Candaulisme virtuel
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2023 dans la catégorie Plus on est
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Candaulisme virtuel
Depuis deux ans, Mario exerçait comme agent de maitrise sur une plate-forme pétrolière appartenant à un grand consortium. A ce titre, il bénéficiait d'une cabine individuelle et c'était un gros avantage pour converser avec son épouse Fabienne par skype. Si la plupart des échanges concernait la vie quotidienne de celle-ci, gérante d'un magasin de vêtements liés au sport de nature, ou sur leurs deux enfants adolescents, ils se ménageaient aussi des moments chauds pour vivre à distance leur sexualité de couple. Mario ne rentrait en effet au bercail que tous les trois mois et c'était très long pour l'un et l'autre. C'est pourquoi ils faisaient l'amour par ordinateur interposé. Nus face à l'écran, ils s'excitaient mutuellement par les mots et le geste. Mario avait son pénis dans la main, Fabienne son gode et ils baisaient virtuellement jusqu'à l'éjaculation de l'un et l'orgasme de l'autre.
Mario tenait d'autant plus à cette petite séquence intime qu'il savait Fabienne très courtisée dans son magasin. Blonde, athlétique mais sans excès, toujours joviale, elle était naturellement attirante. Elle accentuait son sex appeal, soi disant à des fins commerciales, par des shorts courts ou des pantalons moulants mettant en valeur ses jambes fines et musclées ainsi que son postérieur rebondi. Son visage souriant sous sa crinière blonde généralement rassemblée en chignon faisait le reste. Mario craignait que le goût prononcé pour le sexe de son épouse ne l'incite à soulager sa tension érotique de manière circonstancielle, puisqu'il ne pouvait y répondre. Elle l'assurait que non, qu'il n'avait rien à craindre, mais il lui avait dit un jour :
- Je comprendrais que tu cèdes à tes pulsions mais alors, que tu le fasses par skype avec ton partenaire pour que je puisse participer, comme un trio.
Fabienne avait été surprise, mais ne s'était pas récriée.
- Tu es sérieux, là ?
- Je préfèrerais ça à ce que tu te fasse sauter en douce.
Il ne fut donc qu'à moitié surpris lorsqu'elle lui demanda un soir s'il était d'accord pour qu'elle baise avec un de ses fournisseurs, un dénommé William, devant l'écran comme il l'avait proposé.
- C'est juste un coup en passant, il est marié et ça n'ira pas plus loin.
- Tu en as vraiment envie ?
- Oui, il me désire vraiment et je t'avoue que j'en ai besoin. Skype, ça va un moment mais bon. William, je l'aime bien mais ce qui m'excite vraiment, c'est de le faire devant toi, que tu participes.
- Et il est d'accord ?
- Oui, sinon je ne l'aurais pas été. Alors ?
- Alors vas-y mais loin des enfants, hein ?
- Ne t'inquiète pas. Ils dormiront chez papy et mamie, depuis le temps qu'ils le demandent. Je te remercie mais attention. Il ne s'agit pas de faire l'amour, hein, mais de baiser. Ta bite me manque.
- J'espère que celle de William te satisfera.
- Moi aussi.
******
Mario était à la fois inquiet et excité. Fabienne allait quand même commettre l'adultère, qu'elle le veuille ou non, mais avec son consentement, ce qui s'apparentait à une forme de candaulisme. Ce William allait-il s'incruster dans leur vie, peut-être même l'évincer ? Mais en même temps, il était excité de la regarder se comporter dans le sexe avec un autre que lui. Il était donc impatient de voir arriver le jour J.
Il finit par arriver. C'était un soir où la mer était agitée, et Mario l'était tout autant. A la sonnerie de Skype, Fabienne apparut sommairement vêtue d'une nuisette à bretelles. Elle présenta William, un petit mec trapu et barbu, noir de peau, que Mario trouva assez peu sexy, ce qui le rassura.
Il le fut moins quelques minutes plus tard quand il fut nu et exposa sa queue. C'était une vraie matraque, longue, épaisse, dotée d'un gland proéminent, qui ballotait contre ses cuisses velues. Fabienne s'efforça de détendre l'atmosphère mais la tension dans la pièce était si palpable qu'elle déteignit dans la cabine de Mario.
