CAMILLE Episode 4
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 84 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Claude Lamour ont reçu un total de 1 162 519 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 10 900 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
CAMILLE Episode 4
(Étrange annonce)
Romain est né voilà quatre mois. Nous avons déménagé et habitons un bel et grand appartement, dans un quartier très sympa.
Tout va bien. Une nouvelle vie commence.
Bien sur, j’ai plus de travail à la maison, mais ce n’est pas bien grave. Je suis très heureuse d’avoir mon bébé, mais j’apprécie quand même le moment ou il s’endort, l’après midi.
Un moment de calme et de répit que je consacre, la plupart du temps, à l’ordinateur.
Mon appétit sexuel c’est calmé depuis mon accouchement. Pourtant, depuis deux trois jours, je surf sur des sites pornos et je dois dire que ca me plais beaucoup.
Sans arrières pensées, je relis aussi toutes les réponses reçues à la suite de mon annonce. Ça fini par m’exciter et je me touche en les relisant.
--- Je suis un homme mûr de 62a, bon niveau, bien physiquement (1m78 / 65kg), viril, très bien membré. Je suis disponible pour une rencontre très hot avec un couple amateur de jeux coquins. J'aime regarder, caresser, lécher et sucer longuement de belles fesses et une petite chatte avec gourmandise et délectation, offrir ma belle queue à vos jeux. Sans tabou, je serai votre complice actif et saurai répondre à tous ses désirs. Je reçois, en journée ou soirée, en toute discrétion, dans un appartement agréable et confortable. Hygiène, savoir-vivre et bonne humeur de rigueur !
--- Homme 45 ans. Très bonne situation. Élégant, correct, respectueux, cherche relation avec femme ou jf douce, jolie, très coquine mais bonne éducation. Bienvenu à couples coquin.
--- Je cherche aventure gratuite sans lendemain uniquement pour sexe soft avec femme de 18 à 45 ans en manque de caresses. Je suis libre en journée. Envoi photos sur demande sérieuse. A bientôt
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas.
Lire toutes ces réponses me fait tourner la tête et me fait mouiller comme une salope.
Scenario sur mon lieu de travail. Qu’est ce qu’il entend par scenario ?
La curiosité me pique. Les annonces sont accompagnées de numéro de téléphone ou d’adresse email. Pour celle-ci, il y a les deux.
Je ne risque pas grand-chose à téléphoner, surtout en mode privé.
Tremblante, je compose le numéro, espérant presque qu’il ne soit pas bon.
« Société Vilebor, Jérôme Durat, j’écoute ? »
« Heu ! Bonjour. Je ne sais pas si je m’adresse à la bonne personne. J’appelle au sujet d’une annonce. »
« Une annonce ? »
« Oui, enfin, non ! C’est au sujet d’une réponse faite à une annonce que j’avais déposé il y a cinq mois. Vous comprenez ? »
« Cinq mois ? Soyez plus clair, je réponds à beaucoup d’annonces, vous savez. »
« C’est…au sujet d’un scenario. Mais j’ai du me tromper. Excusez-moi. »
« Ne raccrochez pas ! C’est bien moi qui vous ai répondu. Je ne veux rien savoir de vous, juste quand vous êtes disponible. Un après midi de préférence. Ensuite je vous parlerais du scenario. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Disons qu’après demain, je devrais pouvoir me libérer. »
« Très bien ! J’ai peu de temps à vous accorder, là. Donnez moi votre émail et je vous envois un courrier dès ce soir. Ça vous va ? »
Je lui donne l’adresse de ma messagerie personnelle et il raccroche. Ouf ! J’ai eu peur, mais c’était terriblement excitant.
La journée passe et Fabien rentre enfin. Nous nous occupons de bébé, un film et au lit. Il ne faudrait pas que l’arrivé d’un enfant dans notre vie, nous plonge dans une monotonie triste à mourir. J’en parle à mon Piou-piou.
« Non, bien sur ! Tu a entièrement raison. Il ne faut pas que ca nous empêche de sortir ou de voir nos amis. Avec les grands parents, il y aura toujours moyen de s’arranger. »
« Et puis pourquoi pas…nous pourrions refaire une expérience ! Non ? »
« Une expérience ? »
« Heu, oui ! Avec un couple, tu vois ? »
« Hahaha ! Ça te reprend ma chérie ? Tu sais, si c’est pour me retaper la honte, je n’aime autant pas ! »
« Mais nonnn, Piou-piou ! C’était juste une panne ! Rien de grave. Je te trouverai une belle blondinette. Tu veux ? »
« Bon ! Nous verrons. En attendant, viens là que je m’occupe de ton cas. »
Nous faisons l’amour, mais mon esprit est ailleurs. Je ne peux m’empêcher de repenser à la petite conversation que j’ai eu avec cet inconnu, cet après midi.
Le mot « scenario » tourne et retourne dans ma tête.
Fabien est enfin parti au travail. Je n’aurais jamais cru qu’un jour, je puisse être pressée de le voir partir. Je m’occupe de bébé, puis nous nous installons à l’ordi.
« Voyons voir ce que nous dit ce monsieur, tu veux ? »
Fiévreusement, j’ouvre ma messagerie. J’ai encore quelques messages en réponse à mon annonce. Incroyable, après autant de temps.
Puis j’ouvre celui qui indique « Mon scenario »
--- Bonjour.
Si tu te sens toujours prête pour un scenario, voilà les instructions à suivre à la lettre.
Rends-toi jeudi à 16h au 3 rue Marcel Chossin, au siège de Vilebor Compagnie.
Présente-toi à l’accueil et demande le bureau de monsieur Jérôme Durat. L’hôtesse te demandera de la part de qui. Répond lui que tu représente la société ’Le fanion jaune’.
Je saurais ainsi que c’est toi. Après m’avoir prévenu, l’hôtesse t’indiquera le cheminement jusqu’à mon bureau. N’en tiens pas compte.
