California Dream Suite 3
Récit érotique écrit par Aglaé [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 8 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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California Dream Suite 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Uuuuurgh....
Wow je suis complètement dans le gaz.
J'émerge doucement d'un sommeil assez lourd. J'ai un peu froid, je crois que je suis nu. Oui, complètement nu. Je sens juste que j'ai un bandeau sur les yeux. Je ne sais pas où je suis, comment j'y suis arriver et surtout qui m'y a amené. Je tente de bouger mais je suis attaché. Je suis couché sur un tapis en caoutchouc suspendu par des chaînes auxquelles j'ai mes pieds et mes mains attachés.
Je commence sérieusement à stresser. Je ne me souviens de rien, pas que j'ai perdu la mémoire mais plus comme si je n'avait pas vécu le chemin qui m'a conduit jusqu'ici. J'ai été drogué ! Attends respire, et calme toi. Y'a forcément une explication. Tout se passait bien, je me faisais prendre régulièrement par Marc et Oz s'est de nouveau rapproché de moi. Je dois dire que c'était torride entre le père le jour et le fils la nuit. Bref, Oz et Marc ne m'auraient pas laissé seul avec un inconnu. De plus, je n'aurais pas non plus tenté de trouver quelqu'un d'autre alors que j'ai deux bites énormes qui me défoncent le cul quasi non stop.
Mon cœur s'emballe, je commence à trembler de partout. Je ne comprends vraiment pas. Respire.....Calme toi. Ça va aller.
CLAPC'était une porte ? Oui, une porte vient de s'ouvrir et de se refermer. J'entends des pas. Quelqu'un descend un escalier. Il y a un petit échos. Oh merde, je dois dans une cave. Dans quelle galère je suis....Les pas se rapprochent. Je vais mourir. Je vais me faire tuer par un psychopathe ou alors j'aurai une crise cardiaque avant mais je vais mourir. Il s'arrête, je le sens qui reste planté à cote de moi. Il est là, immobile. Je ne sais pas quoi faire. Mon cœur va exploser dans ma poitrine. Le froid et le stresse me font trembler de partout.
-Détends-toi, t'es à la maison sale pute.
.......Je connais cette voix, je.... nan c'est pas possible.
-Oz ? C'est toi ? Putain t'étais obligé de me faire flipper comme ça ? Détache-moi putain, j'ai frôlé la crise cardiaque gros déb... Je reçois un coup de martinet-TA GUEULE ! Tu m'interromps pas. Nan, tu fermes juste ta gueule.
Je ne comprends pas, pourquoi il est si agressif. Tout se passait bien. Je, je comprends pas.
-T'es qu'une sale pute, tu crois que je suis pas au courant que tu te tapes mon père ? TU CROIS QUE JE SUIS DÉBILE ?! Il me lance un nouveau coup de martinet. Je t'aimais vraiment moi. Je t'ai proposé de venir ici avec moi parce que je voulais que tu m'aimes, je voulais qu'on reste ensemble. Je pensais que ça pouvait marcher. Le premier soir j'ai réellement ressenti quelque chose et je croyais que toi aussi. MAIS NON ! Je reçois un autre coup de martinet sur la poitrine.Toi, ouais, la pute que tu es. T'ÉTAIS DÉJÀ DANS LE LIT DE MON PÈRE un nouveau coup s’abat, sur mes cuisses cette fois. SALE CHIENNE ! Encore un coup sur mon bas-ventre.
-Oz je...
-NAN TU FERMES TA GUEULE JE T'AI DIT !!! Il m’envoie une série de coups sur le torse et les jambes. Tu m'as vraiment blessé. Je sais que mon père est toujours désirable et il a sûrement dû faire en sorte de te harponner MAIS T'AURAIS DÛ RÉSISTER ! Mon corps se contracte sous un nouveau coup de fouet.T'es qu'une pute. T'aimes la bite hein ? Bah t'inquiète tu vas déguster.
Il se déplace et se plante entre mes cuisses. Je sens son gland contre ma rondelle. Je ne vois toujours rien et j'ai peur de ce qu'il pourrait me faire. Il attrape mes cuisses pour ne pas que je me balance trop et me poignarde de son membre. Il me pénètre d'un coup et sans concession.
