Camélia au Château - Devenue chienne Maera -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Camélia au Château - Devenue chienne Maera -
Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1388) -
- … tu pourras ensuite rejoindre ta voiture en bipède mais toujours de manière humble avec la tête baissée, conclut le Maître Vénéré en m’embrassant de manière Dominante mais aussi aimante…
Je quittais donc la chambre du Maître, en bipède avec la tête baissée je n’étais pas à l’aise ainsi dans cette position, dans ce lieu hautement symbolique mais je respectais ainsi cette exigence de Monsieur le Marquis. Après quelques minutes et avoir arpenté les longs couloirs et descendu les escaliers, je me retrouvais alors dans le hall d’entrée du Château. Je rejoignis ma voiture où les clés se trouvaient déjà sur le contact puis je démarrai ainsi pour rentrer chez moi. J’arrivais ainsi dans ma ville tellement heureuse de la merveilleuse chance de vivre sous Sa Domination... Quelques jours plus tard, je reçus un SMS du Maître. Je ne vous dis pas l'immense joie qui s’empara de moi :
- Bonjour Ma chienne salope, je veux te voir ce vendredi en Mon Domaine pour ce week-end. Saches que de nombreuses surprises t’y attendent. Ce week-end sera riche en rebondissements. Je te veux en pleine forme et dans ta tenue habituelle de soumise à Mes pieds. Le Maître
Je relus plusieurs fois le message pour m’assurer que je ne rêvais pas et Lui répondis rapidement de manière soumise, humble et respectueuse pour lui confirmer la bonne réception de Ses exigences. Je me rendis compte que je me retrouverai dans Son Château, Sa fameuse Demeure multi-centenaire dans un peu moins de deux jours. La joie et l’excitation se mêlaient alors tellement heureuse de Le revoir même si cela ne faisait que quelques jours que l’on ne s’était pas vu. J’avais hâte d’être au vendredi… Le vendredi matin arriva enfin et je me préparais avec application et bonheur pour retrouver le Maître Adoré dans Son Château, en plein cœur du Beaujolais. Je partis de chez moi en début d’après-midi pour être à l’heure car je sais bien que tout retard sera fort bien malvenu, voire sanctionné. C’est après une petite heure de route que j’arrivais au niveau des grilles imposantes du Château. Je ralentis et roulais au pas puis longeais ainsi les magnifiques jardins arborés et fleuris de cette immense et gigantesque Demeure chargée d’histoire. Je m’arrêtais proche du perron, coupais le contact et je me mis en tenue d’Ève. Je me dirigeais ensuite à quatre pattes jusqu'aux bas des marches du perron et j’attendis ainsi quelques secondes. J’entendis alors presque instantanément la lourde double-porte en bois massif s’ouvrir et L’aperçus, là, tout en haut des escaliers de pierre. Et c’est d’un ton laconique que Monsieur le Marquis m’ordonna :
- Monte à quatre pattes et lèche, Ma salope !, d'un ton très Dominant et froid tout en me présentant Ses chaussures en cuir noir vernis et en les pointant de Son index, suivant un claquement de doigts.
Je ne me le fis pas dire deux fois, je gravis les marches en quadrupédie tout en mettant mon cul nu en valeur et de manière féline. Arrivée en haut et devant Lui, sans un mot, je me mis à lécher avec ma langue de chienne salope, Ses mocassins, avec bonheur et lubricité tout en lui faisant honneur. Après quelques instants, le Noble claqua de nouveau des doigts et immédiatement je m’arrêtais et restais ainsi la tête baissée. Le Maître Vénéré se saisit alors de ma laisse avec fermeté et me releva. Je le suivis ainsi comme une bonne chienne tenue en laisse, mais en bipédie, à une allure dynamique et soutenue, même si je peinais de suivre ce rythme un peu rapide. Nous prenions une direction opposée à celle habituelle au Château puis après quelques centaines de mètres, nous nous retrouvâmes devant une haute porte métallique et coulissante d’un des nombreux hangars du Château. En ce lieu, les soumis mécaniciens travaillent et entretiennent les véhicules des membres du Château. Ce hangar est à ce moment-là désert et silencieux. Le hangar était aussi transformé en lieu de Domination/ Soumission aménagé et on y trouvait une multitude d’objets tous plus excitants les uns que les autres, aussi bien badines que fouets, Martinets, etc. Le Maître progressa un instant puis je vis à l’un des hauts murs, une belle croix de Saint André. Je sentis mon bas-ventre qui s'humidifiait alors comme la chienne en chaleur que j’étais.
