts abandonnaient alors son petit bouton pour atteindre la fente et ses petites lèvres, puis le trou béant du vagin inondé. C’était d’abord le majeur qui le pénétra, s’en suivit l’index et enfin de l’annulaire. Ma main opérait alors au plus profond de son antre. Un massage lent et circulaire. Elle remuait des reins, de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant un bruit humide.
Elle s’offrait à ma main. Écartant tant qu’elle le pouvait les cuisses. Elle gémissait, d’un gémissement langoureux, non feint, sous ma masturbation de plus en plus effrénée. Je percevais chez elle un trouble réel.
Je me déboutonnais. Exhibant ma verge. Je me suis saisis du poignet d’Anna, et lui fit prendre ma verge. Instinctivement, elle commençait à faire coulisser la peau sur le gland au même rythme que ma main qui la fouillait. Mais très vite je me lassais de la branlette, qui me procurer pas plus de plaisir que ça. Et je lui fis part d’une proposition, avec une voix câline : - Cela te dira que je remplace ma main par ma langue ?
- Quoi ! T’es fou. Non pas comme ça… là… maintenant.
J’augmentais la cadence de ma branlette, tout en lui murmurant à l’oreille avec un ton, plus pressant : - Tu ne vas pas me dire que ne t’aime pas jouir sous une langue, dit-moi ?
- Non Alain, fit-elle d‘une voix rauque, il ne faut pas ! dit-elle toute paniquée.
- Tu n’aimes pas te faire sucer ?
- Tu sais ! Questions préliminaires… moi je ne connais pas trop. Mon époux est du genre… comment dire : direct. Il passe tout de suite au plat principal, pas d’entrée chez lui en quelque sorte.
- Oui, je veux bien croire ce que tu me dis, mais moi je te propose une entrée, là tout de suite, fis-je.
- Oui… j’ai bien compris. Mais… mais pour ça. Bafouilla-t-elle. Il… il faut que je me toilette… si tu vois… ce que je veux dire. Je ne me sens pas… présentable… - Au contraire ma belle. Je sens chez toi une femme excitée, et moi, tu sais ? Et bien j’aime ça… Elle prit son temps pour réflexion. Entre temps j’avais cessé de la branler. Le détaillant détaillait avec un sourire gourmand. Je caressais les fesses. Explorais la raie profonde où palpitait la rondelle brune de l’anus brun violacé, aux fronces en soleil, luisait au centre de la raie tapissé de poils sombres englués de sueur.
J’enfonçais l’index dans l’orifice brûlant, entamais un va-et-vient rapide. Haletante, elle resserrait son sphincter autour de mon doigt qui coulissait dans son rectum. Elle creusa ses reins pour bien saillir sa croupe. Prenant la position idéale, Je lui léchais la raie en insistant sur le trou du cul que je déplissais avant d’y darder profondément ma langue. Son anus était devenu large et souple. Une vraie chatte. Aussi large et aussi gourmande. Il est tellement accueillant que j’y fourre le nez tout en lapant sa figue fendue et juteuse à souhait. Ma cochonne de collègue ondulait des fesses.
Ses gémissements répétés. Ses ondulations lascives, me faisaient savoir qu’elle au bord de l’extase. Je redoublais d’ardeurs mes coups de langue, à en avoir une mâchoire endolorie. Le corps d’Anna s’agitait. Je me noyais en elle, comme elle se noyait dans le plaisir.
