Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1325) - histoire érotique

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1325) -
J’attendais avec patience le moment de la délivrance ou bien le moment quand j'aurais l’autorisation de jouir et que chien e6934 MDE aurait l’autorisation d’éjaculer dans mon cul de chienne salope... Ce moment ne tarderait pas à arriver, enfin je l’espérais vivement. Alors je me concentrais ainsi pour contrôler mes fortes montées d’excitation provoquant de grosses envies de jouir. Et j’avais toutes les peines du monde à contrôler mes sens mis en exergue par cette copulation anale à la fois trop excitante et bestiale. Nous étions ainsi soumis au bon vouloir en la noble personne du Maître Vénéré et Seigneur car nous nous efforcions de ne pas jouir et dans le seul but de Le satisfaire et de ne pas Le décevoir ainsi que de ne pas fauter. Je pouvais sentir même en étant de dos et sans le voir Son regard pesant et dominant sur ma petite personne ainsi que sur celui du chien e6934 MDE mais aussi celui du Commandant, se délectant et pouvant ainsi profiter du spectacle qui s'offraient devant eux trois.

Monsieur le Marquis voulait faire durer Son plaisir un peu plus longtemps et appréciait la sulfureuse scène s'offrant à Lui, d’exiger un chien et une chienne de Son Cheptel de s'accoupler, de copule comme des bêtes. J’avais l’impression de ressembler à une belle jument mise en saillie avec un bel étalon, tellement la verge épaisse et durcie de l’esclave me besognait à grands coups de reins puissants, tellement cet e6934 MDE devait être en manque d sexe, un manque provoqué par une chasteté imposée via une cage que le Maître lui avait juste retiré pour que le chien puisse me prendre ainsi. C’est alors à cet instant et après l'avoir attendu avec patience, désir et émotion, que j’entendis le son si distinct et libératoire du claquement des doigts provenant du Seigneur et Maître Vénéré exigeant de sa voix calme, charismatique et autoritaire :
- C'est bon, Mon chien e6934 MDE, tu peux éjaculer dans le cul de cette salope de chienne… Quant à toi, Ma chienne Maera, tu peux jouir, je te l’autorise. En revanche, quand Mon chien se retirera de tes entrailles, tu devras garder son foutre en toi. Et faire attention à ne pas qu’il s’écoule hors de ton cul de catin et encore moins sur mon parquet centenaire. Et maintenant, vous pouvez jouir et je veux entendre vos cris de jouissance se mêler les uns aux autres, oui jouissez à l'unisson exigea Monsieur le Marquis d’Evans.

Nous le fîmes pas dire deux fois qu’immédiatement nous nous exécutâmes. Je sentis alors le sperme chaud de chien e6934 MDE qui s’écoula dans mon cul alors qu’il lâchait de longs et bruyants râles orgasmiques de mâles en rut. Et quasi en même temps, je me mis à laisser éclater mes orgasmes qui s’enchainaient les uns après les autres, sans discontinuités, ne retenant plus mes excitations et lâchant ainsi mon extrême plaisir dans des cris de jouissance auquel se mêlaient aussi ceux de mon frère de soumission au même moment. Je sentis, par la suite, la bite du chien e6934 MDE se retirer de mon cul de salope en chaleurs. Et immédiatement, je contractais mon anus fermant les fesses instantanément pour retenir le sperme chaud afin qu'il ne coule pas dehors. Je restais ainsi immobile attendant et patientant ainsi le bon Vouloir du Maître Vénéré, étant suspendue à Ses prochaines Exigences.

Je me remettais tout doucement de ma jouissance anale après cette saillie anale bestiale. J’entendis alors un claquement de doigts du Maître Vénéré ainsi que Sa voix :
- chienne Maera, chien e6934 MDE, venez à Mes pieds. J’ai à vous parler de Mes prochaines directives…
e6934 MDE et moi-même, nous nous déplaçâmes à quatre pattes, jusqu’à ses pieds. Nous nous arrêtâmes et mîmes ensuite en position d’attente, c’est-à-dire agenouillés, jambes écartées, nos croupes relevées afin qu’elles ne touchent pas nos genoux, nos mains derrière le dos et nos tête baissées comme le noble Châtelain nous l'avait enseigné. Après un long silence, Monsieur le Marquis s’exprima :
- chien e6934 MDE, rends-toi dans les cuisines et va te mettre sous les ordres de Marie, dit-il en claquant des doigts. Tiens, emporte ta cage de chasteté dans ta gueule de chien et implore ma cuisinière de la remettre sur la nouille molle de chien soumis… Et je ne doute pas qu’elle te fasse subir quelques petites misères … J’aime que Marie puisses exprimer, avec mon consentement, son sadisme mais sans jamais mettre en danger celles et ceux qui passent entre ses mains perverses…
Je vis ainsi mon frère de soumission s’éloignant à quatre pattes et quitter donc la pièce avec la bride de sa cage de chasteté entre ses dents.