Le Noble claqua encore des doigts, je me mis à genoux puis Il tira sur ma laisse de chienne pour m’approcher de la croix de Saint André à laquelle Il m'attacha. Je sentis alors les mains du Maître sur mon corps nu et totalement en fusion de ses caresses qui me rendaient folle d’excitation. Il s’éloigna de moi quelques instants et alla chercher dans un placard, certains instruments. Il revint vers moi et me mit deux pinces à poids au niveau des seins. Il se saisit alors de Sa ceinture puis me mit dix coups de ceinture sur mon corps de catin. Il s’arrêta, s’approcha de moi pour me dire de Sa voix si sauve et dominante, qui me faisait tant frémir et m’excitait grandement :
- Ma petite chienne salope, je vais enlever les pinces de tes seins avec les coups de la cravache. Tu as interdiction de crier. Après cela tu iras te dégourdir les jambes à l’écurie en tenue de pony-girl, m’exigea le Maître d'une voix calme et claire
Avec quelques coups de cravache, j’eus toutes les peines du monde à ne pas crier, les pinces tombèrent alors sur le sol. Le Maître Vénéré m'embrassait d’abord avec tendresse puis goulûment avec gourmandise et Dominance sur les lèvres. Il me détacha alors avec lenteur et fermeté de la croix de Saint André. J’attendis et une fois détachée je me mis alors à genoux. Le Châtelain se saisit avec Sa main Dominante de ma laisse et me tira d'une poigne ferme. Je me mis à quatre pattes et Le suivis ainsi avec docilité et sagesse vers les écuries du Château. Je mouillais abondamment à la simple idée de servir de pony-girl au Maître des Lieux. Nous arrivâmes à hauteur des longues écuries où de nombreux chevaux dépassaient la tête vers l’extérieur au-dessus de la porte de leur box. Il y avait des impressionnantes réserves de foin et paille montant jusqu’à toute la hauteur du plafond charpenté aux ancestrales poutres multi-centenaire de vieux chêne sur le côté et sur toute la longueur du bâtiment qui devait faire environ une centaine de mètres, tel un véritable haras... Nous nous arrêtâmes soudainement à un des box vide où juste un peu de foin propre était disposé à même le sol ainsi qu’une tenue complète en cuir noir de pony-girl accrochée au mur. Le Maître me dit alors :
- Ma petite catin, j’exige que tu te mettes dans la tenue que j'ai faite préparée spécialement pour toi. Tu seras tellement belle et sexy dans cette tenue. Aller, exécution, tu peux te mouvoir et je veux te voir t'habiller ordonna-t-il, en claquant des doigts
Je changeais de position et me rapprochais de cette tenue que j’enfilais sur mon corps de salope. Après quelques minutes, j’étais complètement apprêtée en parfaite tenue de pony-girl, prête à Le servir et à Lui obéir avec docilité et obéissance…
Nous traversâmes ensuite l’aller des écuries, longeant les box. On arriva devant des sulkys remisés. Monsieur Le Marquis s'approcha de moi, me fit me lever. Il passa une main sur mon dos et me palpa longuement mes fesses, allant jusqu’à fouiller mon sexe trempé.
- Huuummm ! Fermes et charnues, de bonnes fesses de jument !
Ensuite le Maître me fit ouvrir la bouche, ‘’Voyons, les dents ont l'air en bon état !’’ Puis il palpa mes épaules, mes bras, ma taille, mon ventre, ‘’parfaite pour le harnais !’’
- Mais je ..... voulus-je dire, un coup de cravache au travers du dos me fit taire aussitôt.