Je pris mon temps pour me redresser. Mais alors que j’arrivais à sa hauteur je la vis tenir en main un préservatif. Elle s’empressa de prendre ma verge dans sa main et de me branler vivement, avant de dérouler un préservatif dessus. Puis elle fit m’asseoir sur une chaise et me chevaucha. La pénétration n’était qu’un jeu d’enfant. Aussitôt elle étouffa un cri de plaisir. Son sexe semblait avoir été fait sur mesure pour le mien. Ses yeux noirs se perdaient dans les miens. Son sourire illuminait son visage doux. Je perdais ma bouche sur la sienne. Pendant qu’elle jouait des hanches pour ce faire pénétrer au plus profond, je palpais ses seins à travers le lainage. Jouais avec ses tétons, dressés par l’excitation. Je dégustais ses lèvres, tout en lui offrant des râles gutturaux. Je lui avais allumé un incendie en elle. Soumise aux frictions rapides et vigoureuses de ma verge. Sa chatte s’embrasait, prise de convulsions. Je sentais monter en moi les prémices de la jouissance, alors qu‘elle ondulait de la croupe, dodelinait de la tête, et couinait son plaisir sans réserve. Le plaisir montait toujours à en avoir mon sexe prêt à exploser. Ma respiration s’accéléra. Sans un rictus, sans un cri ni même un chuchotement, j’expulsais mon sperme en cinq puissantes saccades aux espacements réguliers. Terminaison de ma jouissance éprouvée.
Elle ramassa sa culotte et l’enfila rapidement.
- Oh Alain, je te promets dorénavant d’être gentille avec toi, si tu le veux !
Je l’assois sur un de mes genoux, lui touchais le gras des cuisses et déclarais : - La prochaine fois, je te ferai mettre toute nue ! Dans ton futur bureau, pendant les heures de bureaux.
Puis je la fis se lever et la congédiée.
C’étaient les vacances de fin d’année et la plupart des employés avaient pris leurs congés. Même la société qui rénovait l’étage était absente.
C’était la première qu’Anna se laisser entraîner jusqu’à la machine à café. Elle était du genre discret. Même si aujourd’hui elle se lâcher. Et ce n’était pas pour me déplaire.
- Tu sais ce que qui me tente à cet instant ? Me fit-elle.
- Non, mais je pense que je ne vais pas attendre longtemps pour le savoir ! Non, je me trompe ?
- D’aller faire un tour jusqu’à mon prochain bureau, me fit-elle, avant de porter le gobelet à ses lèvres et d’en boire une gorgée.
Je m’attendais à tout mais pas à ça.
- Je ne vois pas ce qu’il y a d’intéressant à aller voir son bureau en plein travaux. M’hasardais-je à lui dire.
Elle me sourit comiquement en reprenant une nouvelle rasade de café.
- Ça m’amuserait pourtant d’y aller. C’est comme ça, je ne peux rien n‘y faire… - C’est tout de même risqué… Si jamais on te surprenait là-bas… je te rappel que c’est interdit au public… lui désignant de l’index le panneau.
- Mais regarde autour de nous. Qui veux-tu qui me surprenne ? Soit réaliste, nous sommes les seuls à travailler dans ce foutue bâtiment.
- Alors pourquoi t’en cause. Grimpe les marches et vas-y !
- Oui ! Mais pas toute seule.
- Tu vois ! Je ne sens pas la sérénité chez toi !
- Tu veux m’accompagné ? Allez soit gentil… - Et pourquoi le ferais-je. Cela ne m’intéresse pas… - Pour me faire plaisir… tiens !
Elle jeta son gobelet dans la corbeille, et s’avança jusqu’à l’escalier en marbre. Elle se retourna, et comme je n’avais pas bougé, elle m’apostropha : - Allez viens !
Je vidais le contenu du gobelet et le jetai dans la corbeille avant de la suivre dans sa frasque. Se tenant d’une main à la rampe, elle grimpa l’unes après l’autre les marches en roulant des fesses. Consciente que sa robe moulait étroitement le sillon des fesses.
Arrivée sur le pallier, elle constata que je ne lui avais pas menti. Il n’y avait rien d’intéressant à voir. Que des pièces vides, avec ça et là des tas de gravats, de cartons, de plastiques. Mais qu’une chose intéresser Anna, celui de découvrir ses nouveaux locaux. Et pour ça, elle m’entraîna jusqu’au fond du couloir là où se situé son bureau. Que fut sa surprise de constater que lui, était à peu près fonctionnel. Trois bureaux de métal partagés l‘espace, ainsi que des fauteuils tendus de skaï. Des étagères vides habillées le mur repeint en banc. Ils avaient même remplacé les vielles fenêtres par des baies vitrées. D’ailleurs comme il pleuvait, l’eau ruisselait sur les carreaux. À travers le rideau de pluie, je distinguais la ville avec ses quelques fenêtres éclairées d’une lumière jaune.