Quand William debout, bien en vue de la caméra interne à l'ordinateur, se décida à retirer la nuisette en la faisant passer par dessus la tête de Fabienne, découvrant ses seins larges, Mario vit qu'il commençait à bander et c'était impressionnant. Fabienne l'astiquait et il la masturbait, tout en s'embrassant. Mario était dérouté par ces préliminaires montrant à quel point Fabienne avait envie de sexe. Accroupie, elle saisit le membre entre deux doigts et le porta à sa bouche, non sans écarter ses maxillaires tant le gland était déjà volumineux. Elle soupesait les grosses couilles en même temps et y mit même la langue. Elle jetait un oeil à l'écran tout en pompant et Mario lui dit :
- Alors, c'est bon ?
- Mmmhhh, oui, j'adore ça, j'adore sucer, tu le sais très bien, dit-elle entre deux déglutitions qui témoignaient de la profondeur de sa pipe.
Puis elle se releva, posa un préservatif sur la queue monumentale, mis ses coudes sur la table au ras de l'écran et il put voir son visage en gros plan. Il devina qu'elle était pénétrée quand elle fit "hou !" et qu'un rictus de plaisir apparut sur ses lèvres. Les assauts de William devaient être toniques car son chignon se défit et ses cheveux ballotèrent au rythme des coups de boutoir. Le choc des peaux étaient perceptibles malgré les exclamations de Fabienne. Mario avait sa queue dans la main, rigide, et il ne put s'empêcher de lui parler :
-Tu la sens bien ? Elle te remplit bien ?
- Oh ouiiii. C'est boooonnn !
Mario baisait son épouse par procuration. Il retrouvait son expression quand elle le chevauchait. Mais la scène changea quand, après avoir manifestement joui, Fabienne se releva et orienta l'écran de manière à être vue de profil avec son amant. C'est alors qu'il prit véritablement conscience qu'un autre que lui baisait son épouse. Toujours prise debout en levrette, elle continuait à tourner la tête vers l'ordinateur mais Mario n'avait plus d'yeux que pour William. Et surtout sa grosse bite qui entrait et sortait à un rythme soutenu de l'antre juteux de Fabienne. Elle venait le chercher à grands coups de fesse, faisant claquer leurs peaux, l'encourageant de "vas-y, encore, continue" si bien qu'il se demanda si elle pensait encore à lui plutôt qu'à cette bite qui la régalait.
Lorsque William se retira pour se mettre accroupi et glisser sa langue entre les deux globes charnus, Mario comprit qu'il allait entrer là où il pensait disposer d'une exclusivité ad vitam aeternam. Non seulement Fabienne ne fit rien pour l'empêcher mais elle se cambra pour faciliter son introduction et l'autre entra par petits coups avant de s'engager totalement et de faire à nouveau claquer leurs peaux. Mario savait que la sodomie n'était pas un problème pour elle et son anus était rôdé depuis longtemps. Mais il n'aurait jamais imaginé qu'elle ose se faire enculer devant lui. Lorsqu'elle se retourna vers lui, il la reconnut à peine. Ce n'était plus la commerçante, l'épouse, la mère mais une femelle en chaleur au visage déformé par le plaisir, à la voix rauque, au corps chahuté et en demande. Elle eut un nouvel orgasme et William se retira prestement en se comprimant la queue pour ne pas éjaculer. Mario devrait donc encore subir (ou jouir) de ces ébats extraconjugaux dans il était le témoin à distance.
Elle parut reprendre un peu ses esprits et se tourna vers lui tandis que William changeait de capote.
- Chéri, ça va ? Tu aimes ?
- Moins que toi, apparemment.
- C'est à toi que je pense.
