CAMILLE Episode 10
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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CAMILLE Episode 10
(Secrétaire modèle )
« Ma petite Camille, j’ignore comment tu t’y es prise, mais ce contrat est en or ! Je n’en reviens pas. En plus, j’ai du mal à croire qu’il l’ait signé pour cinq ans. C’est incroyable.»
« Bah ! Il me suffira de ne pas m’asseoir pendant quelques jours. Voilà tout. »
Pour la première fois, je vois mon beau père rougir.
« Tu veux dire que… Oh ! Je suis vraiment désolé. »
« Mais non, vous ne l’êtes pas. C’est bien ce que vous vouliez, non ? »
« Oui…Non…Enfin oui, mais je n’aurais jamais imaginé que tu le fasses ! »
Il semble vraiment gêné. Il en est attendrissant.
« Rappelez-vous. Vous m’avez demandé un service. Un service que vous rendait déjà Valérie. Je n’ai fait que reproduire. »
« Oui, mais quand même. Tu sais, Valérie m’avait dit que ce client n’était pas un tendre. J’aurai du te le dire. Je suis un salop. Je ne sais comment te remercier, Camille. »
Je passe mes bras autour de son cou.
« En me faisant un gros bisou, beau papa. »
Il me prend dans ses bras, me fait une énorme bise sur le front et me fait un gros câlin.
Il me sert contre lui. Je sens mes seins s’écraser contre sa poitrine. C’est une étreinte amicale, j’en suis sur. Du moins pour lui, car pour moi… je commence à avoir chaud au ventre. Salope que je suis.
« Dis-moi Camille. On en parle jamais, mais… Comment ca va avec mon fils ? Il te rend heureuse, au moins ? »
« Il est gentil et me baise bien. Mais, est on obligé de parler de lui ? »
« Oh ! Ce n’est pas ce que je te … »
« Taisez vous et embrassez moi. Aujourd’hui j’ai envi d’être la putain de mon patron ! »
Je me plaque à lui et l’embrasse fougueusement.
D’abord surprit, il relâche un peu son étreinte, mais sous les assauts de ma langue, il craque et m’écrase contre le mur.
« Hoo, Camille ! Il y a si longtemps que j’attendais cet instant. »
« Pourquoi ne pas m’en avoir parlé ? »
« J’avais trop peur que tu refuse une nouvelle aventure. Ca m’aurait fait beaucoup de mal. Je préférais garder le doux souvenir d’un moment d’égarement. »
Il remonte ma jupe tout en me parlant et je m’affaire à ouvrir sa ceinture.
Ses mains passent sur mes fesses.
« Hummm ! Toujours pas de culotte ? »
« Jamais ! Hihi ! »
« Tu m’excite ma petite Camille ! J’ai trop envi de toi ! »
« J’accepte ! »
« Quoi ? Tu accepte quoi ? »
« J’ai beaucoup réfléchi depuis cette histoire de contrat. J’accepte d’être la putain du patron. Je ferais ce que vous me direz de faire. Ou, quand et comme vous le voudrez. Mais par pitié, ne me parlez plus de votre fils et encore moins de cette salope de Valérie.»
« Accordé ! Alors commence par me pomper le dard ! J’adore ta bouche de pute ! »
Mince ! C’est pourtant vrai qu’il est excité mon p’tit patron. Il bande tellement fort, qu’elle pourrait bien m’exploser en plein visage ! Hihi !
Je la sens palpiter entre mes lèvres. Les veines qui courent sur sa longueur, sont gonflées et violacées. Je palpe ses couilles durcies par le plaisir.
Un premier jet puissant me surprend et me fais tousser.
Le membre dégagé de ma bouche, finit de se vider sur mon visage en longues saccades.
Le foutre coule sur mes joues et mon menton. Un filet se détache et s’écrase sur mon tee-shirt noir.
Je me relève encore toussotante.
« Oups ! Ma pauvre Camille ! Te voilà dans un triste état ! Laisse-moi réparer mes dégâts. »
Il se penche vers moi et lèche mon visage, récupérant ainsi le foutre échappé.
Il semble apprécier le liquide blanchâtre et gluant. Ce doit être de famille. Hihi !
Il tire sur mon maillot pour lécher la tache, mais il le soulève très vite pour aspirer mes pointes dressées.
Il caresse mes seins, faisant monter mon envie, lorsque soudain on frappe à la porte.
Je veux me dégager pour me rajuster, mais il m’en empêche.
« Laisse ! J’attends un coursier… Entrez ! »
Un type entre un pli à la main. Sous le casque de moto, je devine un homme jeune.
