Camélia au Château - (suite de l'épisode 1278)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 342 581 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 238 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Camélia au Château - (suite de l'épisode 1278)
Camélia au Château - (suite de l'épisode 1278)-
- Je veux qu’elles soient brillantes et applique toi …
Alors que je m’appliquais à lécher Ses chaussures avec soin comme exigé par Monsieur le Marquis, Celui-ci en profita pour se délecter du spectacle qui s’offrait devant lui. Il regardait avec gourmandise le creux de ma courbe de reins dénudée plongeant jusqu’au sillon au cœur de mon fessier arrondi. Il savourait mes larges hanches de femelles remontant du regard jusqu’à ma chevelure bouclée… Pendant que je lui léchais avec un véritable plaisir, et non sans une certaine excitation, au niveau de mon bas-ventre, excitation qui commençait à se voir, le Noble scrutait mon corps à la loupe. Et Il profita de ce moment pour passer Sa main entre mon entrejambes et en ressortir les doigts trempés de mouille. C’est alors à ce moment sur un ton calme mais empli d’autorité, qu’il me lança :
- Arrête de me lécher les chaussures et relève ta tête un instant… Tu pourras la baisser seulement quand je te le dirais, dit-il de Sa voix remplie de charisme. Mais avant mes doigts sont remplis par ta mouille, alors nettoie et lèche les bien, petite chienne... Je veux que Mes doigts soient propres et qu’il ne reste plus de traces sur aucune parcelle de Ma main de ta mouille de salope... Tu me présenteras ta mouille dans ta bouche et tu attendras bien entendu Mon accord, avant de l’avaler. Gare à toi si tu l’avales sans Mon accord car sache qu’avec Moi, toute désobéissance ou faute grande et petite est sanctionnée. Je suis un Maître exigent, intransigeant et juste. Je ne laisse donc rien passer aux soumises qui sont sous Mon joug car c’est comme ça qu’elles deviennent de très bonnes soumises et qu’elles s’épanouissent ainsi… Bien assez parlé, nettoie Ma main, j’ai dit, et tout de suite, ordonne-t-il de Sa voix dominante en me tendant ses doigts à ma hauteur.
Alors que je commençais à lécher la moindre parcelle de Ses doigts avec application, je ressentais des petites décharges électriques d’excitation qui me parcouraient un peu partout dans le corps aussi bien au niveau des bras que des jambes ainsi que du dos remontant sur toute mon échine. C’est alors que je finis de Lui nettoyer la main et Ses doigts et que je me rapprochais de Lui à genoux, pour lui présenter ma bouche remplie de ma mouille. Le Châtelain me regarda avec son sourire fier et des yeux bleus profondément dominants du spectacle qui s’offrait devant lui. J’étais enfin en train de plier à Ses pieds depuis le temps qu’Il attendait cela. Et je l’avoue que moi aussi j’attendais ce moment depuis si longtemps, mais je n’avais jamais osé Lui solliciter une première rencontre. C’est pourquoi Il décida de profiter de cet instant en me faisant attendre dans cette position pour avaler ma mouille et aussi, je pense, pour me faire prendre conscience de ma nouvelle condition. C’est alors que je me demandais combien de temps s’était-il écoulé depuis que j’avais la mouille dans la bouche que j’entendis Sa voix d’un ton ferme que je ne lui connaissais pas encore, me dire :
- Bien c’est bon la chienne tu peux avaler. Maintenant change de position, je veux pouvoir profiter de ton corps dans ta tenue d’Eve. Alors mets tes mains derrière la tête, garde la tête baissée et ne bouge plus. Reste immobile tant que je l’aurais décidé et tant que tu n’auras pas reçu un ordre contraire de ma part. J’espère ne pas avoir à me répéter, tu sais bien que je déteste ça, clama-t-il d’une voix toujours aussi calme et autoritaire.
