Carmen

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Carmen Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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(8.0 / 10)

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Carmen
J’ai un amant, plutôt pour que les autres hommes me fiche la paix que pour autre chose: il n’est pas très porté sur la baise: un ou deux fois par semaine, c’est largement suffisant si je le masturbe un peu, même s’il me demande de la sucer, ce que je refuse, j’ai horreur du goût du sperme: une seule fois m’a dégoutée.
Par contre je fréquente mon amie de toujours, Carmen, une espagnole d’origine, établie depuis son enfance en face de chez moi. Nous avons joué à la poupée, avant d’aller dans les mêmes clases depuis le primaire jusqu’en fac. Nous étions au collège, en 3° quand pour la première fois nous avons parlé de plaisir: pour nous qui nous caressons nous le connaissions. C’était même par accident, quand nous sommes tombées amoureuse du même garçon. Ca n’a pas duré longtemps quand nous devenions consciente que faire l’amour avec un garçon impliquait absolument qu’il entre dans notre entre jambes.
Petit à petit nous nous racontions les façons que nous avions de nous masturber (à l’époque nous ne savions pas trop de que cela voulait dire).
Un après midi, fatalement, nous étions dans sa chambre à bavarder encore de ce plaisir: elle soulevait sa jupe, enlevait sa culotte et me montrai sa chatte. Entre ses jambes elle mettait une main pour la poser sur son bouton. Carmen était sans pudeur. Je la regardai se faire du bien et je commençais moi aussi à avoir une envie: je faisais comme elle et ensemble nous nous sommes masturbées, en cadence, même.
Grandissant et prenant l’habitude de nous caresser mutuellement, nous arrivions à nous embrasser comme de véritables amoureux, ce que nous étions.
C’est en entrant en fac qu’il est arrivé un malheur: Au cours d’une fête particulièrement arrosée, nous nous sommes données à deux garçons: ils n’ont même pas eu à nous forcer: nous étions consentantes. Il nous ont dépucelées. Le résultat de cette affaire est que depuis ni elle ni moi n’aimons les hommes. Avec Carmen nous nous donnions des plaisirs plus fort: nous aimions faire des 69.
C’est ainsi que j’ai pris un amant dont je me moque totalement de son plaisir. Carmen a préféré resté seule. Nous vivons porte à porte: c’est très commode pour nous: nous sommes souvent ensemble. Nous avons de sérieux problème de désir. Si nous nous écoutions nous nous ferions l’amour continuellement. Disons que nous sommes des nymphomanes lesbiennes.
Nous avons fait des achats en communs: entre autre deux godemichets destinés à nos culs que nous savons bien faire jouir.
En principe nous baisons dans l’après midi, et souvent le soir. Quand je vais chez elle je sais qu’il n’y aura aucun problème, surtout d’habillement: je traverse le palier, nue, elle m’ouvre nue. Nous nous embrassons bien mieux qu’au cinéma: nos baisers sont des bonjours, et surtout des entrées me matière. Carmen aime particulièrement l’odeur de ma chatte. Elle commence par me passer vite fait sa main sur tout mon sexe qui d’avance mouille. Ensuite elle lèche sa main. Nous entrons dans la chambre en nous tenant par la taille, en pensant déjà à notre plaisir.
Nous nous couchons au début cote à coté, nous tenant pas la main. Nous nous penchons encore pour réunir nos lèvres. Et enfin nous nous caressons les seins. Nous sommes presque ventre à ventre. C’est si bon de caresser un ventre de femme: c’est doux et en plus ça mène au bonheur de sa chatte. Nous nous branlons avant d’aller plus loin. Et notre plus loin c’est simplement notre position préférée en 69. Personne ne peux imaginer ce qu’un sexe de femmes mouillé pas le désir est agréable à regarder. Personne ne peut imaginer ce qu’une langue sur la chatte d’une autre est délectable avec ce bon goût de cyprine. Et la douceur de l’intérieur du sexe quand la langue entre. Il nous arrive souvent de nous servir de nos godemichets: pendant que nous sommes tête au con, nous nous en servons pour nous enculer avec. C’est sans doute bizarre pour des lesbiennes, mais nous aimons nous sodomiser, pas nous baiser. C’est plus fort que nous, aucune bite ne peut venir en nous. Nous pouvons rester des heures à nous sucer, sans nous lasser. Sauf que les après midi, je doit quand même venir passer un moment, ne serait-ce que pour branler mon « amant ». Le soir par contre nous pouvons passer la nuit ensemble sans problème: mon « monsieur » se branle; je l’ai vu faire une fois: il m’a dégoutée avec sa main qui allait et venait de plus en plus vite sur sa bite pour finalement lâcher trois goutes de sperme blanc.
Dernièrement nous avons fait une folie. Dans un café nous étions assises à coté de charmante jeunes personnes qui tenaient des propos qui semblaient être ceux de deux créatures comme nous. Carmen les a carrément levées. Nous nous sommes retrouvées chez Carmen, deux couples de bonnes lesbiennes en proie à une envie de partage. Carmen voulait me voir dans les bras d’une autre. Nous sommes restées à quatre filles nues: elles étaient plus jeunes que nous,, mais semble-t-il au moins aussi à l’aise dans les baises. Les préliminaires étaient rapides: nous étions toutes excitées déjà de savoir ce que nous allions faire. C’est bien sur Carmen qui a commencé à asticoter une des deux. Elle choisissait c’elle qui lui plaisait le plus. Elle m’a laissait justement celle que j’aurai choisi à causes de ses seins. Quand nous avons commencée, Carmen s’est déchaînée. Elle branlait sa compagne et lui caressait l’anus. Sa compagne appréciait tellement qu’elle lui demandais de mettre trois doigts dans son cul. Je ne raconte pas le 69 qui a suivi: les langues léchaient et les doigts étaient dans le cul de l’autre.
Pour moi c’était plus classique,: après les baisers profonds nous nous sommes bien peloter: je ne le regrette pas: elle faisait cette chose très bien; j’étais toute mouillée. Pendant qu’elle s’occupait de mes seins, je m’occupais de sa chatte: elle était plus douce que celle de Carmen, et de la mienne, je crois. J’avais deux doigts sur son clitoris et j’avais du plaisir en lui donner. Ce n’est qu’aprè l’avoir faite jouir ainsi que nus nous sommes mises aussi en 69
Je ne sais quel spectacle pouvait donner deux couples en 69.

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Texte coquin : Carmen
Histoire sexe : Une rose rouge
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