CAMILLE Episode 7

- Par l'auteur HDS Claude Lamour -
Auteur homme.
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Récit libertin : CAMILLE Episode 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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CAMILLE Episode 7
(Le coup du cocu)
Allongée dans notre lit, je me prélasse. Je rêvasse.
Je me souviens de notre première expérience. Je me souviens aussi de mon étonnement, lorsque Jean-Guy avait prit le sexe de Fabien pour le sucer et que celui-ci, n’avait rien dit.
Je me demande si inconsciemment, mon piou-piou ne serait pas bisexuel.
Qu’il le soit ne me dérangerais absolument pas, mais qu’il l’ignore, je trouve ca dommage.
Une petite annonce (je suis devenue une spécialiste) et j’invite un homme bi à prendre un verre avec moi.
« Dis moi, Camille…si tu recherches un homme bi, c’est que ton homme l’est, non ?
Pourquoi, n’est il pas là ? »
« Heuu ! C’est un peu plus compliqué que ca ! »
Je lui fais un résumé rapide et nous montons un plan simple. Il fera semblant de ne pas savoir que je suis en couple et je m’occuperai du reste.
Une heure plus tard, nous arrivons à la maison.
Bien sur, Fab ignore que je ramène quelqu'un. Ce n’est plus la première fois. Il en est à peine étonné et salut Franck.
Celui-ci ce révèle être un excellent acteur.
« Ho ! Tu n’es pas seule ! Je te laisse. »
« Non, non ! Entre ! Ce n’est que mon cocu. »
« Ton… »
« Oui, oui, mon cocu, regarde. Fabien ! Assis toi dans le fauteuil et je ne veux plus t’entendre. »
Fab s’assoit.
« Houlà ! Impressionnant, mais très déroutant. »
« Mais non, il suffit de l’oublier. »
Nous nous installons dans le canapé et commençons à nous caresser. Très vite, nous nous débarrassons de nos vêtements, puis, je m’agenouille devant Franck et je le suce avec gourmandise.
« Non ! Arrête ! Je suis désolé, mais devant lui, j’ai trop de mal. »
« Pourquoi ? Parce qu’il est habillé ? Qu’à cela ne tienne. Fab, fou toi à poil ! »
Il se lève et se déshabille, sans un mot, sans un sourire. Mais il ne peut cacher l’émoi qui se manifeste entre ses cuisses.
« Hum ! Bien gaulé, ton cocu ! Et bien foutu en plus ! »
« Heureuse qu’il te plaise. Il aime bien se faire tailler une plume de temps en temps. Ca t’intéresse ? »
« Humm ! Je suis gourmand et je ne sais pas dire non. »
Franck se rapproche de mon homme en marchant doucement à quatre pattes, comme un félin.
Dans le regard de mon Piou-piou, je peux lire « Qu’est ce que tu fous ? T’es folle ou quoi ! »
Mais il ne bouge pas et reste assis, les bras posés sur les accoudoirs.
Mais lorsque mon invité, prend son membre dans ses mains avant de le porter à sa bouche, il ferme les yeux et sa respiration qui s’accélère trahi son plaisir.
Son bassin fait de petits mouvements d’avant en arrière et ses doigts s’enfonce dans le cuir du fauteuil.
Je prends plaisir à le voir ainsi entre les mains d’un homme. Finalement, ca lui va très bien à mon mignon.
Sans bruit, je m’approche et m’agenouille prés de lui. Je pose ma tête sur son épaule et tout en le regardant se faire sucer, je lui caresse le poitrail et lui pince les tétons.
Franck, me fait un clin d’œil.
Je le vois caresser les testicules de Fab. Il lèche sa hampe de haut en bas et continu plus bas. Apres lui avoir gobé les couilles, sa langue s’agite maintenant sur sa pastille.
Fabien ouvre les yeux en grand. Il semble très inquiet.
Je pose un doigt sur sa bouche.
« Chuttt ! Ne t’inquiète pas ! Tout va bien ! »
Mon invité crache maintenant et étale sa salive, tournant et enfonçant légèrement le bout de son doigt, dans l’orifice vierge.
« Heuu ! Tu rigoles, là ! Il joue avec mon cul, là ! »
« Et alors ! Je n’en suis pas morte moi ! Non ? »
Franck décide de le rassurer un peu.
« T’inquiète pas Fabien. J’ai l’habitude. Je vais faire doucement. Tu n’auras presque pas mal, promis. Je suis très doux. Et tu vas voir comme c’est bon de jouir du cul. »
Il le fait s’assoir sur le bord du fauteuil et lui replie les jambes pour qu’il pose ses pieds sur les accoudoirs du fauteuil.
Il ne peut pas être plus offert.
Franck lui bouffe le cul et y crache encore.
« Regarde ca ! Tu t’ouvres comme une fleur. »
Il introduit son index, sans effort.
Fab, prend ma main et referme les yeux. Il semble finalement accepter la caresse du doigt.
Franck se redresse, plaque son gland sur l’anus de Piou-piou et pousse doucement.
Il s’y reprend à plusieurs fois et le membre pénètre un peu plus à chaque fois.
Lorsque le gland a totalement disparu, il pousse sans s’arrêter, très délicatement. Ses couilles finissent par toucher les fesses de Fab. Il s’arrête.
« Fab ? Ca va ? »
« Heuu ! Je ne sais pas trop ! »
« Détend toi, ca ira. »
« Heuu ! Je crois que je vais te c… dessus ! »
« Haha ! Ne t’inquiète pas, c’est juste une impression. Je vais te faire jouir. Respire bien à fond. »
Il commence un lent vas et viens en Fab.
Je l’observe. Il semble très concentré, yeux fermés, sa lèvre inferieure entre ses dents.
Le rythme accélère doucement. Il commence à gémir timidement.
« Voilà ! Tu y es ! Je vais pouvoir t’enculer comme il faut, maintenant ! »
Il le sodomise désormais avec vigueur et à mon grand étonnement, Fab exulte.
« Ho, merde ! C’est bonnnn ! Ouiii ! Continu ! »
Il se mord un doigt pour ne pas hurler. Mon Piou-piou jouit du cul.
Franck lui assène les derniers coups de reins et jouit dans un râle grave.
« Rhann ! Rhann ! Hummm ! Ton cul est bonnnn ! Harrrrrr !»
Il se retire lentement et se rhabille.
« Je suis désolé, je ne peux pas rester plus longtemps. Alors ? Ca t’a plu ? »
Fabien, encore sur son petit nuage, n’a pas bougé et est toujours les pieds sur les accoudoirs, présentant son anus qui laisse échapper un peu de foutre.
« J’en reviens pas ! Je me suis fais enculer ! »
Franck, s’en va. Je rejoins mon Piou-piou.
« Bon ! Faut t’en remettre mon amour ! Vas prendre une douche. »
« Camille ! Bouffe-moi le cul ! »
« Tu rigoles, là ! C’est dégueu ! »
Le salop, je ne l’ai pas vu venir, mais il a préparé sa phrase.
« Et alors ! Je n’en suis pas mort moi ! Non ? »
« Oui, mais la différence mon chéri, c’est que moi, je ne suis pas TA cocue ! »