C’est alors que Monsieur le Marquis commença avec Ses doigts à toucher mon corps et à jouer tel un virtuose sur ma peau en alternant caresses avec Sa main et Ses doigts baladeurs n’oubliant, bien sûr, aucune partie de mon anatomie. Profitant enfin du corps de Sa nouvelle chienne, le Noble passa Ses doigts inquisiteurs entre mes courbes si bien dessinées et mon corps mince offrant à celui-ci une allure d’une bonne morphologie. Ces caresses, je dois bien l’avouer, me provoquèrent un certain plaisir et cela me fit même frissonner de bonheur. Le Noble continua encore pendant un bon moment ces douces caresses dans un silence absolu. C’est alors qu’au bout d’un certain temps, Il décida de me relever le menton pour plonger Son regard avec Ses yeux bleus dans mes yeux noisette qui alternent selon le temps, la luminosité, le soleil entre la couleur verte et la couleur marron, ce qui leur donne une couleur si particulière... Par la suite, le Châtelain me dit simplement :
- Recommence à nettoyer Mes chaussures, salope et quand je te dirais, tu iras te mettre dans la position que je t’indiquerais dos à Mon bureau… J’ai envie de t’observer pendant que je travaille à mon bureau. Mais avant cela, nettoie Mes chaussures, je les veux brillantes. J’ose espérer m’être bien fait comprendre...
C’est alors que je m’appliquais dans le seul but de satisfaire Monsieur le Marquis, car il est vrai que mon seul plaisir en tant que soumise est de tout faire pour satisfaire le Maître auquel j’appartiens désormais et Le décevoir, dès le début de cette nouvelle relation, m’aurait causé une infinie tristesse, je dois bien le dire. Je commençais donc à lécher Ses magnifiques chaussures en cuir de haute qualité. C’est ainsi que je continuais pendant un long moment, heureuse d’avoir trouvé enfin la place qui est la mienne et laquelle je me sentais si bien. Et c’est en plein dans mes pensées, mes réflexions sur mon nouvel état servile et ma nouvelle place à Ses pieds que le Maître se mit à claquer des doigts de Sa main droite et exigea :
- Bien cela suffit, dit-il de Sa voix impérieuse, va maintenant te placer dos à Moi, jambes écartées comme la salope que tu es, prosternée, bras en avant, mains au sol, tête plaquée sur le côté et le cul bien relevé, ton sexe bien visible à Mon regard... Est-ce que c’est bien compris ?... Réponds-moi je t’autorise à parler...
- Oui. (Je reçus une gifle en plein visage) - Oui qui ?, lança Monsieur le Marquis, d’un ton sec- Oui Maître répondis-je, en me reprenant d’un ton penaud tout en baissant la tête et me promettant d’être plus attentive pour éviter de refaire une nouvelle erreur… - Bon, ça ira pour cette fois, mais ne t’avise plus à oublier à qui tu t’adresses quand tu es autorisée à parler. Va te placer agenouillée dans la position que j’ai exigée, dos au bureau, face à la porte d’entrée. Et reste ainsi immobile, tant que tu n’as pas reçu l’exigence de bouger, même s’il y a du bruit dans le couloir où que quelqu’un entre ou sort. Peu importe les circonstances et les événements. Je vais travailler, tu ne fais donc aucun bruit pour ne pas venir troubler ma concentration à mon travail, sinon je serais obligé de te punir, Ma chienne…
Alors que je commençais à me mettre en position, prosternée, jambes écartées, bras allongés sur le sol, tête sur plaquée le côté. Je commençais un peu plus à comprendre, à ressentir mon nouvel état et celui-ci commençait doucement mais sûrement à s’ancrer en moi, à s’infiltrer dans tout mon être. Et cette nouvelle réalité de mon nouvel état à Ses pieds me rendait tellement heureuse, je me sentais enfin à ma place, cela devenait dans mon esprit d’une telle évidence que je ne pouvais pas envisager être ailleurs à ce moment-là. Un bien-être qui s’exprima par mon sexe de plus en plus humide. C’est ainsi que souriante, je restais dans cette position sans bouger et sans émettre le moindre mot. J’étais comme épanouie et savourais chaque instant passé en Sa présence, heureuse d’enfin Lui appartenir et d’être Sa chienne. Pendant ce temps, je me focalisais sur la position parfaite à tenir et faisait le vide dans ma tête pour tout faire afin de garder plus facilement la position. Mais avec le temps qui passait et le manque d’habitude, les premières douleurs au niveau des jambes et des cuisses se firent sentir. J’entrais donc dans une sorte de bulle mentale pour rendre la position plus supportable et atténuer les douleurs que j’espérais moins présentes. Je ne savais pas depuis combien de temps je tenais ainsi prosternée car à vrai dire je pense que j’avais perdu la notion du temps. En effet, je ne savais plus depuis combien de temps, j’étais entrée dans le bureau de Monsieur le Marquis et depuis qu’Il m’avait proposé de devenir Sa soumise, je dois bien avouer que depuis avoir accepté, j’en suis fortement troublée, excitée et heureuse. C’est à ce moment précis, perdue dans ces pensées, que le Châtelain prit la parole et me coupant dans mes réflexions, en me disant :
- Bien, c’est bon tu peux revenir vers Moi en te déplaçant à quatre pattes car les chiennes comme toi évoluent en quadrupédie.