Le spectacle a de quoi étonner. Un vieil homme, queue pendante de sa braguette, caressant une jeune femme, seins à l’air, il ne doit pas voir ca tout les jours. C’est sur.
« Oh ! Désolé, mais vous m’avez dit d’entrer ! Excusez-moi ! Heuu ! Il me faut une signature. »
« Approche, je vais signer ! N’ai pas peur, elle ne mord pas ! »
Peur ? Surement pas. Juste surprit. Il s’approche tendant un bordereau à monsieur Félicien, mais son regard ne se détache pas de ma poitrine. Moi, amusée, je reste collée au mur, sans bouger, un grand sourire aux lèvres et le bout d’un doigt entre mes lèvres entrouvertes.
« Tu la trouve comment, ma secrétaire ? »
« Elle est….Elle est jolie ! »
« Oui, tu a raison ! Jolie et bonne ! Baise-la si tu veux ! »
« Hein ! Heuu !... »
Monsieur Félicien signe le papier et le glisse dans la poche du coursier qui reste paralysé.
« Mais siiiii ! Vas-y, c’est ma putain ! Je te la prête ! »
Et bien, et bien ! Mon cher patron a vite comprit ce que j’attendais de lui. Il fait ca très bien.
Devant l’immobilité du motard, je prends les choses en mains.
Je l’attrape par les avants bras et l’attire à moi.
« Viens là, mon joli. Tu aime mes seins, regarde comme je pointe. Hummm ! Tu m’excite ! J’ai très envi de toi ! »
Je pose ses mains sur mes seins et je m’occupe de la braguette de son pantalon de cuir.
« Humm ! Que me caches-tu là ? »
Il bande comme un taureau. Une belle queue toute fraiche.
Je remonte ma jupe et frotte son membre sur ma chatte baveuse d’envie. Il me caresse et m’embrasse avec fougue, laissant échapper de petits grognements de satisfactions. Pas question de le laisser jouir avant qu’il ne me saute.
Je lève une cuisse très haute contre sa hanche.
« Houu ! Prends-moi vite ! Baise-moi fort ! Hummm ! »
« Oh, putain ! Je vais te faire crier, ma belle ! Oh, putain ! Oh, putain ! »
Il dit « Oh, putain ! » à chaque coup de butoir, comme un automate. Je tape sur son casque.
« Hé, chéri ! Change de disque ! Hihihi ! »
« Rhann ! Oh, pardon ! Oh putain de merde ! C’que c’est bon ! C’que t’es bonne !
Huuuug ! Houchhhhh ! Houchhhhh ! Hummmm ! »
Je me fais une raison. Je n’aurai pas mieux.
Il me soulève et me pose sur un petit placard. Il passe ses bras sous mes jambes et accélère le mouvement.
« Harchhh ! On est mieux comme ca, hein ? Petite pute ! T’aime ca, hein ? T’aime la queue toi, hein ? »
« Hooo ! Ouiiii ! J’aime ca ! Mais tais-toi et bourre-moi ! Hummm ! »
« Houuuuu ! J’arriveeee ! Hennnn ! Je te donne touuuuut ! Haaaaarg ! »
« Oui ! Oui ! Jouiiiis ! Oh ouiiiii ! Je viens aussiii ! »
Il me donne tout dans un ultime effort, et se déverse en moi en longues giclées chaudes.
Il me donne un dernier baiser et se rajuste.
« Ben si on m’avait dit ca ! Oh, putain ! »
Mon beau père, jusqu’ici à l’écart, intervient.
« Bon ! Jeune homme, la fête est finie. Vous pouvez disposer ! »
« Ok, j’y vais ! Salut beauté et merci ! Change rien, t’es trop bonasse ! »
Voilà une course qu’il n’oubliera pas de si tôt.
Monsieur Félicien s’approche de moi et plonge deux doigts dans ma moule.
« Hummm ! Il t’a bien rempli, dis dont ! Ca t’a plu ? »
« D’après vous ? »
Il extrait ses doigts et les suce un moment.
« Je pense que oui. Il me semble déceler le gout de ton plaisir dans tout ce jus. »
Le soir venu, c’est ce que me dira également Fabien, lorsqu’il me videra la chatte.
Être la putain de mon patron. Voilà bien une chose que je ne voulais pas rendre officielle à ses yeux. Mais plus que sa putain, je suis devenue sa maitresse et de ce fait, lui, mon amant. Le seul que je ne peux avouer à Fabien.
Oui, bien sur, je sais ! Cette situation est très scabreuse et licencieuse. Mais l’interdit me plait et attise mon excitation en permanence.
Mon beau père me plait de plus en plus. Il est bel homme, drôle, riche et en plus il me donne du plaisir comme personne.
