Carole apprend à obéir. - histoire érotique

Résumé de l'épisode précédent :

Le cocu a fait draguer sa femme à son insu par un homme noir. Carole, bourgeoise de 51, a succombé et elle baise avec son nouvel amant à leurs arrivées en vacances. Le black a décelé un joli potentiel chez elle et espère bien en faire sa soumise pour les deux semaines de vacances.

***

Comme Carole veut avoir le temps de se préparer, ils rentrent de la plage assez tôt. André propose à sa femme d'aller acheter des soutiens-gorge puisqu'elle a oublié d'en mettre dans sa valise. Cette question est juste pour mettre sa femme un peu mal à l'aise puisqu'il sait qu'elle a menti et que c'est son amant qui les a confisqués. Sa femme arrive à dire aussi naturellement que possible :

- Non ce n'est pas nécessaire. Ça fera du bien à ma poitrine de rester libre. Ici personne ne me connaît. Ce n'est pas grave si je trouble quelqu'un.

De retour à l'hôtel, André regarde avec excitation sa femme s'habiller pour sa soirée avec Michel. Elle commence par enfiler un string noir à dentelle sur lequel elle met une jupe qui est aussi noire. Il se rend compte de l'effet de Michel sur sa femme, car ça fait longtemps qu'elle ne met plus cette jupe en disant que ce n'est plus de son âge. Cette jupe droite s'arrête à mi-cuisse et lui fait un joli cul. Il lui dit :

- Tu as pris cette jupe avec toi? Tu m'avais dit ne plus vouloir la mettre à cause de ton âge?

- Quand je sus que j'allais de nouveau avoir un amant, j'ai décidé de quand même la prendre pour pouvoir être un peu sexy, lui répond-elle

Pour le haut, elle opte pour un débardeur en viscose. Il s'arrête à la taille, laissant bien voir sa jupe et est assez lâche pour caché un peu sa poitrine. Elle complète sa tenue avec une paire d'escarpins à talons de 8 cm, quelques bijoux et un maquillage qui mettent en valeur ses yeux et sa bouche.

Elle fait un bisou sur les lèvres de son mari en lui disant :

- Tu me trouves comment?

- Ton amant a de la chance, il va sortir avec une belle bourgeoise sexy.

- Tu es jaloux?

- Un peu oui, mais c'est une jalousie excitante.

Elle met une main sur l'entrejambe de son mari et dit :

- Je vois ça. Tu vas avoir toute la soirée pour imaginer ta chérie jouir avec un pénis deux fois plus gros que le tien! Je vais l'attendre sur le parking. Il ne faut pas faire attendre un amant.

Comme André veut l'accompagner, elle lui dit :

- Non, tu restes là. Si tu veux faire le voyeur, regarde par la petite fenêtre de la salle de bain, on voit le parking. Ça doit t'exciter de passer pour un vrai cocu, même aux yeux du personnel de l'hôtel non?

Elle quitte la chambre sans attendre la réponse. Penaud, André reste dans son rôle du cocu docile. C'est le sexe dur qu'il va regarder par la fenêtre sa femme qui attend son amant. Après quelques minutes, il voit arriver la moto de Michel.

Carole est surprise de voir son amant arrivé en moto. Elle pensait qu'il viendrait la chercher en voiture. Il s'arrête vers elle, il enlève son casque pour lui rouler une pelle et lui dit :

- Tu es splendide. Bravo pour ta tenue sexy. Prends le casque dans le box arrière et monte.

- Mais, je ne peux pas, c'est impossible avec ma jupe, dit-elle inquiète.

- Bien sûr que c'est possible, rigole-t-il, il te suffit de la retrousser pour t'asseoir. Je roulerai tranquillement.

- Mais... je ne peux pas, tout le monde va voir moi mon cul.

- Oui c'est vrai et on va même sûrement se faire klaxonner. Mais ils n'en verront pas beaucoup plus que ce que tu montres à la plage et avec le casque, personne ne verra ta tête.

Depuis sa fenêtre, le cocu a sorti son sexe et se branle. Il voit sa femme hésiter, regarder autour d'elle, puis ouvrir le box, prendre un casque et l'enfiler. Il n'en croit pas ses yeux lorsqu'il voit sa cocufieuse relever sa jupe et enjamber la moto, son cul bien visible. Cette scène est tellement excitante, qu'il éjacule dans ses doigts.

Le trajet en moto se passe comme l'avait prédit Michel. Le cul de sa femelle provoque quelques coups de klaxon. En ville, il arrête la moto devant une terrasse. Carole n'ose pas regarder de ce côté-là, mais elle sent plein de regards pendant qu'elle descend de la bécane. En enlevant le casque, elle a envie de pouvoir se cacher. Elle se dit que tout le monde voit la tête de cette pute qui a montré son cul à tout le monde. Elle est contente de suivre Michel à pied et de s'éloigner de tout ces regards. Pourtant, elle doit aussi s'avouer qu'elle sent qu'elle a un peu mouillé d'excitation.