J’essayais donc d’adopter une démarche féline et sensuelle qui devait paraître maladroite bien que peu habituée à me déplacer à quatre pattes pour rejoindre le Noble vers le fauteuil en cuir.
- Bien tu peux t’asseoir sur le fauteuil en cuir. J’ai à te parler... Bien, c’est fini pour aujourd’hui, mais sache que où que tu sois et quoi que tu fasses, tu M’appartiens. Tu peux te rhabiller et partir. Tu recevras Mes prochaines instructions par mail ou par message Skype car je te veux en Ma demeure, dans Mon Château …
Je me rhabillais et répartis donc en croisant Sa secrétaire qui me souriait dans son bureau et je ne plus m’empêcher de me demander si elle était au courant de ma nouvelle condition et si elle était, elle aussi, soumise ou simplement une employée de Monsieur le Marquis ou les deux à la fois ?... J’eus très vite la réponse quand j’aperçu à son cou un collier discrètement caché par un foulard mal ajusté et qui laissait paraître une partie dudit collier…
C’est sûr cette constatation que je quittais la Tour de la Part Dieu et retournais chez moi par les différents transports en commun. Une fois arrivée dans mon appartement, je pris le temps de me poser et de m’assoir un instant pour pouvoir me rendre compte de ce qui s’était vraiment passé dans le bureau de Monsieur le Marquis. Je me mis donc à repenser à ma toute nouvelle condition auprès du Noble et me surpris même à sourire toute seule en y repensant et en éprouver un véritable bien-être. C’est ainsi que perdue dans mes pensées, je me rappelais tout d’un coup que je n avais pas pensé à le remercier pour le temps qu’il m’avait octroyé à Ses côtés, aujourd’hui. C est pourquoi j’ouvris ma boite mail et commençais donc à taper un message adressé au Maître…
(A suivre …)
- Je veux qu’elles soient brillantes et applique toi …
Alors que je m’appliquais à lécher Ses chaussures avec soin comme exigé par Monsieur le Marquis, Celui-ci en profita pour se délecter du spectacle qui s’offrait devant lui. Il regardait avec gourmandise le creux de ma courbe de reins dénudée plongeant jusqu’au sillon au cœur de mon fessier arrondi. Il savourait mes larges hanches de femelles remontant du regard jusqu’à ma chevelure bouclée… Pendant que je lui léchais avec un véritable plaisir, et non sans une certaine excitation, au niveau de mon bas-ventre, excitation qui commençait à se voir, le Noble scrutait mon corps à la loupe. Et Il profita de ce moment pour passer Sa main entre mon entrejambes et en ressortir les doigts trempés de mouille. C’est alors à ce moment sur un ton calme mais empli d’autorité, qu’il me lança :
- Arrête de me lécher les chaussures et relève ta tête un instant… Tu pourras la baisser seulement quand je te le dirais, dit-il de Sa voix remplie de charisme. Mais avant mes doigts sont remplis par ta mouille, alors nettoie et lèche les bien, petite chienne... Je veux que Mes doigts soient propres et qu’il ne reste plus de traces sur aucune parcelle de Ma main de ta mouille de salope... Tu me présenteras ta mouille dans ta bouche et tu attendras bien entendu Mon accord, avant de l’avaler. Gare à toi si tu l’avales sans Mon accord car sache qu’avec Moi, toute désobéissance ou faute grande et petite est sanctionnée. Je suis un Maître exigent, intransigeant et juste. Je ne laisse donc rien passer aux soumises qui sont sous Mon joug car c’est comme ça qu’elles deviennent de très bonnes soumises et qu’elles s’épanouissent ainsi… Bien assez parlé, nettoie Ma main, j’ai dit, et tout de suite, ordonne-t-il de Sa voix dominante en me tendant ses doigts à ma hauteur.
