California Dream Suite 4
Récit érotique écrit par Aglaé [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 8 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
California Dream Suite 4
Je me réveille, toujours suspendu au plafond et complètement nu. Je commence à vraiment avoir froid, il faut que je me détache mais comment ? Je me remue en espérant un miracle mais je ne fais que de secouer les chaînes. Le cliquetis du métal me suggère de faire du bruit, le plus de bruit possible. Je crie, je hurle. MAAAAARC, OOOOOOOOZ, OSCAR PUTAIN ! AIDEZ-MOI !! JE SUIS DANS LA CAVE !
Il se passe quelques minutes qui paraissent une éternité avant d'entendre la porte s'ouvrir et se refermer suivi des pas pressés de quelqu'un qui dévale les escaliers à toute vitesse. Je tourne la tête et voit apparaître Marc l'air totalement médusé par ce qu'il voit. Seul un « putain » de surprise parvient à se frayer un chemin hors de sa bouche. Il reste planté là, encore sous le choc de sa découverte puis se ressaisi et se jette sur moi afin de me détacher le plus rapidement possible. Mes bras et mes jambes sont endoloris à force d'être resté levé autant de temps.
Je suis enfin libre. Je suis aussi complètement engourdi, je m'effondre aux pieds de Marc et m'accroche à ses mollets pour ne pas tomber face contre terre. Me voyant aussi las, il se baisse pour s'asseoir au sol et me prendre dans ses bras.
- J'ai trouvé ce mot sur la table de la cuisine en rentrant.
il me montre le papier. « J'ai emprunté ta pute, j'espère que tu ne m'en voudras pas elle est sûrement dans un sale état. Elle sèche à la cave, en espérant qu'elle soit encore utilisable. OZ »- Je ne sais pas ce qu'il lui a pris mais il ne va pas s'en tirer comme ça !
Je reste muet. Il se redresse et me prend dans ses bras afin de me porter et de me ramener au sommet des escaliers. Il a l'air si fort et tendre, un Homme comme ils devraient tous être. Il me porte jusqu'à la salle de bain et me pose doucement. Je suis debout, appuyé contre le lavabo. Il fait couler l'eau du bain et se déshabille. Il vient me prendre dans ses bras. Je sens sa peau chaude et douce contre moi, ses gros bras qui m'enserrent contre son torse poilu et son sexe chaud contre mon bas-ventre. Il m'embrasse le sommet du crâne puis essuie mes larmes de son pouce et me tire par la main pour m'inviter à le suivre dans l'eau chaude. Il s'assied contre le dossier de la baignoire et pose ses bras sur les bords en attendant que je vienne m'installer entre ses cuisses.
Je suis dans une bulle de douceur entre l'eau chaude et savonneuse et le corps sculptural de Marc. Au début je sentis qu'il était en pleine érection mais il n'a rien tenté et a juste continué de caresser mon petit corps encore meurtri. Je profite un maximum de ce répit, lové contre cet homme magnifique qui veut me réconforter et laver toutes les traces que ces garçons ont laissées sur ma peau. On est resté une demi-heure dans ce bain délicieux. L'eau commençant à refroidir doucement, on décide de sortir et de nous sécher. Il prend une serviette et l'enroule autour de mes épaules en me collant à nouveau contre son corps. Il pose sa tête sur mon épaule et me câline un moment.
-Je suis désolé Aglaé, pour Oz. Vraiment.
-C'est pas de ta faute. Te torture pas.
Je retourne et passe mes bras autour de son cou pour l'enlacer. Je l'embrasse doucement dans le cou et laisse ma serviette tomber. Je rejoins très vite sa bouche et sa langue trouve très vite la mienne. Je saute et enroule mes jambes à sa taille, il pose ses mains sur mes fesses pour me soutenir et me porter jusqu'à sa chambre. Il ouvre la porte du pied, entre et me pose sur son lit.
Nos bouches sont incapables de se décoller. Nos langues ne peuvent plus se séparer, elles sont mêlées, nouées l'une à l'autre. Il tend le bras et prend un préservatif qu'il déballe afin de le dérouler sur son imposant membre qui semble crier sa faim. Mon cul se dilate pour me signifier la mêle chose. Son sexe couvert se présente à l'entrée du mien (ma chatte) mais il s'arrête et me demande :- T'es sûr de le vouloir après ce qu'il s'est passé dans la cave ?
- J'ai besoin de toi là, vas-y. Je ne crains rien.
Il relève mes jambes et rentre doucement son membre en moi. Il se penche sur mon corps et me bloque dans ses bras puissants, son corps pesant sur le mien. Il continue de me pénétrer doucement jusqu'à ce que ses couilles caressent mes fesses de leurs poils noirs. Il ne peut réprimer un sourire de satisfaction mais ma langue retrouve très vite la sienne derrière cette barrière d'émail blanc.