Voilà ton parcours
Après les portillons de sécurité, prends l’ascenseur de gauche et monte au dix-huitième étage. Prends le couloir de gauche et vas tout au bout. Ouvre la porte du fond et entre dans le petit amphithéâtre qui sert de salle de réunion.
Ne t’occupe pas des gens qui s’y trouveront surement. Personne ne fera attention à toi.
Traverse l’amphi par le haut et rends-toi aux toilettes pour hommes.
Rentre dans la troisième cabine et déshabille toi entièrement, chaussures comprises et dépose le tout sur le réservoir. Si tu a les cheveux longs, je les veux défait.
Ha ! J’oubliais ! Emmène une cravate et bande-toi les yeux.
Lorsque tu seras entièrement nue, yeux bandés, tourne toi vers le mur et penche toi au dessus de la cuvette des chiottes. Tu peux te retenir au réservoir. Écarte les jambes et attends.
Bien sur, laisse le loquet de la porte ouvert.
Entre le moment ou tu rentreras dans l’amphi et le moment ou tu devras être prête, tu auras cinq minutes, pas plus. Sinon, je te balance à poil dans l’amphi. Il te sera très dur de donner une explication valable.
Je te conseille d’imprimer mes instructions pour ne pas te tromper.
A jeudi. ---
« Houlà, mon bébé ! Tu crois que ta maman est capable de ca ? »
Mon tout petit gazouille.
« Ça veut dire oui, ca ? Hum ! Je te soupçonne de vouloir voir papi et mamie, toi ! »
La journée se passe normalement, excepté les pauses fréquentes que je m’accorde, pour relire le message.
Lorsque Fab rentre, je suis excitée comme une puce, et je lui fais savoir. Mais bien sur, j’en garde la cause pour moi. Ceci dit, il en est ravit. Il préfère une femme qui baise à une femme qui matte la télé, c’est sur.
Jeudi.
J’ai conduit mon p’tit bonhomme chez les parents de Fabien. Je lui ai raconté un blabla. Que j’allais trainer les magasins avec Valérie, ma meilleure amie. C’est grâce à elle que j’ai rencontré Fab. Ils sont amis et c’est la secrétaire de mon cher beau papa.
Je me suis habillée de façon fonctionnelle afin de faire vite dans les toilettes.
Une robe d’été, string, pas de soutien gorge et un manteau.
Les bureaux se trouvent à l’autre bout de la ville, dans un quartier d’affaires. Je m’y rends en métro pour ne pas perdre de temps.
C’est en montant dans la rame, que je réalise que je ne me suis jamais posé la question, de savoir si j’irais.
Pour moi, ca a été évident dès le moment ou j’ai lu les consignes à suivre.
Je pénètre enfin dans le grand hall de l’immeuble. Au centre, un comptoir ou trois magnifiques hôtesses se partagent le travail. L’accueil.
De chaque coté du comptoir, des tourniquets comme dans le métro. Pour entrer, il faut se présenter.
Mon cœur commence à battre fort.
« Bonjour ! Je voudrais voir monsieur Jérôme Durat. »
« Oui ! De la part de qui, s’il vous plaît ? »
Et là…le trou noir. Je feins de chercher une carte de visite dans mon sac. Il faut que ca me revienne, que je gagne du temps.
« Votre nom ou celui de votre société suffira. »
Je suis en panique.
« Heuu ! Camille…Camille du drapeau jaune ! »
Je ne suis pas loin de me sauver en courant.
« Monsieur Durat ? Madame Camille du drapeau jaune désire vous voir. Oui, c’est ca, le drapeau jaune. »
Mes jambes flageolent. Dans quelle galère ai-je été me fourrer.
« Désolée, madame. Monsieur Durat ne connait pas le nom de votre société. »
Il faut que je me sorte de là.
« Ha bon ? Il ne connait pas le fanion jaune ? Bon…tant pis, je lui téléphonerais. »
« Oups ! Attendez madame ! Vous m’aviez dit drapeau, pas fanion ! Hihihi ! Je le rappelle. »
Merde ! Ça m’est revenu sans que je m’en rende compte. Ce coup là, je suis bonne pour aller jusqu’au bout.
L‘hôtesse me dit que j’ai beaucoup amusé monsieur Durat, et m’indique comment me rendre à son bureau et m’invite à passer le portillon.
Me voilà dans la place.
Je sors de ma poche, le papier que j’ai imprimé. Mince ! Je tremble comme une feuille.
Ascenseur de gauche. Un homme monte avec moi.
« Combien, mademoiselle ? »
« Heu ! Dix huit. »
« Je ne demande pas votre âge, mais l’étage ! Hahaha ! »
« Heuu ! C’est bien l’étage que je vous indique. »
Le con ! Il me fait rougir.
« Tout comme moi. C’est parti ! Excusez-moi, je voulais plaisanter. »
Pendant l’ascension, j’observe l’homme. Et si c’était lui ?
Lorsque la porte s’ouvre, il me salut et part sur la droite. Je suis tétanisée et je manque de repartir avec l’ascenseur. J’en sorts juste à temps.
Couloir de gauche. Dieu qu’il est long.
Je croise beaucoup d’employés. Je suis tellement mal à l’aise, que j’ai l’impression de ne pas marcher droit et que tout le monde me regarde.
Je parviens enfin à la porte du fond. Elle est doublée de cuir pourpre, avec des clous dorés tout autour.
Je la pousse. Je me retrouve dans une espèce de petit vestibule, avec une seconde porte. Je la pousse également.
Je pénètre dans l’amphithéâtre par le bas, et en pleine réunion.
Tous les yeux se tournent vers moi. J’ai la honte de ma vie. Je lâche un timide « Excusez moi ! » et je monte le long des rangées. Si j’en crois le message, il me reste cinq minutes.
Dans le haut de la salle, il y a une porte de chaque cotés.
