CARNET DE FAMILLE 3
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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CARNET DE FAMILLE 3
C’est moi, Marie qui reprend le carnet de ma mère, il y a huit mois de ça, alors qu’elle venait me voir à Paris, elle s’est accidentellement fait écraser par une voiture qui a pris la fuite. Tout de suite après La police a perquisitionné dans notre appartement et au manoir, et ils sont partis avec tous les dossiers de ma mère.
Je viens juste de retrouver son carnet, il été caché dans sa chambre derrière un tableau. En le lisant, j’ai appris beaucoup sur ma grand- mère et sur ma mère. Moi, qui a dix sept ans n’ai pas encore embrassé un garçon, je découvre que ma grand mère était une pute et ma mère une proxénète notoire qui s’est fait éliminer par ses amis politiciens. Il me faut briser cette spirale infernale, de mère célibataire, c’est décidé, j’arrête mes études et je pars en chasse, il me faut trouver un mari.
……………………………………………………………….
Hier, je suis sortie au bal du village, j’ai rencontré un garçon très gentil, il m’a fait danser toute la soirée et alors que j’étais prête à tout accepter de lui, il n’a même pas essayé de m’embrasser. Il me plaie bien, il est beau, instruit, il est en fac de médecine, il est juste un peu plus vieux que moi, il est célibataire, il a vraiment tout ce qu’il faut pour être mon mari. A la fin du bal nous nous sommes quittés bon amis avec juste une petite bise sur la joue. Toute la semaine suivante, il y a eut comme un jeux de cache-cache entre nous, je le retrouvais entrain de faire des courses, il me retrouvais pendant ma promenade, a chaque foi « par hasard » a chaque rencontre nous discutions de choses et d’autre comme deux vieux copains puis nous nous quittions avec une petite bise.
Je commence à désespérer, j’ai envie de beaucoup plus.
Dimanche, je le retrouverais au repas du village, j’espère qu’il sera plus empressé et qu’il m’embrassera voir plus.
Le repas s’est très bien passé, il est très attentionné, il m’a présenté à sa famille comme étant une copine sans plus. Je suis un peu déçue, il n’a pas essayé une seule foi de m’embrasser ni de me toucher, il est bouché ou quoi, je n’attend que ça, j’ai envie que ce soit lui mon premier, et je n’arrive pas a lui faire comprendre. C’est impensable, je pense être une belle fille, je fais tout pour lui faire comprendre que j’ai envie de lui et il ne réagit pas. Nous nous sommes quitté en fin d’après midi avec une simple bise sur la joue.
La semaine suivante ce fut pareil, pourtant, je n’arrêtais pas de me coller contre lui des que j’en avais l’occasion, je ne suis pas folle, j’ai bien senti que je lui faisais de l’effet, plusieurs fois j’ai remarqué qu’il bandait.
Samedi soir il y a un spectacle de cirque, j’espère qu’il sera plus entreprenant.
Le soir nous nous sommes retrouvé a l’entrée du cirque, pendant tout le début du spectacle je suis restée colée a lui pour bien lui faire comprendre qu’il me plaisait et que j’avais envie d’être câlinée.
A un moment quand la lumière s’est éteinte à la fin d’un numéro, sa bouche est enfin venue contre la mienne, c’étais merveilleux, nous nous sommes embrassé et caressé jusqu'à la fin du spectacle. Pendant tout le trajet en me raccompagnant, nous nous sommes embrassé. En arrivant a la hauteur de la grange, une idée folle m’a traversée l’esprit, « je vais faire comme mes ancêtres, perdre mon pucelage dans la paille de cette grange » je l’ai poussé a l’intérieur et tout en s’embrassant, nous nous sommes couché dans la paille. Pris par une étrange frénésie, nous nous sommes mutuellement caressé en nous déshabillant puis il m’a avoué- je t’aime beaucoup, mais je n’osais pas parce que tu es la première fille avec qui je vais si loin.
- Je te rassure, pour moi aussi tu es le premierNous avons continué de nous embrasser et caresser puis il est venu sur moi et m’a tout doucement pénétré. J’étais tellement excité que j’ai a peine sentie une petite douleur quand il a déchiré mon hymen puis le plaisir m’a envahie complètement, nous n’étions plus que deux bêtes à la poursuite de l’orgasme.