URGH-Quoi t'aimes pas ? T'AIMES PLUS MA BITE ?
Il commence à me ramoner violemment. J'ai le cul en feu et je tente juste de faire en sorte de ne pas résister afin de ne pas me faire mal. Je sens les larmes monter. Je regrette tellement. Je l'aime depuis si longtemps. Je pensais pas que c'était réciproque, je pensais juste qu'il voulait me tringler pour le plaisir et point. Je me sens con. Et sale. Mais surtout j'ai honte. J'ai couché avec le père de mon meilleur ami. Je n'aurais pas dû. Je mérite ces coups de bite en moi. Il se décharge de sa colère et je le comprends.
Soudain il s'arrête et se retire. Il n'a pas joui. J'entends le son du clavier de son smartphone. 2 secondes plus tard, j'entends à nouveau la porte. Quelqu'un descend.
-Il est à vous les mecs. Vous en faites ce que vous voulez, je m'en fous et de toute façon il aime ça.
Vous ?! Les mecs ?! QUOI ?!
Soudain je sens des mains se poser sur moi. Quelqu'un me caresse le ventre, un autre touche mes cuisses, quelqu'un passe sa main sur mon visage et un autre passe son doigts entre mes fesses. Je les entends rire et se parler doucement. Je ne sais pas du tout combien ils sont.
Un des mecs se penche vers mon oreille et me susurre :-T'inquiète pas ma belle on va bien s'occuper de toi. On va te donner ce que tu veux.
Sur ce, une queue énorme vient se planter dans mon cul. Je gémis de surprise.
-AAAAH elle te fait de l'effet ma queue.
Rire collectif. La colère d'Oz a cédé sa place à la recherche du plaisir de ces hommes. La chaleur commence à m'envahir aussi. Les corps en feu dans cette cave, recherchant la jouissance en moi. Je dois admettre que cela m'excite et je me sens coupable pour Oz. Mais un mec me retire de mes pensées moralisatrices et me colle son gland chaud sur mes lèvres. J'ouvre instinctivement la bouche pour l'accueillir. J'aime ça donc pourquoi se priver. Il glisse doucement dans ma gorge pendant qu'un autre gars remplace le premier pour coulisser dans mon cul.
Je me fais baiser des deux cotés. J'oublie tout. Los Angeles, Oz, Marc, j'oublie mon nom, j'oublie que je suis un homme. Je ne suis plus Aglaé, je suis un objet. Je suis là pour que les hommes puissent se masturber en moi. Je suis un sextoy pas plus. C'est ce que j'aime. J'aime servir les hommes, leur offrir la jouissance, le bonheur de s'être tapé une vraie salope. Je gobe et j'encaisse les bites comme si j'avais été créé pour ça.
Les queues s'enchaînent. J'ai essayé de compter pour savoir combien ils étaient mais j'ai été vite déconcentré et mes calculs ont été remplacé par ma folie lubrique. Les mecs s'amusent et profitent aux max. Ils se masturbent doucement en attendant leur tour puis viennent exploser ma rondelle ou tentent de me faire étouffer sur leur membre.
La chaleur est intense, les mains baladeuses et les corps sont en feu. Ils son tous très bien doté et je profite à fond de leurs ardeurs. Je me fais limer, ramoner, défoncer, tringler. Les bites me remuent les intestins, elles démolissent mon temple intérieur. Je sais que je ne serai plus qu'une ruine après mais c'est tellement bon.
-Je crois que je vais juter les mecs !
C'est à cet instant que l'on me retire mon bandeau. J'ouvre les yeux mais la lumière intense de la pièce me brûle les rétines. Je referme direct les paupières. Je n'ai eu qu'un flash de la scène. J'ai vu tous ces hommes nus, debout autour de moi, leur queue tendue. L'image est imprimée dans ma tête. J'ai à peine le temps de profiter de l'image et de tenter de m'adapter à la lumière qu'un gros jet de sperme vient s'écraser sur mon visage. Un mec soupire profondément et gémis en se vidant sur moi. Je sens le sperme chaud couler doucement sur ma joue. Un deuxième se rapproche de mon visage en frottant violemment son membre avant de se vider à son tour. Un jet de liquide gluant vient s'écraser sur mon œil gauche, m'obligeant à le garder fermer. Il me reste encore un œil pour profiter de l'image de ces Apollon en rut.
