Camille et Carla, le jeu se dévoile (volet 3)

Récit érotique écrit par charmantquinqua [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Camille et Carla, le jeu se dévoile (volet 3)
Carla était là, à genou devant la porte du salon, jambes écartées à se caresser le clito et ses lèvres d’une main, et un sein de l’autre. Camille se lèva et se rapprocha d’elle, s’accroupit et l’enlaça tendrement, puis glissa doucement une main entre les cuisses de Carla.
Ce n’est pas leurs premières fois me dis-je à moi-même, cela ouvre d’un coup des horizons très bandants. Pascal et moi ne disons rien, assis dans le canapé on les regarde, mon sexe, malgré nos ébats se dresse, la scène est trop bandante.
Camille déshabilla Carla, puis lui embrassa les seins longuement et remonta pour l’embrasser très tendrement. De voir ces deux étudiantes, s’embrasser, se caresser, est absolument magnifique et n’appelle aucun mot. Le temps est comme figé.
J’ouvris le canapé et les invita à nous rejoindre, une pause était bienvenue. Tous les 4 nus sur ce canapé lit, buvant un apero avec les mains qui se promenaient partout ne laissait personne de glace. Pascal et moi bandions de nouveau, les clitos étaient durs, l’ambiance chaude.
Je m’interrogeais sur Carla, à l’opposé de Camille qui se laissait guider sans se fatiguée, dans le style soumise, je découvrais une Carla assez dominante et ça m’excitait beaucoup, l’avenir alla dans mon sens…
Carla se tourna vers moi, elle caressait toujours Camille d’une main et mon sexe de l’autre, sa langue rejoignit ma bouche afin de s’y glisser et m’embrassa très sauvagement, limite à me mordre puis me dit :
- Je t’ai vu brouter Camille pendant que Pascal la baisait en levrette, puis lécher sa semence, j’aimerai te voir le sucer longuement, voir ta bouche glisser sur sa queue, lecher son gland, je pense que tu aimes ça, j’aimerai aussi le voir te prendre pendant que tu me lèches. Je n’ai jamais vu ça, l’idée me fait mouiller, regarde (en appuyant ma main sur sa vulve), tu ferais ça pour moi ?
Le coté bi, je l’ai, et bien que je sois assez dominant ou dirigiste avec les femmes, le coté soumis avec un homme j’aime bien. J’ai déjà sucé Pascal, et mon œillet a aussi rencontré sa queue, mais là sous les ordres de Carla, mon sexe n’en fait qu’un tour, je vois Pascal sourire, et me dire :
- Alors petite salope, tu attends quoi ? Il ne faut pas contrarier une dame.
Tout le monde parti en fou rire.
Je me suis tourné vers cette queue tendue, la prise en bouche tout en jouant avec ma langue sur son gland, ceci remis de la vigueur à celle-ci qui était maintenant toute dur. Je jouais avec depuis un moment quand Carla nous interrompu :
- Mets-toi à 4 pattes salope me dit-elle, broute moi et Pascal tu vas enculer cette salope bien profond, mais surtout tu jouiras sur ma chatte afin que cette pute lèche tout et qu’elle avale bien.
Je ne reconnaissais pas son langage, elle la fille de bonne famille, étudiante en droit qui s’exprimait ainsi. Les ordres étaient tels que je m’exécutais, en levrette, la tête entre les cuisses de Carla, sa main appuyant fort afin que ma langue aille bien profond, elle lâcha un petit jet d’urine que je bus avidement, pendant que Pascal se branlait sur mon anus en appuyant pour s’y rentrer. Je senti sa queue me pénétrer, bien dur, aller tout au fond et ses couilles taper mes fesses, je sorti un cri de jouissance, c’était trop bon, Carla se lâchait et m’insultait, m’humiliait de tous les mots voyant Pascal me limer, elle continuait de lâcher des jets et de me pisser dans la bouche. Je sentais Pascal durcir dans mon cul, les va et viens étaient si bon que je bandais très fort, ses sursauts allaient en accélérant. Il se retira, jouit sur les lèvres humides de Carla qu’elle écartait, puis elle prit ma tête et la plaqua sur ce sperme afin que je lèche tout. Elle partit dans un orgasme bruyant et agité. Au même moment, Camille qui n’avait pas arrêté de se caresser, jouit aussi. Carla releva ma tête et l’a présenta au sexe de Pascal :
- Nettoie le, regarde il y a encore du sperme.