Mario en doutait fort, mais ne releva pas. D'autant que le couple passait à une autre phase. Fabienne étendait sur le sol un couvre-pied qu'il connaissait bien, s'y allongea face à l'écran qu'elle avait préalablement orienté vers le bas et William, bras tendus, la pris en missionnaire. Ce que Mario vit alors, c'est un cul poilu qui virevoltait entre deux cuisses musclées, des grosses couilles ballotantes, un pénis puissant pilonnant une chatte gluante, les pieds de sa femme aux orteils rétractés, les plantes tournées vers le plafond, ses mains caressant alternativement fesses et dos, comme si Fabienne avait voulu qu'il se projette dans la bête de sexe qui la faisait jubiler. Il ne voyait pas son visage mais il voyait ses pieds qui parlaient pour elle. Elle les prit en mains pour s'ouvrir un max puis les abandonna pour qu'ils talonnent les reins de son amant, les reprit encore pour faire glisser ses jambes sur les épaules de l'homme en rut, survolté par cette femelle qui lui criait à l'oreille sa joie d'être baisée, vraiment baisée. Il éjacula enfin en grognant et Mario put enfin gicler à son tour dans sa main poisseuse de son sperme épais. Allongée haletante, Fabienne récupérait de son orgasme foudroyant. Puis elle s'assit et tourna la tête vers l'écran :
- Alors chéri, tu as joui ?
- Oui. Mais quel pied tu as pris !
- C'était toi mon amant, répéta-t-elle.
- Tu remercieras William de ma part, dit-il, un brin ironique.
Et il coupa la retransmission.
****
Il bouda quelques jours, refusant d'ouvrir son ordinateur portable aux heures où Fabienne était censée l'appeler. L'avait vu jouir, ô combien, avec un autre homme que lui, pas très sexy mais fort viril, faisait un peu mal à son égo. Mais il finit par admettre qu'il l'avait bien cherché puisque c'est lui qui avait émis l'idée de cette baise virtuelle à trois. Et il l'appela.
Fabienne était heureuse de lui parler. Elle lui répéta qu'elle n'avait pensé qu'à lui en forniquant avec William et il lui en sut gré. Il lui dit qu'il avait décidé de démissionner de son poste. Ces éloignements prolongés mettaient selon lui leur couple en danger et elle ne le démentit pas. Il lui annonça qu'il allait rentrer prochainement au bercail et elle cria de joie :
- Je te promets un festival ! gloussa-t-elle.
Il en banda d'avance.
- Tu vas prendre cher, crois-moi.
- J'espère bien.
Et ils firent l'amour en virtuel en se disant des mots crus.
*****
Le jour du retour arriva enfin. Fabienne avait pris sa journée, laissant le magasin à son employée. Il se présenta en fin de matinée à la gare où son épouse l'attendait, vêtue d'une courte robe à dos nu révélant l'absence de soutien-gorge. Ils s'embrassèrent fougueusement, elle sentit son pénis dur sur son ventre et quand elle prit place au volant, les jambes légèrement écartées, sa robe remonta haut, révélant la quasi intégralité de ses cuisses. Tout en lui parlant, il la caressa et frôla son sexe. Elle ne portait pas de slip et elle lui fit une petite tape sur la main :
- Arrête, je conduis, attends un peu...
Mais quand ils furent rendus au domicile, à peine eut-il posé sa valise qu'il la souleva dans ses bras et la porta dans la chambre. Il voulait la baiser toutes affaires cessantes. Elle fit mine de protester mais elle en avait autant envie que lui. Ils se déshabillèrent mutuellement avec fébrilité et constatant manuellement qu'elle était déjà trempée, il fit fi des préliminaires et la pénétra en missionnaire avec une impatience et une vigueur qui la fit déjà crier de plaisir. C'étaient les retrouvailles d'un couple amoureux, avide du corps de l'autre, de s'unir par le sexe, de guetter l'orgasme pour atteindre la symbiose parfaite. Le coït fut bref, ils ne changèrent pas de position, elle accompagna ses ruées en posant ses pieds sur le matelas pour rouler des hanches et il expulsa un baquet de sperme qui dégoulina de sa fente et inonda le drap.
- Excuse-moi, lui dit-il, j'avais trop envie.
- Moi aussi mais la journée ne fait que commencer, lui dit-elle.
Ils déjeunèrent nus, frugalement et rapidement, car ils voulaient "remettre ça". Cette fois, l'accouplement fut beaucoup plus long. Ils prirent leur temps pour un 69 prolongé, dégustant leur sexe comme un plat rare. Comme il avait éjaculé depuis peu, il fut endurant et put la prendre dans diverses positions, toujours puissant et se régalant de son corps en mouvement permanent. Elle devint bavarde, lui parla de sa bite qui lui avait manqué et demanda carrément :
- Encule-moi maintenant.