Un des gars vient s'enfoncer à nouveau dans mon cul et me donne de violents coups de reins. Il pousse de longs râles rauques en crachant sa semence dans mon rectum. Pendant ce temps un autre mec se vide sur mon torse. Ce manège va durer un bon moment. Je suis exténué, complètement vidé. Les mecs passent chacun leur tour pour cracher leur jus sur ou en moi. Ils s’enchaînent dans mon cul et sur mon visage.
-Ça fait une semaine que j'ai pas baiser, je peux vous dire que ça va gicler !
Il termine a peine sa phrase qu'il enfonce son gland dans mon cul pour vidanger ses couilles. Il continue à coulisser son membre et en se retirant je sens tout le sperme couler. Je me contracte instinctivement, je veux le garder encore un peu. Toute mon énergie se concentre sur mon cul pour me fermer au maximum malgré le fait que je sois complètement démolis.
-AAAH il veut garder tout le foutre dans son cul !
Les derniers mecs viennent se vider sur mon corps pour bien me couvrir de leur chaleur liquide. Je suis complètement souillé. Les gars se félicitent et se tapent dans la main. Ils ont bien profité de leur salope. Ils quittent la pièce dans un brouhaha de camardes qui viennet de gagner un match de foot. Me laissant seul, dans le silence de la cave. Accroché et suspendu dans les airs.
Je n'en peux plus et m’effondre. Je fonds en larmes car Oz me revient en mémoire. Je ne sais plus quoi faire mais je suis tellement rincé que je m'endors très vite. Toujours accroché a la balançoire. Le sperme coule doucement partout sur mon corps. Mon anus se détend et relâche le liquide blanc qui coule comme un ruisseau en pleine montagne. Je le sens refroidir mon corps, la chaleur du sexe à quitter la pièce. Il ne reste que l'odeur rance de mâle et le froid de la pièce, je suis seul.
Uuuuurgh....
Wow je suis complètement dans le gaz.
J'émerge doucement d'un sommeil assez lourd. J'ai un peu froid, je crois que je suis nu. Oui, complètement nu. Je sens juste que j'ai un bandeau sur les yeux. Je ne sais pas où je suis, comment j'y suis arriver et surtout qui m'y a amené. Je tente de bouger mais je suis attaché. Je suis couché sur un tapis en caoutchouc suspendu par des chaînes auxquelles j'ai mes pieds et mes mains attachés.
Je commence sérieusement à stresser. Je ne me souviens de rien, pas que j'ai perdu la mémoire mais plus comme si je n'avait pas vécu le chemin qui m'a conduit jusqu'ici. J'ai été drogué ! Attends respire, et calme toi. Y'a forcément une explication. Tout se passait bien, je me faisais prendre régulièrement par Marc et Oz s'est de nouveau rapproché de moi. Je dois dire que c'était torride entre le père le jour et le fils la nuit. Bref, Oz et Marc ne m'auraient pas laissé seul avec un inconnu. De plus, je n'aurais pas non plus tenté de trouver quelqu'un d'autre alors que j'ai deux bites énormes qui me défoncent le cul quasi non stop.
Mon cœur s'emballe, je commence à trembler de partout. Je ne comprends vraiment pas. Respire.....Calme toi. Ça va aller.
CLAPC'était une porte ? Oui, une porte vient de s'ouvrir et de se refermer. J'entends des pas. Quelqu'un descend un escalier. Il y a un petit échos. Oh merde, je dois dans une cave. Dans quelle galère je suis....Les pas se rapprochent. Je vais mourir. Je vais me faire tuer par un psychopathe ou alors j'aurai une crise cardiaque avant mais je vais mourir. Il s'arrête, je le sens qui reste planté à cote de moi. Il est là, immobile. Je ne sais pas quoi faire. Mon cœur va exploser dans ma poitrine. Le froid et le stresse me font trembler de partout.
-Détends-toi, t'es à la maison sale pute.