Une semaine est passée.
Je ne suis pas sur que Fabien ait vraiment apprécié notre dernière petite soirée. Même si il y a trouvé un certain plaisir, le fait de lui avoir pratiquement imposé l’a surement vexé.
J’aimerai rentrer souillée, pleine, pour le satisfaire comme il l’aime.
Je désire me laisser du temps pour trouver ce que je veux.
« Chéri ! J’ai un rancard. Je ne rentrerais que demain soir. Ok ? Ne t’inquiète pas. »
« Humm ! Je vais encore fantasmer en t’imaginant. Ca vas être long jusqu’à demain soir.»

Je me promène dans Paris, couverte d’un gilet moulant, fermé par un zip et d’une petite jupe sympa.
Mes pas me conduisent au palais de la découverte, dans le bas des Champs Elysée.
J’adore cet endroit, ou l’on se perd de salles en salles. On pourrait passer une demie heure dans chacune, tant c’est intéressant et diversifié.
Il y a un truc que j’adore. C’est dans une petite vitrine. Je pense que ca s’appelle un hologramme. On peut y voir une couronne de rois, recouverte de diamants, alors que la vitrine ne fait pas un centimètre de profondeur. Ca me fascine. On a vraiment l'impression de voir l'objet en relief et qu’il est réel, alors que ce n’est pas plus épais qu’une photo.
Devant, il y a comme une rambarde, afin d’empêcher les visiteurs de toucher la vitrine. Je m’y tiens et penche la tête de gauche à droite, pour regarder de chaque coté de la couronne.
« C’est incroyable, n’est ce pas ? »
C’est un vieil homme aux cheveux blanc derrière moi, qui regarde par-dessus mon épaule.
« Oui, en effet ! On a vraiment l’impression qu’elle est vraiment là ! C’est tellement beau ! »
Son corps plaqué à mon dos, sa bouche n’est qu’à quelques centimètres de mon oreille.
« Tu aimes les belles choses toi, hein petite ? »
Je fais ma timide et je ne réponds pas. Une bosse grossie dans son pantalon. La salle est déserte, alors, il ne se gêne pas pour se frotter à mon cul.
« Tu sens ca ? Tu sais, ca aussi, c’est très beau. Tu adorerais. »
Ca, pour la sentir, je la sens. Il applique de grosses pressions contre mon cul, comme pour m’enculer au travers de nos vêtements, et ses mains, enfoncées dans les poches de son manteau, me caressent les fesses de façon vicelarde.
J’ai envi de voir jusqu’où il serait capable d’aller. Je me dégage en poussant un de ses bras.
« Rhooo ! Excusez-moi ! Pardon ! »
Je m’éloigne, mais je sens qu’il me suit. Je joue avec lui, m’arrêtant souvent, devant des vitrines, des animations, des maquettes. Mais dès que je le sens à moins de deux mètres de moi, je m’éloigne de nouveau.
J’arrive dans la salle du système solaire, ou un truc comme ca. C’est un endroit sombre, à la lumière indirecte et très tamisée.
Je suis attirée par un panneau au dessus d’une porte, indiquant « LES MOUVEMENTS DANS LE SYSTÈME SOLAIRE ».
Je pénètre dans un endroit presque noir. Sur le mur, le système solaire représenté par une maquette extraordinaire. Gigantesque.
Une barrière de métal, m’interdit de m’en approcher, mais, un boitier est fixé dessus et le mot « Appuyez » clignote sous un bouton.
J’appuie et tout se met en mouvement. C’est fantastique. D’un coup, je me crois dans l’espace.
Mais je reviens vite sur terre lorsque deux bras m’entourent et se cramponnent à la barrière.
« Humm ! C’est joli, hein ? J’aime bien cette ambiance sombre. Pas toi ? Je trouve ca excitant. »
Je crois qu’il a sorti sa queue. Il pousse et rentre ma jupe entre mes fesses.
Je continue à jouer la petite fille gênée.
« Mais ! Arrêtez, vous me faite peur ! »