Il ne pouvait pas éluder la scène où William l'avait sodomisée devant l'écran. C'était sa manière de lui dire qu'il avait repris ses prérogatives. Il s'y prit de telle manière, langue et doigt, qu'elle put à nouveau atteindre l'orgasme anal une fois qu'il se serait introduit. Il modéra ses va et viens avant d'accélérer le rythme, faisant claquer la peau de son bas-ventre sur ses fesses, et quand il vit la chair de poule envahir son dos, il éjacula quelques gouttes de sperme, restant collé à elle quelques minutes. Il eut le sentiment d'avoir pris sa revanche...
Ils parlèrent longtemps, nus dans le lit, avant le retour des enfants. Puis ils s'en retournèrent à la cuisine pour débarrasser la table, mais quand il la vit devant l'évier, toujours nue, ce fut plus fort que lui. Il la pénétra debout en lui relevant une jambe et la fit jouir une nouvelle fois, extasiée, reconnaissante... Ils avaient à la fois fait l'amour et baisé.
La suite fut plus classique. La famille réunie fêta le retour du père, qui prit ses dispositions pour évoluer professionnellement. Fabienne retourna à son magasin, les enfants au collège et au lycée, mais Mario n'entendit plus parler de William.
Mario tenait d'autant plus à cette petite séquence intime qu'il savait Fabienne très courtisée dans son magasin. Blonde, athlétique mais sans excès, toujours joviale, elle était naturellement attirante. Elle accentuait son sex appeal, soi disant à des fins commerciales, par des shorts courts ou des pantalons moulants mettant en valeur ses jambes fines et musclées ainsi que son postérieur rebondi. Son visage souriant sous sa crinière blonde généralement rassemblée en chignon faisait le reste. Mario craignait que le goût prononcé pour le sexe de son épouse ne l'incite à soulager sa tension érotique de manière circonstancielle, puisqu'il ne pouvait y répondre. Elle l'assurait que non, qu'il n'avait rien à craindre, mais il lui avait dit un jour :
- Je comprendrais que tu cèdes à tes pulsions mais alors, que tu le fasses par skype avec ton partenaire pour que je puisse participer, comme un trio.
Fabienne avait été surprise, mais ne s'était pas récriée.
- Tu es sérieux, là ?
- Je préfèrerais ça à ce que tu te fasse sauter en douce.
Il ne fut donc qu'à moitié surpris lorsqu'elle lui demanda un soir s'il était d'accord pour qu'elle baise avec un de ses fournisseurs, un dénommé William, devant l'écran comme il l'avait proposé.
- C'est juste un coup en passant, il est marié et ça n'ira pas plus loin.
- Tu en as vraiment envie ?
- Oui, il me désire vraiment et je t'avoue que j'en ai besoin. Skype, ça va un moment mais bon. William, je l'aime bien mais ce qui m'excite vraiment, c'est de le faire devant toi, que tu participes.
- Et il est d'accord ?
- Oui, sinon je ne l'aurais pas été. Alors ?
- Alors vas-y mais loin des enfants, hein ?
- Ne t'inquiète pas. Ils dormiront chez papy et mamie, depuis le temps qu'ils le demandent. Je te remercie mais attention. Il ne s'agit pas de faire l'amour, hein, mais de baiser. Ta bite me manque.
- J'espère que celle de William te satisfera.
- Moi aussi.
******
Mario était à la fois inquiet et excité. Fabienne allait quand même commettre l'adultère, qu'elle le veuille ou non, mais avec son consentement, ce qui s'apparentait à une forme de candaulisme. Ce William allait-il s'incruster dans leur vie, peut-être même l'évincer ? Mais en même temps, il était excité de la regarder se comporter dans le sexe avec un autre que lui. Il était donc impatient de voir arriver le jour J.
Il finit par arriver. C'était un soir où la mer était agitée, et Mario l'était tout autant. A la sonnerie de Skype, Fabienne apparut sommairement vêtue d'une nuisette à bretelles. Elle présenta William, un petit mec trapu et barbu, noir de peau, que Mario trouva assez peu sexy, ce qui le rassura.
