Camping avec nos amis (4)

- Par l'auteur HDS Verjea -
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Récit libertin : Camping avec nos amis (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Camping avec nos amis (4)
Ma douce s’astreint à sa première tâche matinale, avec gourmandise. Et sans surprise, une fois qu’elle a pris du plaisir à finir de me faire gonfler la verge dans sa bouche, elle se positionne en levrette pour que je la prenne profondément. Je ne me laisse pas prier, je me positionne derrière elle. Et comme à chaque fois, elle me laisse le choix de l’orifice. Cette fois, j’introduis mon sexe lubrifié doucement, à l’intérieur de sa minette très humide. Je m’enfonce centimètre par centimètre et je me cale au fond de sa grotte magique. Ma soumise se dandine pour sentir encore plus, cette sensation d’être remplie. Je laisse la pression pour que mes bourses caressent son clito. Elle gémit, passe sa main vers son bas ventre, et je sens mes couilles caressées, puis pressées. J’adore ça, elle le sait. Je commence des allers-retours, ma queue est luisant de ses humeurs féminines. Je suis excité aussi, par cette odeur de chatte humide qui se dégage à chaque extraction de ma pine. Je limite mes pénétrations juste sur l’entrée du puit des plaisirs, pour que mon gland frotte, car le plaisir du montant, fait que l’orifice se referme instinctivement. Mes mains sont posées sur ses fesses, elles opèrent une pression vers l’extérieur pour les points d’introspections soient bien ouverts. Je sens que je vais craquer, j’accélère le limage. Je ne suis pas quelqu’un qui est capable de retenir son orgasme, par contre, je fais en sorte que la jouissance soit au maximum pour moi afin de la prolonger jusqu’à ma coquine. Elle adore se sentir souillée de mon jus. Nos corps restent en osmose, nous jouissons ensemble en retenant nos expressions vocales. On reste profiter de l’après, l’un contre l’autre, nos respirations ralentissent doucement. On s’embrasse tendrement et on se dit qu’on s’aime à la folie.
Ma chérie saute du lit, va à la salle de bain, je prends un short et je me pose sur la terrasse après avoir préparé le petit déjeuner pour tous les deux, car nos amis ont organisé une sortie en famille pour toute la journée. Ma chérie se pointe sur le pas de la porte de notre bungalow habillée légèrement, mais fait demi-tour.
- Bonjour Jacques
La voix provient de derrière moi, je me retourne et je vois Patrice et Joël tout transpirant en tenue de jogging.
- Bonjour les sportifs, vous finissez votre footing
- Bonjour Jacques, poursuit Joël, comme tous les matins
- Et bien, cela ne rigole pas chez vous
- Il faut bien garder la forme. Et notre italien préféré n’est pas réveillé, il a du mal à récupérer de sa victoire ?
- Non, ils sont partis pour la journée
- Bonjour Virginie, lance Patrice avec un grand sourire
Je me retourne et je vois ma sirène avec son peignoir noir en soie et ses escarpins d’été rouge.
- Bonjour les garçons, Ou allez-vous dans cet état ?
- On finit notre footing, Tu es resplendissante ce matin
- Oh merci, c’est gentil
- Mais, hier matin, tu étais encore plus rayonnante quand on est passé.
- Ah bon, comment çà
- Et bien, on est a stoppé net, quand tu t’es penché, une vue magnifique
Virginie se tait et rougit
- Vous êtes bien tombé. Reprenant le dialogue
- Ah oui, poursuit Joël, et c’est encore mieux au touché
Patrice se retourne vers son ami, il ne comprend pas…. C’est le seul
- Prenez le temps de boire un coup
Ils ne se font pas prier, ils montent sur la terrasse et s’installent à table.
- Vous prenez quoi
- De l’eau fraiche si possible
Virginie va chercher le nécessaire et le pose sur la table. Sa ceinture est outrageusement détendue, qui laisse à la vue de nos joggeurs des seins libres et une échancrure au niveau des haches, qui indique que ma belle est nue. Les sourires sont sur leur visage et aussi sur celui de ma provocatrice. Elle s’assoie à côté de moi et en face de nos voyeurs. Et elle fait en sorte qu’ils en prennent plein les yeux, en entrouvrant les cuisses.