Entre lui, mon Fabien et mes aventures, je suis une fille comblée.
« Camille, mon petit ! »
Il vient d’entrer dans mon bureau et me tend des feuilles.
« Regarde et dis moi ce que tu en pense. »
Je lis les documents avec attention.
« Ben ! Ce client vous doit dix milles euros. »
« Exact ! Je reviens de son entreprise. Sa secrétaire à fait barrage. Impossible de le voir et d’en discuter avec lui. Est-ce que tu crois que… »
« Haaa ! Je vois ! Vous voulez envoyer vos gros bras ! Hihihi ! Mais je n’ai pas de poing américain, ni de calibre ! Hihi ! »
« Haha ! Non, je ne veux pas envoyer mes gros bras, mais ma petite chatte ! Tu crois que tu pourrais faire quelque chose ? »
« Qui ne tente rien,… »
Je me lève et l’enlace tendrement.
« Et pour vous, je veux bien, tout tenter. »
Direction l’entreprise RAIMONDIN et FILS.
J’arrive devant une bâtisse de trois étages, pas très classe. L’intérieur est tout aussi vieillot. Et que dire de cette femme de soixante ans, rigide, acariâtre, qui m’envoie balader.
« Hooo ! Votre patron est déjà venu ce matin ! Vous êtes bouché chez vous ou quoi ? Il faut prendre rendez vous ! »
Je n’ai pas de poing américain, mais je lui collerais bien une baffe. Il y a peut être plus subtile à faire.
Je hurle dans le couloir.
« MONSIEUR RAIMONDIN !... MONSIEUR RAIMONDIN ! »
La secrétaire, bondit hors de son bureau.
« Tu va te taire, petite peste ! »
Cette conne me sauterait bien dessus si son patron, alerté par mes cris, ne sortait pas de son bureau.
« Et bien, Georgette ! Qu’est ce que c’est que tout ce raffut ? Qui est cette jeune femme ! »
Ce type est antipathique à souhait. Le sourcil épais, il fait les gros yeux et serre les dents et les poings. Pas très grand, gros, les cheveux gras et lunettes triple foyer, il porte un pantalon tenu par des bretelles sur une chemise qui devait être blanche à l’achat.
Je lui fais mon plus beau sourire.
« Enchantée monsieur Raimondin. Mademoiselle Camille, société FELICIBOIS. Vous êtes surement très occupé, mais puis je vous importuner cinq minutes ? »
J’entends la secrétaire, retournée derrière son bureau, faire des « Gnagnagna ! » dans sa moustache.
Il me déshabille du regard un long moment. Je suis sur qu’il me voit à poil, ce gros dégueulasse.
Il me fait signe d’entrer.
« Georgette ! Qu’on me dérange sous aucun prétexte ! »
Je la regarde et lui fait un clin d’œil. Je viens de bousiller sa journée. Hihi !
Le bureau ressemble à son propriétaire. Sale et mal rangé.
« Bon ! Asseyez-vous ! Je sais très bien ce qui vous amène ! Mais ce n’est pas parce que Félicien m’envoie une pin-up, que je payerai ! »
Je m’enfonce dans un fauteuil d’un autre âge et je croise les jambes. Ma jupe remonte jusqu’à mi cuisse et j’espère qu’il aperçoit le haut de mes bas. Puis, lentement, je défais le bouton de ma veste et l’ouvre. Mon chemisier blanc laisse deviner les auréoles de mes seins et mon décolleté est bien ouvert. De quoi faire bander un eunuque, tout ca !
J’ouvre ma mallette, sors les documents et plonge mon regard dans le sien en souriant.
« Une pin-up ? Vous voulez me faire rougir monsieur Raimondin ! Vous êtes un charmeur. »
Je le sens fondre comme un glaçon en plein soleil.
« Valentin. Appelez-moi Valentin. »
« Valentin ? Comme le saint des amoureux ? Je sens que l’on va s’entendre monsieur Valentin. »
Je me penche sur le bureau et dépose les papiers devant lui.
« Vous devez la dernière livraison. Mais je suis sur qu’il s’agit d’un oubli. N’est ce pas ? »
« Non, pas du tout ! Le bois était de mauvaise qualité ! »
« Monsieur Valentin ! C’est vous qui l’avez choisi ! Effectivement, c’est une gamme de qualité inférieur, mais le prix est très raisonnable. »
« Pas question ! »
Le plan numéro un ne fonctionne pas. Il est temps de passer au deuxième.
Je me laisse retomber dans le fauteuil. J’efface mon sourire, je penche la tête et je fais sangloter ma voix.