Il le fut moins quelques minutes plus tard quand il fut nu et exposa sa queue. C'était une vraie matraque, longue, épaisse, dotée d'un gland proéminent, qui ballotait contre ses cuisses velues. Fabienne s'efforça de détendre l'atmosphère mais la tension dans la pièce était si palpable qu'elle déteignit dans la cabine de Mario.
Quand William debout, bien en vue de la caméra interne à l'ordinateur, se décida à retirer la nuisette en la faisant passer par dessus la tête de Fabienne, découvrant ses seins larges, Mario vit qu'il commençait à bander et c'était impressionnant. Fabienne l'astiquait et il la masturbait, tout en s'embrassant. Mario était dérouté par ces préliminaires montrant à quel point Fabienne avait envie de sexe. Accroupie, elle saisit le membre entre deux doigts et le porta à sa bouche, non sans écarter ses maxillaires tant le gland était déjà volumineux. Elle soupesait les grosses couilles en même temps et y mit même la langue. Elle jetait un oeil à l'écran tout en pompant et Mario lui dit :
- Alors, c'est bon ?
- Mmmhhh, oui, j'adore ça, j'adore sucer, tu le sais très bien, dit-elle entre deux déglutitions qui témoignaient de la profondeur de sa pipe.
Puis elle se releva, posa un préservatif sur la queue monumentale, mis ses coudes sur la table au ras de l'écran et il put voir son visage en gros plan. Il devina qu'elle était pénétrée quand elle fit "hou !" et qu'un rictus de plaisir apparut sur ses lèvres. Les assauts de William devaient être toniques car son chignon se défit et ses cheveux ballotèrent au rythme des coups de boutoir. Le choc des peaux étaient perceptibles malgré les exclamations de Fabienne. Mario avait sa queue dans la main, rigide, et il ne put s'empêcher de lui parler :
-Tu la sens bien ? Elle te remplit bien ?
- Oh ouiiii. C'est boooonnn !
Mario baisait son épouse par procuration. Il retrouvait son expression quand elle le chevauchait. Mais la scène changea quand, après avoir manifestement joui, Fabienne se releva et orienta l'écran de manière à être vue de profil avec son amant. C'est alors qu'il prit véritablement conscience qu'un autre que lui baisait son épouse. Toujours prise debout en levrette, elle continuait à tourner la tête vers l'ordinateur mais Mario n'avait plus d'yeux que pour William. Et surtout sa grosse bite qui entrait et sortait à un rythme soutenu de l'antre juteux de Fabienne. Elle venait le chercher à grands coups de fesse, faisant claquer leurs peaux, l'encourageant de "vas-y, encore, continue" si bien qu'il se demanda si elle pensait encore à lui plutôt qu'à cette bite qui la régalait.
Lorsque William se retira pour se mettre accroupi et glisser sa langue entre les deux globes charnus, Mario comprit qu'il allait entrer là où il pensait disposer d'une exclusivité ad vitam aeternam. Non seulement Fabienne ne fit rien pour l'empêcher mais elle se cambra pour faciliter son introduction et l'autre entra par petits coups avant de s'engager totalement et de faire à nouveau claquer leurs peaux. Mario savait que la sodomie n'était pas un problème pour elle et son anus était rôdé depuis longtemps. Mais il n'aurait jamais imaginé qu'elle ose se faire enculer devant lui. Lorsqu'elle se retourna vers lui, il la reconnut à peine. Ce n'était plus la commerçante, l'épouse, la mère mais une femelle en chaleur au visage déformé par le plaisir, à la voix rauque, au corps chahuté et en demande. Elle eut un nouvel orgasme et William se retira prestement en se comprimant la queue pour ne pas éjaculer. Mario devrait donc encore subir (ou jouir) de ces ébats extraconjugaux dans il était le témoin à distance.
Elle parut reprendre un peu ses esprits et se tourna vers lui tandis que William changeait de capote.
- Chéri, ça va ? Tu aimes ?
- Moins que toi, apparemment.
- C'est à toi que je pense.
