Camille et Marion font leur shopping 05.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Camille et Marion font leur shopping 05.
Parfaitement équipés nos deux spécimens peuvent entrer en action.
L’entreprise est délicate, comment allons-nous nous y prendre? En missionnaire, leur ventre risque de masquer toute l’opération et même l’introduction risque d’être difficile à l’aveugle, je ne parle pas des nombreux dérapages qui risquent de se produire tellement la longueur disponible pour effectuer une translation est courte.
- Comment avez-vous procédé avec les autres filles? Demande Camille intriguée.
- Nous l’avons jamais fait, avoue premier.
- Nous n’avons eu que des pipes,, ajoute second.
Nous comprenons que la situation est grave mais peut-être pas désespérée. Nous sommes avides de faire découvrir ce plaisir à nos gros nounours, et ce serait un réel amusement de les dépuceler.
Camille nous propose une solution acrobatique consistant à renverser nos cobayes: les épaules à terre, le cul en l’air et nous les enjamber et guider leur zizi vers le graal. Mais la position est très instable, ils perdent leur équilibre et s’écrasent par terre sans discrétion, nous entraînant quelques fois dans leurs chutes et cela fait un barouf d’enfer qui risque d’éveiller des interrogations de l’autre côté du rideau. Finalement après plusieurs essais, nous abandonnons cette méthode.
Moi je propose de le faire en levrette. Et je demande à Camille de se glisser dessous pour superviser les opérations et en guidant l’aiguille dans le chas (ou le chat). Effectivement ça marche, premier réussit sa première, il me lime doucement et c’est pas si mal surtout que Camille lui lèche les couilles et elles sont de taille tout à fait normale voir même un peu gonflées à bloc pleine de notre boisson favorite.
En dehors du terrain, second poursuit son échauffement, il fait des étirements, des courses dans le vide, des va et vient incessants pour être prêt à rentrer sur la pelouse (tondue à ras).
Premier, après quelques minutes de jeu, demande déjà à être remplacé pour ne pas être mis hors jeu dès la première période. Second lui succède à l’avant et à l’aide de Camille part droit au but comme on dirait à Marseille et entre le ballon dans la cage, c’est un magnifique but dès son entrée, il reçoit les félicitations des spectateurs.
Mais lui aussi ne résiste pas à la pression, il est vrai que le terrain est humide et glissant, les dérapages fréquents, heureusement que Camille rattrape des situations compliquées et réussit à coordonner des actions miraculeuses juste avant la mi-temps.
Pour la 2ème période, je fais une passe à Camille, nos footballeurs sont tout ragaillardis après cette petite pause. C’est maintenant à elle de contenir les assauts de nos deux gaillards, premier repart à l’attaque, et moi j’arbitre sa bite, pas de tacle par derrière ni de mauvais coup, parfois elle sort en touche et je fais une remise en jeu.
Après plusieurs fautes et l’imminence d’ un carton jaune, premier laisse sa place à second, j’en profite pour humidifier avec ma langue le terrain.
Le rentrant a pris confiance en lui et déclenche un tir qui frôle la petite lucarne de Camille, attention c’est à la limite du carton rouge, finalement il s’en tire avec un jaune de la part de celle-ci. Portant il ne s’en laisse pas conter, il tente un dribble parfaitement réussit puisque Camille approuve d’un cri d’encouragement, il exulte et s’enthousiasme en essayant un petit pont et même un grand pont pour finir par le coup du sombrero.
Mais attention à ne pas se réjouir trop vite, une blessure est si vite arrivée, surtout que Camille inonde à son tour le terrain qui devient impraticable. Un claquage de la bite serait catastrophique c’est pour cela que je siffle la fin du match. Comme c’est une confrontation amicale, et qu’il y a match nul, un partout, nous ne procéderons pas à une séance de tirs au but pour départager nos joueurs, tant mieux je veux profiter de la 3ème mi-temps pour me désaltérer, car j’ai grand soif.