- Tu as rendez-vous pour ton épilation intégrale dans 10 minutes, lui dit son amant

Carole espérait qu'il ait oublié cette envie. Elle l'implore :

- Ho non pas ça, je ne peux pas faire ça.

- Pourquoi pas, s'amuse-t-il à lui répondre

- Que va penser André, je ne lui en ai pas parlé.

- Ton cocu?

- Oui, mon cocu.

- Il n'a pas besoin de savoir, tu n'as qu'à lui dire que pour que son cocufiage soit plus intense, tu vas lui interdire de voir ton sexe pendant les vacances.

- Je ne peux pas, je dors toute nue.

- Je vais t'offrir un pyjama, rigole-t-il. De toute façon, tu protestes, mais tu as envie de m'obéir et je ne pense pas que tu vas refuser de rentrer dans le salon de beauté qui est devant nous.

Carole ne sait plus quoi dire. Elle bégaye :

- Tu... tu as réservé à mon nom?

- Oui il te suffit de dire que tu es Carole et que tu viens pour l'épilation intégrale.

Un peu comme un automate, elle se dirige vers le salon de beauté. Michel lui dit :

- On se retrouve ici. Attends-moi si je ne suis pas là quand tu sors.

Malgré le stress de Carole, tout se passe normalement dans le salon de beauté. Très professionnelle, une esthéticienne lui épile le pubis et le tour de l'anus à la cire. C'est assez douloureux, mais la douceur de la femme qui pose ses mains sur elle est heureusement assez agréable. Lorsqu'elle ressort, la sensation de sa peau nue sous le string est plutôt agréable.

Elle voit arriver Michel, elle court à sa rencontre, l'embrasse en lui disant :

- Tu es content? Je l'ai fait.

Il lui roule une pelle et lui dit :

- Oui je suis content, mais c'est normal que tu m'obéisses. Tu ne trouves pas?

Timidement elle lui dit :

- Oui et je crois que ça m'excite

- Tu crois ou tu en es sur, mais tu ne veux pas l'avouer?

Elle l'embrasse une nouvelle fois et lui dit :

- Devine

Michel ouvre le sac qu'il a avec lui et lui dit :

- J'ai tenu ma promesse, je t'ai acheté un pyjama rose. Je l'ai choisi en satin, tu feras une belle bourgeoise sage là-dedans. Tu vas expliquer à ton cocu qu'il ne verra plus ton sexe jusqu'à la fin des vacances.

- D'accord, dit-elle, si tu veux. Mais c'est quand même dur pour lui.

- Oui, mais il aime être cocu, ça fait partie du jeu. En plus j'ai prévu un cadeau que tu vas lui faire.

Michel sort un masturbateur. Amusée et intéressée, Carole regarde le tube vibrant avec une entrée qui ressemble à des lèvres intimes féminines. Elle rigole et dit :

- C'est très bien, ça ira bien pour lui. Pas de vrai sexe pour lui, juste un vagin en silicone.

Michel entraîne Carole prendre l'apéro sur une terrasse. Une fois assis à une table, il lui dit :

- C'est le moment de mettre ta chatte à l'air. Va aux toilettes et enlève ton string.

- Houlala, dit-elle. Je suis obligée de faire ça?

- Non, lui répond son amant, tu peux rester ici pour l'enlever si tu préfères.

Elle rougit en entendant sa réponse. Mais un peu vexée, elle n'insiste pas et se lève pour aller aux toilettes. En revenant, elle a l'impression que tout le monde sait qu'elle est nue sous sa jupe. Avec l'air sur sa peau toute lisse, la sensation est excitante. Comme elle n'a pas de sac, son string est roulé en boule dans sa main lorsqu'elle se rassoit à la table. Michel tend sa main, elle pose aussi discrètement que possible le string dedans.

Mais lui ne se gêne pas de déplier le string et de l'inspecter. Carole, rouge de honte, espère que ce moment sera aussi court que possible.

- Joli string Aubade, dit-il. Tu as bon goût, c'est un véritable string de salope. En plus il est humide, ce qui confirme ce que je viens de dire.

La serveuse qui arrive avec les boissons rougit aussi en voyant le string dans la main du black. Carole voit avec soulagement son amant mettre le string dans sa poche. Après avoir fait santé et bu une gorgée, il lui demande :

- Sur une échelle de 0 à 10, quel et le taux d'humidité de ton sexe? 0 s'il est sec et 10 s'il est tellement mouillé qu'il est saturé de mouille.

- 8 ou 9, répond-elle timidement, après un moment de silence

- Il faut que tu apprennes à faire des phrases quand tu me réponds. Alors, refais ta réponse correctement.

Carole regarde autour d'elle pour être sûre qu'on ne l'entend pas et elle dit :

- Le taux d'humidité de mon sexe est de 9 sur 10.

- C'est de m'obéir, d'avoir le sexe lisse ou de savoir que tu vas être baisée qui contribue le plus à cette humidité?

- Les trois, murmure-t-elle

- Je t'ai dit de faire des phrases!