Il me fait l'amour. Son corps ondule sur le mien, son bassin se balance et sa hampe coulisse en moi dans un mouvement empreint de tendresse. Nos respirations se font plus rauques et nos visages ne se séparent jamais de plus de 10 centimètres. Je le veux et il me veut. Je le sens qui s'accroche à mes épaules comme s'il avait peur que je le quitte en plein ébat.
- Dis-moi si je te fais mal ou si tu veux que j'arrête.
- Jamais, Jamais..
Je n'ai plus de vocabulaire. Je ne peux qu'apprécier ce corps, ce sexe, cet homme. J’attrape son crâne et le tire pour que nos bouches se rejoignent à nouveau. Notre étreinte passionnée continue encore et ne semble plus s'arrêter. Je veux rester coincé ici à jamais. Pour toujours bloqué sous son poids, nos corps parfaitement emboîtés.
Le temps n'a plus d'emprise sur nous. Nos corps en pleine fusion réchauffent la chambre, les draps brûlent et s'humidifient en épongeant notre peau couverte de sueur. Nos langues s’emmêlent sans jamais se quitter, nos corps roulent et restent collés l'un à l'autre. Notre frénésie s'amplifie et atteint son apogée lorsque Marc se vide en moi. Il me donne de puissants coups de reins pour cracher son foutre au plus profond de mon être tout en soupirant lourdement comme si l'effort était intense. Je ne peux m’empêcher de hurler mon bonheur.
Il s'est entièrement vidé en moi et finit par éclater de rire avant de venir plonger sa langue dans ma bouche. Mes jambes sont enroulées autour de sa taille et son sexe reste encore planté en moi. Il se roule sur le dos en sortant finalement son engin de mon cul. Je viens me blottir contre lui. Sa peau est glaciale à cause de la sueur mais son corps bouillonne dessous.
- Je crois qu'on devrais retourner sous l'eau, je suis en trans.
Il m'embrasse sur le haut du crane. Je le regarde en souriant. Ça m'a fait énormément de bien. On dit que quand on tombe de cheval il faut se remettre en selle immédiatement. C'est ce que j'ai fait, il fallait juste choisir le bon cheval pour être sûr de ne pas me blesser à nouveau.
On reprend notre souffle avant de repartir vers la salle de bain. On se place sous la douche cette fois. J'ai le plaisir de savonner son corps parfait et lui caresse mon corps qui parait si petit à coté de lui. On est resté là si longtemps à nous toucher, nous embrasser et rigoler.
Il se passe quelques minutes qui paraissent une éternité avant d'entendre la porte s'ouvrir et se refermer suivi des pas pressés de quelqu'un qui dévale les escaliers à toute vitesse. Je tourne la tête et voit apparaître Marc l'air totalement médusé par ce qu'il voit. Seul un « putain » de surprise parvient à se frayer un chemin hors de sa bouche. Il reste planté là, encore sous le choc de sa découverte puis se ressaisi et se jette sur moi afin de me détacher le plus rapidement possible. Mes bras et mes jambes sont endoloris à force d'être resté levé autant de temps.
Je suis enfin libre. Je suis aussi complètement engourdi, je m'effondre aux pieds de Marc et m'accroche à ses mollets pour ne pas tomber face contre terre. Me voyant aussi las, il se baisse pour s'asseoir au sol et me prendre dans ses bras.
- J'ai trouvé ce mot sur la table de la cuisine en rentrant.
il me montre le papier. « J'ai emprunté ta pute, j'espère que tu ne m'en voudras pas elle est sûrement dans un sale état. Elle sèche à la cave, en espérant qu'elle soit encore utilisable. OZ »- Je ne sais pas ce qu'il lui a pris mais il ne va pas s'en tirer comme ça !
Je reste muet. Il se redresse et me prend dans ses bras afin de me porter et de me ramener au sommet des escaliers. Il a l'air si fort et tendre, un Homme comme ils devraient tous être. Il me porte jusqu'à la salle de bain et me pose doucement. Je suis debout, appuyé contre le lavabo. Il fait couler l'eau du bain et se déshabille. Il vient me prendre dans ses bras. Je sens sa peau chaude et douce contre moi, ses gros bras qui m'enserrent contre son torse poilu et son sexe chaud contre mon bas-ventre. Il m'embrasse le sommet du crâne puis essuie mes larmes de son pouce et me tire par la main pour m'inviter à le suivre dans l'eau chaude. Il s'assied contre le dossier de la baignoire et pose ses bras sur les bords en attendant que je vienne m'installer entre ses cuisses.