A droite ‘Toilettes femmes’
A gauche ‘Toilettes hommes’
Je me glisse discrètement vers la porte de gauche. Mais un homme en sort. Je m’arrête net et fais semblant de fouiller dans mon sac.
S’il y a d’autres hommes à l’intérieur, comment vais-je m’y prendre ?
Assez réfléchie ! Je fonce et pousse la porte.
Il y a huit cabines à gauche et autant d’urinoirs à droite et un petit lavabo.
Un, deux, trois. J’ouvre la porte et entre.
De la poche de mon manteau, je sors une cravate noire que j’ai piquée à Fabien. D’ailleurs, c’est la seule qu’il ait.
J’enlève mon manteau et le pose sur le réservoir. Je quitte ma robe, mon string et les pose aussi. Tremblante, j’enlève mes chaussures, lorsque j’entends la porte d’entrée des toilettes s’ouvrir.
Je reste pétrifiée, mes chaussures à la main. Ça ne fait pas cinq minutes. Si il ne triche pas, ca ne peux pas être lui.
Je suis glacée.
J’entends des pas, puis un zip de fermeture éclair. Le type sifflote en pissant. Ça dure longtemps. Il a du boire des litres. Et le temps qui tourne. Il ne doit même pas me rester une minute.
Doucement, sans faire de bruit, je pose mes chaussures.
De nouveau un zip, puis la chasse d’eau. Un robinet coule. Il doit se laver les mains.
Mais soudain !
« Salut Jérôme ! Ça va toi ? »
« Oui, j’ai réglé le problème de Toulouse ! »
Mince, c’est lui et je ne suis pas prête. Je défais à la hâte la broche qui retient mes cheveux. Parle ! Parle encore !
« C’est cool ! Tu vas prendre du galon. »
La poignée de la porte bouge. Il va entrer.
Je passe la cravate sur mes yeux, fais un nœud et je me penche, jambe écartées.
« J’espère bien ! Allez salut ! »
La porte dans mon dos s’ouvre, se referme, et j’entends le bruit du loquet qui se ferme.
Je suis morte de trouille et contrôle à peine mes tremblements.
Je sursaute lorsque deux mains se posent sur mes hanches et je suis prise de chair de poule.
« Reste muette ! Je ne veux pas entendre le son de ta voix ! »
Les mains caressent doucement mon dos, puis glissent vers mes seins.
« Alors là ! Tu dois être une sacrée salope pour être là. Tu dois être chaude bouillante ! Tu es la première pute à venir, en cinq ans que je fais tourner l’annonce sur internet. »
Il malaxe mes seins grossièrement et tire sur mes pointes, à m’en faire presque mal. Le con !
Je sens un gros paquet toucher mon cul, au travers de son pantalon.
« Et en plus t’es super bien gaulée ! Tu me fais bander, pouffiasse ! Quel beau cul ! »
Il glisse une main sous mon ventre et caresse ma chatte.
« Putain ! Tu mouille comme une grosse truie ! Tu vas me bouffer la queue, avant que je t’enfile ! Tourne toi et assis toi. »
Je m’exécute et il découvre mon visage
« Merde ! T’es une môme ! T’es toute jeune, toi ! Humm, petite salope ! Tu promets toi ! »
Un gros gland humide vient heurter ma bouche. C’est énorme !
Je ne peux m’empêcher de le toucher et je comprends ce que Pierre Perret veut dire lorsqu’il chante : Le zizi musclé chez le routier, Ô gué, ô gué, Se reconnaît à son gros col roulé.
Je souris et je ne peux m’empêcher de chantonner dans ma tête.
Il me prend par les cheveux et enfonce son gros boudin entre mes lèvres.
« Ho ! Salope ! Tu suce bien ! »
Mon front cogne sur son ventre. Prise d’un doute, je pose mes mains sur ses cuisses.
C’est bien ce que je pensais ! Ce type est gras comme un cochon.
Effectivement, il vaut peut être mieux que je ne le voie pas.
« Camille… Camille ! C’est un prénom de vide couille, ca ! Humm ! Lève-toi sac à foutre ! »
Je recrache son morceau de bidoche et je me lève. Il plaque ses paluches sur mon cul et me colle à lui.
Le salaud me lèche le cou et le visage, puis il plante sa langue entre mes lèvres. Il m’embrasse de façon répugnante, salivant, crachant dans ma bouche.
Il me broie le cul et essaie de m’enfoncer un doigt.
« Je vais te faire jouir, ma putain ! Tu ne regretteras pas le voyage, sale pute ! »
Mes seins son écrasés contre lui et son ventre épouse le creux du mien.
Nous tournons et il m’adosse à la porte. Il lève mes bras et je sens un porte manteau.
« Tiens le et le lâche pas ! »
Il me caresse sans tendresse ni douceur, appuyant sur la moindre parcelle de ma peau. Puis il commence à embrasser mon corps. Il me crache dessus et lèche ensuite, encore et encore. Il est répugnant, mais il m’excite comme une folle.
Je commence à gémir et je respire fort.
« Je savais que t’aimerais ca, fille de chienne ! »
Soudain, nous entendons le grincement de la porte d’entrée.
« Chuttt ! Arrête de couiner ou on va être repéré ! »
Deux types viennent d’entrer. Nous les entendons discuter tout en pissant.
Comme un défi, mon gros porc c’est accroupi et me bouffe la chatte, tout en branlant mon clito gonflé.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Jouir en silence n’est pas facile. Et ces types qui trainent à partir. J’en peux plus.
« Hummmmm ! Rrrahhhhhhh ! »
Par chance, je craque pendant le grincement de la porte.
« Idiote ! Tu veux me faire perdre ma place ? Penche-toi, raclure ! »
Je m’accroche au siège du chiotte et j’écarte les jambes, reins bien cambrés.
« Humm ! J’adore quand des gobeuses de couilles comme toi, s’offrent comme tu le fais ! »
Ses mains écartent mon cul et il se plante dans ma chatte sans préliminaires. Je me sens pleine d’un coup. S’il n’est pas très long, ce type est super large et la sensation est terrible.