Je repris en bouche cette queue et du bout de la langue je léchais pour bien la laver, il envoya un dernier petit jet que j’avalais.
Nous nous sommes effondrés, les corps collés l’un à l’autre remplis de tendresse, nos mains se promenaient, jamais je n’avais connu un tel moment. Jamais je n’aurais cru que ces deux étudiantes étaient ainsi, aussi chaudes. Elles cachaient bien leurs jeux.
Je regardais ces deux corps allongés, nus à côté de moi, je me suis penché sur le sexe de Camille pour de nouveau le couvrir de ma langue. Pascal s’est levé, nous disant qu’il devait partir, il n’a pas manqué de remercier et t’embrasser les filles et est parti. Je me retrouvais seul avec Camille et Carla, ma langue dans la vulve de Camille. Fatiguée, elle m’a demandé d’arrêter, nous avons repris un verre tous les trois, accompagnés de sourires complices. Les discussions allaient bon train.
- (moi) Vous êtes extraordinaires toutes les deux, vraiment j’adore. Même si j’avais fantasmé sur vous, je ne pensais pas que cela allait se réaliser.
- (Carla) merci à vous deux aussi, vous avez réalisé l’un de mes fantasmes, bien que je ne sois pas prude, les mecs de mon âge ne savent pas y faire et sont, soit maladroits, soit farouches, soit nous prennent pour des cinglées, bref ça ne marche pas. Je n’avais jamais fait aussi librement et avec des hommes si âgés. J’aime trop et cela me donne envie de plus, d’explorer encore plus ma sexualité. L’absence de jugement est si bon.
- (Camille se blottissant contre moi) j’ai adoré aussi et je découvre pleins de choses, j’en connais moins que Carla mais je veux découvrir, apprends-moi stp. Je n’ai jamais autant jouis
- - (Carla) es-tu prêt à beaucoup avec nous, pour nous, j’ai tant de fantasmes à réaliser, allez, dis oui stp ? (avec des yeux de biche).
- (moi) oui nous allons jouer et explorer tout ça si vous êtes vraiment motivées, mais n’oubliez pas vos études, ni mon loyer. (rire général)
Nous nous sommes endormis ainsi, lovés l’un contre l’autre, repus mais encore excités.
Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi là, lovés tous les trois, mais ce qui m’a réveillé, c’est une douceur sur mon sexe, Carla était collée à moi, ses seins tout contre moi, sa tête sur le bas de mon torse. Elle me caressait accompagné de quelques coups de langue tres doux sur mon gland. Cette douceur et cette vision m’ont rapidement remis en forme.
- (Carla) J’ai été un peu dur avec toi tout à l’heure, même si j’ai vu que tu as pris du plaisir, jamais je n’ai été dominatrice ainsi, je ne sais pas ce qu’il m’a prise, j’étais super excitée.
- (moi) Rassure toi c’était excellent, j’ai adoré (tout en l’embrassant).
- (Carla) Laisse-moi me faire pardonné stp, j’ai envie de tendresse là.
- (Moi) Oui moi aussi, ta peau est si douce, tu m’excites beaucoup, toutes les deux vous m’excitées d’ailleurs, c’est impossible de faire l’une sans l’autre, et vous êtes si complices.
- (Carla) ou on l’est, on fait souvent l’amour toutes les deux en se racontant des scenario, ou narrant nos aventures.