« Monsieur Félicien m’a promit de me virer si je ne revenais pas avec le règlement. »
« C’est donc ca ! Ho, ma pauvre enfant. »
Il se lève de son bureau et vient vers moi.
Ca marche !
Il s’assoit sur le bras du fauteuil et passe un bras autour de mes épaules. De son autre main, il caresse mes cheveux.
Je profite de ce moment de tendresse.
Je penche la tête de coté et pose ma joue sur son ventre, comme une petite fille qui a besoin de réconfort.
« Faut pas te mettre dans des états pareils ! Il y a toujours moyen de s’arranger. Tu ne crois pas ? »
« Je ne sais pas monsieur Valentin. »
« Bah ! Parfois, il suffit de se montrer gentil. »
« Gentille ? Mais je le suis gentille ! »
Sa main glisse sur mes cheveux et viens flatter ma joue, puis, elle passe sous mon menton et son pouce se pose sur mes lèvres. Je le sens appliquer une pression. Sans doute pour que je le prenne dans ma bouche. Mais je ne le fais pas.
« Il faut être gentille, certes, mais aussi disponible et ouverte. »
Sa main sur mon épaule glisse en direction de mon décolleté et y plonge.
Ses doigts boudinés jouent avec mon téton, puis devant mon manque de réaction, il prend confiance et palpe mon sein outrageusement.
« Regarde ! Tu vois sur le bureau ? Mon chéquier attend. »
J’entrouvre les lèvres et je laisse son pouce se poser sur ma langue. Je le suce comme je le ferais avec un sucre d’orge.
Il tire sur mon corsage pour le sortir de ma jupe et défait les boutons fébrilement.
« Hummm ! J’adore tes petits nichons. Ils sont bien durs ! Ton cul aussi doit être bien ferme ! »
Je ne réponds pas et tends une main pour ouvrir sa braguette.
« Voilà ! Gentille, disponible et ouverte. Je vois que tu comprends vite. »
Je fouille son slip kangourou et dégage un sexe court et large, mais bien dur.
Avec ma langue je repousse son doigt hors de ma bouche, et je laisse glisser ma joue sur son ventre pour dévorer sa queue.
Sa main quitte mes seins et coure vers ma jupe. Il la remonte et palpe mon cul.
« Humm ! Pas de culotte ? Ca c’est une bonne surprise ! »
Tout en me pelotant, il appuie sur ma tête, me forçant à engloutir toute sa verge. Ainsi bloquée, je salive et j’ai bien du mal à déglutir.
« Allez ! Salope ! Active ta langue de pute ! »
Il s’en prend à mon anus et y enfonce un doigt. Il me le branle avec force, le rentrant et le ressortant à toute vitesse.
Ma bouche ne peut plus contenir ma salive et sa queue. Je tousse et ses couilles sont inondées de bave.
« Cochoooone ! Nettoie-moi ca tout de suite, saloperie ! »
Sans un mot, je lèche et aspire ses burnes trempées et je reprends sa bite en bouche.
Je le suce avec application, provoquant de petites contractions à la bête.
« Ouiii ! Hummm ! Continu comme ca ! T’es douée petite pute ! Harggg ! Ouiii ! Je viens ! Je… viennnns ! »
Ma bouche se remplit de liqueur grasse et chaude. J’aspire et avale plusieurs gorgées. Je nettoie son membre consciencieusement, ne laissant aucune trace.
Je me redresse doucement, frottant mon visage à son corps, jusqu’à ses lèvres.
Il est laid et repoussant. Sa bouche est grosse et gonflée, mais je l’embrasse qu’en même avec gourmandise, comme si j’étais amoureuse de ce type.
Il m’écrase contre lui et me roule une pelle baveuse et répugnante avant de se relever.
Il se penche sur son bureau et remplit le chèque.
J’ai gagné.
Je me rajuste rapidement et prends le chèque qu’il me tend.
« Cinq milles euros ? Mais non, monsieur Valentin ! C’est dix milles ! »
« T’es contente ? Tu devras revenir ! Hahaha ! »
Je comprends qu’il est inutile de discuter. Je devrais effectivement revenir pour compter obtenir le reste. Mais pas question de lui montrer mon aversion à son égard.
Je lui fais un beau sourire et je lui donne un petit baiser.
« Et bien… à la semaine prochaine, monsieur Valentin ! »
Je sors du bureau et passe devant le comptoir de Georgette. Je lui refais un clin d’œil, tout en replaçant mes cheveux ébouriffés.