- Je ne t'ai pas autorisé à parler, femelle, à partir de maintenant je ne veux plus t'entendre causer, tu peux à la rigueur juste hennir !
Le Noble se dirigea vers un proche établi où plusieurs harnais étaient suspendus. Il en prit un de petite taille et sourire aux lèvres, Il commença par me passer des lanières reliées à un mors au-dessus de la tête. Je me reculais un peu en baissant un peu la tête pour lui faciliter la tâche… Puis il me passa les sangles. Quand il approcha Ses mains de ma bouche pour me forcer à l'ouvrir pour y mettre le mors, j’ouvris alors grand la bouche. Je sentis un goût ferreux sur ma langue car je me retrouvais donc un mors entre les dents et des lanières passant sur mes joues et allant derrière mon cou. Monsieur Le Marquis tira mes bras en arrière. Le Châtelain parvint à me poser le harnais de tête auquel était fixé le mors qui venait se loger entre mes dents. J'étais très excité d’être animalisée et donc transformée en une jument. Le mors me faisait abondamment saliver, je ressentais une humiliation particulièrement intense et excitante de baver ainsi devant Lui. Le Noble me présenta une bizarre paire de bottes. J'avais l'impression qu'elles avaient des fers aux semelles. Il me les enfila et les laça lui-même. Ces bottes montaient jusque sous mes genoux. Le Maître fit passer entre mon dos et mes bras un corset agrémenté de sangles.
Le Châtelain serra très fort le corset autour de ma taille et avec des sangles diverses, il prit soin d’encercler mes seins nus, mes fesses et mon pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Le Maître prit ensuite un plug anal terminé par une longue crinière. Je ne pus pas me soustraire à l’excitante pénétration qu'il m'imposa, m'emplissant l'anus sans préparation, je gémis malgré le mors qui agissait aussi comme un bâillon. Quand tout fut en place, Monsieur le Marquis joua avec la crinière-queue-plug. Je sentais les longs crins me frôler l’arrière de mes cuisses. Le Noble me prit les mains et les attacha grâce à des liens fixés sur mon corset au niveau de ma taille. Je ne pouvais plus les écarter de mon corps. Ensuite Monsieur Le Marquis se saisit d'une espèce de plumeau rouge vif et le fixa à l'endroit prévu sur le harnais au milieu de mon front. Malgré le harnais, mon sexe était nu et offert. Enfin le Noble se saisit d'un petite boite. Il en sortit une clochette reliée à une pince. Il me caressa les seins me pinça et étira les mamelons pour les faire saillir. Quand le Maître fut satisfait, il ouvrit la pince et la posa dessus. Je serrais les dents sur le mors le temps de m’habituer à la douleur. Il me fixa la deuxième sur l'autre mamelon.
- Je trouve cette touche finale des plus ..."raffinée", me dit-il
Enfin, il empoigna les rênes et me fit tourner sur moi-même, faisant tinter les clochettes attachées à mes seins
- Tu es vraiment une belle bête, Ma jument ! Voyons maintenant ce que tu vaux ?
Le Maître me flattait les flans, me palpait de nouveau les fesses, tirait sur ma queue-crinière, faisait tinter les clochettes, commentait telle ou telle autre partie de mon anatomie comme il l'aurait fait avec n'importe quel autre cheval. J'étais humiliée, rabaissée. Je ne pouvais que subir, mais j’en étais follement excité, ce que s’aperçut le Maître en venant fouiller une nouvelle fois ma chatte trempée
Puis Monsieur le Marquis m’approcha d’un petit sulky avec deux grandes roues et un siège suffisamment large pour qu’il puisse s'y asseoir. A côté du siège était placé un fouet. Mes yeux s’écarquillèrent quand je compris à quoi serviraient ces deux objets, le sulky et le fouet… Ensuite, le Maître m’attela au sulky fixé par les lanières au harnais en passant dans mes mains liées au corset, les bras du sulky et l’attacha à d'autres sangles encore libres.
