Canicule et Sweetie

- Par l'auteur HDS Laetitia sapho -
Auteur femme.
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Récit libertin : Canicule et Sweetie Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Canicule et Sweetie
Cette canicule de fin août était tombé sur la ville depuis trois jours. Faut s’hydrater qu’ils nous disaient à la télé. Pour ça je m’hydrate. Trois litres d’eau par jour …
Vendredi soir, j’étais invitée au vernissage de Vincent un ami artiste dans une gallerie d’art près des quais de Seine.
Maelenn allongée sur lit lisait. En matant ses fesses serrée dans un petit short ultra moulant aux couleurs fluo, l’envie me prend de rester à la maison plutôt.

« Maelenn, vraiment, tu ne viens pas avec moi ?
- ah non ! Très peu pour moi ce genre de trucs. Ca va être plein de casses pieds et je suis complètement hermétique à ce genre de barbouillage !
- Oui, je sais, moi aussi, ça me saoule un peu, mais j’y vais pour faire plaisir à Vincent. Moi non plus, ses tableaux c’est pas trop mon genre !
- Vincent, oui il est gentil, mais c‘est pas Vincent Van Gogh hein ! Vas y et essaye de t’amuser. Si par hasard , il y a une belle jeune fille n’abuse pas de son corps !
- Oh t’exagère, j’ai pas couché avec une autre que toi depuis … trois semaines !
- Sophie ?
- Oui Sophie …
Sophie, une petite instit trentenaire et mariée, rencontrée à l’association de soutien scolaire où je suis bénévole, que j’avais draguée et que j’avais fini par faire craquer. Sophie à l’air si sage m’avait cédé un après midi après une séance de brain storming à deux sur la manière de fidéliser nos élèves et de les faire revenir régulièrement à l’assoc.
Mes allusions répétées avaient du faire leur chemin dans l’esprit de Sophie et ouvrir son imagination. Nous avions fait l’amour dans le local de l’association. Elle plutôt gauche et timide, moi toute excitée d’avoir réussi à prendre cette proie dans mes filets. A vraie dire, je n’y comptais pas vraiment.
Ce que je n’avais pas dit à Maelenn, c’est que je revoyais régulièrement Sophie dans une chambre d’hôtel depuis. Les pratiques saphiques semblaient lui plaire énormément et elle était beaucoup moins réservée depuis la première fois.

« Vas y tu vas être en retard … Enfin dans ce genre de milieu et dans ce genre d’endroit, arriver à la bourre c’est la norme !! » me dit Maelenn toujours allongée sur le ventre.

Je dépose un baiser sur le cul de ma chérie et je file.

Maelenn avait raison (comme toujours !), c’était vraiment rasoir.

Vincent et ses tableaux … Comment dire ? Autant Vincent je l’adore, autant sa peinture … Comment dire ? Enfin vous voyez quoi … Je ne vais pas vous faire un dessin !
Les gens qui gravitaient dans la galerie … Comment dire ? Des types pédants, des femmes prétentieuses. Une qui me regarde avec insistance, surement une gouine, mais le genre Butch, non merci !
Heureusement, il y a la clim ici et le champagne est bon. Je m’enfile ma troisième coupe, lorsque je la repère. La seule fille présente qui a l’air sympa, qui est mignonne et discute avec Vincent.

Sweetie ! Petite brune, genre paquet de nerfs, toujours en mouvement, même un léger tic à la bouche qui en rajoute à son charme. Pas vraiment belle, des traits pas forcément fins, mais elle a ce petit quelque chose qui me fait craquer aussitôt. Des cheveux noirs et longs en bataille. Elle doit avoir un mal fou à les discipliner et ils doivent reprendre aussitôt après avoir été coiffés le sens et la forme qu’ils veulent. Je ne suis pas très grande, mais Sweetie est plus petite que moi, 1m 55 ou 58 tout au plus.
Elle porte un genre de jupe assez courte et ample aux motifs indiens qui dévoile la moitié de ses cuisses très bronzées. Un haut blanc et pas de soutien gorge, mais elle n’en a pas besoin, elle a une toute petite poitrine. Peu de maquillage, un piercing dans l’arcade sourcilière, un brillant dans la narine. Un collier en grosses perles noires autour du cou, plein de bracelets fantaisies autour des poignets (ça claquait à chacun de ses gestes) et d’autres en coquillages autour de chaque cheville.
On peut dire qu’elle avait un look. Pas vraiment belle comme je le disais plus haut, mais débordante de charme. Moi j’ai craqué, elle m'a tapé dans l'œil aussitôt ! Et hop mon imaginaire très développé est entré en action. Je hochais la tête en écoutant Sweetie, mais je nous imaginais nue sur un lit elle et moi. Calme toi ma grande, toutes les filles du monde ne sont pas lesbiennes et n’attendent pas que toi.

Sweetie est australienne. Elle est en France depuis un an environ, a un délicieux accent . Sweetie veut devenir styliste. Paris est donc la ville qui doit lui mettre le pied à l'étrier. Elle travaille dans une maison assez connue pour se faire de l'expérience et retournera en Australie pour créer sa propre collection. Joli programme ...