« À bientôt, chérie ! »
« Salope ! Trainée ! Pouffiasse ! »
« Hihihi ! Hihihi ! »
« Ma petite Camille, j’ignore comment tu t’y es prise, mais ce contrat est en or ! Je n’en reviens pas. En plus, j’ai du mal à croire qu’il l’ait signé pour cinq ans. C’est incroyable.»
« Bah ! Il me suffira de ne pas m’asseoir pendant quelques jours. Voilà tout. »
Pour la première fois, je vois mon beau père rougir.
« Tu veux dire que… Oh ! Je suis vraiment désolé. »
« Mais non, vous ne l’êtes pas. C’est bien ce que vous vouliez, non ? »
« Oui…Non…Enfin oui, mais je n’aurais jamais imaginé que tu le fasses ! »
Il semble vraiment gêné. Il en est attendrissant.
« Rappelez-vous. Vous m’avez demandé un service. Un service que vous rendait déjà Valérie. Je n’ai fait que reproduire. »
« Oui, mais quand même. Tu sais, Valérie m’avait dit que ce client n’était pas un tendre. J’aurai du te le dire. Je suis un salop. Je ne sais comment te remercier, Camille. »
Je passe mes bras autour de son cou.
« En me faisant un gros bisou, beau papa. »
Il me prend dans ses bras, me fait une énorme bise sur le front et me fait un gros câlin.
Il me sert contre lui. Je sens mes seins s’écraser contre sa poitrine. C’est une étreinte amicale, j’en suis sur. Du moins pour lui, car pour moi… je commence à avoir chaud au ventre. Salope que je suis.
« Dis-moi Camille. On en parle jamais, mais… Comment ca va avec mon fils ? Il te rend heureuse, au moins ? »
« Il est gentil et me baise bien. Mais, est on obligé de parler de lui ? »
« Oh ! Ce n’est pas ce que je te … »
« Taisez vous et embrassez moi. Aujourd’hui j’ai envi d’être la putain de mon patron ! »
Je me plaque à lui et l’embrasse fougueusement.
D’abord surprit, il relâche un peu son étreinte, mais sous les assauts de ma langue, il craque et m’écrase contre le mur.
« Hoo, Camille ! Il y a si longtemps que j’attendais cet instant. »
« Pourquoi ne pas m’en avoir parlé ? »
« J’avais trop peur que tu refuse une nouvelle aventure. Ca m’aurait fait beaucoup de mal. Je préférais garder le doux souvenir d’un moment d’égarement. »
Il remonte ma jupe tout en me parlant et je m’affaire à ouvrir sa ceinture.
Ses mains passent sur mes fesses.
« Hummm ! Toujours pas de culotte ? »
« Jamais ! Hihi ! »
« Tu m’excite ma petite Camille ! J’ai trop envi de toi ! »
« J’accepte ! »
« Quoi ? Tu accepte quoi ? »
« J’ai beaucoup réfléchi depuis cette histoire de contrat. J’accepte d’être la putain du patron. Je ferais ce que vous me direz de faire. Ou, quand et comme vous le voudrez. Mais par pitié, ne me parlez plus de votre fils et encore moins de cette salope de Valérie.»
« Accordé ! Alors commence par me pomper le dard ! J’adore ta bouche de pute ! »
Mince ! C’est pourtant vrai qu’il est excité mon p’tit patron. Il bande tellement fort, qu’elle pourrait bien m’exploser en plein visage ! Hihi !
Je la sens palpiter entre mes lèvres. Les veines qui courent sur sa longueur, sont gonflées et violacées. Je palpe ses couilles durcies par le plaisir.
Un premier jet puissant me surprend et me fais tousser.
Le membre dégagé de ma bouche, finit de se vider sur mon visage en longues saccades.
Le foutre coule sur mes joues et mon menton. Un filet se détache et s’écrase sur mon tee-shirt noir.
Je me relève encore toussotante.
« Oups ! Ma pauvre Camille ! Te voilà dans un triste état ! Laisse-moi réparer mes dégâts. »
Il se penche vers moi et lèche mon visage, récupérant ainsi le foutre échappé.
Il semble apprécier le liquide blanchâtre et gluant. Ce doit être de famille. Hihi !
Il tire sur mon maillot pour lécher la tache, mais il le soulève très vite pour aspirer mes pointes dressées.
Il caresse mes seins, faisant monter mon envie, lorsque soudain on frappe à la porte.
Je veux me dégager pour me rajuster, mais il m’en empêche.
« Laisse ! J’attends un coursier… Entrez ! »
Un type entre un pli à la main. Sous le casque de moto, je devine un homme jeune.
Le spectacle a de quoi étonner. Un vieil homme, queue pendante de sa braguette, caressant une jeune femme, seins à l’air, il ne doit pas voir ca tout les jours. C’est sur.