Assez rapidement j’ai senti la brûlure de son sperme contre la bouche de mon utérus mais sa cavalcade ne s’est pas arrêté, il a continué à me pilonner comme un fou, je ne sais pas combien de foies j’ai jouis mais c’étais merveilleux.
Au bout d’un long moment il s’est mis à râler et m’a inondé une deuxième foi puis il s’est écroulé sur moi. Nous sommes restés très longtemps sans bouger l’un sur l’autre pour reprendre notre souffle, je le sentais tout doucement débander en moi et c’était très bon.
Sans changer de position nous nous sommes a nouveau embrassé et caressé, rapidement j’ai senti son sexe regonfler et comme il n’était pas sorti entièrement de moi il me remplissait a nouveau complètement. Je me suis mise à faire onduler mon bassin en relevant mes jambes pour les nouer dans son dos. Il est venu au plus profond de mon intimité mais il ne bougeait pas, c’est moi qui par les contractions de mon vagin le faisait monter vars l’orgasme. Au bout d’un petit moment il a commencé à s’activer et tout doucement nous avons recommencé notre course au plaisir. Nous l’avons atteint tous les deux en même temps. C’était tellement fort que nous nous sommes endormis l’un dans l’autre.
A notre réveil il faisait déjà bien jour, nous nous sommes a nouveau passionnément embrassé il s’est remis a bander je suis passée sur lui, je l’ai chevauché, et me suis empalée sur son chibre, la course au plaisir a recommencé. Après une nouvelle folle jouissance, nous nous sommes rhabillés, il m’a raccompagné jusqu'à la porte de ma maison et m’a quitté après un fougueux baiser j’étais sure d’avoir trouvé le mari idéal.
Le lendemain, il est arrivé chez moi vers quatorze heure pour n’en repartir que vers vingt heures et nous avons fait l’amour passionnément dans ma chambre tout le temps.
Les jours suivants ce fut tout aussi merveilleux, nous avons essayé toutes les positions possibles ainsi que tous les coins de la maison.
La semaine suivante, nous avons décidé de profiter du beau temps et nous sommes partis en promenade. Pendant nos promenades il me faisait des surprises, il me possédait soit contre un arbre dans le parc, ou sous le porche de l’église. Pour lui faciliter la tache, je ne mettais plus de culotte et portais toujours des petites jupes très amples.
Un après midi, alors qu’il venait d’arriver, en m’embrassant il a cassé mon collier et les perles se sont éparpillées par terre. Je me suis prestement mise à quatre pattes pour les ramasser, il en a profité pour retrousser ma jupe et me prendre en levrette.
Une autre foi, nous avons fait l’amour à la terrasse du café du village. Quand Nous nous sommes installé, la terrasse était presque vide nous avons commandé puis après avoir été servi alors que nous buvions tranquillement, un groupe de bouliste est arrivé, comme ils n’avaient pas assez de siéges, j’ai laissé ma chaise et je suis partie m’asseoir sur ses genoux. Je ne sais pas comment il s’y est pris mais a un moment, il m’a fait me relever pour passer a califourchon sur ses jambes.
Tout en buvant nos verres et en nous embrassant, caché par ma jupe, il a sorti son sexe et m’a tout doucement pénétré en me caressant de sa main le pubis, c’étais merveilleux j’ai éprouvé un plaisir comme jamais, faire l’amour au milieu de plein de monde sans que personne ne s’en rende compte m’a fait avoir un orgasme monstrueux. Le plus dur pour moi a été de ne pas crier mon bonheur. Après qu’il ait abondamment jouis nous sommes partis. En marchant, je sentais ma jouissance mêlée a son sperme dégouliner le long de mes jambes ça me procurait des frissons terribles. Jamais je n’avais eut de telles sensations.
Le dimanche soir suivant quand il est parti après un fougueux baiser il n’a rien dit de particulier, je m’attendais à le revoir le lendemain mai il n’est pas venu, c’était la dernière foi que je l’ai vu. J’ai essayé de le retrouver, rien, comme s’il n’avait jamais exister.
