Call girl 4
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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Call girl 4
Plus je me retourne sur mon passé récent, plus je me donne raison d’avoir choisi ce métier de call girl. Au moins je peux choisir mes amants, mes heures, pas le lieu puisque je m’arrange pour ne baiser que chez moi. Je me fais pas mal d’argent. Si je peux, un de ces jours je retournerais passer quelques jours de vacances à Mende. Je pourrai même avoir une ou un ami que j’entretiendrais. Rien que d’ouvrir ma « clientèle » à des femmes a détecté des horizons que j’ignorais.
Cette après midi, j’ai satisfait les besoins de Gladys (nom d’emprunt) une fille assez petite, bien faire, aux seins qui se lèvent presque seuls, une Barbie. Mais un unique but dans sa vie : jouissance. Elle me donne des détails sur elle : mariée, deux amants, une maîtresse (moi) et son gout immodéré pour la masturbation. Pour elle une journée ne se conçoit pas sans au moins trois masturbations.
Elle est suffisamment vicieuse pour exiger des choses, à moi, la professionnelle. Quand elle arrive chez moi, je dois lui mettre ma main sur la chatte à peine la porte ouverte. Je n’ai pas à m’en faire pour la déshabiller : elle ne porte généralement que sa robe fendue devant à mi cuisse. Elle va s’assoir sur le fauteuil les jambes bien ouverte pour que je vois bien son intimité. Elle a un sexe presque plat quand elle reste assise. Dès qu’elle se lève, les lèvres s’écartent un peu : j’aperçois outre son vagin son petit bout. Avant que je sois aussi en tenue de travail, elle a commencé à se masturber devant moi. Ses caresses ne sont pas du pipeau. Elle va au bout de son plaisir.
Je reste stoïque, je ne veux surtout pas me branler comme ça devant elle. Ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque. Elle se fait jouir, n’attends pas pour me demander un gode. Je le lui donne facilement. Elle le lèche comme une vraie bite. Elle me regarde pour s’assurer d’être vue, puis elle se baise facilement. Elle s’envoie en l’air rapidement. Elle ne déplace le gode que de quelques centimètre pour s’enculer.
Quand elle a jouit de son cul, c’est à mon tour d’intervenir. Je suis derrière elle, je caresse les seins, je descends sur son ventre. Je cherche sa fente pour y mettre un doigt. Un seul suffit au moins au début, juste pour trouver son clitoris. Elle remue en gémissant. Elle pose sa main sur la mienne, comme pour me guider. Elle me gêne plus qu’autre chose.
J’arrête mes caresses juste pour faire le tour, pour me mettre en position devant ses cuisses écartées. Je peux enfin profiter de son odeur particulièrement forte, de son gout de cyprine un peu poivrée. Elle a acheté le droit de se faire sucer par moi, par une femme. J’aime ça, je le lui fais avec plaisir. Je sais que je suis aussi mouillée qu’elle. J’attends mon heure. Je lèche tout son sexe, surtout son trou. J’ai trouvé la première fois un endroit plus granuleux : elle aime que ma lange passe dessus. Elle jouit de cette façon, je n’arrête pas là, je remonte sur son bouton, que je lèche longuement, très longuement : je la fait partir régulièrement. Ensuite je passe la partie « hors sujet». J’aime particulièrement lécher son popotin. Son cul m’attire sans doute sa forme ou ses replis. En tout cas je pose ma langue, je la fait caresser ce petit trou. Il arrive toujours le moment où elle en veut plus, elle écarte son cul. Ma langue se faufile dans son ventre. Sa main retient ma tête pour que je ne parte pas. Je la sens jouir aux spasmes autour de ma langue.
C’est alors qu’elle me veut aussi. Nous allons sur le lit. Nous sommes pieds à la tête. Elle adore, comme moi cette position en 69. Nous profitons chacune du jus de l’autre. Le sien est abondant. Nous nous faisons pratiquement les mêmes choses.
Avec elle je finis avec le sexe endolori, le sien doit être dans le même état. A son départ, je l’embrasse sur la bouche. Cette femme me donne les rendez vous suivant que j’honore toujours. Je sens dans ma bouche le gout de son sexe et de son cul.
Je pourrais me laver les dents. Je ne le fait pas pour que mon prochain amant ait lui aussi un peu de cette femme dans sa bouche.
Le prochain amant. Un type bien, un ecclésiastique je crois. Un homme en civil, comment savoir ?
Pour lui, je ne suis pas totalement nue. J’enlève uniquement le bas. Il aime lever ma jupe, elle caresse un peu les jambes, surtout les fesses. Il d’attarde dans ma raie. Il ne sort sa queue qu’à cet instant : elle est grosse, pleine de veines apparentes, un gland un peu petit.