.......Je connais cette voix, je.... nan c'est pas possible.
-Oz ? C'est toi ? Putain t'étais obligé de me faire flipper comme ça ? Détache-moi putain, j'ai frôlé la crise cardiaque gros déb... Je reçois un coup de martinet-TA GUEULE ! Tu m'interromps pas. Nan, tu fermes juste ta gueule.
Je ne comprends pas, pourquoi il est si agressif. Tout se passait bien. Je, je comprends pas.
-T'es qu'une sale pute, tu crois que je suis pas au courant que tu te tapes mon père ? TU CROIS QUE JE SUIS DÉBILE ?! Il me lance un nouveau coup de martinet. Je t'aimais vraiment moi. Je t'ai proposé de venir ici avec moi parce que je voulais que tu m'aimes, je voulais qu'on reste ensemble. Je pensais que ça pouvait marcher. Le premier soir j'ai réellement ressenti quelque chose et je croyais que toi aussi. MAIS NON ! Je reçois un autre coup de martinet sur la poitrine.Toi, ouais, la pute que tu es. T'ÉTAIS DÉJÀ DANS LE LIT DE MON PÈRE un nouveau coup s’abat, sur mes cuisses cette fois. SALE CHIENNE ! Encore un coup sur mon bas-ventre.
-Oz je...
-NAN TU FERMES TA GUEULE JE T'AI DIT !!! Il m’envoie une série de coups sur le torse et les jambes. Tu m'as vraiment blessé. Je sais que mon père est toujours désirable et il a sûrement dû faire en sorte de te harponner MAIS T'AURAIS DÛ RÉSISTER ! Mon corps se contracte sous un nouveau coup de fouet.T'es qu'une pute. T'aimes la bite hein ? Bah t'inquiète tu vas déguster.
Il se déplace et se plante entre mes cuisses. Je sens son gland contre ma rondelle. Je ne vois toujours rien et j'ai peur de ce qu'il pourrait me faire. Il attrape mes cuisses pour ne pas que je me balance trop et me poignarde de son membre. Il me pénètre d'un coup et sans concession.
URGH-Quoi t'aimes pas ? T'AIMES PLUS MA BITE ?
Il commence à me ramoner violemment. J'ai le cul en feu et je tente juste de faire en sorte de ne pas résister afin de ne pas me faire mal. Je sens les larmes monter. Je regrette tellement. Je l'aime depuis si longtemps. Je pensais pas que c'était réciproque, je pensais juste qu'il voulait me tringler pour le plaisir et point. Je me sens con. Et sale. Mais surtout j'ai honte. J'ai couché avec le père de mon meilleur ami. Je n'aurais pas dû. Je mérite ces coups de bite en moi. Il se décharge de sa colère et je le comprends.
Soudain il s'arrête et se retire. Il n'a pas joui. J'entends le son du clavier de son smartphone. 2 secondes plus tard, j'entends à nouveau la porte. Quelqu'un descend.
-Il est à vous les mecs. Vous en faites ce que vous voulez, je m'en fous et de toute façon il aime ça.
Vous ?! Les mecs ?! QUOI ?!
Soudain je sens des mains se poser sur moi. Quelqu'un me caresse le ventre, un autre touche mes cuisses, quelqu'un passe sa main sur mon visage et un autre passe son doigts entre mes fesses. Je les entends rire et se parler doucement. Je ne sais pas du tout combien ils sont.
Un des mecs se penche vers mon oreille et me susurre :-T'inquiète pas ma belle on va bien s'occuper de toi. On va te donner ce que tu veux.
Sur ce, une queue énorme vient se planter dans mon cul. Je gémis de surprise.
-AAAAH elle te fait de l'effet ma queue.
Rire collectif. La colère d'Oz a cédé sa place à la recherche du plaisir de ces hommes. La chaleur commence à m'envahir aussi. Les corps en feu dans cette cave, recherchant la jouissance en moi. Je dois admettre que cela m'excite et je me sens coupable pour Oz. Mais un mec me retire de mes pensées moralisatrices et me colle son gland chaud sur mes lèvres. J'ouvre instinctivement la bouche pour l'accueillir. J'aime ça donc pourquoi se priver. Il glisse doucement dans ma gorge pendant qu'un autre gars remplace le premier pour coulisser dans mon cul.