Il me bourre sans complaisance et je jouis très vite et très fort.
« Ho ouiiii ! C’est bonnnn ! »
Je reçois une énorme claque sur le cul.
« Je t’avais interdit de parler, salope ! Les voix de putains me font jouir ! Hachhhhh ! »
Je me remplis de foutre chaud comme une bouteille à un robinet. Ce type a une réserve incroyable. Sensation extraordinaire qui me fait jouir de nouveau.
Je ne peux pas tout contenir. Il est encore en moi que du jus déborde de mon vagin.
« Hummmmm ! C’est trop bonnnn ! »
« Conasse ! T’a rien compris ! T’es trop conne ! Tu ne sais pas fermer ta gueule ! Tu ne bouge pas pendant cinq minutes, après, tu peux aller te faire foutre ailleurs ! »
J’entends le loquet de la porte, le grincement de la porte d’entrée…et plus rien.
Je reste un instant courbée sur la cuvette des chiottes. Je sens ma chatte se vider et j’entends la semence froide qui me quitte, tomber et éclabousser le sol.
Je me demande s’il est vraiment parti.
Puis, n’entendant rien d’autre qu’une chasse d’eau qui fuit, je défais mon bandeau.
Je suis nue, chatte dégoulinante, dans une cabine de chiotte dont la porte est ouverte, donnant sur des urinoirs. Je penche la tête hors de la cabine pour vérifier que je suis bien seule.
J’imagine, si quelqu’un entrait subitement.
Et… c’est ce qu’il se passe.
Un homme rentre précipitamment, la main déjà en train de descendre sa braguette.
Je suis désorientée et surprise. Je n’ai pas le temps de refermer la porte avant qu’il ne m’aperçoive.
Je referme le loquet et me plaque à la porte, le souffle coupé.
« Y a quelqu’un ? Qui êtes-vous ? Qu’est ce que vous foutez à poil dans les chiottes ? » J’attrape ma robe et je la passe s’en prendre le temps de la reboutonner, puis je mets mes chaussures.
« Mademoiselle ? Je peux vous aider ? »
« Heuu ! Non ! Tout va bien ! Je me suis trompée de toilettes. Je suis désolée. »
J’enfile mon manteau et je sors, rouge de honte.
Le type est en train de pisser. Il tourne la tête vers moi. Lorsque j’ouvre la porte, mon manteau et ma robe s’ouvre et il me revoit nue. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je file dans l’amphi en courant. Il est vide.
Je cours appeler l’ascenseur, me rafistole et finis de reboutonner ma robe en l’attendant.
Lorsque j’arrive dans le hall, j’ai retrouvé un rythme cardiaque à peu près normal.
C’est la sortie des bureaux et il y a beaucoup de monde.
Et si Jérôme Durat était là.
Je guette des hommes emprunt d’embonpoint qui pourraient me regarder étrangement.
J’en vois. J’en vois même beaucoup, mais, rien ne me laisse penser que le foutre qui est encore en moi, appartient à un de ceux là.
C’est dans le métro qui me ramène, que je réagis que le Jérôme Durat m’a piqué mon string et ma broche à cheveux.
Je fais un saut chez mes beaux parents pour récupérer mon bébé, mais ils ont décidés de le garder un peu.
C’est donc seule que je rentre à la maison. Une surprise de taille m’y attend.
« Piou-piou ? Tu es déjà rentré ? »
Il est dans le canapé, une main bandée.
« Ho ! Qu’est ce qui t’es arrivé ? »
« Rien de grave. Il n’y a pas de casse. J’ai pris un poids sur la main. Mais ca vas aller. J’ai huit jours d’arrêt de travail. Et toi, tu étais ou ? Ou est Romain ? »
« Chez tes parents. Je suis allée faire les magasins avec Valérie. »
« Valérie ? Ah bon ? Je te cherchais, je viens de l’appeler, elle t’a pas vu. T’étais ou ? »
Aille ! Ça pue pour moi. Je penche la tête. Je ne sais plus quoi dire.
« T’enfonce pas dans des mensonges. Dis-moi la vérité, ca vaut mieux ! »
Je prends mon courage à deux mains. Je ne dois pas lui mentir, il a raison.
J’allume l’ordi et cherche l’annonce.
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas. ---
« Voilà ! J’ai répondu à cette annonce. Je suis désolée Fab. Je t’ai fait cocu. Je n’ai pas d’excuse. J’ai tellement honte. Pardonne-moi, je t’en supplie ! »
Je me prépare à une scène, mais une autre surprise m’attend.
« Viens avec moi ! »
Il me prend par la main et m’entraine dans la chambre.
« Déshabille-toi ! »
« Non Fab ! Ce n’est pas… »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase. Il tire sur ma robe et tous les boutons sautent.
« Tu ne porte rien en dessous ? »
« Si, mais…il me les a volé. »
« Enlève ca et allonge toi ! »
Par peur de le contrarier d’avantage, je lui obéis. Il se déshabille aussi et se couche sur moi.
« Tu es encore pleine de ce mec ? »
« Oui, enfin non ! Je suis…oui, je suis souillée. Je suis sale. »
Il me maintient les mains au dessus de la tête et me pénètre lentement.
« Dis-moi tout ! Comment ca c’est passé ? »
« Et bien, il m’a dis d’aller dans les toilettes et… »
« Non, non Camille ! Raconte-moi tout dans le moindre détail. »
Il a une étrange lueur dans les yeux.
« Et bien, quand j’ai vu l’annonce, je lui ai téléphoné…
… C’est dans le métro que j’ai réagi que Jérôme Durat m’avait piqué mon string et ma broche à cheveux. »
Durant mes aveux détaillés, Fabien m’a pénétré doucement, lentement. Puis.
« Hooo, ma Camille ! Je t’aime tant ! Je mélange mon foutre au sien, en toi, et je veux qu’il en soit ainsi à chaque fois. Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »
Romain est né voilà quatre mois. Nous avons déménagé et habitons un bel et grand appartement, dans un quartier très sympa.