- Quant à toi Ma chienne Maera, dit Monsieur le Marquis en me caressant le visage de Sa main avec une douceur infinie, tu mangeras à Mes pieds ton repas dans ta gamelle de chienne ce soir dans la grande salle de réception où nous prendrons notre dîner. Tu seras là, à Ma disposition, ainsi qu'à celle de mes invités, prête à être utilisée, au cas où nous avons envie de te prendre par n’importe lequel de tes orifices de chienne. Sache qu’il y aura, à cette soirée, des notables dont mon vieil ami Monsieur le Préfet, le Sénateur en personne ainsi que d’autres personnes faisant partie de notre Cercle. Je veux que tu saches aussi que Mes soirées sont très attendues et reconnues, aucun faux pas, ni écart ne seront tolérés. Je tiens à ma réputation et tout manquement ou faute seront sévèrement sanctionnés. Je compte donc sur toi pour être irréprochable et obéir dans la seconde à toute Exigence au moindre claquement de doigts… Bien, nous allons nous y rendre dans quelques minutes, dès que tu entendras mon claquement de doigts, tu te mettras à nouveau en quadrupédie et tu progresseras ainsi à quatre pattes, tenue en laisse et tête baissée. Tu resteras à Mes pieds et ne bougeras pas tant que tu n'auras pas reçu une autre Exigence, conclut-il.

Je patientais donc à genoux et tête baissée. Mais le Noble s'était mis à m'ignorer totalement comme si je n’étais pas là et Il entamait une nouvelle discussion avec le Commandant. Je restais ainsi immobile et silencieuse me faisant ainsi la plus discrète possible, j'en profitais pour récupérer et reprendre un peu d’énergie, après cette saillie orgasmique, pour la soirée très certainement orgiaque et qui s'annonçait chargée en émotions. Après quelques minutes de silence et d’immobilité, j’entendis alors un claquement de doigts. Immédiatement je changeais de position et je me mis alors en quadrupédie. Le Maître Vénéré tira sur ma laisse et se leva pour se diriger vers la salle de réception et je le suivis, tenue en laisse à quatre pattes et progressais ainsi dans les couloirs et les escaliers du luxueux Château… Suivis par le Commandant, nous arrivâmes vers le hall d’entrée et nous croisâmes le Majordome, le Maître s’arrêta un instant et s’adressa à Walter :
- Ah mon cher Walter, j’espère que tout est prêt, est ce que tous les préparatifs sont terminés et que mes invités sont arrivés ?, demanda Monsieur le Marquis- Oui Monsieur le Marquis, tous les préparatifs sont terminés et vos invités vous attendent dans la grande salle de réception.
- Bien, allons-y. Walter, prévoit une gamelle avec sa pâtée pour Ma chienne qui mangera à Mes pieds, pendant ce repas …- Ce sera fait, Monsieur le Marquis, assura le Majordome d’un ton des plus respectueux
Le Châtelain se remit en marche et entra dans la grande salle de réception richement décorée. Tous les convives stoppèrent leurs conversations et saluèrent avec une profonde admiration leur hôte. Le Noble s’installa à table à la place d’honneur réservée au Maître des Lieux, le Commandant se mit à sa gauche sur la confortable chaise qui lui était réservée. Un silence s’était installé dans la pièce depuis que le Châtelain avait fait son entrée. Je restais ainsi à quatre pattes à Ses pieds et attendit ainsi bien sagement, mes yeux regardant le sol… Très vite, les entrées arrivèrent et furent servies par mes frères et sœurs de soumission tous entièrement nus, portant juste leur collier au cou. Et en quelques minutes tous les invités de cette soirée eurent leur assiette remplis des meilleurs mets. Je vis par la suite une gamelle que l'on posait juste devant moi, sous mon nez. Je restais immobile et sentis alors la main du Maître Vénéré qui me caressa les cheveux et m’exigea à l'oreille de sa voix douce et si mélodieuse :
- Ma chienne, mange ta pâtée comme une vraie chienne. Je te veux en forme pour la soirée qui s'annonce où tu risques d’être sollicitée, conclut Monsieur le Marquis.

Je me mettais donc à manger avec appétit et plaisir ma pâtée reconnaissante de ce que le Maître m'offrait. Je lapais et léchais ainsi ma gamelle à quatre pattes, le visage dans juste au-dessus de la gamelle pour finir toute la pâtée nutritive. Alors que je venais tout juste de finir de manger, j’entendis la voix du Commandant qui s’adressa à Maître des lieux :
- Puis- je, mon cher Edouard ?, demanda-t-il en me montrant du doigt.
- Mais bien sûr, Laurent, n’oublie pas elle est là pour nous donner du plaisir, dit-il en souriant en claquant des doigts pour me donner l’ordre de rejoindre son ami.

Je me mis donc aux pieds du Commandant et je le vis défaire son pantalon. Il approcha alors sa bite de ma bouche. Je savais immédiatement ce que j’avais à faire et j’ouvris ma cavité buccale pour prendre sa verge en bouche pour lui prodiguer une bonne fellation comme je savais maintenant le faire. J’alternais les va-et-vient dans ma bouche de salope et les léchages avec ma langue sur sa hampe que lui donner un maximum de plaisir. Je m’appliquais avant tout parce que je souhaitais satisfaire le Maître et ne surtout pas Le décevoir à une de ses fameuses soirées ...

(A suivre …)