Je me fais baiser des deux cotés. J'oublie tout. Los Angeles, Oz, Marc, j'oublie mon nom, j'oublie que je suis un homme. Je ne suis plus Aglaé, je suis un objet. Je suis là pour que les hommes puissent se masturber en moi. Je suis un sextoy pas plus. C'est ce que j'aime. J'aime servir les hommes, leur offrir la jouissance, le bonheur de s'être tapé une vraie salope. Je gobe et j'encaisse les bites comme si j'avais été créé pour ça.
Les queues s'enchaînent. J'ai essayé de compter pour savoir combien ils étaient mais j'ai été vite déconcentré et mes calculs ont été remplacé par ma folie lubrique. Les mecs s'amusent et profitent aux max. Ils se masturbent doucement en attendant leur tour puis viennent exploser ma rondelle ou tentent de me faire étouffer sur leur membre.
La chaleur est intense, les mains baladeuses et les corps sont en feu. Ils son tous très bien doté et je profite à fond de leurs ardeurs. Je me fais limer, ramoner, défoncer, tringler. Les bites me remuent les intestins, elles démolissent mon temple intérieur. Je sais que je ne serai plus qu'une ruine après mais c'est tellement bon.
-Je crois que je vais juter les mecs !
C'est à cet instant que l'on me retire mon bandeau. J'ouvre les yeux mais la lumière intense de la pièce me brûle les rétines. Je referme direct les paupières. Je n'ai eu qu'un flash de la scène. J'ai vu tous ces hommes nus, debout autour de moi, leur queue tendue. L'image est imprimée dans ma tête. J'ai à peine le temps de profiter de l'image et de tenter de m'adapter à la lumière qu'un gros jet de sperme vient s'écraser sur mon visage. Un mec soupire profondément et gémis en se vidant sur moi. Je sens le sperme chaud couler doucement sur ma joue. Un deuxième se rapproche de mon visage en frottant violemment son membre avant de se vider à son tour. Un jet de liquide gluant vient s'écraser sur mon œil gauche, m'obligeant à le garder fermer. Il me reste encore un œil pour profiter de l'image de ces Apollon en rut.
Un des gars vient s'enfoncer à nouveau dans mon cul et me donne de violents coups de reins. Il pousse de longs râles rauques en crachant sa semence dans mon rectum. Pendant ce temps un autre mec se vide sur mon torse. Ce manège va durer un bon moment. Je suis exténué, complètement vidé. Les mecs passent chacun leur tour pour cracher leur jus sur ou en moi. Ils s’enchaînent dans mon cul et sur mon visage.
-Ça fait une semaine que j'ai pas baiser, je peux vous dire que ça va gicler !
Il termine a peine sa phrase qu'il enfonce son gland dans mon cul pour vidanger ses couilles. Il continue à coulisser son membre et en se retirant je sens tout le sperme couler. Je me contracte instinctivement, je veux le garder encore un peu. Toute mon énergie se concentre sur mon cul pour me fermer au maximum malgré le fait que je sois complètement démolis.
-AAAH il veut garder tout le foutre dans son cul !
Les derniers mecs viennent se vider sur mon corps pour bien me couvrir de leur chaleur liquide. Je suis complètement souillé. Les gars se félicitent et se tapent dans la main. Ils ont bien profité de leur salope. Ils quittent la pièce dans un brouhaha de camardes qui viennet de gagner un match de foot. Me laissant seul, dans le silence de la cave. Accroché et suspendu dans les airs.
Je n'en peux plus et m’effondre. Je fonds en larmes car Oz me revient en mémoire. Je ne sais plus quoi faire mais je suis tellement rincé que je m'endors très vite. Toujours accroché a la balançoire. Le sperme coule doucement partout sur mon corps. Mon anus se détend et relâche le liquide blanc qui coule comme un ruisseau en pleine montagne. Je le sens refroidir mon corps, la chaleur du sexe à quitter la pièce. Il ne reste que l'odeur rance de mâle et le froid de la pièce, je suis seul.
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