Je suis en général, entreprenante, mais là, c'est Sweetie qui m'a draguée. Vincent lui avait-il dit que j'étais homosexuelle ? En tout cas, après quelques coupes de champagne de plus je m'étais bien aperçu qu'elle me faisait du rentre dedans, affaire de regards, de frôlements, de main posée sur mon avant bras.
Le champagne faisant effet (le champagne ne saoule pas, mais il met des bulles dans la tête et donne envie de faire pipi), c'est aux toilettes, où elle m’a rejoint, devant le lavabo qu'elle m'a mis la main aux fesses, je l'ai collée contre le mur, nous nous sommes embrassées. Je fouillais sous son tee-shirt et sous sa jupe, elle me malaxait les fesses. Il a bien fallut séparer nos lèvres, arrêter de nous peloter.

« Viens on va chez moi » me dit-elle en prenant ma main. « Partons d’ici … »
Dans sa voiture elle a glissé ses doigts dans la braguette de mon jean en conduisant. je l'ai complètement ouvert et baissé sur le haut de mes cuisses pour éviter l'accident. C'est tout juste si Sweetie ne m'a pas déshabillé dans le parking de son immeuble, puis dans l’ ascenseur, où elle a réussi à libérer un de mes seins.
Sur le palier, elle a eu de mal à trouver ses clefs et à ouvrir sa porte, j’avais entrepris de soulever sa jupe et j’avais glissé un doigt dans son string rose bonbon.
Dans son entrée elle a claqué la porte avec son pied, jeté son sac et ses clefs au sol, m’a collé contre le mur, nos bouches l’une contre l’autre, nos langues fouillant nos bouches.
De gestes nerveux (elle m’a littéralement pincé un sein), elle m’a déshabillée là contre le mur. Mon jean était baissé sur mes chevilles, mon chemisier ouvert et mes seins sortit de mon soutien gorge. Sa main était glissée entre mes cuisses en train de me masturber. Ses gestes étaient saccadés, sa bouche ne lâchait pas la mienne. Elle respirait l’excitation.
J’ai enfin écarté ma bouche de la sienne, pour reprendre ma respiration déjà, et puis surtout pour la déshabiller à mon tour. Un filet de salive reliait encore nos lèvres. Sa bouche était entrouverte, humide de notre fougueux baiser, sa langue légèrement dehors encore. J’ai fait glisser sa jupe sur ses cuisses (taille élastique c’est pratique), j’ai enlevé son haut, dommage elle a du lever ses bras en l’air et donc retirer sa main de ma culotte. Mais je ne pouvais pas décemment la laisser avec ce tee-shirt.

Elle avait en effet de tout petits seins. Pas de seins même, elle est était quasiment plate, mais avec deux belles auréoles et deux tétons, pour le coup, gros, mais aussi durs et dressés. Je les ai bien entendu léchés et sucés !. Je l’ai décollée de moi et l’ai faite reculer d’un pas pour mieux la voir et profiter de son corps dans son ensemble. Mince, sans poitrine donc, un piercing dans le nombril, un tatouage sur le bas du ventre (un symbole Ying/Yang), et une salamandre dans le creux de ses reins, je le découvrirais plus tard. Je me suis accroupie devant elle, pour baisser son string et découvrir une jolie toison brune et courte. Un léger coup de langue en passant, là aussi, des piercings (deux anneaux dans la lèvre). Je me suis relevée, me suis débarrassé de mon jean toujours sur mes chevilles, du chemisier , du soutien gorge de la culotte bien humide et en partie baissée.
Sweetie me regardait faire, sa main se caressait doucement le ventre. On devinait sans peine le feu qui couvait en elle. Je ne désirais qu’une chose, que ça arrête de couver en elle, et que Sweetie se lâche, quitte à me bruler.

Comme émargeant d’un moment d’oubli, d’un rêve, elle me regarde, me prend la main (elle a du s’apercevoir que nous étions toujours dans l’entrée, nos vêtements à nos pieds) et m’a entrainé vers sa chambre et son lit.

On a fait l'amour dans la moiteur de cette soirée caniculaire, nos corps en sueur collés. je dois l'avoir lécher du visage aux orteils, enivrée par ce corps humide, lapant chaque goutte de sueur. Le transpiration devant surement agir comme un aphrodisiaque, ou bien la jolie Sweetie était un peu sorcière, m’a jeté un sort et m’a envoutée avec son philtre d’amour corporel. Bon, de son côté, elle n’a pas non plus été en reste !!
Mention spéciale à ses tout petits seins, mais ma langue a exploré tout son corps, comme je vous le disait plus haut. Son ventre, son nombril, ses hanches, son cou, ses épaules, ses aisselles, ses cuisses, ses fesses, ses mollets, ses chevilles (avec les coquillages autour, c’était mignon), ses orteils, la plante de ses pieds, puis à nouveau ses chevilles, mollets, le petit grain de beauté derrière son genou, ses cuisses, ses fesses, son petit trou, son minou, puis à son tour, puis un 69, puis un orgasme puissance 10 …
Nous avons fait l'amour en ce début de soirée, puis recommencé après une douche et un verre. Nous nous sommes endormies, avec la chaleur, le sommeil léger. Nous nous sommes réveillées deux heures plus tard pour baiser à nouveau.

Belle expérience ! Ma première australienne, je m’en souviendrais longtemps. J’espère qu’il y en aura d’autres.

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Texte coquin : Canicule et Sweetie
Histoire sexe : Une rose rouge
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