Ça n’arrangeait pas mes affaires, j’avais du retard dans mes règles, je pensais être enceinte et voulais justement lui en parler. Comme je veux que mon enfant ait un père, j’ai continué à le chercher pendant plus d’un mois puis je me suis fait une raison, ce doit être une malédiction qui pèse sur ma famille, j’élèverais mon enfant toute seule.
…………………………………………………..
Ça fait six mois que je suis seule dans le manoir, j’ai beau avoir bien grossi, j’ai toujours des envies et je me caresse jusqu'à l’orgasme en pensant a mon bel étalon. Il faudra que je trouve une solution, les caresses c’est bien un bel étalon, c’est mieux.
………………………………………………………………….
Ça y est, j’ai accouché, c’est une belle petite fille, J’ai décidé de l’appeler Christelle, J’espère qu’elle aura plus de chance dans la vie que toutes les femmes de la famille.
………………………………………….
Maintenant que je suis a nouveau présentable, il me faut trouver un beau male qui sache bien me faire jouir. Et peut être qui m’épousera qui sais.
………………………………………………….
Ça va bientôt faire dix ans que je n’ai rien noté dans ce carnet il faut dire que je n’ai pas eut beaucoup de temps. En plus, j’avais complètement oublié ou je l’avais mis.
Il s’est passé pas mal de choses en dix ans, j’ai été marié trois foies, la première, c’était avec Marc, pour lui une seule chose comptait : baiser c’est tout. Conversation : nul comportement avec moi : nul. Je ne sais pas pourquoi je l’ai épousé, enfin si, il me faisait l’amour comme un dieu et je venais de passer une longue période d’abstinence.
Après un an de mariage, je l’ai surpris entrain de baiser la bonne. Je l’ai tout de suite viré.
Le suivant, c’étais un homme normal, trop normal pour moi, un employé de banque, au début cette vie pépère qu’il me faisait mener m’a plue, tout été planifié, même nos séances de jambes en l’air. J’ai tenue deux ans puis j’ai craquée, il n’a pas du tout aimé que je le viole presque a l’heure ou il regardait son jeux télévisé, il m’en a voulu et s’est abstenu de me faire le moindre câlin pendant trois mois.
J’ai appelé une ancienne copine et je me suis arrangée pour qu’il tombe dans ses griffes. Six mois plus tard j’étais a nouveau libre, j’ai divorcé pour faute avec de nombreuses photos à l’appui. Le pire c’est qu’il a épousé ma copine dans la foulée.
Le troisième, je ne sais pas si il compte vraiment, c’étais pendant mon voyage au tour du monde, un mariage de trois jours a Las-VegasC’était un très beau mec, il me plaisait beaucoup, je l’ai rencontré le jour de mon arrivée, en plus j’étais bien en manque, nous avons très vite sympathisé, le seul problème c’est qu’il était tellement pris par la religion qu’il ne voulait rien me faire si nous n’étions pas marié. J’avais tellement envie qu’il me baise que nous sommes partis voir dans une chapelle de mariage. A la sortie, nous étions mariés.
Direction l’hôtel. Il m’a fait l’amour pendant trois jours et trois nuits, nous ne prenions que de petites poses pour manger et dormir un peu. A la fin des trois jours, nous sommes repartis à la chapelle pour faire annuler le mariage.
C’est quand même lui, le mari que je regrette le plus.
A mon retour de voyage, j’ai eut une très mauvaise surprise, le notaire qui gérait mes affaires avait pris sa retraite et c’est un fruit pourri qui l’a remplacé. En l’espace d’un an il a failli me faire perdre tout mes avoirs. Heureusement notre ancien notaire a pris ma défense et j’ai pu récupérer une grosse partie de mon héritage. Maintenant c’est un centre de gestion agréé qui s’en occupe. Enfin je note tout ça pour expliquer pourquoi je laisse ma fille dans des pensionnats et des instituts. Je n’ai pas matériellement le temps de m’occuper d’elle. Ce soir, je repars pour assister a une grande course automobile, un de mes amis est pilote, s’il gagne, nous ferons la fête pendant au moins quatre ou cinq jours, alors ma fille, elle n’a pas encore sa place dans ce milieu, elle est beaucoup trop jeune.