Carla continuait ses caresses, mon sexe rasé lui plaisait beaucoup, sa main était douce, tendre, je me laissais faire tel un pacha aux mains d’une princesse.
Elle s’est tournée pour ce mettre en cuillère et d’une main pris mon sexe pour le présenter au sien. Ses fesses vers moi, serrées, elle fit glisser mon sexe à l’entrée de sa petite chatte et celui-ci s’ouvrit doucement, il dégoulinait. Depuis la première vision à la porte j’avais très envie de la pénétrer et voilà j’y étais. Mon sexe entrait doucement, guidé par ses mouvements jusqu’à disparaitre entièrement, nous ne pouvions pas être plus collé. J’ai voulu entamer un mouvement, mais elle m’y empêcha.
- Laisse-moi faire dit-elle, j’aime ainsi tu vas voir…
Elle bougeait à peine, contractant son vagin sur ma queue dans des mouvements réguliers, d’une main, je caressais son bouton et de l’autre ses seins. C’était excellent, juste cette douceur, ces vibrassions chaudes, je me sentais encore grossir, le plaisir montait.
- (Camille) il suffit que je m’endorme pour que vous en profitiez sans moi, c’est de la triche (hi)
Camille se tourna vers Carla, vint l’embrasser et commença à nous caresser, dont une main sur mes testicules et un doigt qui caressait Carla, elle aussi dans la douceur. Je sentais le plaisir monter peu à peu, je n’allais pas tenir très longtemps et le dis. Camille descendit et entama un cuni à Carla et sa langue passait aussi sur mon sexe. Elle s’était faufilée entre les cuisses de Carla, mon plaisir était à son paroxysme et des sursauts indiquèrent mon éjaculation au fond de ce vagin si chaud. Je suis resté ainsi un moment, puis Camille me poussa et se mis sur Carla en 69. Repu complet je regardais ces deux jeunes filles se brouter et se doigter. Elles partirent dans un orgasme simultané bruyant et intense.
C’était le bonheur total.
Nous nous sommes endormis et cette fois pour une longues nuit bien reposante.
Ce n’est pas leurs premières fois me dis-je à moi-même, cela ouvre d’un coup des horizons très bandants. Pascal et moi ne disons rien, assis dans le canapé on les regarde, mon sexe, malgré nos ébats se dresse, la scène est trop bandante.
Camille déshabilla Carla, puis lui embrassa les seins longuement et remonta pour l’embrasser très tendrement. De voir ces deux étudiantes, s’embrasser, se caresser, est absolument magnifique et n’appelle aucun mot. Le temps est comme figé.
J’ouvris le canapé et les invita à nous rejoindre, une pause était bienvenue. Tous les 4 nus sur ce canapé lit, buvant un apero avec les mains qui se promenaient partout ne laissait personne de glace. Pascal et moi bandions de nouveau, les clitos étaient durs, l’ambiance chaude.
Je m’interrogeais sur Carla, à l’opposé de Camille qui se laissait guider sans se fatiguée, dans le style soumise, je découvrais une Carla assez dominante et ça m’excitait beaucoup, l’avenir alla dans mon sens…
Carla se tourna vers moi, elle caressait toujours Camille d’une main et mon sexe de l’autre, sa langue rejoignit ma bouche afin de s’y glisser et m’embrassa très sauvagement, limite à me mordre puis me dit :
- Je t’ai vu brouter Camille pendant que Pascal la baisait en levrette, puis lécher sa semence, j’aimerai te voir le sucer longuement, voir ta bouche glisser sur sa queue, lecher son gland, je pense que tu aimes ça, j’aimerai aussi le voir te prendre pendant que tu me lèches. Je n’ai jamais vu ça, l’idée me fait mouiller, regarde (en appuyant ma main sur sa vulve), tu ferais ça pour moi ?