Il vient comme un lâche dans ma raie. Je sais ce qu’il cherche, je le laisse faire : c’est son seul plaisir. Il est tout contre mon anus. J’ouvre un peu le passage, ma main se colle contre mon sexe : je me branle et lui lentement entre dans le cul. Je sens mes chairs s’ouvrir. Il me fait un peu mal. Il me fait du bien. Je me laisse aller vers l’orgasme, comme lui qui jouit dans mon cul. Il ne cherche pas à venir ailleurs que là.
Cette après midi, j’ai satisfait les besoins de Gladys (nom d’emprunt) une fille assez petite, bien faire, aux seins qui se lèvent presque seuls, une Barbie. Mais un unique but dans sa vie : jouissance. Elle me donne des détails sur elle : mariée, deux amants, une maîtresse (moi) et son gout immodéré pour la masturbation. Pour elle une journée ne se conçoit pas sans au moins trois masturbations.
Elle est suffisamment vicieuse pour exiger des choses, à moi, la professionnelle. Quand elle arrive chez moi, je dois lui mettre ma main sur la chatte à peine la porte ouverte. Je n’ai pas à m’en faire pour la déshabiller : elle ne porte généralement que sa robe fendue devant à mi cuisse. Elle va s’assoir sur le fauteuil les jambes bien ouverte pour que je vois bien son intimité. Elle a un sexe presque plat quand elle reste assise. Dès qu’elle se lève, les lèvres s’écartent un peu : j’aperçois outre son vagin son petit bout. Avant que je sois aussi en tenue de travail, elle a commencé à se masturber devant moi. Ses caresses ne sont pas du pipeau. Elle va au bout de son plaisir.
Je reste stoïque, je ne veux surtout pas me branler comme ça devant elle. Ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque. Elle se fait jouir, n’attends pas pour me demander un gode. Je le lui donne facilement. Elle le lèche comme une vraie bite. Elle me regarde pour s’assurer d’être vue, puis elle se baise facilement. Elle s’envoie en l’air rapidement. Elle ne déplace le gode que de quelques centimètre pour s’enculer.
Quand elle a jouit de son cul, c’est à mon tour d’intervenir. Je suis derrière elle, je caresse les seins, je descends sur son ventre. Je cherche sa fente pour y mettre un doigt. Un seul suffit au moins au début, juste pour trouver son clitoris. Elle remue en gémissant. Elle pose sa main sur la mienne, comme pour me guider. Elle me gêne plus qu’autre chose.
J’arrête mes caresses juste pour faire le tour, pour me mettre en position devant ses cuisses écartées. Je peux enfin profiter de son odeur particulièrement forte, de son gout de cyprine un peu poivrée. Elle a acheté le droit de se faire sucer par moi, par une femme. J’aime ça, je le lui fais avec plaisir. Je sais que je suis aussi mouillée qu’elle. J’attends mon heure. Je lèche tout son sexe, surtout son trou. J’ai trouvé la première fois un endroit plus granuleux : elle aime que ma lange passe dessus. Elle jouit de cette façon, je n’arrête pas là, je remonte sur son bouton, que je lèche longuement, très longuement : je la fait partir régulièrement. Ensuite je passe la partie « hors sujet». J’aime particulièrement lécher son popotin. Son cul m’attire sans doute sa forme ou ses replis. En tout cas je pose ma langue, je la fait caresser ce petit trou. Il arrive toujours le moment où elle en veut plus, elle écarte son cul. Ma langue se faufile dans son ventre. Sa main retient ma tête pour que je ne parte pas. Je la sens jouir aux spasmes autour de ma langue.
C’est alors qu’elle me veut aussi. Nous allons sur le lit. Nous sommes pieds à la tête. Elle adore, comme moi cette position en 69. Nous profitons chacune du jus de l’autre. Le sien est abondant. Nous nous faisons pratiquement les mêmes choses.
Avec elle je finis avec le sexe endolori, le sien doit être dans le même état. A son départ, je l’embrasse sur la bouche. Cette femme me donne les rendez vous suivant que j’honore toujours. Je sens dans ma bouche le gout de son sexe et de son cul.
Je pourrais me laver les dents. Je ne le fait pas pour que mon prochain amant ait lui aussi un peu de cette femme dans sa bouche.
Le prochain amant. Un type bien, un ecclésiastique je crois. Un homme en civil, comment savoir ?
Pour lui, je ne suis pas totalement nue. J’enlève uniquement le bas. Il aime lever ma jupe, elle caresse un peu les jambes, surtout les fesses. Il d’attarde dans ma raie. Il ne sort sa queue qu’à cet instant : elle est grosse, pleine de veines apparentes, un gland un peu petit.
Il vient comme un lâche dans ma raie. Je sais ce qu’il cherche, je le laisse faire : c’est son seul plaisir. Il est tout contre mon anus. J’ouvre un peu le passage, ma main se colle contre mon sexe : je me branle et lui lentement entre dans le cul. Je sens mes chairs s’ouvrir. Il me fait un peu mal. Il me fait du bien. Je me laisse aller vers l’orgasme, comme lui qui jouit dans mon cul. Il ne cherche pas à venir ailleurs que là.
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