- Bon, alors vous avez prévu quoi d’autre pour cette journée, dis-je
- Et bien, ce matin, on va au marché avec les enfants, repas, petite sieste et surement piscine, réponds Joël, en matant sans discrétion Virginie
- Beau programme, nous, on va profiter d’être avec les enfants ce matin, manger, sieste et, comme vous piscine
- Vous pouvez passer faire la sieste avec nous.
- Heu, je crois qu’on a des enfants à gérer
- Oui, mais si vous voulez, on peut missionner ma grande fille pour venir garder dans votre bungalow tous les enfants, elle aime bien jouer à la nounou
- Merci pour la proposition, mais cela va être…
Virginie m’interrompt.
- Vous avez un seul bungalow pour vous tous ?
- Non, on a deux habitations, mais comme on est propriétaire, on a aménagé sur un troisième endroit où il y a un jacuzzi et de quoi faire la sieste.
- Ah c’est cool çà, j’aime bien le jacuzzi
- Et ben, venez alors…
- Ok, ça marche, vers quelle heure ?
- 14h, pour le café, c’est bon ?
- Vous êtes où ?
- On est au fond du camping dans cette direction, vous ne manquerez pas, on a nommé nos emplacements « du plaisir pour tous »
- Joli nom
Les gars avalent leur verre et nous salue en reprenant leur course gaiement. On n’a pas le temps de souffler que les enfants se lèvent. Virginie réajuste son peignoir et passe en mode « maman ». On profite des enfants, on joue avec eux, on prépare des desserts pour l’après-midi et pour amener chez nos nouveaux amis. On mange, on explique que Samantha va venir jouer avec eux cette après-midi et que l’on va s’absenter. Ils sont ravis d’avoir Samantha et ils n’ont rien à battre qu’on se ne sera pas là. Je vais prendre une douche, j’ai encore les odeurs matinales de ma chérie sur moi. Je m’habille très léger, un ensemble en lin blanc, et je mets dans une poche des préservatifs. Virginie sort en mini-bikini, avec par-dessus un poncho léger qui cache sa quasi nudité (On doit traverser le camping), montée sur ses escarpins d’été qui galbent à merveille ses mollets et remontent ses fesses. Samantha arrive accompagnée des enfants de nos amis, on lui dit qu’il y a tout ce qu’il faut dans le frigo et sur la table de la terrasse pour nourrir toute la tribu. On s’échappe, main dans la main, avec nos cookies et une bouteille de mousseux.
- Je suis très excitée, commence ma belle
- Moi aussi, c’est bon
- J’espère qu’on va bien s’amuser
- Oh, je ne me fais pas de souci, tu les as tellement allumés ce matin.
Moi ? à peine
On arrive devant l’emplacement « du plaisir pour tous », deux bungalows avec les terrasses vides donnant sur la route, une porte entre les deux, qui fait deviner qu’il y a une dépendance commune derrière. On frappe à la porte, c’est Joël qui ouvre, habillé d’un paréo.
Bienvenus les amis, rentrez.
On rentre, sur la droite des bains de soleil, à gauche un bar extérieur et au bout, une cabane.
- Avancez-vous et mettez-vous à l’aise
- Tiens des gourmandises faites ce matin et un peu de bulles
- Merci, mais ne fallait pas… tu n’as pas trop chaud Virginie ?
- Oh si.. Elle pose son poncho sur un tabouret du bar
- Quelle beauté !! s’exclame-t-il
Il s’empresse de passer la main sur la hanche de ma belle, qui se laisse bien évidemment faire. D’autant plus, qu’une bosse apparaît sous son paréo. Une main baladeuse de Virginie vient malencontreusement heurter la boursouflure.
- Oh pardon.. dit-elle
- C’est un plaisir, répondis-t-il, avancez-vous, les filles sont dans le fond
On prend la direction de la cabane, on rentre, on a deux banquettes sur la droite, ou Patrice est allongé avec un verre de champagne, lui aussi en paréo. Et sur la gauche, les femmes dans le jacuzzi, nues.
- Coucou les amis, bienvenus commence Evelyne
- Hello les filles, vous allez bien, dis-je
- Allez Virginie, vient nous rejoindre !!!
- D’accord, j’arrive.
- Mets-toi à poil, ton bikini est fait pour affoler les mecs, là on sera entre filles.
Joël qui n’avait pas lâché ma belle, lui demande si elle veut bien. Il a eu un baiser sur la bouche en réponse, et il tira sur les deux ficelles pour que Virginie se trouve nue. Elle se retourne, et commence à caresser le paquet de Joël, mais elle n’a pu aller plus loin.