- Bien, te voila enfin attelée ! Nous allons faire quelques pas d'abord pour que tu t’habitues au sulky, m’exigea-t-il tout en allant s’assoir sur le siège du sulky.
Le Maître prit le fouet en main et le faisant claquer juste au-dessus de ma tête, cria :
- Aller hue, femelle.
Je bandais mes muscles et tira de toutes mes forces. Ce fus sûrement la plus surprise de sentir que le sulky se mettait en route sous mon impulsion et me suive. Je n'en revenais pas. Une femme pouvant tirer un attelage avec un homme assis dessus. Je tirais alors du mieux possible le sulky comme je le pouvais en faisant quelques pas mal assurés. Les clochettes mordaient toujours mes mamelons et elles tintèrent dans mon mouvement. Monsieur Le Marquis fit de nouveau claquer son fouet. Je fis plusieurs petits pas sous le poids de l’attelage, entraînant lentement le sulky, mais j’avançais ! Il me mena ainsi doucement jusqu'à une piste de terre battue située derrière les écuries et me fit m'arrêter. Je ressentais son poids sur le sulky mais paradoxalement ce poids ne me parut pas si lourd que ça. Il devait être réparti sur les grandes roues. Le fouet claqua de nouveau.
- Aller hue, avance femelle !
Un drôle de sentiment m'assaillit, je crois bien que c'était de la fierté. Oui de la fierté ! Le fouet claqua et me ramena à la réalité.
Je m'engageais sur la piste assez facilement. Je marchais lentement tirant le sulky où Monsieur le Marquis était assis. Je frissonnais sous le vent frais et la légère brume qu'il y avait en cette d'après-midi. J'étais animalisée et un petit nuage naissait à chacune de mes expirations.
Monsieur Le Marquis fit claquer son fouet très près de mon dos, tant que j'en sentis son souffle. Je pressais le pas. Mais il voulait me voir et m'entendre courir, à l’évidence. Il me fit accélérer le pas. Je tenais fermement le sulky à chaque bras, le mors me faisait baver, les clochettes teintèrent quand je finis par courir doucement. Je ressentais les mouvements que faisait le sulky dans mon dos. Je fis un tour de piste complet. Je n'avais plus froid et commençais même à suer.
Constatant que je me laissais guider assez facilement, le Noble imprima une pression sur les rênes, me faisant tourner la tête vers la droite. Je compris ce qu'il voulait et je pris la direction qu'il m'imposait. Il me fit le promener à travers tout le parc mais au pas, afin de ne pas m’épuiser, ni trop m’essouffler. Au début, j'avais eu du mal à trouver mon souffle, le corset m’empêchant une respiration aisée. Puis, petit à petit, je fis plus corps avec l'attelage et je me pris au jeu, répondant au mieux à Ses sollicitations et exigences, à mesure que nous traversions son grand parc. J'étais vraiment devenue un animal attelé, je n'avais plus le besoin de parler, je secouais la tête pour faire bouger le plumeau. Je sentais la queue plantée dans mon anus et dont les longs crins caressaient mes cuisses et le tintement des clochettes devint une douce musique rythmant mes pas. C'était très doux, très sensuel. Monsieur Le Marquis finissait la promenade de son parc et me ramena aux écuries.