« Oh ! Désolé, mais vous m’avez dit d’entrer ! Excusez-moi ! Heuu ! Il me faut une signature. »
« Approche, je vais signer ! N’ai pas peur, elle ne mord pas ! »
Peur ? Surement pas. Juste surprit. Il s’approche tendant un bordereau à monsieur Félicien, mais son regard ne se détache pas de ma poitrine. Moi, amusée, je reste collée au mur, sans bouger, un grand sourire aux lèvres et le bout d’un doigt entre mes lèvres entrouvertes.
« Tu la trouve comment, ma secrétaire ? »
« Elle est….Elle est jolie ! »
« Oui, tu a raison ! Jolie et bonne ! Baise-la si tu veux ! »
« Hein ! Heuu !... »
Monsieur Félicien signe le papier et le glisse dans la poche du coursier qui reste paralysé.
« Mais siiiii ! Vas-y, c’est ma putain ! Je te la prête ! »
Et bien, et bien ! Mon cher patron a vite comprit ce que j’attendais de lui. Il fait ca très bien.
Devant l’immobilité du motard, je prends les choses en mains.
Je l’attrape par les avants bras et l’attire à moi.
« Viens là, mon joli. Tu aime mes seins, regarde comme je pointe. Hummm ! Tu m’excite ! J’ai très envi de toi ! »
Je pose ses mains sur mes seins et je m’occupe de la braguette de son pantalon de cuir.
« Humm ! Que me caches-tu là ? »
Il bande comme un taureau. Une belle queue toute fraiche.
Je remonte ma jupe et frotte son membre sur ma chatte baveuse d’envie. Il me caresse et m’embrasse avec fougue, laissant échapper de petits grognements de satisfactions. Pas question de le laisser jouir avant qu’il ne me saute.
Je lève une cuisse très haute contre sa hanche.
« Houu ! Prends-moi vite ! Baise-moi fort ! Hummm ! »
« Oh, putain ! Je vais te faire crier, ma belle ! Oh, putain ! Oh, putain ! »
Il dit « Oh, putain ! » à chaque coup de butoir, comme un automate. Je tape sur son casque.
« Hé, chéri ! Change de disque ! Hihihi ! »
« Rhann ! Oh, pardon ! Oh putain de merde ! C’que c’est bon ! C’que t’es bonne !
Huuuug ! Houchhhhh ! Houchhhhh ! Hummmm ! »
Je me fais une raison. Je n’aurai pas mieux.
Il me soulève et me pose sur un petit placard. Il passe ses bras sous mes jambes et accélère le mouvement.
« Harchhh ! On est mieux comme ca, hein ? Petite pute ! T’aime ca, hein ? T’aime la queue toi, hein ? »
« Hooo ! Ouiiii ! J’aime ca ! Mais tais-toi et bourre-moi ! Hummm ! »
« Houuuuu ! J’arriveeee ! Hennnn ! Je te donne touuuuut ! Haaaaarg ! »
« Oui ! Oui ! Jouiiiis ! Oh ouiiiii ! Je viens aussiii ! »
Il me donne tout dans un ultime effort, et se déverse en moi en longues giclées chaudes.
Il me donne un dernier baiser et se rajuste.
« Ben si on m’avait dit ca ! Oh, putain ! »
Mon beau père, jusqu’ici à l’écart, intervient.
« Bon ! Jeune homme, la fête est finie. Vous pouvez disposer ! »
« Ok, j’y vais ! Salut beauté et merci ! Change rien, t’es trop bonasse ! »
Voilà une course qu’il n’oubliera pas de si tôt.
Monsieur Félicien s’approche de moi et plonge deux doigts dans ma moule.
« Hummm ! Il t’a bien rempli, dis dont ! Ca t’a plu ? »
« D’après vous ? »
Il extrait ses doigts et les suce un moment.
« Je pense que oui. Il me semble déceler le gout de ton plaisir dans tout ce jus. »
Le soir venu, c’est ce que me dira également Fabien, lorsqu’il me videra la chatte.
Être la putain de mon patron. Voilà bien une chose que je ne voulais pas rendre officielle à ses yeux. Mais plus que sa putain, je suis devenue sa maitresse et de ce fait, lui, mon amant. Le seul que je ne peux avouer à Fabien.
Oui, bien sur, je sais ! Cette situation est très scabreuse et licencieuse. Mais l’interdit me plait et attise mon excitation en permanence.
Mon beau père me plait de plus en plus. Il est bel homme, drôle, riche et en plus il me donne du plaisir comme personne.
Entre lui, mon Fabien et mes aventures, je suis une fille comblée.