Nos deux puceaux ont tenu le coup sans se faire expulser, et comme tout bon sportif qui se respecte, il faut procéder au décrassage dès la fin de la rencontre. Camille et moi leur retirons leurs protège-tibias et pratiquons un massage (buccale) salvateur, cela avant de passer sous la douche (de sperme).
Tellement groggy et épuisés, nos sportifs du dimanche n’ont pas les capacités d’un coureur de fond et le sprint final est assez court mais très intense. Camille et moi sommes passées pro dans le contrôle de cette dernière épreuve qui aujourd’hui est plus proche d’un 50 mètres que d’un marathon pour nos deux athlètes en herbe.
Toutefois, nous apprécions à sa juste valeur, l’esprit d’équipe et le don de soi dont font preuve nos bipèdes ( car si parfois nous pouvons parler d’une 3ème jambe ce n’est pas le cas ici, la taille était nettement insuffisante).
Camille et moi recevons quand même une juste récompense pour avoir bien coatchées nos débutants. Et comme ils n’ont jamais fait pratiquer une telle activité physique à leur petite zigounette, ils se libèrent de tout le stress accumulé et se vident complètement sur nos belles frimousses. Oh mes aïeux, quelles puissantes fontaines possède-ils! Nous subissons un arrosage massif, je n’imaginais pas que de si minuscules lances pouvaient propulser un tel jaillissement de colle pour minettes. Il est vrai que nous avions remarqué que leur réservoir était plutôt saturé. N’empêche que nous sommes bien barbouillées même en retirant la part des anges ( que nous sommes) non négligeable que nous avons volontairement dérobée pour goûter à leur liqueur intime. Comme vous le savez maintenant, c’est toujours pleines d’ivresse que nous espérons ce moment.
- Pas cap de sortir comme ça! Nous lance premier.
- Tu vas voir mon gars, répliqué-je en enfilant ma robe et prenant la main de Camille qui a fait de même.
Et dans un style théâtral, nous ouvrons le rideau des artistes pour défiler le visage dégoulinant de sperme dans ce magasin huppé à la stupeur de toutes les clientes et du personnel féminin.
Ici c’est ravies! Que nous quittons ce repère de bourgeoises mal baisées.
A suivre.
L’entreprise est délicate, comment allons-nous nous y prendre? En missionnaire, leur ventre risque de masquer toute l’opération et même l’introduction risque d’être difficile à l’aveugle, je ne parle pas des nombreux dérapages qui risquent de se produire tellement la longueur disponible pour effectuer une translation est courte.
- Comment avez-vous procédé avec les autres filles? Demande Camille intriguée.
- Nous l’avons jamais fait, avoue premier.
- Nous n’avons eu que des pipes,, ajoute second.
Nous comprenons que la situation est grave mais peut-être pas désespérée. Nous sommes avides de faire découvrir ce plaisir à nos gros nounours, et ce serait un réel amusement de les dépuceler.
Camille nous propose une solution acrobatique consistant à renverser nos cobayes: les épaules à terre, le cul en l’air et nous les enjamber et guider leur zizi vers le graal. Mais la position est très instable, ils perdent leur équilibre et s’écrasent par terre sans discrétion, nous entraînant quelques fois dans leurs chutes et cela fait un barouf d’enfer qui risque d’éveiller des interrogations de l’autre côté du rideau. Finalement après plusieurs essais, nous abandonnons cette méthode.
Moi je propose de le faire en levrette. Et je demande à Camille de se glisser dessous pour superviser les opérations et en guidant l’aiguille dans le chas (ou le chat). Effectivement ça marche, premier réussit sa première, il me lime doucement et c’est pas si mal surtout que Camille lui lèche les couilles et elles sont de taille tout à fait normale voir même un peu gonflées à bloc pleine de notre boisson favorite.
En dehors du terrain, second poursuit son échauffement, il fait des étirements, des courses dans le vide, des va et vient incessants pour être prêt à rentrer sur la pelouse (tondue à ras).
Premier, après quelques minutes de jeu, demande déjà à être remplacé pour ne pas être mis hors jeu dès la première période. Second lui succède à l’avant et à l’aide de Camille part droit au but comme on dirait à Marseille et entre le ballon dans la cage, c’est un magnifique but dès son entrée, il reçoit les félicitations des spectateurs.