- Tu t’occuperas des mecs après, on te veut ici, petite vicieuse, lance Laure.
Elle enjambe le côté du jacuzzi et vient s’assoir entre les deux filles, qui viennent galocher chacune leur tour la bouche de l’invitée. Joël ressort pour aller chercher des verres et ouvre notre bouteille sur une table basse à côté des banquettes. Patrice passe sa main libre sous son paréo et commence à se masturber. J’avoue que je commence à être un peu serré, car la vue de ses 3 paires de seins au-dessus de l’eau tourbillonnante se frottant l’une à l’autre, est très bandante. Aucune parole sort, on a que le brut du jacuzzi. Les filles se caressent, s’embrasse, se passe des mains, des gémissements commence à se fait entendre. Je reconnais, c’est virginie… Elle se fait bien peloter de partout par les deux sirènes.
- Elle va prendre chère ta compagne, les deux sont bouillantes… dit Patrice qui se paluche sévère…
- Je vois cela, elle est prise par un beau duo…
- Elles en parlent depuis 3 jours, dommage qu’Amandine ne soit pas là
- Ouf, je ne suis pas sûr qu’elle serait venue, c’est nouveau tout çà pour eux
- Ah bon, ils ne sont pas libertins ?
- Et non, mais Virginie a entrepris de leur faire découvrir
- Elle est une vraie chaudière ta meuf, elle va dévergonder Amandine, alors ?
- On verra…
Je vois ma belle, s’abandonner aux caresses vicieuses des deux comparses, qui avaient bien dû préparer leur coup. Elle sort les bras de l’eau et les mets sur le bord du jacuzzi, elle laisse aller sa tête en arrière et je vois ses jambes très écartées. Evelyne malaxe ses seins et embrasse goulument l’échouée, Laure se place entre ses jambes et entame un doigtage sévère. En deux minutes, un premier orgasme se déclenche, les investigatrices sont satisfaites, mais pas assez. Laure va chercher derrière le Jacuzzi un plug anal et un gode de bonne taille. Evelyne passe sous la future victime, la retourne et la met à 4 pattes et bloque ses bras. La position fait ressortir ses fesses de l’eau. Laure plante d’un coup le plug dans le cul de Virginie, qui pousse un cri étouffé par un baiser d’Evelyne. Ensuite, elle commence à introduire le gode dans sa chatte. Elle n’a pas besoin de forcer, le précédent orgasme l’a lubrifiée. Elle introduit l’engin de 25 cm entièrement. Je ne suis pas étonné de la taille car elle en a de plus gros à la maison.
- Je le savais que tu étais une grosse salope, parle Laure, regardez-les mecs, elle encaisse bien !!!
Patrice se lève.
- Ah oui, j’en étais sûr, je vais lui faire sa fête
- Pas touche minou, elle est à nous, tu verras plus tard
- Putain, elle m’excite…
- Et attend, on va voir comment elle résiste à çà.
Elle entame une série de pénétration de l’engin, dès le début, des gros gémissements sortent de la gorge de l’assiégée. Joël, la bite en érection, vient se placer à la haute de sa bouche et celle d’Evelyne. Les deux lèchent le membre très épais de plus de 22 cm, le suce sur toute sa longueur, chacune leur tour. Enfin, ma chérie fait ce qu’elle peut, car la pénétration répétée de la masse en silicone lui fait accéléré la respiration. Laure actionne un mode vibrant et poursuit les mouvements. Et là, je vois les fesses de ma douce bouger dans tous les sens, ses jambes tremblent, ses reins se courbent pour mieux recevoir l’engin et elle jouit très fort en sortant un cri strident. Un spectacle incroyable, je ne l’avais jamais vu prendre son pied aussi fort avec des femmes. On a tous une gaule d’enfers. Les filles l’entourent et la laisse redescendre, elles l’embrassent tendrement, la masse gentiment.
- Bon, on se la boit cette bouteille, lance Joël, la trompe tendue et heureux d’avoir été pompé par deux bouches.
Tout le monde sort, Evelyne vient à moi, pour m’embrasser goulûment
- Tu es bien accompagné d’une belle cochonne mon salaud
Suivi de Laure qui baisse mon short, se penche et me prend en bouche, fait un aller-retour et remonte m’embrasser
- Celle-là, je la veux en moi tout à l’heure
Je suis figé, j’aide Virginie à sortir du bain, elle titube…
- Et bien, tu en as pris pour ton grade
- Ah oui, punaise que c’était bon, elles savent y faire.