Le Maître me fit pénétrer dans l'écurie et me détela du sulky, m'enleva tout le harnachement, le corset et les bottes et il me déshabilla, pour me retrouver entièrement nue, gardant que mon collier. Il prit ensuite une poignée de foin et se mit à me frotter tout le corps. Je gesticulais un peu, mais fatiguée par la longue promenade, je n'avais pas la force de trop bouger et je dus subir le "bouchonnage" jusqu'au bout. Le Maitre s’attardant sur mes parties les plus intimes, frottant mon sexe, mes seins, mon ventre, mes fesses, mon dos avec la paille, avec une minutie perverse. Puis estimant que j'étais suffisamment sèche, au bout d'un moment, le Maître jeta la poignée de foin, me fit mettre à quatre pattes et me fit longuement boire dans un saut d’eau propre... Puis, le Maître fixa ma laisse au collier à mon cou et m’entraîna vers le Château…
(A suivre…)
- … tu pourras ensuite rejoindre ta voiture en bipède mais toujours de manière humble avec la tête baissée, conclut le Maître Vénéré en m’embrassant de manière Dominante mais aussi aimante…
Je quittais donc la chambre du Maître, en bipède avec la tête baissée je n’étais pas à l’aise ainsi dans cette position, dans ce lieu hautement symbolique mais je respectais ainsi cette exigence de Monsieur le Marquis. Après quelques minutes et avoir arpenté les longs couloirs et descendu les escaliers, je me retrouvais alors dans le hall d’entrée du Château. Je rejoignis ma voiture où les clés se trouvaient déjà sur le contact puis je démarrai ainsi pour rentrer chez moi. J’arrivais ainsi dans ma ville tellement heureuse de la merveilleuse chance de vivre sous Sa Domination... Quelques jours plus tard, je reçus un SMS du Maître. Je ne vous dis pas l'immense joie qui s’empara de moi :
- Bonjour Ma chienne salope, je veux te voir ce vendredi en Mon Domaine pour ce week-end. Saches que de nombreuses surprises t’y attendent. Ce week-end sera riche en rebondissements. Je te veux en pleine forme et dans ta tenue habituelle de soumise à Mes pieds. Le Maître
Je relus plusieurs fois le message pour m’assurer que je ne rêvais pas et Lui répondis rapidement de manière soumise, humble et respectueuse pour lui confirmer la bonne réception de Ses exigences. Je me rendis compte que je me retrouverai dans Son Château, Sa fameuse Demeure multi-centenaire dans un peu moins de deux jours. La joie et l’excitation se mêlaient alors tellement heureuse de Le revoir même si cela ne faisait que quelques jours que l’on ne s’était pas vu. J’avais hâte d’être au vendredi… Le vendredi matin arriva enfin et je me préparais avec application et bonheur pour retrouver le Maître Adoré dans Son Château, en plein cœur du Beaujolais. Je partis de chez moi en début d’après-midi pour être à l’heure car je sais bien que tout retard sera fort bien malvenu, voire sanctionné. C’est après une petite heure de route que j’arrivais au niveau des grilles imposantes du Château. Je ralentis et roulais au pas puis longeais ainsi les magnifiques jardins arborés et fleuris de cette immense et gigantesque Demeure chargée d’histoire. Je m’arrêtais proche du perron, coupais le contact et je me mis en tenue d’Ève. Je me dirigeais ensuite à quatre pattes jusqu'aux bas des marches du perron et j’attendis ainsi quelques secondes. J’entendis alors presque instantanément la lourde double-porte en bois massif s’ouvrir et L’aperçus, là, tout en haut des escaliers de pierre. Et c’est d’un ton laconique que Monsieur le Marquis m’ordonna :
- Monte à quatre pattes et lèche, Ma salope !, d'un ton très Dominant et froid tout en me présentant Ses chaussures en cuir noir vernis et en les pointant de Son index, suivant un claquement de doigts.
Je ne me le fis pas dire deux fois, je gravis les marches en quadrupédie tout en mettant mon cul nu en valeur et de manière féline. Arrivée en haut et devant Lui, sans un mot, je me mis à lécher avec ma langue de chienne salope, Ses mocassins, avec bonheur et lubricité tout en lui faisant honneur. Après quelques instants, le Noble claqua de nouveau des doigts et immédiatement je m’arrêtais et restais ainsi la tête baissée. Le Maître Vénéré se saisit alors de ma laisse avec fermeté et me releva. Je le suivis ainsi comme une bonne chienne tenue en laisse, mais en bipédie, à une allure dynamique et soutenue, même si je peinais de suivre ce rythme un peu rapide. Nous prenions une direction opposée à celle habituelle au Château puis après quelques centaines de mètres, nous nous retrouvâmes devant une haute porte métallique et coulissante d’un des nombreux hangars du Château. En ce lieu, les soumis mécaniciens travaillent et entretiennent les véhicules des membres du Château. Ce hangar est à ce moment-là désert et silencieux. Le hangar était aussi transformé en lieu de Domination/ Soumission aménagé et on y trouvait une multitude d’objets tous plus excitants les uns que les autres, aussi bien badines que fouets, Martinets, etc. Le Maître progressa un instant puis je vis à l’un des hauts murs, une belle croix de Saint André. Je sentis mon bas-ventre qui s'humidifiait alors comme la chienne en chaleur que j’étais.