« Mais non ! Tiens, prend ca dans ta main. Regarde comme c’est doux et chaud. »
Il me prend une main et la pose sur son sexe gonflé.
Je ne jouerais pas plus longtemps. Je l’enserre dans ma main et je le branle doucement, tout en me tournant vers lui.
« Humm ! Elle est belle ! »
« Dis donc, toi ! Tu me sembles bien dévergondée tout à coup ! »
« Humm ! Ca doit être l’ambiance ! »
Je frotte sa queue sur ma jupe et de mon autre main, je descends la fermeture éclair de mon gilet moulant.
« Houaf ! T’as pas de soutif ? Humm ! Petite coquine ! Ils sont mignons tout plein tes petits nichons ! »
Il les prend à deux mains et les palpe avec vigueur.
« Et une culotte ? T’en a une, une culotte ? »
« Vérifiez-vous même, vieux cochon ! »
Il lâche ma poitrine et remonte ma jupe bien au dessus de la ceinture.
« Ho, merde ! T’es cul nu ! »
Sont étonnement m’amuse beaucoup. Je frotte son gland contre ma chatte trempée, comme une malade.
« Humm ! Vous la voulez ? Vous voulez me pénétrer ? Vous voulez me baiser ? Vous voulez jouir dans ma chatte ? »
« Salope ! Tu m’excites ! Je vais cracher ma purée ! Merde ! »
Avec l’énergie du désespoir, je me soulève à l’aide de la barrière et il parvient à me pénétrer, juste avant d’exploser.
Trois va-et-vient et je le sens se vider en moi.
« Rhooo ! Tu m’as trop excité ! Petite putain de merde ! Haaaaa ! »
« C’est pas grave mon pépère ! Je ne voulais rien de plus, que votre foutre dans ma petite moule ! »
« Ben ? Pourquoi ? »
« Pour que vous m’engrossiez comme une grosse truie ! »
« Qu’est ce que tu racontes ? »
« J’ai arrêté ma pilule, pour faire chier mon mec ! Je vais porter ton bâtard, papi ! »
Je me sauve en riant. Pauvre homme, il ne va pas dormir pendant un bon moment.

Dans l’ascenseur, j’en rigole encore. Je dois être folle de faire croire de telles choses.
« Chéri ! C’est moi ! »
Venant de la chambre, j’entends un « Merde ! »
« Chéri ? Qu’est ce qu’y a ? Qu’est ce qui ce passe ? »
Une nana sort de la chambre en courant, à moitié habillée, le reste de ses affaires dans les bras. J’ai l’impression que mon cœur s’arrête.
« Valérie ? Toi ? »
« Ho ! Je suis désolée, je t’expliquerais ! »
Et elle se sauve dans l’escalier.
Je pénètre dans la chambre. Fabien est assit dans le lit, ses jambes pliées sont recouvertes par le drap. Il a posé ses coudes sur ses genoux et tient sa tête dans ses mains.
Je ne voudrais pas être à sa place.
« Espèce de salop ! Tu n’avais pas le droit de me faire ca ! Si tu voulais une nana, t’avais qu’à me le demander ! »
« Camille ! Essaye de comprendre ! Tu te tapes des tas de mecs ! J’ai juste eu une envie ! »
« Oui ! Je me tape des tas de mecs, parce que tu es mon cocu et parce que ca te plait ! Je ne suis pas ta cocue ! Et là, tu m’as faite cocue ! Et avec cette pute, que je croyais ma meilleure amie ! Une belle petite salope aussi, celle là ! »
Je suis hors de moi. Je relève ma jupe et glisse deux doigts dans mon vagin. Celui-ci, fait un drôle de bruit et du foutre s’en écoule.
« Regarde bien ma chatte remplie à ras bord ! Parce que tu n’es pas prêt de la revoir et encore moins de la vider ! COCU ! »
De rage, j’essuie mes doigts sur son visage.
« Je te promets de me venger Fabien ! Je ne sais pas quand, ni comment, mais je me vengerais ! Je me vengerais ! »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
sympa comme tout Claude

Histoire Libertine
un délice ton histoire...un délice...



Texte coquin : CAMILLE Episode 7
Histoire sexe : Une rose rouge
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