Tout va bien. Une nouvelle vie commence.
Bien sur, j’ai plus de travail à la maison, mais ce n’est pas bien grave. Je suis très heureuse d’avoir mon bébé, mais j’apprécie quand même le moment ou il s’endort, l’après midi.
Un moment de calme et de répit que je consacre, la plupart du temps, à l’ordinateur.
Mon appétit sexuel c’est calmé depuis mon accouchement. Pourtant, depuis deux trois jours, je surf sur des sites pornos et je dois dire que ca me plais beaucoup.
Sans arrières pensées, je relis aussi toutes les réponses reçues à la suite de mon annonce. Ça fini par m’exciter et je me touche en les relisant.
--- Je suis un homme mûr de 62a, bon niveau, bien physiquement (1m78 / 65kg), viril, très bien membré. Je suis disponible pour une rencontre très hot avec un couple amateur de jeux coquins. J'aime regarder, caresser, lécher et sucer longuement de belles fesses et une petite chatte avec gourmandise et délectation, offrir ma belle queue à vos jeux. Sans tabou, je serai votre complice actif et saurai répondre à tous ses désirs. Je reçois, en journée ou soirée, en toute discrétion, dans un appartement agréable et confortable. Hygiène, savoir-vivre et bonne humeur de rigueur !
--- Homme 45 ans. Très bonne situation. Élégant, correct, respectueux, cherche relation avec femme ou jf douce, jolie, très coquine mais bonne éducation. Bienvenu à couples coquin.
--- Je cherche aventure gratuite sans lendemain uniquement pour sexe soft avec femme de 18 à 45 ans en manque de caresses. Je suis libre en journée. Envoi photos sur demande sérieuse. A bientôt
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas.
Lire toutes ces réponses me fait tourner la tête et me fait mouiller comme une salope.
Scenario sur mon lieu de travail. Qu’est ce qu’il entend par scenario ?
La curiosité me pique. Les annonces sont accompagnées de numéro de téléphone ou d’adresse email. Pour celle-ci, il y a les deux.
Je ne risque pas grand-chose à téléphoner, surtout en mode privé.
Tremblante, je compose le numéro, espérant presque qu’il ne soit pas bon.
« Société Vilebor, Jérôme Durat, j’écoute ? »
« Heu ! Bonjour. Je ne sais pas si je m’adresse à la bonne personne. J’appelle au sujet d’une annonce. »
« Une annonce ? »
« Oui, enfin, non ! C’est au sujet d’une réponse faite à une annonce que j’avais déposé il y a cinq mois. Vous comprenez ? »
« Cinq mois ? Soyez plus clair, je réponds à beaucoup d’annonces, vous savez. »
« C’est…au sujet d’un scenario. Mais j’ai du me tromper. Excusez-moi. »
« Ne raccrochez pas ! C’est bien moi qui vous ai répondu. Je ne veux rien savoir de vous, juste quand vous êtes disponible. Un après midi de préférence. Ensuite je vous parlerais du scenario. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Disons qu’après demain, je devrais pouvoir me libérer. »
« Très bien ! J’ai peu de temps à vous accorder, là. Donnez moi votre émail et je vous envois un courrier dès ce soir. Ça vous va ? »
Je lui donne l’adresse de ma messagerie personnelle et il raccroche. Ouf ! J’ai eu peur, mais c’était terriblement excitant.
La journée passe et Fabien rentre enfin. Nous nous occupons de bébé, un film et au lit. Il ne faudrait pas que l’arrivé d’un enfant dans notre vie, nous plonge dans une monotonie triste à mourir. J’en parle à mon Piou-piou.
« Non, bien sur ! Tu a entièrement raison. Il ne faut pas que ca nous empêche de sortir ou de voir nos amis. Avec les grands parents, il y aura toujours moyen de s’arranger. »
« Et puis pourquoi pas…nous pourrions refaire une expérience ! Non ? »
« Une expérience ? »
« Heu, oui ! Avec un couple, tu vois ? »
« Hahaha ! Ça te reprend ma chérie ? Tu sais, si c’est pour me retaper la honte, je n’aime autant pas ! »
« Mais nonnn, Piou-piou ! C’était juste une panne ! Rien de grave. Je te trouverai une belle blondinette. Tu veux ? »
« Bon ! Nous verrons. En attendant, viens là que je m’occupe de ton cas. »
Nous faisons l’amour, mais mon esprit est ailleurs. Je ne peux m’empêcher de repenser à la petite conversation que j’ai eu avec cet inconnu, cet après midi.
Le mot « scenario » tourne et retourne dans ma tête.
Fabien est enfin parti au travail. Je n’aurais jamais cru qu’un jour, je puisse être pressée de le voir partir. Je m’occupe de bébé, puis nous nous installons à l’ordi.
« Voyons voir ce que nous dit ce monsieur, tu veux ? »
Fiévreusement, j’ouvre ma messagerie. J’ai encore quelques messages en réponse à mon annonce. Incroyable, après autant de temps.
Puis j’ouvre celui qui indique « Mon scenario »
--- Bonjour.
Si tu te sens toujours prête pour un scenario, voilà les instructions à suivre à la lettre.
Rends-toi jeudi à 16h au 3 rue Marcel Chossin, au siège de Vilebor Compagnie.
Présente-toi à l’accueil et demande le bureau de monsieur Jérôme Durat. L’hôtesse te demandera de la part de qui. Répond lui que tu représente la société ’Le fanion jaune’.
Je saurais ainsi que c’est toi. Après m’avoir prévenu, l’hôtesse t’indiquera le cheminement jusqu’à mon bureau. N’en tiens pas compte.
Voilà ton parcours
Après les portillons de sécurité, prends l’ascenseur de gauche et monte au dix-huitième étage. Prends le couloir de gauche et vas tout au bout. Ouvre la porte du fond et entre dans le petit amphithéâtre qui sert de salle de réunion.