Le Noble claqua encore des doigts, je me mis à genoux puis Il tira sur ma laisse de chienne pour m’approcher de la croix de Saint André à laquelle Il m'attacha. Je sentis alors les mains du Maître sur mon corps nu et totalement en fusion de ses caresses qui me rendaient folle d’excitation. Il s’éloigna de moi quelques instants et alla chercher dans un placard, certains instruments. Il revint vers moi et me mit deux pinces à poids au niveau des seins. Il se saisit alors de Sa ceinture puis me mit dix coups de ceinture sur mon corps de catin. Il s’arrêta, s’approcha de moi pour me dire de Sa voix si sauve et dominante, qui me faisait tant frémir et m’excitait grandement :
- Ma petite chienne salope, je vais enlever les pinces de tes seins avec les coups de la cravache. Tu as interdiction de crier. Après cela tu iras te dégourdir les jambes à l’écurie en tenue de pony-girl, m’exigea le Maître d'une voix calme et claire
Avec quelques coups de cravache, j’eus toutes les peines du monde à ne pas crier, les pinces tombèrent alors sur le sol. Le Maître Vénéré m'embrassait d’abord avec tendresse puis goulûment avec gourmandise et Dominance sur les lèvres. Il me détacha alors avec lenteur et fermeté de la croix de Saint André. J’attendis et une fois détachée je me mis alors à genoux. Le Châtelain se saisit avec Sa main Dominante de ma laisse et me tira d'une poigne ferme. Je me mis à quatre pattes et Le suivis ainsi avec docilité et sagesse vers les écuries du Château. Je mouillais abondamment à la simple idée de servir de pony-girl au Maître des Lieux. Nous arrivâmes à hauteur des longues écuries où de nombreux chevaux dépassaient la tête vers l’extérieur au-dessus de la porte de leur box. Il y avait des impressionnantes réserves de foin et paille montant jusqu’à toute la hauteur du plafond charpenté aux ancestrales poutres multi-centenaire de vieux chêne sur le côté et sur toute la longueur du bâtiment qui devait faire environ une centaine de mètres, tel un véritable haras... Nous nous arrêtâmes soudainement à un des box vide où juste un peu de foin propre était disposé à même le sol ainsi qu’une tenue complète en cuir noir de pony-girl accrochée au mur. Le Maître me dit alors :
- Ma petite catin, j’exige que tu te mettes dans la tenue que j'ai faite préparée spécialement pour toi. Tu seras tellement belle et sexy dans cette tenue. Aller, exécution, tu peux te mouvoir et je veux te voir t'habiller ordonna-t-il, en claquant des doigts
Je changeais de position et me rapprochais de cette tenue que j’enfilais sur mon corps de salope. Après quelques minutes, j’étais complètement apprêtée en parfaite tenue de pony-girl, prête à Le servir et à Lui obéir avec docilité et obéissance…
Nous traversâmes ensuite l’aller des écuries, longeant les box. On arriva devant des sulkys remisés. Monsieur Le Marquis s'approcha de moi, me fit me lever. Il passa une main sur mon dos et me palpa longuement mes fesses, allant jusqu’à fouiller mon sexe trempé.
- Huuummm ! Fermes et charnues, de bonnes fesses de jument !
Ensuite le Maître me fit ouvrir la bouche, ‘’Voyons, les dents ont l'air en bon état !’’ Puis il palpa mes épaules, mes bras, ma taille, mon ventre, ‘’parfaite pour le harnais !’’
- Mais je ..... voulus-je dire, un coup de cravache au travers du dos me fit taire aussitôt.