- Tu te rappelles que tu as un plug dans le cul, quand même
- Oui, oui, d’ailleurs j’ai eu du mal à le garder, car j’ai joui du cul aussi. Tu as vu, à mon avis, c’est une obligation ici, elles en sont toutes équipées… Une idée de règles à mettre à la maison sans les enfants…non ?
- Et bien, oui, c’est validé
- Oh, je t’aime mon adoré.
Toute monde s’est allongé sur les bains de soleil, tous à poil, Joël se charge de servir. Virginie a mis ses lunettes de soleil, mais je vois bien qu’elle mate le paquet de Joël. Il vient servir ma belle en dernier, en restant debout pour que sa bite soit à hauteur de sa bouche. Et bien sûr, elle n’a pas résisté à la lécher, elle boit une gorgée de champagne du verre qui lui a présenté et revient lui gober le gland. Elle entame des aller-retours et bave le liquide. Cela coule sur ses seins et il ne manque pas de lui les lécher
Laisses la tranquille, elle doit récupérer un peu, dit Laure
On attaque une discussion de tout et de rien, comme si on était amis depuis longtemps. On apprend qu’ils sont exclusifs, c’est-à-dire qu’ils baissent entre eux, sans capote. Que cela arrive qu’ils s’échangent les couples pour partir chacun de leurs côtés, sans les enfants. Les uns vont au cap et les autres dans les landes. Joël s’est placé sur un côté de ma douce, il est aux anges, car elle lui caresse le sexe. Patrice est de l’autre côté, et a posé sa main sur le haut de sa cuisse. Moi, je suis entre les deux filles, qui restent sages. On déguste le café, les gâteaux mangés, et on va attaquer la seconde bouteille de champagne que Patrice est allé chercher.
- Et bien, ma belle, il te plait mon mec ? Lance Evelyne
- Oui, assez
- Je vois bien que tu baves devant
- Ben, il a des arguments qui attirent l’œil et ma main
- Ah oui, et il sait bien s’en servir, mais Jean est bien monté aussi… tout à l’heure notre séance aquatique l’a bien mis en forme et cela m’a bien motivé pour te goder
- J’ai bien senti cela. C’est vrai, mais j’aime bien gouter aux autres gourmandises qui passent, mais celle de Jean sera toujours la meilleure.
- C’est beau ce que tu viens de dire
- On parle de moi ? Revient Patrice, bouteille en main accompagné d’une boite de préservatifs.
- Non, Virginie trouve Joël bien monté
- A oui, elle dira peut-être le contraire quand je vais la démonter ?
- Peut-être mon amant préféré, Sers-nous une autre coupe, nous on va s’occuper de son mec, pendant que vous lui ferez sa fête.
Il passe devant nous 3, nous serre, avant de se diriger vers Joël et Virginie, il sert les trois verres sur la table, et se présente à ma belle, la queue juste à hauteur de sa bouche, qu’elle ouvre volontiers pour accueillir cette verge demi-môle. Joël se fait toujours branler et à la gaule depuis le début des caresses. La main de ma branleuse chérie, fait de long aller-retour lents et en tournant le poignet sur la totalité des 22 cm. Qui peut être a grandi après l’attention qu’elle y porte depuis 20 minutes. J’ai à peine eu le temps de boire mon verre, et de contempler ma belle s’occuper des deux queutards, qu’Evelyne vient mettre en position allongée mon bain de soleil, enlève mes lunettes, me plaque littéralement et m’enjambe la tête et me place sa chatte sur le bouche.
- Bouffes-moi le minou, j’attends çà depuis trop longtemps
- Surpris dans un premier temps, je sors ma langue que je la plaque sur le haut des lèvres de ma cavalière.
Au contact, j’ai su que j’avais trouvé un point sensible, juste au-dessus de son clito déjà bien à découvert, car elle a donné un coup de rein
- Oh, tu as trouvé du premier coup de langue !!! Vas y
Contrairement à ce qu’elle pensait, je n’ai pas essayé de lécher la zone, j’ai plutôt l’option de lancer plaquer ma langue et d’imaginer que j’ai une sucette dans la bouche, dont je veux garder un maximum de temps le goût. Je varie la force de la pression légèrement. Les hanches subissent des chocs de plus en plus forts
- Oh putain, tu fais quoi là, c’est ahhhhh bon !!!!!!