Mario en doutait fort, mais ne releva pas. D'autant que le couple passait à une autre phase. Fabienne étendait sur le sol un couvre-pied qu'il connaissait bien, s'y allongea face à l'écran qu'elle avait préalablement orienté vers le bas et William, bras tendus, la pris en missionnaire. Ce que Mario vit alors, c'est un cul poilu qui virevoltait entre deux cuisses musclées, des grosses couilles ballotantes, un pénis puissant pilonnant une chatte gluante, les pieds de sa femme aux orteils rétractés, les plantes tournées vers le plafond, ses mains caressant alternativement fesses et dos, comme si Fabienne avait voulu qu'il se projette dans la bête de sexe qui la faisait jubiler. Il ne voyait pas son visage mais il voyait ses pieds qui parlaient pour elle. Elle les prit en mains pour s'ouvrir un max puis les abandonna pour qu'ils talonnent les reins de son amant, les reprit encore pour faire glisser ses jambes sur les épaules de l'homme en rut, survolté par cette femelle qui lui criait à l'oreille sa joie d'être baisée, vraiment baisée. Il éjacula enfin en grognant et Mario put enfin gicler à son tour dans sa main poisseuse de son sperme épais. Allongée haletante, Fabienne récupérait de son orgasme foudroyant. Puis elle s'assit et tourna la tête vers l'écran :
- Alors chéri, tu as joui ?
- Oui. Mais quel pied tu as pris !
- C'était toi mon amant, répéta-t-elle.
- Tu remercieras William de ma part, dit-il, un brin ironique.
Et il coupa la retransmission.
****
Il bouda quelques jours, refusant d'ouvrir son ordinateur portable aux heures où Fabienne était censée l'appeler. L'avait vu jouir, ô combien, avec un autre homme que lui, pas très sexy mais fort viril, faisait un peu mal à son égo. Mais il finit par admettre qu'il l'avait bien cherché puisque c'est lui qui avait émis l'idée de cette baise virtuelle à trois. Et il l'appela.
Fabienne était heureuse de lui parler. Elle lui répéta qu'elle n'avait pensé qu'à lui en forniquant avec William et il lui en sut gré. Il lui dit qu'il avait décidé de démissionner de son poste. Ces éloignements prolongés mettaient selon lui leur couple en danger et elle ne le démentit pas. Il lui annonça qu'il allait rentrer prochainement au bercail et elle cria de joie :
- Je te promets un festival ! gloussa-t-elle.
Il en banda d'avance.
- Tu vas prendre cher, crois-moi.
- J'espère bien.
Et ils firent l'amour en virtuel en se disant des mots crus.
*****
Le jour du retour arriva enfin. Fabienne avait pris sa journée, laissant le magasin à son employée. Il se présenta en fin de matinée à la gare où son épouse l'attendait, vêtue d'une courte robe à dos nu révélant l'absence de soutien-gorge. Ils s'embrassèrent fougueusement, elle sentit son pénis dur sur son ventre et quand elle prit place au volant, les jambes légèrement écartées, sa robe remonta haut, révélant la quasi intégralité de ses cuisses. Tout en lui parlant, il la caressa et frôla son sexe. Elle ne portait pas de slip et elle lui fit une petite tape sur la main :
- Arrête, je conduis, attends un peu...
Mais quand ils furent rendus au domicile, à peine eut-il posé sa valise qu'il la souleva dans ses bras et la porta dans la chambre. Il voulait la baiser toutes affaires cessantes. Elle fit mine de protester mais elle en avait autant envie que lui. Ils se déshabillèrent mutuellement avec fébrilité et constatant manuellement qu'elle était déjà trempée, il fit fi des préliminaires et la pénétra en missionnaire avec une impatience et une vigueur qui la fit déjà crier de plaisir. C'étaient les retrouvailles d'un couple amoureux, avide du corps de l'autre, de s'unir par le sexe, de guetter l'orgasme pour atteindre la symbiose parfaite. Le coït fut bref, ils ne changèrent pas de position, elle accompagna ses ruées en posant ses pieds sur le matelas pour rouler des hanches et il expulsa un baquet de sperme qui dégoulina de sa fente et inonda le drap.
- Excuse-moi, lui dit-il, j'avais trop envie.
- Moi aussi mais la journée ne fait que commencer, lui dit-elle.
Ils déjeunèrent nus, frugalement et rapidement, car ils voulaient "remettre ça". Cette fois, l'accouplement fut beaucoup plus long. Ils prirent leur temps pour un 69 prolongé, dégustant leur sexe comme un plat rare. Comme il avait éjaculé depuis peu, il fut endurant et put la prendre dans diverses positions, toujours puissant et se régalant de son corps en mouvement permanent. Elle devint bavarde, lui parla de sa bite qui lui avait manqué et demanda carrément :
- Encule-moi maintenant.