- Je ne t'ai pas autorisé à parler, femelle, à partir de maintenant je ne veux plus t'entendre causer, tu peux à la rigueur juste hennir !
Le Noble se dirigea vers un proche établi où plusieurs harnais étaient suspendus. Il en prit un de petite taille et sourire aux lèvres, Il commença par me passer des lanières reliées à un mors au-dessus de la tête. Je me reculais un peu en baissant un peu la tête pour lui faciliter la tâche… Puis il me passa les sangles. Quand il approcha Ses mains de ma bouche pour me forcer à l'ouvrir pour y mettre le mors, j’ouvris alors grand la bouche. Je sentis un goût ferreux sur ma langue car je me retrouvais donc un mors entre les dents et des lanières passant sur mes joues et allant derrière mon cou. Monsieur Le Marquis tira mes bras en arrière. Le Châtelain parvint à me poser le harnais de tête auquel était fixé le mors qui venait se loger entre mes dents. J'étais très excité d’être animalisée et donc transformée en une jument. Le mors me faisait abondamment saliver, je ressentais une humiliation particulièrement intense et excitante de baver ainsi devant Lui. Le Noble me présenta une bizarre paire de bottes. J'avais l'impression qu'elles avaient des fers aux semelles. Il me les enfila et les laça lui-même. Ces bottes montaient jusque sous mes genoux. Le Maître fit passer entre mon dos et mes bras un corset agrémenté de sangles.
Le Châtelain serra très fort le corset autour de ma taille et avec des sangles diverses, il prit soin d’encercler mes seins nus, mes fesses et mon pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Le Maître prit ensuite un plug anal terminé par une longue crinière. Je ne pus pas me soustraire à l’excitante pénétration qu'il m'imposa, m'emplissant l'anus sans préparation, je gémis malgré le mors qui agissait aussi comme un bâillon. Quand tout fut en place, Monsieur le Marquis joua avec la crinière-queue-plug. Je sentais les longs crins me frôler l’arrière de mes cuisses. Le Noble me prit les mains et les attacha grâce à des liens fixés sur mon corset au niveau de ma taille. Je ne pouvais plus les écarter de mon corps. Ensuite Monsieur Le Marquis se saisit d'une espèce de plumeau rouge vif et le fixa à l'endroit prévu sur le harnais au milieu de mon front. Malgré le harnais, mon sexe était nu et offert. Enfin le Noble se saisit d'un petite boite. Il en sortit une clochette reliée à une pince. Il me caressa les seins me pinça et étira les mamelons pour les faire saillir. Quand le Maître fut satisfait, il ouvrit la pince et la posa dessus. Je serrais les dents sur le mors le temps de m’habituer à la douleur. Il me fixa la deuxième sur l'autre mamelon.
- Je trouve cette touche finale des plus ..."raffinée", me dit-il
Enfin, il empoigna les rênes et me fit tourner sur moi-même, faisant tinter les clochettes attachées à mes seins
- Tu es vraiment une belle bête, Ma jument ! Voyons maintenant ce que tu vaux ?
Le Maître me flattait les flans, me palpait de nouveau les fesses, tirait sur ma queue-crinière, faisait tinter les clochettes, commentait telle ou telle autre partie de mon anatomie comme il l'aurait fait avec n'importe quel autre cheval. J'étais humiliée, rabaissée. Je ne pouvais que subir, mais j’en étais follement excité, ce que s’aperçut le Maître en venant fouiller une nouvelle fois ma chatte trempée
Puis Monsieur le Marquis m’approcha d’un petit sulky avec deux grandes roues et un siège suffisamment large pour qu’il puisse s'y asseoir. A côté du siège était placé un fouet. Mes yeux s’écarquillèrent quand je compris à quoi serviraient ces deux objets, le sulky et le fouet… Ensuite, le Maître m’attela au sulky fixé par les lanières au harnais en passant dans mes mains liées au corset, les bras du sulky et l’attacha à d'autres sangles encore libres.
- Bien, te voila enfin attelée ! Nous allons faire quelques pas d'abord pour que tu t’habitues au sulky, m’exigea-t-il tout en allant s’assoir sur le siège du sulky.