Elle me prend la nuque, pour augmenter l’intensité. Je continue la caresse tout en douceur et en tension, qui paradoxalement génère une énergie folle aux creux de ses reins. De mon côté, je ne peux que m’occuper de cette belle chatte lisse, je n’ai vu sur rien d’autre, mais j’ai la queue en tension totale, car donner du plaisir à une femme de cette façon m’excite énormément. Et puis, je sens une main se positionner sur la base de ma queue pour la lever et l’autre me la capote doucement et pour enfin sentir une chaleur l’envahir qu’aux couilles.
- Ah oui, elle est en moi, qu’elle est bonne !!! crie Laure.
Elle s’est empalée dos à moi, et qui me baise tout en regardant ma belle commencer à être débordée par les deux copains, qui ont l’habitude de ce genre de situation. Je l’entends s’étouffer, elle doit se prendre une queue en gorge profonde…. Elle adore çà….
- Oh reste comme cela, hoooo, j’ai besoin de gicler… dit Evelyne entre deux soupirs… doigte moi la chatte
Je ne réfléchis pas, je passe une main entre ses cuisses, je choisi le pouce, plus pratique pour limer dans cette position et je le plante entièrement dans son minou très humide.
- Oh salaud !!! c’est bon çà … harggggg !!! encore !!!!
Je fais une dizaine aller-retour du plus profond que je peux, jusqu’à que ma main se couvrait de cyprine. Evelyne gémit de plus en plus fort. Je sens Laure me chevaucher sévère, j’ai l’impression que je tape au fond, et qu’à chaque butée, elle sort un petit cri. Je décide d’écarter les jambes, ce qui a pour objectif qu’elle se plante encore plus profond. Elle comprend la manœuvre et se replace entre mes jambes et vient se replanter… mais, l’orifice est plus étroit… elle a dû enlever son plug. elle se sodomise sur ma queue. Je sens la pression augmenter au fur et à mesure de la descente. Je sens un fluide glacial, elle a dû se mettre un gel pour faciliter l’introduction. Et j’en profite pour titiller le plug anal de la rondelle d’Evelyne. Elle sent la pression sur sa porte de derrière, et elle bascule les reins en arrière, je pousse le bijou et j’arrive à le faire tourner un peu.
- Je viens !!!!!!!!!!!!!!!!
Et j’ai un torrent de liquide chaud me claque la figure, je suis surpris, je lâche la prise et j’ouvre ma bouche afin d’en boire un maximum, mais je n’y arrive pas, il y a une grosse pression, cela me passe dans le nez, les yeux, les cheveux. J’adore çà… A peine le premier orage pris, je sors mon index de son minou et je saisi la base du plug avec mon index pour le faire presque sortir et réentrer. Ce qui déclenche 5 autres giclées aussi fortes les unes que les autres. Ma doigtée ne se contrôle plus, elle s’affaisse sur mon torse et bascule en arrière, prend appui sur le dos de Laure. Ce qui me permet de voir la source du torrent et d’admirer ses lèvres gonflées de plaisir, éjecter les deux jets. J’ai du liquide qui passe dans les oreilles, ce qui m’empêche d’entendre clairement les cris des miss. Après s’être vidée, Evelyne me libère la vue en se levant et en m’embrassant :
- Tu es un gros vicieux et j’adore çà… d’ici la fin de semaine, je veux que tu me baises !
Comme le corps souillé d’Evelyne me libère l’horizon, j’ai en premier plan le tatouage de Laure, un papillon, placé au-dessus de ses fesses, qui essaie de prendre son envol. Mais, il ne décolle pas plus de 18 cm, avant de s’écraser sur mes bourses, faisant sortir des cris de plus en plus fort à sa propriétaire à chaque crach. Et en second plan, je vois Virginie à quatre pattes, bien prise en levrette par Patrice et Joël en 69 dessous, en train de se faire bouffer la queue et le nez planté dans la chatte de ma belle. Et elle prend un pied de fou, elle avale le pieux de Joël jusqu’à s’en étouffer, tout en poussant des cris assourdis à chaque fois que son compère l’encule. Le pineur prend bien le soin de sortir entièrement sa queue et de la planter d’un coup jusqu’aux couilles….