- Ils n’ont pas rechigné sur la qualité, fit-elle en ouvrant les tiroirs de son ce qui devait être son espace de travail dans les prochains jours. Il te plaît ?
- Oui, mais dit moi pourquoi le troisième bureau. À ce que je sache vous n’êtes que deux. Toi et Dolorès.
- Delphine vient nous rejoindre.
- Ah oui ! Je n’étais pas au courant.
- Tiens ! Tiens ! Elle ne te la pas dit ?
Elle me coulait un regard en biais, attendant ma réponse : - Non ! Et pourquoi me l’aurait-elle dit ?
- Je ne sais pas moi ! Des bruits de couloirs racontent que vous avez l’air de bien vous entendre tous les deux.
- Ce ne sont que des bruits de couloirs… répliquais-je - Ah oui ! Pas plus que ça ?
- Je sens que tu veux en savoir plus sans payer ! Je me Trompe ?
- Avec mon aire de conne et ma vue basse, je ne reste pas moins au courante de pas mal de chose… tu peux me croire… Je ne pus m’empêché de rire.
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Tu n’es pas obligé… mais si tu me le dis je te jure de le garder pour moi !
- J’avoue que oui, il m’arrive de prendre du bon temps avec elle. Entre-nous elle me suce tellement bien… Elle resta un instant sans réaction. Ne s’attendant sans doute pas à entendre sortir de ma bouche de tel propos.
- Oh ! Sans déconner ? Fit-elle, se décidant malgré-elle de rompre le silence.
Je me rapprochais d’un pas.
- C’est qu’elle sait y faire… elle, la coquine.
- Ooooh ! J’en suis les jambes coupées. Et sur ça elle se laissa tomber sur le siège.
- La salope… la salope de Delphine, ça alors… c’était vrai ! Murmura-t-elle en se relevant aussi vite qu‘elle s‘était assise. Jurant comme un charretier : Oh merde ma robe !
- Que t’arrive-t-il ?
- La chaise… la chaise… il y avait de l’eau ? Gémit-elle en se frottant désespérément le postérieur.
- Attends, je vais t‘essuyé, fis-je en prenant un chiffon blanc qui traîné sur un siège.
- Mais non, insista-t-elle. Ce n’est pas la peine !
- Mais si, je t’assure ! Répondis-je en lui désignant le chiffon que je tenais en main.
Je lui pris d’autorité la taille d’une main, lui faisant pencher légèrement le buste en avant et entrepris de la frotter. J’en profitais bien, pour lui peloter le derrière de haut en bas. Il n’en fallait pas plus pour faire grimper ma libido en flèche. Au point de me faire dire n’importe quoi : - Tu as sûrement la culotte mouillée aussi ? Tu permets que je vérifie ?
- Ne profite pas trop de la situation, veux-tu ? Répliqua-t-elle, en riant. D’un rire nerveux comme pour laisser filer sa tension et minimiser le caractère hors normes de la situation vécue.
Faisant la sourde oreille, je pris l’initiative de retrousser sa jupe. Et par ce geste je fis connaissance avec sa culotte. Elle était en dentelle noire, tendue à craquer sur les fesses. Pas un seul moment elle avait essayé de la rabattre. Comme si elle avait laissé sa retenue dans son sac à main, en bas dans son bureau de substitution. Je profitais de sa docilité, pour lâcher le chiffon. Et à l’aide de mes doigts, j’appuyais sur l’empiècement du slip, faisant entrer celui-ci dans la raie des fesses.
- C’est vraiment trempé. Constatais-je. Appuie-toi sur le bureau, ça sera plus pratique.
Elle s’exécuta, posant ses deux avant-bras sur le plateau poussiéreux. Elle toussa de surprise quand je glissais mes doigts sous la ceinture de la culotte. Elle toussa toujours, alors que je le baissais, découvrant son fessier, dont j’admirai sa rondeur.
J’allais de surprise en surprise avec cette collègue plantureuse. Que j’avais de prime abord, mais visiblement à tort, rangée dans la catégorie des secrétaires réservées, voire timorées.