« Camille, mon petit ! »
Il vient d’entrer dans mon bureau et me tend des feuilles.
« Regarde et dis moi ce que tu en pense. »
Je lis les documents avec attention.
« Ben ! Ce client vous doit dix milles euros. »
« Exact ! Je reviens de son entreprise. Sa secrétaire à fait barrage. Impossible de le voir et d’en discuter avec lui. Est-ce que tu crois que… »
« Haaa ! Je vois ! Vous voulez envoyer vos gros bras ! Hihihi ! Mais je n’ai pas de poing américain, ni de calibre ! Hihi ! »
« Haha ! Non, je ne veux pas envoyer mes gros bras, mais ma petite chatte ! Tu crois que tu pourrais faire quelque chose ? »
« Qui ne tente rien,… »
Je me lève et l’enlace tendrement.
« Et pour vous, je veux bien, tout tenter. »
Direction l’entreprise RAIMONDIN et FILS.
J’arrive devant une bâtisse de trois étages, pas très classe. L’intérieur est tout aussi vieillot. Et que dire de cette femme de soixante ans, rigide, acariâtre, qui m’envoie balader.
« Hooo ! Votre patron est déjà venu ce matin ! Vous êtes bouché chez vous ou quoi ? Il faut prendre rendez vous ! »
Je n’ai pas de poing américain, mais je lui collerais bien une baffe. Il y a peut être plus subtile à faire.
Je hurle dans le couloir.
« MONSIEUR RAIMONDIN !... MONSIEUR RAIMONDIN ! »
La secrétaire, bondit hors de son bureau.
« Tu va te taire, petite peste ! »
Cette conne me sauterait bien dessus si son patron, alerté par mes cris, ne sortait pas de son bureau.
« Et bien, Georgette ! Qu’est ce que c’est que tout ce raffut ? Qui est cette jeune femme ! »
Ce type est antipathique à souhait. Le sourcil épais, il fait les gros yeux et serre les dents et les poings. Pas très grand, gros, les cheveux gras et lunettes triple foyer, il porte un pantalon tenu par des bretelles sur une chemise qui devait être blanche à l’achat.
Je lui fais mon plus beau sourire.
« Enchantée monsieur Raimondin. Mademoiselle Camille, société FELICIBOIS. Vous êtes surement très occupé, mais puis je vous importuner cinq minutes ? »
J’entends la secrétaire, retournée derrière son bureau, faire des « Gnagnagna ! » dans sa moustache.
Il me déshabille du regard un long moment. Je suis sur qu’il me voit à poil, ce gros dégueulasse.
Il me fait signe d’entrer.
« Georgette ! Qu’on me dérange sous aucun prétexte ! »
Je la regarde et lui fait un clin d’œil. Je viens de bousiller sa journée. Hihi !
Le bureau ressemble à son propriétaire. Sale et mal rangé.
« Bon ! Asseyez-vous ! Je sais très bien ce qui vous amène ! Mais ce n’est pas parce que Félicien m’envoie une pin-up, que je payerai ! »
Je m’enfonce dans un fauteuil d’un autre âge et je croise les jambes. Ma jupe remonte jusqu’à mi cuisse et j’espère qu’il aperçoit le haut de mes bas. Puis, lentement, je défais le bouton de ma veste et l’ouvre. Mon chemisier blanc laisse deviner les auréoles de mes seins et mon décolleté est bien ouvert. De quoi faire bander un eunuque, tout ca !
J’ouvre ma mallette, sors les documents et plonge mon regard dans le sien en souriant.
« Une pin-up ? Vous voulez me faire rougir monsieur Raimondin ! Vous êtes un charmeur. »
Je le sens fondre comme un glaçon en plein soleil.
« Valentin. Appelez-moi Valentin. »
« Valentin ? Comme le saint des amoureux ? Je sens que l’on va s’entendre monsieur Valentin. »
Je me penche sur le bureau et dépose les papiers devant lui.
« Vous devez la dernière livraison. Mais je suis sur qu’il s’agit d’un oubli. N’est ce pas ? »
« Non, pas du tout ! Le bois était de mauvaise qualité ! »
« Monsieur Valentin ! C’est vous qui l’avez choisi ! Effectivement, c’est une gamme de qualité inférieur, mais le prix est très raisonnable. »
« Pas question ! »
Le plan numéro un ne fonctionne pas. Il est temps de passer au deuxième.
Je me laisse retomber dans le fauteuil. J’efface mon sourire, je penche la tête et je fais sangloter ma voix.
« Monsieur Félicien m’a promit de me virer si je ne revenais pas avec le règlement. »
« C’est donc ca ! Ho, ma pauvre enfant. »
Il se lève de son bureau et vient vers moi.