Ne t’occupe pas des gens qui s’y trouveront surement. Personne ne fera attention à toi.
Traverse l’amphi par le haut et rends-toi aux toilettes pour hommes.
Rentre dans la troisième cabine et déshabille toi entièrement, chaussures comprises et dépose le tout sur le réservoir. Si tu a les cheveux longs, je les veux défait.
Ha ! J’oubliais ! Emmène une cravate et bande-toi les yeux.
Lorsque tu seras entièrement nue, yeux bandés, tourne toi vers le mur et penche toi au dessus de la cuvette des chiottes. Tu peux te retenir au réservoir. Écarte les jambes et attends.
Bien sur, laisse le loquet de la porte ouvert.
Entre le moment ou tu rentreras dans l’amphi et le moment ou tu devras être prête, tu auras cinq minutes, pas plus. Sinon, je te balance à poil dans l’amphi. Il te sera très dur de donner une explication valable.
Je te conseille d’imprimer mes instructions pour ne pas te tromper.
A jeudi. ---
« Houlà, mon bébé ! Tu crois que ta maman est capable de ca ? »
Mon tout petit gazouille.
« Ça veut dire oui, ca ? Hum ! Je te soupçonne de vouloir voir papi et mamie, toi ! »
La journée se passe normalement, excepté les pauses fréquentes que je m’accorde, pour relire le message.
Lorsque Fab rentre, je suis excitée comme une puce, et je lui fais savoir. Mais bien sur, j’en garde la cause pour moi. Ceci dit, il en est ravit. Il préfère une femme qui baise à une femme qui matte la télé, c’est sur.
Jeudi.
J’ai conduit mon p’tit bonhomme chez les parents de Fabien. Je lui ai raconté un blabla. Que j’allais trainer les magasins avec Valérie, ma meilleure amie. C’est grâce à elle que j’ai rencontré Fab. Ils sont amis et c’est la secrétaire de mon cher beau papa.
Je me suis habillée de façon fonctionnelle afin de faire vite dans les toilettes.
Une robe d’été, string, pas de soutien gorge et un manteau.
Les bureaux se trouvent à l’autre bout de la ville, dans un quartier d’affaires. Je m’y rends en métro pour ne pas perdre de temps.
C’est en montant dans la rame, que je réalise que je ne me suis jamais posé la question, de savoir si j’irais.
Pour moi, ca a été évident dès le moment ou j’ai lu les consignes à suivre.
Je pénètre enfin dans le grand hall de l’immeuble. Au centre, un comptoir ou trois magnifiques hôtesses se partagent le travail. L’accueil.
De chaque coté du comptoir, des tourniquets comme dans le métro. Pour entrer, il faut se présenter.
Mon cœur commence à battre fort.
« Bonjour ! Je voudrais voir monsieur Jérôme Durat. »
« Oui ! De la part de qui, s’il vous plaît ? »
Et là…le trou noir. Je feins de chercher une carte de visite dans mon sac. Il faut que ca me revienne, que je gagne du temps.
« Votre nom ou celui de votre société suffira. »
Je suis en panique.
« Heuu ! Camille…Camille du drapeau jaune ! »
Je ne suis pas loin de me sauver en courant.
« Monsieur Durat ? Madame Camille du drapeau jaune désire vous voir. Oui, c’est ca, le drapeau jaune. »
Mes jambes flageolent. Dans quelle galère ai-je été me fourrer.
« Désolée, madame. Monsieur Durat ne connait pas le nom de votre société. »
Il faut que je me sorte de là.
« Ha bon ? Il ne connait pas le fanion jaune ? Bon…tant pis, je lui téléphonerais. »
« Oups ! Attendez madame ! Vous m’aviez dit drapeau, pas fanion ! Hihihi ! Je le rappelle. »
Merde ! Ça m’est revenu sans que je m’en rende compte. Ce coup là, je suis bonne pour aller jusqu’au bout.
L‘hôtesse me dit que j’ai beaucoup amusé monsieur Durat, et m’indique comment me rendre à son bureau et m’invite à passer le portillon.
Me voilà dans la place.
Je sors de ma poche, le papier que j’ai imprimé. Mince ! Je tremble comme une feuille.
Ascenseur de gauche. Un homme monte avec moi.
« Combien, mademoiselle ? »
« Heu ! Dix huit. »
« Je ne demande pas votre âge, mais l’étage ! Hahaha ! »
« Heuu ! C’est bien l’étage que je vous indique. »
Le con ! Il me fait rougir.
« Tout comme moi. C’est parti ! Excusez-moi, je voulais plaisanter. »
Pendant l’ascension, j’observe l’homme. Et si c’était lui ?
Lorsque la porte s’ouvre, il me salut et part sur la droite. Je suis tétanisée et je manque de repartir avec l’ascenseur. J’en sorts juste à temps.
Couloir de gauche. Dieu qu’il est long.
Je croise beaucoup d’employés. Je suis tellement mal à l’aise, que j’ai l’impression de ne pas marcher droit et que tout le monde me regarde.
Je parviens enfin à la porte du fond. Elle est doublée de cuir pourpre, avec des clous dorés tout autour.
Je la pousse. Je me retrouve dans une espèce de petit vestibule, avec une seconde porte. Je la pousse également.
Je pénètre dans l’amphithéâtre par le bas, et en pleine réunion.
Tous les yeux se tournent vers moi. J’ai la honte de ma vie. Je lâche un timide « Excusez moi ! » et je monte le long des rangées. Si j’en crois le message, il me reste cinq minutes.
Dans le haut de la salle, il y a une porte de chaque cotés.
A droite ‘Toilettes femmes’
A gauche ‘Toilettes hommes’
Je me glisse discrètement vers la porte de gauche. Mais un homme en sort. Je m’arrête net et fais semblant de fouiller dans mon sac.
