Candauliste fortuitement.

- Par l'auteur HDS Sucette -
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Candauliste fortuitement. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Candauliste fortuitement.
Ce récit est véridique dans l'ensemble.

Nous pratiquions régulièrement le naturisme au bord de rivière dans le sud de la France. C'est un coin sauvage à l'accès réservé aux initiés.
Le lieu est fréquenté par des familles mais aussi connu pour être un lieu de rencontre pour des couples ou des célibataires des deux sexes.

C'était un jour de semaine hors vacances scolaires. Il n'y avait personne à notre arrivée.

Mon épouse s'était allongée dans le hamac, sur le dos, jambes écartées.

Âgée de cinquante ans, plantureuse, elle rêvassait quand un homme vint vers elle en faisant mine de se promener et lui adressa la parole.

Il était nu lui aussi, mince, musclé, sec , avec un large chapeau d'où dépassaient des cheveux noirs.
Il parlait de la beauté de ce lieu sauvage, du plaisir d'y être nu, puis vint à parler de la fréquentation en insistant sur l'absence de voisinage. Quelques minutes plus tard il vint à poser des questions plus personnelles.
La discussion prit une tournure plus équivoque, il l'a draguait clairement.

Mon épouse répondait volontiers à ses questions avec beaucoup d'impudeur.

De là où j'étais placé, je surplombais la scène, devinant les questions et les réponses qui devenaient carrément sexuelles mais surtout je voyais tout en étant invisible caché par le feuillage.
Il est vrai que mon épouse me croyait en balade car elle m'avait vu partir quelques minutes plus tôt.
Mon absence a été de courte durée et j'étais revenu dans mon fauteuil sans qu'elle s'en aperçoive.
J'entendais qu'il parlait de la beauté des femmes aux formes épanouies, dans la plénitude de l'âge, du temps qui passe et des regrets de n'avoir plus profiter de sa jeunesse , des rencontres éphémères, du plaisir de la nouveauté, du plaisir surtout et de ses bienfaits pour le corps et l'esprit.

Je voyais ma femme toujours allongée et le sexe du bellâtre à quelques centimètres de sa bouche.
Il s'était redressé quand je la vis sortir le bout de sa langue pour l'effleurer. Dans les secondes qui ont suivies, elle l'avait en bouche.

Je devinais sa langue tourner autour de son gland, dégageant le prépuce. Effectivement, il ressortit sa verge complètement érigée pour la réinvestir dans toute sa longueur.
« Hum, tu suces bien, on voit que tu as l'habitude. »
Effectivement, ma femme aime cela, elle me suce toujours avec application et ses fellations, un plaisir immense.

« Ton mari doit se régaler, tu suces comme une reine. »
Je reconnais que j'ai affaire à un connaisseur, j'éprouverai de la fierté si je n'étais pas sous l'émoi d'être cocu. Et d'en jouir. Je bande et je ressens une excitation très forte. Je veux voir la suite et jusqu'où mon épouse est prête à s'abandonner.
Son amant l'encourage et exprime son plaisir.
« Vas y, continue ! C'est bon. »
Il baise littéralement sa bouche.
Je le vois mettre ses doigts devant sa bouche et prendre beaucoup de salive puis se pencher pour l'appliquer sur le sexe de mon épouse. Son chapeau cache en partie le visage de ma femme mais je vois ses doigts la pénétrer.
Il fait des va et viens dans son vagin. Il crache sur ses doigts et cherche son clitoris. Il la masturbe avec frénésie. Elle a les mains sur ses hanches et il s'immobilise en continuant sa masturbation.
Il jouit dans sa bouche, chose qu'elle m' a toujours refusé. Je suis furieux et blessé si c'est le cas.
Je la vois se tendre et trembler. Elle a atteint l'orgasme, ses cris la trahissent.

Je me lève ce qui a pour conséquence, le départ précipité de l'intrus, il me tourne le dos et prend les jambes à son cou.

Mon épouse se redresse péniblement pour descendre du hamac. Rouge de son orgasme ou de confusion ? Elle a encore un peu de sperme épais à la commissure des lèvres. Je me rue sur elle et l'embrasse fougueusement. Toute ma pression se relâche, ma langue reconnaît la saveur fade et crémeux du sperme de l'inconnu.

« J'ai tout vu ma belle salope. »

Et la prenant par les épaules je la plaque brutalement contre un arbre. Elle se plie écarte les jambes et me tend ses fesses. Je la prend en levrette et m'enfonce d'un trait jusqu’à l'utérus. Je suis brutal et je le sais, notre coït sera bestial.
Je la pilonne comme jamais, lui claque les fesses et me déchaîne.
« Tu vas en prendre des bites, je vais te déboiter. Tiens, prends ça, salope !. » et je la fesse sans arrêt pour ressortir et la pilonner à nouveau. De la mouille coule sur ses cuisses.
Elle crie, elle gémit et me supplie.
« Continue, plus fort, ne t'arrête pas. » tant son plaisir est immense . Nous jouissons brutalement à l'unisson. Nous restons soudés l'un à l'autre un long moment.

Nous sommes en nage, sa fesse est rouge, elle pleure de plaisir, de honte ou de douleur ?
Nous sommes hébétés, ne sachant quoi dire après ces moments intenses et coupables….

La tentation était très forte de la sodomiser à sec mais sa soumission m'en a empêchée….

Nous allons à la rivière chacun de son côté pour se laver. Puis en silence rangeons nos affaires en se rhabillant et empruntons le long sentier pour regagner notre véhicule.

Le soir nous avons fait chambre à part mais plusieurs jours après, nous avons pu en parler.
Je lui ai décrit les affres de l'adultère , la jouissance de la voir prendre du plaisir à mon insu. L'excitation qui m'habitait et la frustration.
Elle m'a dit le plaisir d'être courtisée, flattée, la montée du désir, le plaisir d'avoir un homme jeune , mince et sportif qui s'occupe d'elle. Le plaisir de la transgression et l'abandon qui s'est emparé d'elle.
Jamais, elle n'a pensé me faire du mal, je n'existais plus. Elle m'a remercié de l'avoir laissé prendre son pied.
Elle a reconnu que son amant après l'avoir émoustillée s'est servi d'elle comme d'un jouet sexuel en éjaculant dans sa bouche. A aucun moment il n'a cherché à se retirer mais au contraire il a plaqué sa main derrière sa nuque pour l'empêcher de se retirer mais cela a peut être contribué à déclencher son propre orgasme.
Ensuite, elle s'est laissé faire encore quand je suis arrivé et elle a aimé que je la brutalise. Pour elle c'était la preuve de mon amour et de ma virilité.
A ce moment là, j'aurais pu la fouetter, la torturer, la prostituer sans qu'elle s'y oppose pour expier sa ‘’ faute'' et retrouver grâce à mes yeux .
Elle me dit aussi qu'elle a pris son pied deux fois coup sur coup comme jamais.

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Texte coquin : Candauliste fortuitement.
Histoire sexe : Une rose rouge
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