Ca marche !
Il s’assoit sur le bras du fauteuil et passe un bras autour de mes épaules. De son autre main, il caresse mes cheveux.
Je profite de ce moment de tendresse.
Je penche la tête de coté et pose ma joue sur son ventre, comme une petite fille qui a besoin de réconfort.
« Faut pas te mettre dans des états pareils ! Il y a toujours moyen de s’arranger. Tu ne crois pas ? »
« Je ne sais pas monsieur Valentin. »
« Bah ! Parfois, il suffit de se montrer gentil. »
« Gentille ? Mais je le suis gentille ! »
Sa main glisse sur mes cheveux et viens flatter ma joue, puis, elle passe sous mon menton et son pouce se pose sur mes lèvres. Je le sens appliquer une pression. Sans doute pour que je le prenne dans ma bouche. Mais je ne le fais pas.
« Il faut être gentille, certes, mais aussi disponible et ouverte. »
Sa main sur mon épaule glisse en direction de mon décolleté et y plonge.
Ses doigts boudinés jouent avec mon téton, puis devant mon manque de réaction, il prend confiance et palpe mon sein outrageusement.
« Regarde ! Tu vois sur le bureau ? Mon chéquier attend. »
J’entrouvre les lèvres et je laisse son pouce se poser sur ma langue. Je le suce comme je le ferais avec un sucre d’orge.
Il tire sur mon corsage pour le sortir de ma jupe et défait les boutons fébrilement.
« Hummm ! J’adore tes petits nichons. Ils sont bien durs ! Ton cul aussi doit être bien ferme ! »
Je ne réponds pas et tends une main pour ouvrir sa braguette.
« Voilà ! Gentille, disponible et ouverte. Je vois que tu comprends vite. »
Je fouille son slip kangourou et dégage un sexe court et large, mais bien dur.
Avec ma langue je repousse son doigt hors de ma bouche, et je laisse glisser ma joue sur son ventre pour dévorer sa queue.
Sa main quitte mes seins et coure vers ma jupe. Il la remonte et palpe mon cul.
« Humm ! Pas de culotte ? Ca c’est une bonne surprise ! »
Tout en me pelotant, il appuie sur ma tête, me forçant à engloutir toute sa verge. Ainsi bloquée, je salive et j’ai bien du mal à déglutir.
« Allez ! Salope ! Active ta langue de pute ! »
Il s’en prend à mon anus et y enfonce un doigt. Il me le branle avec force, le rentrant et le ressortant à toute vitesse.
Ma bouche ne peut plus contenir ma salive et sa queue. Je tousse et ses couilles sont inondées de bave.
« Cochoooone ! Nettoie-moi ca tout de suite, saloperie ! »
Sans un mot, je lèche et aspire ses burnes trempées et je reprends sa bite en bouche.
Je le suce avec application, provoquant de petites contractions à la bête.
« Ouiii ! Hummm ! Continu comme ca ! T’es douée petite pute ! Harggg ! Ouiii ! Je viens ! Je… viennnns ! »
Ma bouche se remplit de liqueur grasse et chaude. J’aspire et avale plusieurs gorgées. Je nettoie son membre consciencieusement, ne laissant aucune trace.
Je me redresse doucement, frottant mon visage à son corps, jusqu’à ses lèvres.
Il est laid et repoussant. Sa bouche est grosse et gonflée, mais je l’embrasse qu’en même avec gourmandise, comme si j’étais amoureuse de ce type.
Il m’écrase contre lui et me roule une pelle baveuse et répugnante avant de se relever.
Il se penche sur son bureau et remplit le chèque.
J’ai gagné.
Je me rajuste rapidement et prends le chèque qu’il me tend.
« Cinq milles euros ? Mais non, monsieur Valentin ! C’est dix milles ! »
« T’es contente ? Tu devras revenir ! Hahaha ! »
Je comprends qu’il est inutile de discuter. Je devrais effectivement revenir pour compter obtenir le reste. Mais pas question de lui montrer mon aversion à son égard.
Je lui fais un beau sourire et je lui donne un petit baiser.
« Et bien… à la semaine prochaine, monsieur Valentin ! »
Je sors du bureau et passe devant le comptoir de Georgette. Je lui refais un clin d’œil, tout en replaçant mes cheveux ébouriffés.
« À bientôt, chérie ! »
« Salope ! Trainée ! Pouffiasse ! »
« Hihihi ! Hihihi ! »
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tu fais vraiment fort Claude, déjà au dixième épisode la Camille. Cela tient toujours la
route. Bravo
route. Bravo
enfin une chienne qui s'assume, bravo..