Il ne pouvait pas éluder la scène où William l'avait sodomisée devant l'écran. C'était sa manière de lui dire qu'il avait repris ses prérogatives. Il s'y prit de telle manière, langue et doigt, qu'elle put à nouveau atteindre l'orgasme anal une fois qu'il se serait introduit. Il modéra ses va et viens avant d'accélérer le rythme, faisant claquer la peau de son bas-ventre sur ses fesses, et quand il vit la chair de poule envahir son dos, il éjacula quelques gouttes de sperme, restant collé à elle quelques minutes. Il eut le sentiment d'avoir pris sa revanche...
Ils parlèrent longtemps, nus dans le lit, avant le retour des enfants. Puis ils s'en retournèrent à la cuisine pour débarrasser la table, mais quand il la vit devant l'évier, toujours nue, ce fut plus fort que lui. Il la pénétra debout en lui relevant une jambe et la fit jouir une nouvelle fois, extasiée, reconnaissante... Ils avaient à la fois fait l'amour et baisé.
La suite fut plus classique. La famille réunie fêta le retour du père, qui prit ses dispositions pour évoluer professionnellement. Fabienne retourna à son magasin, les enfants au collège et au lycée, mais Mario n'entendit plus parler de William.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A quand 1 récit candauliste au féminin ???
1 amant qui se fait payer des vacances ça s'appelle 1 gigolo !!!!
Depuis quand le mari paye le voyage au mec qui nique sa femme sérieux !!!
Je ne parle pas même pas du gamin qui va le sentir passer le jour où il comprendra.
Je ne parle pas même pas du gamin qui va le sentir passer le jour où il comprendra.
Une forme particulière de candaulisme, en totale complicité entre les deux époux, loins l'un de l'autre pour une longue période.
Merci Micky pour ce texte
Merci Micky pour ce texte
Très belle histoire
Bonjour, moi, je suis candauliste.
Il m'est arrivé d'être éloigné de mon épouse, pour le boulot.
Je sais tous ce qu'elle fait.
Elle me raconte tout, ou parfois film, pour que je vois en direct ou par la suite.
Elle a 2 amants régulier, un beaucoup plus âgée (72 ans), depuis 10 son amant, et un autre depuis peu, un africain depuis qq mois, presque la cinquantaine.
Ma femme 39 ans moi bientôt 55.
Son amant de longue date vient la baiser 2/3 fois par semaine, et l'autre 2/3 fois par mois.
Elle a aussi des coups d'un soir qu'elle choisi, ou qu'on choisi ensemble.
Parfois elle se fait prendre par 2 mecs, et participe aussi à des gangs bangs, 1 ou 2 fois par an.
Là, elle part 2 semaines avec son amant de 72 ans, je leur ai choisi un beau séjour au Portugal à Faro, une maison avec piscine et
beaucoup d'activités.
Je les rejoindrais les 4 derniers jours.
C'est leur cadeau de leur 10 ème anniversaire de rencontre.
Moi, ne pouvant pas avoir d'enfants, il est le géniteur de notre petit garçon de 8 ans 1/2 et son parrain.
C'est notre mode de vie.
Nous nous aimons comme au 1er jour.
Il m'est arrivé d'être éloigné de mon épouse, pour le boulot.
Je sais tous ce qu'elle fait.
Elle me raconte tout, ou parfois film, pour que je vois en direct ou par la suite.
Elle a 2 amants régulier, un beaucoup plus âgée (72 ans), depuis 10 son amant, et un autre depuis peu, un africain depuis qq mois, presque la cinquantaine.
Ma femme 39 ans moi bientôt 55.
Son amant de longue date vient la baiser 2/3 fois par semaine, et l'autre 2/3 fois par mois.
Elle a aussi des coups d'un soir qu'elle choisi, ou qu'on choisi ensemble.
Parfois elle se fait prendre par 2 mecs, et participe aussi à des gangs bangs, 1 ou 2 fois par an.
Là, elle part 2 semaines avec son amant de 72 ans, je leur ai choisi un beau séjour au Portugal à Faro, une maison avec piscine et
beaucoup d'activités.
