Caline
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Caline
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
Chapitre 3 : CALINE
28.08.1994
Cest le dernier dimanche du mois d'Août 1994, précisement le 28 à 5h30 du matin. Je poireaute gentillement dans la salle d'embarquement.
Un cappucino dans un goblet me rechauffe la main, poutant la journée s'annonce chaude, d'après les prévisions méteo de la nuit dernière.
Je m'en balance royalement car là où je m'envole (Paris) il fait toute au plus 24° celcius.
D'un regard distrait, mes yeux font une brève analyse visuelle des passagers en partence pour la capitale française.
Ceux là, avaient un peu exagéré de la bronzette... On dirait des vendeurs de charbon.
Ah, on voit clairement que ce couple se fait la gueule.
Oh quelle poisse... On va encore avoir droit à ces mômes qui vont brailler durant tout le vol...
Et puis...
— Mella ziiiine !!! (Quelle beauté) je crie (assez fort) en voyant passer cette jeune demoiselle.
En une fraction de seconde, mon cerveau a su définir, que cette silouhaite, que je vois venir dans ma direction, qui, de la main gauche traîne son petit bagage à main sur roulette, est ďune beauté que j'ai rarement eu l'occasion de croiser.
Avec ses longs cheveux noirs qui lui couvrent les épaules, des lunettes à monture bleu-vert qui accentuent le dessin de ses yeux noirs.
Ah ces yeux... J'ai flashé direct sur les yeux de cette miss.
Et pour ne rien gâcher à ce tableau, une paire de... Lolos, airbags, nibars qui ne demandent qu'à percer son T-Shirt blanc qui est collé à son corps.
Avec ce Jeans bleu et ses tennis, elle est la plus rayonnante des passagères.
Elle pose ses yeux sur moi, avec un petit sourire, elle me dit :
— Merci !
Et elle poursuit ses pas en direction du comptoir d'embarquement, où deux agents de la compagnie aérienne sont venus se poster pour finaliser le check-in.
Je suis le déhanchement de la princesse et je ne pu me retenir de dire :
— Ohhhh... Quel cuuuuuuuuuuu !
À ma gauche, une femme qui devait avoir 45-50 ans me fusille d'un regard si noir, qui aurait dissuadé une poule de manger un gros ver sollitaire.
— Ouppppps ! Dis-je en sautant comme bousculer par un portier qui m'interdisait ľaccès à une discothéque.
Son mari, en me voyant quasiment tomber de mon siège, est mort de rire.
En rentrant dans la machine par l'avant, je cherche mon siège le "5C"...
Je n'ai pas trop à chercher, et...
Coïncidence ?
Hasard ?
Est assise sur le siège coté hublot la femme qui vient de boulverser le début de mon voyage... (Et encore, là, cela n'est que le début des boulversements).
Après avoir mis mon sac dans l'endroit prévu pour ce genre de truc, je prends place en disant :
— Vous permettez ?
Sans lever les yeux du magazine offert par la compagnie qui détaille les produits qu'ils mettent en vente sur ce vol, elle répond :
— Je vous en prie !
Toujours sans lever les yeux, elle me dit :
— Alors, comme ça vous trouvez que j'ai un beau cul ?
— Vous... Vous m'avez entendu ?
Là, en se retrounant vers moi, elle affirme :
— Je crois que tous les passagers de ce vol vous ont entendu !
Je me sens fondre dans mon siège de honte. Je crois même que mes joues n'ont jamais autant rougies.
— Je... Je... M'excuse !! Baffoue-je en avalant de travers, ce qui la fit sourire.
— Je ne vous en veux pas... Au moins vous, vous le dites franchement, mais essayez, la prochaine fois ďêtre plus discret !
— J'y... J'y peux rien moi, si vous êtes aussi bandan... Oups !
— Hihihi... Vous êtes toujours aussi direct vous ?
— Non... Mais... Je...
— Mesdames et messieurs... Décollage dans quelques instants, veuillez attacher vos ceintures ! Annonçait la cheffe de cabine.