Le coté bi, je l’ai, et bien que je sois assez dominant ou dirigiste avec les femmes, le coté soumis avec un homme j’aime bien. J’ai déjà sucé Pascal, et mon œillet a aussi rencontré sa queue, mais là sous les ordres de Carla, mon sexe n’en fait qu’un tour, je vois Pascal sourire, et me dire :
- Alors petite salope, tu attends quoi ? Il ne faut pas contrarier une dame.
Tout le monde parti en fou rire.
Je me suis tourné vers cette queue tendue, la prise en bouche tout en jouant avec ma langue sur son gland, ceci remis de la vigueur à celle-ci qui était maintenant toute dur. Je jouais avec depuis un moment quand Carla nous interrompu :
- Mets-toi à 4 pattes salope me dit-elle, broute moi et Pascal tu vas enculer cette salope bien profond, mais surtout tu jouiras sur ma chatte afin que cette pute lèche tout et qu’elle avale bien.
Je ne reconnaissais pas son langage, elle la fille de bonne famille, étudiante en droit qui s’exprimait ainsi. Les ordres étaient tels que je m’exécutais, en levrette, la tête entre les cuisses de Carla, sa main appuyant fort afin que ma langue aille bien profond, elle lâcha un petit jet d’urine que je bus avidement, pendant que Pascal se branlait sur mon anus en appuyant pour s’y rentrer. Je senti sa queue me pénétrer, bien dur, aller tout au fond et ses couilles taper mes fesses, je sorti un cri de jouissance, c’était trop bon, Carla se lâchait et m’insultait, m’humiliait de tous les mots voyant Pascal me limer, elle continuait de lâcher des jets et de me pisser dans la bouche. Je sentais Pascal durcir dans mon cul, les va et viens étaient si bon que je bandais très fort, ses sursauts allaient en accélérant. Il se retira, jouit sur les lèvres humides de Carla qu’elle écartait, puis elle prit ma tête et la plaqua sur ce sperme afin que je lèche tout. Elle partit dans un orgasme bruyant et agité. Au même moment, Camille qui n’avait pas arrêté de se caresser, jouit aussi. Carla releva ma tête et l’a présenta au sexe de Pascal :
- Nettoie le, regarde il y a encore du sperme.
Je repris en bouche cette queue et du bout de la langue je léchais pour bien la laver, il envoya un dernier petit jet que j’avalais.
Nous nous sommes effondrés, les corps collés l’un à l’autre remplis de tendresse, nos mains se promenaient, jamais je n’avais connu un tel moment. Jamais je n’aurais cru que ces deux étudiantes étaient ainsi, aussi chaudes. Elles cachaient bien leurs jeux.
Je regardais ces deux corps allongés, nus à côté de moi, je me suis penché sur le sexe de Camille pour de nouveau le couvrir de ma langue. Pascal s’est levé, nous disant qu’il devait partir, il n’a pas manqué de remercier et t’embrasser les filles et est parti. Je me retrouvais seul avec Camille et Carla, ma langue dans la vulve de Camille. Fatiguée, elle m’a demandé d’arrêter, nous avons repris un verre tous les trois, accompagnés de sourires complices. Les discussions allaient bon train.
- (moi) Vous êtes extraordinaires toutes les deux, vraiment j’adore. Même si j’avais fantasmé sur vous, je ne pensais pas que cela allait se réaliser.
- (Carla) merci à vous deux aussi, vous avez réalisé l’un de mes fantasmes, bien que je ne sois pas prude, les mecs de mon âge ne savent pas y faire et sont, soit maladroits, soit farouches, soit nous prennent pour des cinglées, bref ça ne marche pas. Je n’avais jamais fait aussi librement et avec des hommes si âgés. J’aime trop et cela me donne envie de plus, d’explorer encore plus ma sexualité. L’absence de jugement est si bon.