Mais lui aussi ne résiste pas à la pression, il est vrai que le terrain est humide et glissant, les dérapages fréquents, heureusement que Camille rattrape des situations compliquées et réussit à coordonner des actions miraculeuses juste avant la mi-temps.
Pour la 2ème période, je fais une passe à Camille, nos footballeurs sont tout ragaillardis après cette petite pause. C’est maintenant à elle de contenir les assauts de nos deux gaillards, premier repart à l’attaque, et moi j’arbitre sa bite, pas de tacle par derrière ni de mauvais coup, parfois elle sort en touche et je fais une remise en jeu.
Après plusieurs fautes et l’imminence d’ un carton jaune, premier laisse sa place à second, j’en profite pour humidifier avec ma langue le terrain.
Le rentrant a pris confiance en lui et déclenche un tir qui frôle la petite lucarne de Camille, attention c’est à la limite du carton rouge, finalement il s’en tire avec un jaune de la part de celle-ci. Portant il ne s’en laisse pas conter, il tente un dribble parfaitement réussit puisque Camille approuve d’un cri d’encouragement, il exulte et s’enthousiasme en essayant un petit pont et même un grand pont pour finir par le coup du sombrero.
Mais attention à ne pas se réjouir trop vite, une blessure est si vite arrivée, surtout que Camille inonde à son tour le terrain qui devient impraticable. Un claquage de la bite serait catastrophique c’est pour cela que je siffle la fin du match. Comme c’est une confrontation amicale, et qu’il y a match nul, un partout, nous ne procéderons pas à une séance de tirs au but pour départager nos joueurs, tant mieux je veux profiter de la 3ème mi-temps pour me désaltérer, car j’ai grand soif.
Nos deux puceaux ont tenu le coup sans se faire expulser, et comme tout bon sportif qui se respecte, il faut procéder au décrassage dès la fin de la rencontre. Camille et moi leur retirons leurs protège-tibias et pratiquons un massage (buccale) salvateur, cela avant de passer sous la douche (de sperme).
Tellement groggy et épuisés, nos sportifs du dimanche n’ont pas les capacités d’un coureur de fond et le sprint final est assez court mais très intense. Camille et moi sommes passées pro dans le contrôle de cette dernière épreuve qui aujourd’hui est plus proche d’un 50 mètres que d’un marathon pour nos deux athlètes en herbe.
Toutefois, nous apprécions à sa juste valeur, l’esprit d’équipe et le don de soi dont font preuve nos bipèdes ( car si parfois nous pouvons parler d’une 3ème jambe ce n’est pas le cas ici, la taille était nettement insuffisante).
Camille et moi recevons quand même une juste récompense pour avoir bien coatchées nos débutants. Et comme ils n’ont jamais fait pratiquer une telle activité physique à leur petite zigounette, ils se libèrent de tout le stress accumulé et se vident complètement sur nos belles frimousses. Oh mes aïeux, quelles puissantes fontaines possède-ils! Nous subissons un arrosage massif, je n’imaginais pas que de si minuscules lances pouvaient propulser un tel jaillissement de colle pour minettes. Il est vrai que nous avions remarqué que leur réservoir était plutôt saturé. N’empêche que nous sommes bien barbouillées même en retirant la part des anges ( que nous sommes) non négligeable que nous avons volontairement dérobée pour goûter à leur liqueur intime. Comme vous le savez maintenant, c’est toujours pleines d’ivresse que nous espérons ce moment.
- Pas cap de sortir comme ça! Nous lance premier.
- Tu vas voir mon gars, répliqué-je en enfilant ma robe et prenant la main de Camille qui a fait de même.
Et dans un style théâtral, nous ouvrons le rideau des artistes pour défiler le visage dégoulinant de sperme dans ce magasin huppé à la stupeur de toutes les clientes et du personnel féminin.
Ici c’est ravies! Que nous quittons ce repère de bourgeoises mal baisées.
A suivre.
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