Je viens juste de retrouver son carnet, il été caché dans sa chambre derrière un tableau. En le lisant, j’ai appris beaucoup sur ma grand- mère et sur ma mère. Moi, qui a dix sept ans n’ai pas encore embrassé un garçon, je découvre que ma grand mère était une pute et ma mère une proxénète notoire qui s’est fait éliminer par ses amis politiciens. Il me faut briser cette spirale infernale, de mère célibataire, c’est décidé, j’arrête mes études et je pars en chasse, il me faut trouver un mari.
……………………………………………………………….
Hier, je suis sortie au bal du village, j’ai rencontré un garçon très gentil, il m’a fait danser toute la soirée et alors que j’étais prête à tout accepter de lui, il n’a même pas essayé de m’embrasser. Il me plaie bien, il est beau, instruit, il est en fac de médecine, il est juste un peu plus vieux que moi, il est célibataire, il a vraiment tout ce qu’il faut pour être mon mari. A la fin du bal nous nous sommes quittés bon amis avec juste une petite bise sur la joue. Toute la semaine suivante, il y a eut comme un jeux de cache-cache entre nous, je le retrouvais entrain de faire des courses, il me retrouvais pendant ma promenade, a chaque foi « par hasard » a chaque rencontre nous discutions de choses et d’autre comme deux vieux copains puis nous nous quittions avec une petite bise.
Je commence à désespérer, j’ai envie de beaucoup plus.
Dimanche, je le retrouverais au repas du village, j’espère qu’il sera plus empressé et qu’il m’embrassera voir plus.
Le repas s’est très bien passé, il est très attentionné, il m’a présenté à sa famille comme étant une copine sans plus. Je suis un peu déçue, il n’a pas essayé une seule foi de m’embrasser ni de me toucher, il est bouché ou quoi, je n’attend que ça, j’ai envie que ce soit lui mon premier, et je n’arrive pas a lui faire comprendre. C’est impensable, je pense être une belle fille, je fais tout pour lui faire comprendre que j’ai envie de lui et il ne réagit pas. Nous nous sommes quitté en fin d’après midi avec une simple bise sur la joue.
La semaine suivante ce fut pareil, pourtant, je n’arrêtais pas de me coller contre lui des que j’en avais l’occasion, je ne suis pas folle, j’ai bien senti que je lui faisais de l’effet, plusieurs fois j’ai remarqué qu’il bandait.
Samedi soir il y a un spectacle de cirque, j’espère qu’il sera plus entreprenant.
Le soir nous nous sommes retrouvé a l’entrée du cirque, pendant tout le début du spectacle je suis restée colée a lui pour bien lui faire comprendre qu’il me plaisait et que j’avais envie d’être câlinée.
A un moment quand la lumière s’est éteinte à la fin d’un numéro, sa bouche est enfin venue contre la mienne, c’étais merveilleux, nous nous sommes embrassé et caressé jusqu'à la fin du spectacle. Pendant tout le trajet en me raccompagnant, nous nous sommes embrassé. En arrivant a la hauteur de la grange, une idée folle m’a traversée l’esprit, « je vais faire comme mes ancêtres, perdre mon pucelage dans la paille de cette grange » je l’ai poussé a l’intérieur et tout en s’embrassant, nous nous sommes couché dans la paille. Pris par une étrange frénésie, nous nous sommes mutuellement caressé en nous déshabillant puis il m’a avoué- je t’aime beaucoup, mais je n’osais pas parce que tu es la première fille avec qui je vais si loin.
- Je te rassure, pour moi aussi tu es le premierNous avons continué de nous embrasser et caresser puis il est venu sur moi et m’a tout doucement pénétré. J’étais tellement excité que j’ai a peine sentie une petite douleur quand il a déchiré mon hymen puis le plaisir m’a envahie complètement, nous n’étions plus que deux bêtes à la poursuite de l’orgasme.