- Patrice vient me prendre…. J’ai envie d’être prise en sandwich… Lance Laure
- Mais, j’encule Virginie, elle a un cul d’enfer
- Peut-être, mais ta femme, qui se fait défoncer le cul, t’ordonne de quitter ta capote pour venir la saillir,
- Là, tu m’excites ma petite salope, j’arrive…
Il fait les quelques pas qui sépare les deux scènes…. Et vient embrocher sa belle sans ménagement. Je sens aisément sa queue rentrer et les mouvements de la séance de baise, car la membrane est très fine entre les deux orifices. Il la défonce comme dans un film porno, cela claque très fort.
- Oh oui…. Je suis une belle salope, hein… t’aime me baiser quand j’ai une grosse queue dans mon cul
- Je vais te défoncer !!!!
- Vas y défoncer moi tous les deux
Depuis l’arrivée de Patrice, je n’avais osé faire de mouvement, je me suis mis à bouger au rythme imposé par son mari (enfin, une fois sur deux) pour qu’elle puisse sentir l’enculage aussi. En même, je vois Joël parler à l’oreille de ma douce et lui répondre :
Pas là, tu es trop gros, on verra après. Je veux te chevaucher…
Joël reste allongé et prend son chibre en main, la capote en récupérant un préservatif dans la boite amenée par Patrice, en attendant que ma belle se tourne. Le travail buccal a fait son effet, il avait épaissie au moins de 2 cm et peut être grandi d’1 ou 2 cm. Je sais que ma belle adore ce type de bestiole dans sa chatte en cavalière. Elle s’y plante dessus, d’un seul coup doucement, en râlant au fur et à mesure de la prise.
- Je vais jouir mon cochon… ahhhh , crie Laure
- Viens ma belle pute … ne te retient pas
- C’est bon ahhhhhhhh
Je sens ma queue être compressée et je ne peux pas résister, je remplis ma capote dans un gros soupir…. Mais Patrice continu à baiser sa femme, moi, je suis sorti de l’orifice car ma queue est en berne
- Tu veux encore me baiser, mon salaud, tu n’as pas giclé….
- Non, je vais de saillir…
- Jacques doigte moi le cul….
J’arrive à passer la main sous ses fesses et je plante le pouce (le même que celui utilisé pour Evelyne, il est bien lubrifié).
- Oh oui, fais-le tourner …
Je m’exécute et le second orgasme vient immédiatement après le second tour, accompagné de celui de Patrice, qui finalement vient se vider sur les seins et le ventre de sa belle. 5 jets important et abondant. Tout le monde se relève, s’embrasse, se remercie de cette séance très sexe. Laure s’éparpille le jus de son mari en regardant le dernier coït actif. Il ne reste que Joël et Virginie qui batifole encore. Mais la fin n’est pas loin, Joël est tout rouge et ma chérie jouie pour la 3ème fois… Mais, elle sent que le suivant va être plus fort. Elle n’en peut plus d’être sur les cuisses pour se planter sur ce gros pieux. Elle décide de glisser totalement sur sa longueur, et cela ne manque pas. Comme à son habitude, après avoir été bien pilonnée, elle se finit par le frottement du clitoris. Ce qui déclenche une coulée très abondante portée par l’orgasme final…
- Oh putain, elle coule, j’en ai de partout… oh je viens …… Lâche Joël, apparemment, aussi friand que moi de jus de femme en chaleur
Tout le monde est rompu.
- Je crois qu’une bonne piscine, va rafraîchir tout le monde, lance Laure.
On se rhabille, on s’embrasse et on repasse la porte du « plaisir pour tous », (le lieu porte bien son nom) afin de revenir à la réalité. Le retour se fait main dans la main, les yeux brillants et le sourire au lèvre. On se regarde et on s’échange un « je t’aime », conscient d’avoir été dans une bulle intemporelle. On récupère les enfants impatients d’aller à la piscine et on se retrouve tous sur place. On se fait un cercle de bains de soleil. En fin d’après-midi Amandine, Alexendro et leur petite famille nous rejoint. Amandine et Virginie se mettent à part et chuchotent. Patrice propose de réserver une table à la pizzeria ce soir, juste avant la soirée dansante. Toute le monde valide, on se donne rendez-vous à 19h30.
Le jour 4 a été intense, mais il n’est pas fini… et on n’est qu’à la moitié des vacances…

Les avis des lecteurs

Voici des vacances qui feront date!



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