Je suis dans une bulle de douceur entre l'eau chaude et savonneuse et le corps sculptural de Marc. Au début je sentis qu'il était en pleine érection mais il n'a rien tenté et a juste continué de caresser mon petit corps encore meurtri. Je profite un maximum de ce répit, lové contre cet homme magnifique qui veut me réconforter et laver toutes les traces que ces garçons ont laissées sur ma peau. On est resté une demi-heure dans ce bain délicieux. L'eau commençant à refroidir doucement, on décide de sortir et de nous sécher. Il prend une serviette et l'enroule autour de mes épaules en me collant à nouveau contre son corps. Il pose sa tête sur mon épaule et me câline un moment.
-Je suis désolé Aglaé, pour Oz. Vraiment.
-C'est pas de ta faute. Te torture pas.
Je retourne et passe mes bras autour de son cou pour l'enlacer. Je l'embrasse doucement dans le cou et laisse ma serviette tomber. Je rejoins très vite sa bouche et sa langue trouve très vite la mienne. Je saute et enroule mes jambes à sa taille, il pose ses mains sur mes fesses pour me soutenir et me porter jusqu'à sa chambre. Il ouvre la porte du pied, entre et me pose sur son lit.
Nos bouches sont incapables de se décoller. Nos langues ne peuvent plus se séparer, elles sont mêlées, nouées l'une à l'autre. Il tend le bras et prend un préservatif qu'il déballe afin de le dérouler sur son imposant membre qui semble crier sa faim. Mon cul se dilate pour me signifier la mêle chose. Son sexe couvert se présente à l'entrée du mien (ma chatte) mais il s'arrête et me demande :- T'es sûr de le vouloir après ce qu'il s'est passé dans la cave ?
- J'ai besoin de toi là, vas-y. Je ne crains rien.
Il relève mes jambes et rentre doucement son membre en moi. Il se penche sur mon corps et me bloque dans ses bras puissants, son corps pesant sur le mien. Il continue de me pénétrer doucement jusqu'à ce que ses couilles caressent mes fesses de leurs poils noirs. Il ne peut réprimer un sourire de satisfaction mais ma langue retrouve très vite la sienne derrière cette barrière d'émail blanc.
Il me fait l'amour. Son corps ondule sur le mien, son bassin se balance et sa hampe coulisse en moi dans un mouvement empreint de tendresse. Nos respirations se font plus rauques et nos visages ne se séparent jamais de plus de 10 centimètres. Je le veux et il me veut. Je le sens qui s'accroche à mes épaules comme s'il avait peur que je le quitte en plein ébat.
- Dis-moi si je te fais mal ou si tu veux que j'arrête.
- Jamais, Jamais..
Je n'ai plus de vocabulaire. Je ne peux qu'apprécier ce corps, ce sexe, cet homme. J’attrape son crâne et le tire pour que nos bouches se rejoignent à nouveau. Notre étreinte passionnée continue encore et ne semble plus s'arrêter. Je veux rester coincé ici à jamais. Pour toujours bloqué sous son poids, nos corps parfaitement emboîtés.
Le temps n'a plus d'emprise sur nous. Nos corps en pleine fusion réchauffent la chambre, les draps brûlent et s'humidifient en épongeant notre peau couverte de sueur. Nos langues s’emmêlent sans jamais se quitter, nos corps roulent et restent collés l'un à l'autre. Notre frénésie s'amplifie et atteint son apogée lorsque Marc se vide en moi. Il me donne de puissants coups de reins pour cracher son foutre au plus profond de mon être tout en soupirant lourdement comme si l'effort était intense. Je ne peux m’empêcher de hurler mon bonheur.
Il s'est entièrement vidé en moi et finit par éclater de rire avant de venir plonger sa langue dans ma bouche. Mes jambes sont enroulées autour de sa taille et son sexe reste encore planté en moi. Il se roule sur le dos en sortant finalement son engin de mon cul. Je viens me blottir contre lui. Sa peau est glaciale à cause de la sueur mais son corps bouillonne dessous.
- Je crois qu'on devrais retourner sous l'eau, je suis en trans.
Il m'embrasse sur le haut du crane. Je le regarde en souriant. Ça m'a fait énormément de bien. On dit que quand on tombe de cheval il faut se remettre en selle immédiatement. C'est ce que j'ai fait, il fallait juste choisir le bon cheval pour être sûr de ne pas me blesser à nouveau.
On reprend notre souffle avant de repartir vers la salle de bain. On se place sous la douche cette fois. J'ai le plaisir de savonner son corps parfait et lui caresse mon corps qui parait si petit à coté de lui. On est resté là si longtemps à nous toucher, nous embrasser et rigoler.
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