Assez rapidement j’ai senti la brûlure de son sperme contre la bouche de mon utérus mais sa cavalcade ne s’est pas arrêté, il a continué à me pilonner comme un fou, je ne sais pas combien de foies j’ai jouis mais c’étais merveilleux.
Au bout d’un long moment il s’est mis à râler et m’a inondé une deuxième foi puis il s’est écroulé sur moi. Nous sommes restés très longtemps sans bouger l’un sur l’autre pour reprendre notre souffle, je le sentais tout doucement débander en moi et c’était très bon.
Sans changer de position nous nous sommes a nouveau embrassé et caressé, rapidement j’ai senti son sexe regonfler et comme il n’était pas sorti entièrement de moi il me remplissait a nouveau complètement. Je me suis mise à faire onduler mon bassin en relevant mes jambes pour les nouer dans son dos. Il est venu au plus profond de mon intimité mais il ne bougeait pas, c’est moi qui par les contractions de mon vagin le faisait monter vars l’orgasme. Au bout d’un petit moment il a commencé à s’activer et tout doucement nous avons recommencé notre course au plaisir. Nous l’avons atteint tous les deux en même temps. C’était tellement fort que nous nous sommes endormis l’un dans l’autre.
A notre réveil il faisait déjà bien jour, nous nous sommes a nouveau passionnément embrassé il s’est remis a bander je suis passée sur lui, je l’ai chevauché, et me suis empalée sur son chibre, la course au plaisir a recommencé. Après une nouvelle folle jouissance, nous nous sommes rhabillés, il m’a raccompagné jusqu'à la porte de ma maison et m’a quitté après un fougueux baiser j’étais sure d’avoir trouvé le mari idéal.
Le lendemain, il est arrivé chez moi vers quatorze heure pour n’en repartir que vers vingt heures et nous avons fait l’amour passionnément dans ma chambre tout le temps.
Les jours suivants ce fut tout aussi merveilleux, nous avons essayé toutes les positions possibles ainsi que tous les coins de la maison.
La semaine suivante, nous avons décidé de profiter du beau temps et nous sommes partis en promenade. Pendant nos promenades il me faisait des surprises, il me possédait soit contre un arbre dans le parc, ou sous le porche de l’église. Pour lui faciliter la tache, je ne mettais plus de culotte et portais toujours des petites jupes très amples.
Un après midi, alors qu’il venait d’arriver, en m’embrassant il a cassé mon collier et les perles se sont éparpillées par terre. Je me suis prestement mise à quatre pattes pour les ramasser, il en a profité pour retrousser ma jupe et me prendre en levrette.
Une autre foi, nous avons fait l’amour à la terrasse du café du village. Quand Nous nous sommes installé, la terrasse était presque vide nous avons commandé puis après avoir été servi alors que nous buvions tranquillement, un groupe de bouliste est arrivé, comme ils n’avaient pas assez de siéges, j’ai laissé ma chaise et je suis partie m’asseoir sur ses genoux. Je ne sais pas comment il s’y est pris mais a un moment, il m’a fait me relever pour passer a califourchon sur ses jambes.
Tout en buvant nos verres et en nous embrassant, caché par ma jupe, il a sorti son sexe et m’a tout doucement pénétré en me caressant de sa main le pubis, c’étais merveilleux j’ai éprouvé un plaisir comme jamais, faire l’amour au milieu de plein de monde sans que personne ne s’en rende compte m’a fait avoir un orgasme monstrueux. Le plus dur pour moi a été de ne pas crier mon bonheur. Après qu’il ait abondamment jouis nous sommes partis. En marchant, je sentais ma jouissance mêlée a son sperme dégouliner le long de mes jambes ça me procurait des frissons terribles. Jamais je n’avais eut de telles sensations.
Le dimanche soir suivant quand il est parti après un fougueux baiser il n’a rien dit de particulier, je m’attendais à le revoir le lendemain mai il n’est pas venu, c’était la dernière foi que je l’ai vu. J’ai essayé de le retrouver, rien, comme s’il n’avait jamais exister.