Le Maître prit le fouet en main et le faisant claquer juste au-dessus de ma tête, cria :
- Aller hue, femelle.
Je bandais mes muscles et tira de toutes mes forces. Ce fus sûrement la plus surprise de sentir que le sulky se mettait en route sous mon impulsion et me suive. Je n'en revenais pas. Une femme pouvant tirer un attelage avec un homme assis dessus. Je tirais alors du mieux possible le sulky comme je le pouvais en faisant quelques pas mal assurés. Les clochettes mordaient toujours mes mamelons et elles tintèrent dans mon mouvement. Monsieur Le Marquis fit de nouveau claquer son fouet. Je fis plusieurs petits pas sous le poids de l’attelage, entraînant lentement le sulky, mais j’avançais ! Il me mena ainsi doucement jusqu'à une piste de terre battue située derrière les écuries et me fit m'arrêter. Je ressentais son poids sur le sulky mais paradoxalement ce poids ne me parut pas si lourd que ça. Il devait être réparti sur les grandes roues. Le fouet claqua de nouveau.
- Aller hue, avance femelle !
Un drôle de sentiment m'assaillit, je crois bien que c'était de la fierté. Oui de la fierté ! Le fouet claqua et me ramena à la réalité.
Je m'engageais sur la piste assez facilement. Je marchais lentement tirant le sulky où Monsieur le Marquis était assis. Je frissonnais sous le vent frais et la légère brume qu'il y avait en cette d'après-midi. J'étais animalisée et un petit nuage naissait à chacune de mes expirations.
Monsieur Le Marquis fit claquer son fouet très près de mon dos, tant que j'en sentis son souffle. Je pressais le pas. Mais il voulait me voir et m'entendre courir, à l’évidence. Il me fit accélérer le pas. Je tenais fermement le sulky à chaque bras, le mors me faisait baver, les clochettes teintèrent quand je finis par courir doucement. Je ressentais les mouvements que faisait le sulky dans mon dos. Je fis un tour de piste complet. Je n'avais plus froid et commençais même à suer.
Constatant que je me laissais guider assez facilement, le Noble imprima une pression sur les rênes, me faisant tourner la tête vers la droite. Je compris ce qu'il voulait et je pris la direction qu'il m'imposait. Il me fit le promener à travers tout le parc mais au pas, afin de ne pas m’épuiser, ni trop m’essouffler. Au début, j'avais eu du mal à trouver mon souffle, le corset m’empêchant une respiration aisée. Puis, petit à petit, je fis plus corps avec l'attelage et je me pris au jeu, répondant au mieux à Ses sollicitations et exigences, à mesure que nous traversions son grand parc. J'étais vraiment devenue un animal attelé, je n'avais plus le besoin de parler, je secouais la tête pour faire bouger le plumeau. Je sentais la queue plantée dans mon anus et dont les longs crins caressaient mes cuisses et le tintement des clochettes devint une douce musique rythmant mes pas. C'était très doux, très sensuel. Monsieur Le Marquis finissait la promenade de son parc et me ramena aux écuries.
Le Maître me fit pénétrer dans l'écurie et me détela du sulky, m'enleva tout le harnachement, le corset et les bottes et il me déshabilla, pour me retrouver entièrement nue, gardant que mon collier. Il prit ensuite une poignée de foin et se mit à me frotter tout le corps. Je gesticulais un peu, mais fatiguée par la longue promenade, je n'avais pas la force de trop bouger et je dus subir le "bouchonnage" jusqu'au bout. Le Maitre s’attardant sur mes parties les plus intimes, frottant mon sexe, mes seins, mon ventre, mes fesses, mon dos avec la paille, avec une minutie perverse. Puis estimant que j'étais suffisamment sèche, au bout d'un moment, le Maître jeta la poignée de foin, me fit mettre à quatre pattes et me fit longuement boire dans un saut d’eau propre... Puis, le Maître fixa ma laisse au collier à mon cou et m’entraîna vers le Château…
(A suivre…)
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