Après les démonstrations d'usage à chaque décollage, et après qu'enfin l'avoin ait pris sans envol, je me tourne vers celle qui avait chamboulé l'ordre de mes neurones et lui dis :
— Excusez moi charmante demoiselle, mais je suis entrain de piétiner toutes les leçons de politesses que la mère s'était efforcé de m'inculquer... Je me présente : je m'appel Hamed et j'ai 22 ans ! Dis-je d'un air très sérieux en lui tendant ma main.
— Je suis enchantée de faire votre connaissance monsieur... On m'appelle souvent "Caline" mais mon vrai nom est "Caline Yassine" ! Dit-elle morte de rire en voyant mon visage.
— "Caline" ? Vous avez dis "Caline" ? Mon Dieu que vous êtes bizarrement "Caline" tout plein !... Non Sérieux quelle est votre doux nom ô ma douce !
— Caline... Comme ça se prononce !
— On a dû te la faire souvent celle-là "Caline tout court ou Caline au lit ?" !
— Non... Tu es le premier qui me la fait celle-là... Généralement c'est "Caline ? Quel joli nom... Qui a eu la ravissante idée de te nommer ainsi ?
— Et ta réponse ?
— Mon père... Il est franco-libanais qui avait grandit en Côte d'ivoire !
— Et ta reum ?
— Elle est une arrière petite fille de "Saleheddine el Ayyoubi" !
— Le commandant qui a repris Jérusalem aux croisés ?
— Tu t'y connais en histoire ?
— Assez pour retenir quelques noms qui ont fait la gloire de l'empire musulman... Et donc tu parle arabe ?
— Oui !
— Moi aussi... Hihihii !
Et ainsi se poursuivit le voyage. Nous n'avons pas vu le temps passer.
Arrivé à Orly-sud et après avoir récuperé nos bagages nous nous sommes quittés après avoir échangé nos adresses et nos numéros de téléphone.
À suivre...
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
Chapitre 3 : CALINE
28.08.1994
Cest le dernier dimanche du mois d'Août 1994, précisement le 28 à 5h30 du matin. Je poireaute gentillement dans la salle d'embarquement.
Un cappucino dans un goblet me rechauffe la main, poutant la journée s'annonce chaude, d'après les prévisions méteo de la nuit dernière.
Je m'en balance royalement car là où je m'envole (Paris) il fait toute au plus 24° celcius.
D'un regard distrait, mes yeux font une brève analyse visuelle des passagers en partence pour la capitale française.
Ceux là, avaient un peu exagéré de la bronzette... On dirait des vendeurs de charbon.
Ah, on voit clairement que ce couple se fait la gueule.
Oh quelle poisse... On va encore avoir droit à ces mômes qui vont brailler durant tout le vol...
Et puis...
— Mella ziiiine !!! (Quelle beauté) je crie (assez fort) en voyant passer cette jeune demoiselle.
En une fraction de seconde, mon cerveau a su définir, que cette silouhaite, que je vois venir dans ma direction, qui, de la main gauche traîne son petit bagage à main sur roulette, est ďune beauté que j'ai rarement eu l'occasion de croiser.
Avec ses longs cheveux noirs qui lui couvrent les épaules, des lunettes à monture bleu-vert qui accentuent le dessin de ses yeux noirs.
Ah ces yeux... J'ai flashé direct sur les yeux de cette miss.
Et pour ne rien gâcher à ce tableau, une paire de... Lolos, airbags, nibars qui ne demandent qu'à percer son T-Shirt blanc qui est collé à son corps.
Avec ce Jeans bleu et ses tennis, elle est la plus rayonnante des passagères.
Elle pose ses yeux sur moi, avec un petit sourire, elle me dit :
— Merci !
Et elle poursuit ses pas en direction du comptoir d'embarquement, où deux agents de la compagnie aérienne sont venus se poster pour finaliser le check-in.