La raie était profonde, entre les deux globes d’un blanc laiteux. La peau se couvrait de chair de poule. Pour en voir un peu plus, je me baissais, me saisissant par la même occasion du sous vêtement. Je pus alors apercevoir la vulve poilue. Je ne pus résister de lui effleurer la peau de haut en bas, tout en me redressant. Je lui murmurais d’une voix traînante : - Tu sais, Delphine aussi, elle a de belles rondeurs, comme toi, ainsi qu’une taille aussi fine.
C’est alors qu’Anna éclata de rire.
- Delphine… une taille de guêpe ! Tu te moques de moi… Alain.
L’excitation me faisait dire n’importe quoi.
- Bon… bon, j’avoue… qu’elle est bien en chair !
- Oh… - Mais hormis son physique, c’est tout de même une bonne suceuse.
Je l’effleurais de nouveau. Sous ma caresse, la peau s’hérissa de nouveau de chair de poule. À cet instant, plus rien compter pour moi que de découvrir son anus. J’écartais pour cela furtivement les deux globes et une odeur forte monta jusqu‘à mes narines. Mais pas le temps de m‘attarder dessus que déjà Anna se redressa en minant la colère.
- Bon ! On arrête là… avant de faire de grosses bêtises… d’ailleurs… - D’ailleurs quoi, tu es excitée, raillais-je. Tu sens la femme en rut… Elle poussa un cri de honte.
- Arrête ! Je n’aime pas ça !
- Moi j’aime ! Et c’est pour cela que tu vas te laisser faire… - Oh non ! Gémit-elle, sans chercher, le moindre du mode à m’échapper.
Je triomphais, et j’en profité pour aventurer mon index là où je le désirais. Son anus était si dilaté qu’il coulissait sans effort. Je griffais doucement l’intérieur du conduit anal. Elle donna même un coup de reins en arrière, en poussant une plainte.
- Mais si ! Tu vois que tu aimes ça.
Elle était trop attisée pour protester. Je fis tourner mon doigt, alors qu’elle remuait son cul. Sa respiration s’était accélérée. Un filet de mouille s’écoulait le long de ses cuisses. Je m’enivrais de l’odeur forte de mouille et de sueur chaude qui émanait de l’entrejambe.
Je la pris aussitôt dans mes bras. Elle tremblait, alors que je caressais ses genoux, avant qu’elle disparaisse entièrement sous sa robe. On n’entendait dans le bureau que la pluie frappant sa colère sur les vitres.
Elle avait la peau si douce et chaude. Peu à peu ma main fit son chemin, parvenant sur le renflement pubien. Anna vint au-devant de ma tendresse, alors que je passais mes doigts dans la forêt de poils fin et doux. Continuant, leur pèlerinage, ils trouvaient le clitoris durci qu’ils dégageaient de son capuchon. Le majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. Elle respirait bruyamment, ouvrant et refermant les cuisses.
Mes doigts abandonnaient alors son petit bouton pour atteindre la fente et ses petites lèvres, puis le trou béant du vagin inondé. C’était d’abord le majeur qui le pénétra, s’en suivit l’index et enfin de l’annulaire. Ma main opérait alors au plus profond de son antre. Un massage lent et circulaire. Elle remuait des reins, de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant un bruit humide.
Elle s’offrait à ma main. Écartant tant qu’elle le pouvait les cuisses. Elle gémissait, d’un gémissement langoureux, non feint, sous ma masturbation de plus en plus effrénée. Je percevais chez elle un trouble réel.
Je me déboutonnais. Exhibant ma verge. Je me suis saisis du poignet d’Anna, et lui fit prendre ma verge. Instinctivement, elle commençait à faire coulisser la peau sur le gland au même rythme que ma main qui la fouillait. Mais très vite je me lassais de la branlette, qui me procurer pas plus de plaisir que ça. Et je lui fis part d’une proposition, avec une voix câline : - Cela te dira que je remplace ma main par ma langue ?
- Quoi ! T’es fou. Non pas comme ça… là… maintenant.