Alors que je commençais à lécher la moindre parcelle de Ses doigts avec application, je ressentais des petites décharges électriques d’excitation qui me parcouraient un peu partout dans le corps aussi bien au niveau des bras que des jambes ainsi que du dos remontant sur toute mon échine. C’est alors que je finis de Lui nettoyer la main et Ses doigts et que je me rapprochais de Lui à genoux, pour lui présenter ma bouche remplie de ma mouille. Le Châtelain me regarda avec son sourire fier et des yeux bleus profondément dominants du spectacle qui s’offrait devant lui. J’étais enfin en train de plier à Ses pieds depuis le temps qu’Il attendait cela. Et je l’avoue que moi aussi j’attendais ce moment depuis si longtemps, mais je n’avais jamais osé Lui solliciter une première rencontre. C’est pourquoi Il décida de profiter de cet instant en me faisant attendre dans cette position pour avaler ma mouille et aussi, je pense, pour me faire prendre conscience de ma nouvelle condition. C’est alors que je me demandais combien de temps s’était-il écoulé depuis que j’avais la mouille dans la bouche que j’entendis Sa voix d’un ton ferme que je ne lui connaissais pas encore, me dire :
- Bien c’est bon la chienne tu peux avaler. Maintenant change de position, je veux pouvoir profiter de ton corps dans ta tenue d’Eve. Alors mets tes mains derrière la tête, garde la tête baissée et ne bouge plus. Reste immobile tant que je l’aurais décidé et tant que tu n’auras pas reçu un ordre contraire de ma part. J’espère ne pas avoir à me répéter, tu sais bien que je déteste ça, clama-t-il d’une voix toujours aussi calme et autoritaire.
C’est alors que Monsieur le Marquis commença avec Ses doigts à toucher mon corps et à jouer tel un virtuose sur ma peau en alternant caresses avec Sa main et Ses doigts baladeurs n’oubliant, bien sûr, aucune partie de mon anatomie. Profitant enfin du corps de Sa nouvelle chienne, le Noble passa Ses doigts inquisiteurs entre mes courbes si bien dessinées et mon corps mince offrant à celui-ci une allure d’une bonne morphologie. Ces caresses, je dois bien l’avouer, me provoquèrent un certain plaisir et cela me fit même frissonner de bonheur. Le Noble continua encore pendant un bon moment ces douces caresses dans un silence absolu. C’est alors qu’au bout d’un certain temps, Il décida de me relever le menton pour plonger Son regard avec Ses yeux bleus dans mes yeux noisette qui alternent selon le temps, la luminosité, le soleil entre la couleur verte et la couleur marron, ce qui leur donne une couleur si particulière... Par la suite, le Châtelain me dit simplement :
- Recommence à nettoyer Mes chaussures, salope et quand je te dirais, tu iras te mettre dans la position que je t’indiquerais dos à Mon bureau… J’ai envie de t’observer pendant que je travaille à mon bureau. Mais avant cela, nettoie Mes chaussures, je les veux brillantes. J’ose espérer m’être bien fait comprendre...
C’est alors que je m’appliquais dans le seul but de satisfaire Monsieur le Marquis, car il est vrai que mon seul plaisir en tant que soumise est de tout faire pour satisfaire le Maître auquel j’appartiens désormais et Le décevoir, dès le début de cette nouvelle relation, m’aurait causé une infinie tristesse, je dois bien le dire. Je commençais donc à lécher Ses magnifiques chaussures en cuir de haute qualité. C’est ainsi que je continuais pendant un long moment, heureuse d’avoir trouvé enfin la place qui est la mienne et laquelle je me sentais si bien. Et c’est en plein dans mes pensées, mes réflexions sur mon nouvel état servile et ma nouvelle place à Ses pieds que le Maître se mit à claquer des doigts de Sa main droite et exigea :
- Bien cela suffit, dit-il de Sa voix impérieuse, va maintenant te placer dos à Moi, jambes écartées comme la salope que tu es, prosternée, bras en avant, mains au sol, tête plaquée sur le côté et le cul bien relevé, ton sexe bien visible à Mon regard... Est-ce que c’est bien compris ?... Réponds-moi je t’autorise à parler...