Je suis le déhanchement de la princesse et je ne pu me retenir de dire :
— Ohhhh... Quel cuuuuuuuuuuu !
À ma gauche, une femme qui devait avoir 45-50 ans me fusille d'un regard si noir, qui aurait dissuadé une poule de manger un gros ver sollitaire.
— Ouppppps ! Dis-je en sautant comme bousculer par un portier qui m'interdisait ľaccès à une discothéque.
Son mari, en me voyant quasiment tomber de mon siège, est mort de rire.
En rentrant dans la machine par l'avant, je cherche mon siège le "5C"...
Je n'ai pas trop à chercher, et...
Coïncidence ?
Hasard ?
Est assise sur le siège coté hublot la femme qui vient de boulverser le début de mon voyage... (Et encore, là, cela n'est que le début des boulversements).
Après avoir mis mon sac dans l'endroit prévu pour ce genre de truc, je prends place en disant :
— Vous permettez ?
Sans lever les yeux du magazine offert par la compagnie qui détaille les produits qu'ils mettent en vente sur ce vol, elle répond :
— Je vous en prie !
Toujours sans lever les yeux, elle me dit :
— Alors, comme ça vous trouvez que j'ai un beau cul ?
— Vous... Vous m'avez entendu ?
Là, en se retrounant vers moi, elle affirme :
— Je crois que tous les passagers de ce vol vous ont entendu !
Je me sens fondre dans mon siège de honte. Je crois même que mes joues n'ont jamais autant rougies.
— Je... Je... M'excuse !! Baffoue-je en avalant de travers, ce qui la fit sourire.
— Je ne vous en veux pas... Au moins vous, vous le dites franchement, mais essayez, la prochaine fois ďêtre plus discret !
— J'y... J'y peux rien moi, si vous êtes aussi bandan... Oups !
— Hihihi... Vous êtes toujours aussi direct vous ?
— Non... Mais... Je...
— Mesdames et messieurs... Décollage dans quelques instants, veuillez attacher vos ceintures ! Annonçait la cheffe de cabine.
Après les démonstrations d'usage à chaque décollage, et après qu'enfin l'avoin ait pris sans envol, je me tourne vers celle qui avait chamboulé l'ordre de mes neurones et lui dis :
— Excusez moi charmante demoiselle, mais je suis entrain de piétiner toutes les leçons de politesses que la mère s'était efforcé de m'inculquer... Je me présente : je m'appel Hamed et j'ai 22 ans ! Dis-je d'un air très sérieux en lui tendant ma main.
— Je suis enchantée de faire votre connaissance monsieur... On m'appelle souvent "Caline" mais mon vrai nom est "Caline Yassine" ! Dit-elle morte de rire en voyant mon visage.
— "Caline" ? Vous avez dis "Caline" ? Mon Dieu que vous êtes bizarrement "Caline" tout plein !... Non Sérieux quelle est votre doux nom ô ma douce !
— Caline... Comme ça se prononce !
— On a dû te la faire souvent celle-là "Caline tout court ou Caline au lit ?" !
— Non... Tu es le premier qui me la fait celle-là... Généralement c'est "Caline ? Quel joli nom... Qui a eu la ravissante idée de te nommer ainsi ?
— Et ta réponse ?
— Mon père... Il est franco-libanais qui avait grandit en Côte d'ivoire !
— Et ta reum ?
— Elle est une arrière petite fille de "Saleheddine el Ayyoubi" !
— Le commandant qui a repris Jérusalem aux croisés ?
— Tu t'y connais en histoire ?
— Assez pour retenir quelques noms qui ont fait la gloire de l'empire musulman... Et donc tu parle arabe ?
— Oui !
— Moi aussi... Hihihii !
Et ainsi se poursuivit le voyage. Nous n'avons pas vu le temps passer.
Arrivé à Orly-sud et après avoir récuperé nos bagages nous nous sommes quittés après avoir échangé nos adresses et nos numéros de téléphone.
À suivre...
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