Je les rejoindrais les 4 derniers jours.
C'est leur cadeau de leur 10 ème anniversaire de rencontre.
Moi, ne pouvant pas avoir d'enfants, il est le géniteur de notre petit garçon de 8 ans 1/2 et son parrain.
C'est notre mode de vie.
Nous nous aimons comme au 1er jour.
Moi non plus je ne suis pas candauliste.
Lorsque des décisions d’éloignement de couple sont prises il y a discussions et planification du futur du couple. Il y a discussion concernant les agissements des deux personnes du couple. Ce n’est pas lorsque les deux personnes sont éloignées qu’il faut changer la manière de fonctionner et de procéder.
La madame n’a pas hésité longtemps avant d’accepter de changer son comportement. Que veuilles ou non le mari, devant ou sans lui l’adultère aurait été, à plus ou moins long terme certainement consommé.
La porte est maintenant ouverte a un agissement semblable de la part de l’autre conjoint. Si tu l’as fait, pourquoi ne le ferais-je pas?
Des petits William il y en a beaucoup. La madame a déjà goutté a la marchandise. Qu’est-ce qu’il l’empêche de recommencer la dégustation. Elle n’est pas non plus obligée de crier sur les toits qu’elle est une fine dégustatrice!
Le contrat a été allégé une fois, maintenant tout peut arriver car la mémoire elle, n’oublie pas.
Non je ne suis pas candauliste, je ne suis pas contrôlant non plus. Par contre je suis les ententes que nous avons conclus. Nous investissons tellement ( sentiments, argent et plaisir )dans notre couple que seule une idée ou une vision adulterine détruirait tout.
Pour certain ce comportement est une exagération mais pour d’autres c’est un gros sentiment d’amour, de confiance, de sécurité qui donne tout les moyens pour fonder une entité familiale prospère et amoureuse.
En aucun cas je crois que liberté sexuelle d’un couple peut augmenter sa solidité et sa longévité.
Lorsque des décisions d’éloignement de couple sont prises il y a discussions et planification du futur du couple. Il y a discussion concernant les agissements des deux personnes du couple. Ce n’est pas lorsque les deux personnes sont éloignées qu’il faut changer la manière de fonctionner et de procéder.
La madame n’a pas hésité longtemps avant d’accepter de changer son comportement. Que veuilles ou non le mari, devant ou sans lui l’adultère aurait été, à plus ou moins long terme certainement consommé.
La porte est maintenant ouverte a un agissement semblable de la part de l’autre conjoint. Si tu l’as fait, pourquoi ne le ferais-je pas?
Des petits William il y en a beaucoup. La madame a déjà goutté a la marchandise. Qu’est-ce qu’il l’empêche de recommencer la dégustation. Elle n’est pas non plus obligée de crier sur les toits qu’elle est une fine dégustatrice!
Le contrat a été allégé une fois, maintenant tout peut arriver car la mémoire elle, n’oublie pas.
Non je ne suis pas candauliste, je ne suis pas contrôlant non plus. Par contre je suis les ententes que nous avons conclus. Nous investissons tellement ( sentiments, argent et plaisir )dans notre couple que seule une idée ou une vision adulterine détruirait tout.
Pour certain ce comportement est une exagération mais pour d’autres c’est un gros sentiment d’amour, de confiance, de sécurité qui donne tout les moyens pour fonder une entité familiale prospère et amoureuse.
En aucun cas je crois que liberté sexuelle d’un couple peut augmenter sa solidité et sa longévité.
Bravo Micky,
Je ne suis pas candauliste, tu le sais, mais cette fois l'amour dépasse tout.
Madame s'est un peu oubliée, mais normal dans le feu de l'action, lui a été assez intelligent pour le comprendre.
Encore bravo
Patrick
Je ne suis pas candauliste, tu le sais, mais cette fois l'amour dépasse tout.
Madame s'est un peu oubliée, mais normal dans le feu de l'action, lui a été assez intelligent pour le comprendre.
Encore bravo
Patrick
Encore un très beau récit, qui prouve que l'amour qu'un couple se porte est plus fort que tout.
Drôle de candaulisme quand même...
Didier
Drôle de candaulisme quand même...
Didier