California Dream Suite 2 - histoire érotique

Je me réveille doucement, toujours dans le gaz après m'être fait défoncer par Marc. J'émerge et je me rends compte que je suis seul dans le lit. Je me redresse et regarde autour de moi, je suis en pleine érection en me repassant les images de hier soir. Je me lève et sors de la chambre complètement nu.
J'entends du bruit dans la cuisine et en arrivant je vois Marc torse nu, avec un short de basket vert, qui prépare le petit dej'.
Alors bien dormi ? Tiens je t'ai pris un slip vu que t'es venu me voir nu comme un ver. Oz dort toujours, on ne va pas le réveiller tout de suite.
J'attrape le slip qu'il me tend et l'enfile. Il retire les pancakes du feu et les met dans une assiette avec quelques myrtilles et de la crème fraîche. Je me dirige vers la table où je m'assois en attendant qu'il me serve.
J'espère que t'as apprécié te faire démonter, me lance-t-il en venant s'asseoir en face de moi.
Euh, oui...C'était euh cool ; Je lève ma main pour prendre un pancake mais Marc tire l'assiette subitement vers lui.
Nan ça c'est pour moi. Toi, ton petit déjeuner t'attends entre mes cuisses.
Il se lève, baisse son short et attrape le siphon de crème fraîche qu'il secoue, prenant soin de montrer les muscles de son bras s'activer. Il retire le bouchon et couvre son sexe dur et droit de crème puis il se rassied en écartant ses jambes. Il avance sa chaise et commence à manger ses pancakes normalement.
J'ai eu besoin d'une microseconde avant de passer sous la table. Son membre est devant moi. Horizontal, épais et couvert de crème. Je m'avance et récupère toute la chantilly avant de gober son gland. Je le suce avec vigueur. J'y mets tellement d'énergie qu'il m'arrive de me frapper le crane contre la table mais je ne m'arrête pas. Je l'entends gémir avec sa bouche pleine. Je retire mes lèvres et commence à le masturber violemment jusqu'à le faire cracher sa semence sur mon visage. De longs jets blancs et chauds s'écrasent sur mon nez, mes lèvres et dans mes yeux.
Je reprends mon souffle puis je me replace sur ma chaise face à lui. Je suis couvert de son jus et il me regarde en souriant.
« Tu n'es jamais aussi beau que quand tu as du foutre sur ton visage, une vraie salope ! ».
Sur ces mots Oz entre dans la pièce. Je détourne le visage pour cacher tout ce sperme qui me dégouline dessus tandis que Marc s'empresse de remettre son short. On a échappé au pire, il n'a pas l'air de l'avoir remarqué. Je me nettoie le visage avec une serviette puis nous déjeunons ensemble comme si de rien n'était. Marc commence la conversation.
Alors, t'as des projets pour la journée ?
Je dois retrouver mes potes sur la plage, d'ailleurs je vais organiser une petite soirée avec eux ici un de ces jours ça va ?
Je suppose oui. Et toi Aglaé ? Quelque chose de prévu ?
Il me lance ça comme pour dire « j'ai envie de te tringler toute la journée donc dis moi que tu fais rien »Nan je pense que je vais rester ici avec la clim.
Super, j'ai un dossier avec un colombien qui m'attends et j'aurai peut-être besoin de quelqu'un qui parle espagnol.
Euh... Ok. Je t'aiderai si je peux.
T'as dormi où cette nuit d'ailleurs ?, me demande Oz.
Euh... j'avais trop chaud donc je suis venu finir ma nuit sur la canapé.
J'espère qu'il va gober ça. En tout cas il n'a pas l'air de remettre ma parole en doute et n’insiste pas, ce qui m'arrange.
*Je regarde Oz partir avec sa planche de surf. La porte se referme et je fonce dans le salon. Marc est déjà complètement nu et en érection, je me jette à genoux à ses pieds et avale son manche comme un affamé. Je le suce comme une glace à l'eau même si celle la à pour effet de me chauffer encore plus. Il se recule d'un pas pour s'asseoir sur le fauteuil, sa queue n'est pas sortie une seule fois de ma bouche pendant le déplacement. Je me sens tellement bien avec mon visage coincé entre ses cuisses si musclées et poilues. Il appuie ses mains sur le haut de mon crane en basculant sa tête en arrière pour profiter à fond de l'instant. Ses gémissements me poussent à me donner encore plus à lui, il n'y a rien de mieux au monde que de satisfaire un homme aussi beau que lui.
Je me redresse pour retirer le slip que je porte depuis le petit déjeuner puis je viens m'asseoir sur mon beau mâle. Je l'embrasse doucement et place son sexe contre ma raie. Je sens son cœur battre rapidement, aussi vite que le mien. Nos deux corps sont emportés dans une fièvre sexuelle, une frénésie que l'on ne peut stopper avant l'explosion finale. J'ondule contre mon homme pendant qu'il me caresse le dos et les fesses de ses grandes mains si douces.
Je finis par laisser sa bouche et me lève. Je lui tourne le dos et me penche en avant pour prendre la capote sur la table basse. Je me cambre évidemment pour qu'il profite de la vue au max. J'ouvre le petit paquet et lui donne le préservatif en passant le bras entre mes jambes. Il m'arrache la capote et l'enfile rapidement. Je m'appuie sur la table et lui offre mon cul. Il empoigne mes fesses et plaque son visage contre ma raie. Je sens sa langue fouiller mon fondement, elle tourne encore et encore, elle change de sens puis s'enfonce en moi, lubrifie mon trou afin de le préparer à l'assaut qui l'attend.
Il se lève enfin et plante son gland contre mon anus. « Tu vas bien profiter de tes vacances salope ! » sur ce, il m'empale et rentre aussi profondément qu'il le peut. Il n'est pas violent, il sait ce qu'il fait et rentre sans problème, je peux sentir ses couilles velues contre ma peau. Il passe son bras autour de mon cou et m'attire contre lui pour m'embrasser goulûment. Sa langue fouille ma bouche pendant que son sexe immense me sonde le rectum.
On enchaîne les positions. Une fois avec le dos plaqué sur la table, les jambes en l'air puis le ventre sur la table avec les genoux au sol. On revient à la position initiale et il commence à réellement me pilonner. Son pieu va et vient en moi, on dirait un piston sur le point de surchauffer. Ses gémissements s'intensifient et le son rauque de ses râles de plaisirs me font tourner la tête. Soudain il se retire de mes entrailles, arrache le préservatif de son membre et me retourne pour que je me mette à genoux devant lui.
Il se masturbe violemment en frappant mon petit visage de son gourdin jusqu'au paroxysme de son excitation. Il hurle de plaisir et crache de longs jets de sperme visqueux sur mon visage. J'en ai partout, encore. Je suis couvert de son foutre chaud qui me dégouline dessus. Je me relève et il m'embrasse doucement en prenant tendrement mon visage dans ses mains. Il m’entraîne avec lui sur le canapé où l'on s'allonge l'un contre l'autre. Je tombe de fatigue contre son torse et il m'essuie le visage avec un mouchoir avant de tomber de sommeil à son tour.