S’il y a d’autres hommes à l’intérieur, comment vais-je m’y prendre ?
Assez réfléchie ! Je fonce et pousse la porte.
Il y a huit cabines à gauche et autant d’urinoirs à droite et un petit lavabo.
Un, deux, trois. J’ouvre la porte et entre.
De la poche de mon manteau, je sors une cravate noire que j’ai piquée à Fabien. D’ailleurs, c’est la seule qu’il ait.
J’enlève mon manteau et le pose sur le réservoir. Je quitte ma robe, mon string et les pose aussi. Tremblante, j’enlève mes chaussures, lorsque j’entends la porte d’entrée des toilettes s’ouvrir.
Je reste pétrifiée, mes chaussures à la main. Ça ne fait pas cinq minutes. Si il ne triche pas, ca ne peux pas être lui.
Je suis glacée.
J’entends des pas, puis un zip de fermeture éclair. Le type sifflote en pissant. Ça dure longtemps. Il a du boire des litres. Et le temps qui tourne. Il ne doit même pas me rester une minute.
Doucement, sans faire de bruit, je pose mes chaussures.
De nouveau un zip, puis la chasse d’eau. Un robinet coule. Il doit se laver les mains.
Mais soudain !
« Salut Jérôme ! Ça va toi ? »
« Oui, j’ai réglé le problème de Toulouse ! »
Mince, c’est lui et je ne suis pas prête. Je défais à la hâte la broche qui retient mes cheveux. Parle ! Parle encore !
« C’est cool ! Tu vas prendre du galon. »
La poignée de la porte bouge. Il va entrer.
Je passe la cravate sur mes yeux, fais un nœud et je me penche, jambe écartées.
« J’espère bien ! Allez salut ! »
La porte dans mon dos s’ouvre, se referme, et j’entends le bruit du loquet qui se ferme.
Je suis morte de trouille et contrôle à peine mes tremblements.
Je sursaute lorsque deux mains se posent sur mes hanches et je suis prise de chair de poule.
« Reste muette ! Je ne veux pas entendre le son de ta voix ! »
Les mains caressent doucement mon dos, puis glissent vers mes seins.
« Alors là ! Tu dois être une sacrée salope pour être là. Tu dois être chaude bouillante ! Tu es la première pute à venir, en cinq ans que je fais tourner l’annonce sur internet. »
Il malaxe mes seins grossièrement et tire sur mes pointes, à m’en faire presque mal. Le con !
Je sens un gros paquet toucher mon cul, au travers de son pantalon.
« Et en plus t’es super bien gaulée ! Tu me fais bander, pouffiasse ! Quel beau cul ! »
Il glisse une main sous mon ventre et caresse ma chatte.
« Putain ! Tu mouille comme une grosse truie ! Tu vas me bouffer la queue, avant que je t’enfile ! Tourne toi et assis toi. »
Je m’exécute et il découvre mon visage
« Merde ! T’es une môme ! T’es toute jeune, toi ! Humm, petite salope ! Tu promets toi ! »
Un gros gland humide vient heurter ma bouche. C’est énorme !
Je ne peux m’empêcher de le toucher et je comprends ce que Pierre Perret veut dire lorsqu’il chante : Le zizi musclé chez le routier, Ô gué, ô gué, Se reconnaît à son gros col roulé.
Je souris et je ne peux m’empêcher de chantonner dans ma tête.
Il me prend par les cheveux et enfonce son gros boudin entre mes lèvres.
« Ho ! Salope ! Tu suce bien ! »
Mon front cogne sur son ventre. Prise d’un doute, je pose mes mains sur ses cuisses.
C’est bien ce que je pensais ! Ce type est gras comme un cochon.
Effectivement, il vaut peut être mieux que je ne le voie pas.
« Camille… Camille ! C’est un prénom de vide couille, ca ! Humm ! Lève-toi sac à foutre ! »
Je recrache son morceau de bidoche et je me lève. Il plaque ses paluches sur mon cul et me colle à lui.
Le salaud me lèche le cou et le visage, puis il plante sa langue entre mes lèvres. Il m’embrasse de façon répugnante, salivant, crachant dans ma bouche.
Il me broie le cul et essaie de m’enfoncer un doigt.
« Je vais te faire jouir, ma putain ! Tu ne regretteras pas le voyage, sale pute ! »
Mes seins son écrasés contre lui et son ventre épouse le creux du mien.
Nous tournons et il m’adosse à la porte. Il lève mes bras et je sens un porte manteau.
« Tiens le et le lâche pas ! »
Il me caresse sans tendresse ni douceur, appuyant sur la moindre parcelle de ma peau. Puis il commence à embrasser mon corps. Il me crache dessus et lèche ensuite, encore et encore. Il est répugnant, mais il m’excite comme une folle.
Je commence à gémir et je respire fort.
« Je savais que t’aimerais ca, fille de chienne ! »
Soudain, nous entendons le grincement de la porte d’entrée.
« Chuttt ! Arrête de couiner ou on va être repéré ! »
Deux types viennent d’entrer. Nous les entendons discuter tout en pissant.
Comme un défi, mon gros porc c’est accroupi et me bouffe la chatte, tout en branlant mon clito gonflé.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Jouir en silence n’est pas facile. Et ces types qui trainent à partir. J’en peux plus.
« Hummmmm ! Rrrahhhhhhh ! »
Par chance, je craque pendant le grincement de la porte.
« Idiote ! Tu veux me faire perdre ma place ? Penche-toi, raclure ! »
Je m’accroche au siège du chiotte et j’écarte les jambes, reins bien cambrés.
« Humm ! J’adore quand des gobeuses de couilles comme toi, s’offrent comme tu le fais ! »
Ses mains écartent mon cul et il se plante dans ma chatte sans préliminaires. Je me sens pleine d’un coup. S’il n’est pas très long, ce type est super large et la sensation est terrible.
Il me bourre sans complaisance et je jouis très vite et très fort.