- Oui. (Je reçus une gifle en plein visage) - Oui qui ?, lança Monsieur le Marquis, d’un ton sec- Oui Maître répondis-je, en me reprenant d’un ton penaud tout en baissant la tête et me promettant d’être plus attentive pour éviter de refaire une nouvelle erreur… - Bon, ça ira pour cette fois, mais ne t’avise plus à oublier à qui tu t’adresses quand tu es autorisée à parler. Va te placer agenouillée dans la position que j’ai exigée, dos au bureau, face à la porte d’entrée. Et reste ainsi immobile, tant que tu n’as pas reçu l’exigence de bouger, même s’il y a du bruit dans le couloir où que quelqu’un entre ou sort. Peu importe les circonstances et les événements. Je vais travailler, tu ne fais donc aucun bruit pour ne pas venir troubler ma concentration à mon travail, sinon je serais obligé de te punir, Ma chienne…
Alors que je commençais à me mettre en position, prosternée, jambes écartées, bras allongés sur le sol, tête sur plaquée le côté. Je commençais un peu plus à comprendre, à ressentir mon nouvel état et celui-ci commençait doucement mais sûrement à s’ancrer en moi, à s’infiltrer dans tout mon être. Et cette nouvelle réalité de mon nouvel état à Ses pieds me rendait tellement heureuse, je me sentais enfin à ma place, cela devenait dans mon esprit d’une telle évidence que je ne pouvais pas envisager être ailleurs à ce moment-là. Un bien-être qui s’exprima par mon sexe de plus en plus humide. C’est ainsi que souriante, je restais dans cette position sans bouger et sans émettre le moindre mot. J’étais comme épanouie et savourais chaque instant passé en Sa présence, heureuse d’enfin Lui appartenir et d’être Sa chienne. Pendant ce temps, je me focalisais sur la position parfaite à tenir et faisait le vide dans ma tête pour tout faire afin de garder plus facilement la position. Mais avec le temps qui passait et le manque d’habitude, les premières douleurs au niveau des jambes et des cuisses se firent sentir. J’entrais donc dans une sorte de bulle mentale pour rendre la position plus supportable et atténuer les douleurs que j’espérais moins présentes. Je ne savais pas depuis combien de temps je tenais ainsi prosternée car à vrai dire je pense que j’avais perdu la notion du temps. En effet, je ne savais plus depuis combien de temps, j’étais entrée dans le bureau de Monsieur le Marquis et depuis qu’Il m’avait proposé de devenir Sa soumise, je dois bien avouer que depuis avoir accepté, j’en suis fortement troublée, excitée et heureuse. C’est à ce moment précis, perdue dans ces pensées, que le Châtelain prit la parole et me coupant dans mes réflexions, en me disant :
- Bien, c’est bon tu peux revenir vers Moi en te déplaçant à quatre pattes car les chiennes comme toi évoluent en quadrupédie.
J’essayais donc d’adopter une démarche féline et sensuelle qui devait paraître maladroite bien que peu habituée à me déplacer à quatre pattes pour rejoindre le Noble vers le fauteuil en cuir.
- Bien tu peux t’asseoir sur le fauteuil en cuir. J’ai à te parler... Bien, c’est fini pour aujourd’hui, mais sache que où que tu sois et quoi que tu fasses, tu M’appartiens. Tu peux te rhabiller et partir. Tu recevras Mes prochaines instructions par mail ou par message Skype car je te veux en Ma demeure, dans Mon Château …
Je me rhabillais et répartis donc en croisant Sa secrétaire qui me souriait dans son bureau et je ne plus m’empêcher de me demander si elle était au courant de ma nouvelle condition et si elle était, elle aussi, soumise ou simplement une employée de Monsieur le Marquis ou les deux à la fois ?... J’eus très vite la réponse quand j’aperçu à son cou un collier discrètement caché par un foulard mal ajusté et qui laissait paraître une partie dudit collier…
C’est sûr cette constatation que je quittais la Tour de la Part Dieu et retournais chez moi par les différents transports en commun. Une fois arrivée dans mon appartement, je pris le temps de me poser et de m’assoir un instant pour pouvoir me rendre compte de ce qui s’était vraiment passé dans le bureau de Monsieur le Marquis. Je me mis donc à repenser à ma toute nouvelle condition auprès du Noble et me surpris même à sourire toute seule en y repensant et en éprouver un véritable bien-être. C’est ainsi que perdue dans mes pensées, je me rappelais tout d’un coup que je n avais pas pensé à le remercier pour le temps qu’il m’avait octroyé à Ses côtés, aujourd’hui. C est pourquoi j’ouvris ma boite mail et commençais donc à taper un message adressé au Maître…
(A suivre …)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...