J’augmentais la cadence de ma branlette, tout en lui murmurant à l’oreille avec un ton, plus pressant : - Tu ne vas pas me dire que ne t’aime pas jouir sous une langue, dit-moi ?
- Non Alain, fit-elle d‘une voix rauque, il ne faut pas ! dit-elle toute paniquée.
- Tu n’aimes pas te faire sucer ?
- Tu sais ! Questions préliminaires… moi je ne connais pas trop. Mon époux est du genre… comment dire : direct. Il passe tout de suite au plat principal, pas d’entrée chez lui en quelque sorte.
- Oui, je veux bien croire ce que tu me dis, mais moi je te propose une entrée, là tout de suite, fis-je.
- Oui… j’ai bien compris. Mais… mais pour ça. Bafouilla-t-elle. Il… il faut que je me toilette… si tu vois… ce que je veux dire. Je ne me sens pas… présentable… - Au contraire ma belle. Je sens chez toi une femme excitée, et moi, tu sais ? Et bien j’aime ça… Elle prit son temps pour réflexion. Entre temps j’avais cessé de la branler. Le détaillant détaillait avec un sourire gourmand. Je caressais les fesses. Explorais la raie profonde où palpitait la rondelle brune de l’anus brun violacé, aux fronces en soleil, luisait au centre de la raie tapissé de poils sombres englués de sueur.
J’enfonçais l’index dans l’orifice brûlant, entamais un va-et-vient rapide. Haletante, elle resserrait son sphincter autour de mon doigt qui coulissait dans son rectum. Elle creusa ses reins pour bien saillir sa croupe. Prenant la position idéale, Je lui léchais la raie en insistant sur le trou du cul que je déplissais avant d’y darder profondément ma langue. Son anus était devenu large et souple. Une vraie chatte. Aussi large et aussi gourmande. Il est tellement accueillant que j’y fourre le nez tout en lapant sa figue fendue et juteuse à souhait. Ma cochonne de collègue ondulait des fesses.
Ses gémissements répétés. Ses ondulations lascives, me faisaient savoir qu’elle au bord de l’extase. Je redoublais d’ardeurs mes coups de langue, à en avoir une mâchoire endolorie. Le corps d’Anna s’agitait. Je me noyais en elle, comme elle se noyait dans le plaisir.
Je pris mon temps pour me redresser. Mais alors que j’arrivais à sa hauteur je la vis tenir en main un préservatif. Elle s’empressa de prendre ma verge dans sa main et de me branler vivement, avant de dérouler un préservatif dessus. Puis elle fit m’asseoir sur une chaise et me chevaucha. La pénétration n’était qu’un jeu d’enfant. Aussitôt elle étouffa un cri de plaisir. Son sexe semblait avoir été fait sur mesure pour le mien. Ses yeux noirs se perdaient dans les miens. Son sourire illuminait son visage doux. Je perdais ma bouche sur la sienne. Pendant qu’elle jouait des hanches pour ce faire pénétrer au plus profond, je palpais ses seins à travers le lainage. Jouais avec ses tétons, dressés par l’excitation. Je dégustais ses lèvres, tout en lui offrant des râles gutturaux. Je lui avais allumé un incendie en elle. Soumise aux frictions rapides et vigoureuses de ma verge. Sa chatte s’embrasait, prise de convulsions. Je sentais monter en moi les prémices de la jouissance, alors qu‘elle ondulait de la croupe, dodelinait de la tête, et couinait son plaisir sans réserve. Le plaisir montait toujours à en avoir mon sexe prêt à exploser. Ma respiration s’accéléra. Sans un rictus, sans un cri ni même un chuchotement, j’expulsais mon sperme en cinq puissantes saccades aux espacements réguliers. Terminaison de ma jouissance éprouvée.
Elle ramassa sa culotte et l’enfila rapidement.
- Oh Alain, je te promets dorénavant d’être gentille avec toi, si tu le veux !
Je l’assois sur un de mes genoux, lui touchais le gras des cuisses et déclarais : - La prochaine fois, je te ferai mettre toute nue ! Dans ton futur bureau, pendant les heures de bureaux.
Puis je la fis se lever et la congédiée.
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