« Ho ouiiii ! C’est bonnnn ! »
Je reçois une énorme claque sur le cul.
« Je t’avais interdit de parler, salope ! Les voix de putains me font jouir ! Hachhhhh ! »
Je me remplis de foutre chaud comme une bouteille à un robinet. Ce type a une réserve incroyable. Sensation extraordinaire qui me fait jouir de nouveau.
Je ne peux pas tout contenir. Il est encore en moi que du jus déborde de mon vagin.
« Hummmmm ! C’est trop bonnnn ! »
« Conasse ! T’a rien compris ! T’es trop conne ! Tu ne sais pas fermer ta gueule ! Tu ne bouge pas pendant cinq minutes, après, tu peux aller te faire foutre ailleurs ! »
J’entends le loquet de la porte, le grincement de la porte d’entrée…et plus rien.
Je reste un instant courbée sur la cuvette des chiottes. Je sens ma chatte se vider et j’entends la semence froide qui me quitte, tomber et éclabousser le sol.
Je me demande s’il est vraiment parti.
Puis, n’entendant rien d’autre qu’une chasse d’eau qui fuit, je défais mon bandeau.
Je suis nue, chatte dégoulinante, dans une cabine de chiotte dont la porte est ouverte, donnant sur des urinoirs. Je penche la tête hors de la cabine pour vérifier que je suis bien seule.
J’imagine, si quelqu’un entrait subitement.
Et… c’est ce qu’il se passe.
Un homme rentre précipitamment, la main déjà en train de descendre sa braguette.
Je suis désorientée et surprise. Je n’ai pas le temps de refermer la porte avant qu’il ne m’aperçoive.
Je referme le loquet et me plaque à la porte, le souffle coupé.
« Y a quelqu’un ? Qui êtes-vous ? Qu’est ce que vous foutez à poil dans les chiottes ? » J’attrape ma robe et je la passe s’en prendre le temps de la reboutonner, puis je mets mes chaussures.
« Mademoiselle ? Je peux vous aider ? »
« Heuu ! Non ! Tout va bien ! Je me suis trompée de toilettes. Je suis désolée. »
J’enfile mon manteau et je sors, rouge de honte.
Le type est en train de pisser. Il tourne la tête vers moi. Lorsque j’ouvre la porte, mon manteau et ma robe s’ouvre et il me revoit nue. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je file dans l’amphi en courant. Il est vide.
Je cours appeler l’ascenseur, me rafistole et finis de reboutonner ma robe en l’attendant.
Lorsque j’arrive dans le hall, j’ai retrouvé un rythme cardiaque à peu près normal.
C’est la sortie des bureaux et il y a beaucoup de monde.
Et si Jérôme Durat était là.
Je guette des hommes emprunt d’embonpoint qui pourraient me regarder étrangement.
J’en vois. J’en vois même beaucoup, mais, rien ne me laisse penser que le foutre qui est encore en moi, appartient à un de ceux là.
C’est dans le métro qui me ramène, que je réagis que le Jérôme Durat m’a piqué mon string et ma broche à cheveux.
Je fais un saut chez mes beaux parents pour récupérer mon bébé, mais ils ont décidés de le garder un peu.
C’est donc seule que je rentre à la maison. Une surprise de taille m’y attend.
« Piou-piou ? Tu es déjà rentré ? »
Il est dans le canapé, une main bandée.
« Ho ! Qu’est ce qui t’es arrivé ? »
« Rien de grave. Il n’y a pas de casse. J’ai pris un poids sur la main. Mais ca vas aller. J’ai huit jours d’arrêt de travail. Et toi, tu étais ou ? Ou est Romain ? »
« Chez tes parents. Je suis allée faire les magasins avec Valérie. »
« Valérie ? Ah bon ? Je te cherchais, je viens de l’appeler, elle t’a pas vu. T’étais ou ? »
Aille ! Ça pue pour moi. Je penche la tête. Je ne sais plus quoi dire.
« T’enfonce pas dans des mensonges. Dis-moi la vérité, ca vaut mieux ! »
Je prends mon courage à deux mains. Je ne dois pas lui mentir, il a raison.
J’allume l’ordi et cherche l’annonce.
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas. ---
« Voilà ! J’ai répondu à cette annonce. Je suis désolée Fab. Je t’ai fait cocu. Je n’ai pas d’excuse. J’ai tellement honte. Pardonne-moi, je t’en supplie ! »
Je me prépare à une scène, mais une autre surprise m’attend.
« Viens avec moi ! »
Il me prend par la main et m’entraine dans la chambre.
« Déshabille-toi ! »
« Non Fab ! Ce n’est pas… »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase. Il tire sur ma robe et tous les boutons sautent.
« Tu ne porte rien en dessous ? »
« Si, mais…il me les a volé. »
« Enlève ca et allonge toi ! »
Par peur de le contrarier d’avantage, je lui obéis. Il se déshabille aussi et se couche sur moi.
« Tu es encore pleine de ce mec ? »
« Oui, enfin non ! Je suis…oui, je suis souillée. Je suis sale. »
Il me maintient les mains au dessus de la tête et me pénètre lentement.
« Dis-moi tout ! Comment ca c’est passé ? »
« Et bien, il m’a dis d’aller dans les toilettes et… »
« Non, non Camille ! Raconte-moi tout dans le moindre détail. »
Il a une étrange lueur dans les yeux.
« Et bien, quand j’ai vu l’annonce, je lui ai téléphoné…
… C’est dans le métro que j’ai réagi que Jérôme Durat m’avait piqué mon string et ma broche à cheveux. »
Durant mes aveux détaillés, Fabien m’a pénétré doucement, lentement. Puis.
« Hooo, ma Camille ! Je t’aime tant ! Je mélange mon foutre au sien, en toi, et je veux qu’il en soit ainsi à chaque fois. Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Claude Lamour
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
voilà l'ami l'imagination est présente, mais Camille également !!!
A la suite
amicalement
A la suite
amicalement