Ça n’arrangeait pas mes affaires, j’avais du retard dans mes règles, je pensais être enceinte et voulais justement lui en parler. Comme je veux que mon enfant ait un père, j’ai continué à le chercher pendant plus d’un mois puis je me suis fait une raison, ce doit être une malédiction qui pèse sur ma famille, j’élèverais mon enfant toute seule.
…………………………………………………..
Ça fait six mois que je suis seule dans le manoir, j’ai beau avoir bien grossi, j’ai toujours des envies et je me caresse jusqu'à l’orgasme en pensant a mon bel étalon. Il faudra que je trouve une solution, les caresses c’est bien un bel étalon, c’est mieux.
………………………………………………………………….
Ça y est, j’ai accouché, c’est une belle petite fille, J’ai décidé de l’appeler Christelle, J’espère qu’elle aura plus de chance dans la vie que toutes les femmes de la famille.
………………………………………….
Maintenant que je suis a nouveau présentable, il me faut trouver un beau male qui sache bien me faire jouir. Et peut être qui m’épousera qui sais.
………………………………………………….
Ça va bientôt faire dix ans que je n’ai rien noté dans ce carnet il faut dire que je n’ai pas eut beaucoup de temps. En plus, j’avais complètement oublié ou je l’avais mis.
Il s’est passé pas mal de choses en dix ans, j’ai été marié trois foies, la première, c’était avec Marc, pour lui une seule chose comptait : baiser c’est tout. Conversation : nul comportement avec moi : nul. Je ne sais pas pourquoi je l’ai épousé, enfin si, il me faisait l’amour comme un dieu et je venais de passer une longue période d’abstinence.
Après un an de mariage, je l’ai surpris entrain de baiser la bonne. Je l’ai tout de suite viré.
Le suivant, c’étais un homme normal, trop normal pour moi, un employé de banque, au début cette vie pépère qu’il me faisait mener m’a plue, tout été planifié, même nos séances de jambes en l’air. J’ai tenue deux ans puis j’ai craquée, il n’a pas du tout aimé que je le viole presque a l’heure ou il regardait son jeux télévisé, il m’en a voulu et s’est abstenu de me faire le moindre câlin pendant trois mois.
J’ai appelé une ancienne copine et je me suis arrangée pour qu’il tombe dans ses griffes. Six mois plus tard j’étais a nouveau libre, j’ai divorcé pour faute avec de nombreuses photos à l’appui. Le pire c’est qu’il a épousé ma copine dans la foulée.
Le troisième, je ne sais pas si il compte vraiment, c’étais pendant mon voyage au tour du monde, un mariage de trois jours a Las-VegasC’était un très beau mec, il me plaisait beaucoup, je l’ai rencontré le jour de mon arrivée, en plus j’étais bien en manque, nous avons très vite sympathisé, le seul problème c’est qu’il était tellement pris par la religion qu’il ne voulait rien me faire si nous n’étions pas marié. J’avais tellement envie qu’il me baise que nous sommes partis voir dans une chapelle de mariage. A la sortie, nous étions mariés.
Direction l’hôtel. Il m’a fait l’amour pendant trois jours et trois nuits, nous ne prenions que de petites poses pour manger et dormir un peu. A la fin des trois jours, nous sommes repartis à la chapelle pour faire annuler le mariage.
C’est quand même lui, le mari que je regrette le plus.
A mon retour de voyage, j’ai eut une très mauvaise surprise, le notaire qui gérait mes affaires avait pris sa retraite et c’est un fruit pourri qui l’a remplacé. En l’espace d’un an il a failli me faire perdre tout mes avoirs. Heureusement notre ancien notaire a pris ma défense et j’ai pu récupérer une grosse partie de mon héritage. Maintenant c’est un centre de gestion agréé qui s’en occupe. Enfin je note tout ça pour expliquer pourquoi je laisse ma fille dans des pensionnats et des instituts. Je n’ai pas matériellement le temps de m’occuper d’elle. Ce soir, je repars pour assister a une grande course automobile, un de mes amis est pilote, s’il gagne, nous ferons la fête pendant au moins quatre ou cinq jours, alors ma fille, elle n’a pas encore sa place dans ce milieu, elle est beaucoup trop jeune.
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