- (Camille se blottissant contre moi) j’ai adoré aussi et je découvre pleins de choses, j’en connais moins que Carla mais je veux découvrir, apprends-moi stp. Je n’ai jamais autant jouis
- - (Carla) es-tu prêt à beaucoup avec nous, pour nous, j’ai tant de fantasmes à réaliser, allez, dis oui stp ? (avec des yeux de biche).
- (moi) oui nous allons jouer et explorer tout ça si vous êtes vraiment motivées, mais n’oubliez pas vos études, ni mon loyer. (rire général)
Nous nous sommes endormis ainsi, lovés l’un contre l’autre, repus mais encore excités.
Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi là, lovés tous les trois, mais ce qui m’a réveillé, c’est une douceur sur mon sexe, Carla était collée à moi, ses seins tout contre moi, sa tête sur le bas de mon torse. Elle me caressait accompagné de quelques coups de langue tres doux sur mon gland. Cette douceur et cette vision m’ont rapidement remis en forme.
- (Carla) J’ai été un peu dur avec toi tout à l’heure, même si j’ai vu que tu as pris du plaisir, jamais je n’ai été dominatrice ainsi, je ne sais pas ce qu’il m’a prise, j’étais super excitée.
- (moi) Rassure toi c’était excellent, j’ai adoré (tout en l’embrassant).
- (Carla) Laisse-moi me faire pardonné stp, j’ai envie de tendresse là.
- (Moi) Oui moi aussi, ta peau est si douce, tu m’excites beaucoup, toutes les deux vous m’excitées d’ailleurs, c’est impossible de faire l’une sans l’autre, et vous êtes si complices.
- (Carla) ou on l’est, on fait souvent l’amour toutes les deux en se racontant des scenario, ou narrant nos aventures.
Carla continuait ses caresses, mon sexe rasé lui plaisait beaucoup, sa main était douce, tendre, je me laissais faire tel un pacha aux mains d’une princesse.
Elle s’est tournée pour ce mettre en cuillère et d’une main pris mon sexe pour le présenter au sien. Ses fesses vers moi, serrées, elle fit glisser mon sexe à l’entrée de sa petite chatte et celui-ci s’ouvrit doucement, il dégoulinait. Depuis la première vision à la porte j’avais très envie de la pénétrer et voilà j’y étais. Mon sexe entrait doucement, guidé par ses mouvements jusqu’à disparaitre entièrement, nous ne pouvions pas être plus collé. J’ai voulu entamer un mouvement, mais elle m’y empêcha.
- Laisse-moi faire dit-elle, j’aime ainsi tu vas voir…
Elle bougeait à peine, contractant son vagin sur ma queue dans des mouvements réguliers, d’une main, je caressais son bouton et de l’autre ses seins. C’était excellent, juste cette douceur, ces vibrassions chaudes, je me sentais encore grossir, le plaisir montait.
- (Camille) il suffit que je m’endorme pour que vous en profitiez sans moi, c’est de la triche (hi)
Camille se tourna vers Carla, vint l’embrasser et commença à nous caresser, dont une main sur mes testicules et un doigt qui caressait Carla, elle aussi dans la douceur. Je sentais le plaisir monter peu à peu, je n’allais pas tenir très longtemps et le dis. Camille descendit et entama un cuni à Carla et sa langue passait aussi sur mon sexe. Elle s’était faufilée entre les cuisses de Carla, mon plaisir était à son paroxysme et des sursauts indiquèrent mon éjaculation au fond de ce vagin si chaud. Je suis resté ainsi un moment, puis Camille me poussa et se mis sur Carla en 69. Repu complet je regardais ces deux jeunes filles se brouter et se doigter. Elles partirent dans un orgasme simultané bruyant et intense.
C’était le bonheur total.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau chapitre avec moule détails croustillants, les différentes scènes sôt très chaudes et franchement on aimerait être à ta place. Carla précise que les jeunes sont trop prudes et réticents à certains jeux sexuels donc j’attend ta suite en rêvant être à ta place. Daniel