Elle prend sa respiration, réfléchit à sa réponse et finit par dire :

- Mon pubis lisse et de savoir que ton pénis va me remplir contribue bien sûr à l'humidité de mon sexe. Mais c'est certainement mon obéissance qui est la conséquence de tout ça et qui me fait sûrement mouiller le plus.

- J'aime bien ta réponse et ta franchise. Tu es donc d'accord que je continue à être dominant?

- Oui, bien sûr. Je pense que j'en ai même envie, dit-elle.

- Je te propose de mettre en place deux petites règles pour marquer ton obéissance. La première est simple. Dorénavant tu me vouvoies et tu me dis Monsieur.

- Bien Monsieur, dit-elle amusée, j'espère que je n'oublierai pas.

- Cette règle est applicable même si nous ne sommes pas seuls. C'est compris?

Carole réalise que ce comportement devant d'autres personnes ne laissera pas beaucoup de doute sur leur relation de maître et soumise, mais comme personne ne la connaît ici, ça l'excite d'y penser.

- Oui j'ai compris Monsieur, lui dit-elle.

- La deuxième règle est aussi simple. Pendant toutes tes vacances, que tu sois seule, avec moi ou avec ton cocu, tes genoux ne doivent jamais être collés l'un à l'autre. Il doit toujours y avoir au moins 20 cm entre les deux.

- Même quand je n'ai pas de culottes, s'inquiète-t-elle. On risque de voir mon sexe.

- Oui bien sûr, ta chatte lisse et ton trou à bite de coquine méritent d'être vus.

Sans rien dire, mais en regardant tout de même un peu autour d'elle, elle écarte ses genoux pour respecter cette nouvelle règle.

- Ça t'a choqué que je parle de ton trou à bite? lui demande-t-il.

- Non, Monsieur, c'est un peu ce qu'il est pour vous.

- J'aimerai que, dès maintenant, tu ne parles plus de sexe ou de vagin quand tu parles de ton entrejambe, mais que tu parles de trou à bite.

- C'est une troisième règle, Monsieur?

- Oui on peut dire ça.

Après avoir payé les consommations, ils se lèvent et partent à pied dans une ruelle. Ils arrivent vers une entrée d'un petit immeuble. Michel lui dit :

- J'ai la clé d'un appartement tout en haut de cet immeuble. Il est en rénovation et je refais la cuisine. Comme on est dimanche, il n'y a personne. Tu veux que je t'y emmène pour m'occuper de toi?

Carole se sert contre lui en lui disant qu'elle en a envie. Il lui dit alors :

- Alors, demande-le-moi clairement sans oublier les 3 règles.

Carole prépare la phrase dans sa tête, elle se met en face de lui, les jambes un peu écartées avant de dire :

- Monsieur, je suis excitée et j'ai envie de jouir. Pouvez-vous m'emmener dans l'appartement en rénovation pour enfiler votre sexe bien dur dans mon trou à bite?

Il ouvre la porte pour la faire entrer en disant :

- Vient ma femelle blanche. Je vais te piner avec plaisir!

Dans l'ascenseur qui les monte au sixième étage, il décroche la jupe de la bourgeoise et la fait glisser le long de ses jambes. Elle veut la retenir, mais il l'en empêche en lui disant :

- Laisse-toi faire et serre les genoux le temps qu'elle tombe par terre.

Elle lui obéit avec un mélange de stress et d'excitation. Elle sort un de ses pieds de la jupe pour écarter les jambes lorsqu'il le demande. Il a juste le temps de lui caresser le pubis lisse et de la doigter rapidement avant qu'ils arrivent. Quand l'ascenseur s'arrête au sixième, il lui dit :

- Tu avais raison hier, ça fait pute la chatte lisse. J'adore! prend ta jupe à la main, pas besoin de la renfiler.

Comme il ouvre la porte, elle n'a pas le temps de réfléchir. Elle ramasse sa jupe et sort dans le couloir, les fesses et la chatte à l'air. Il y a plusieurs portes sur cet étage. Le cœur de Carole bat vite. Michel ouvre une porte et la fait entrer. Il lui enlève son débardeur et l'emmène nue, avec juste ses escarpins dans la cuisine que son entreprise est en train de refaire.

- Vient sortir et faire durcir ce que tu as envie de sentir dans ton ventre.

Docilement, Carole se met à genoux devant son amant, ouvre son pantalon pour en sortir un sexe déjà bien dressé. Elle le prend dans sa bouche pour lui faire une fellation. Il lui prend la tête pour accompagner ses mouvements en lui disant :

- C'est bien, tu es vraiment à ta place là. Prends-la bien profonde. Ta bouche est aussi un trou à bite et elle est bien agréable.

C'est la première fois qu'un homme parle comme ça à la bourgeoise. Mais, venant de Michel qui la si bien faite jouir, ça l'excite, même si elle se sent un peu vexée. Après quelques minutes, il l'arrête. Il s'assoit sur une chaise, son sexe noir fièrement dressé et lui dit :

- Viens t'empaler.

Sans se faire prier, elle vient en face de lui et l'enjambe. Elle prend le sexe noir d'une main pour le diriger à l'entrée de son vagin et descend dessus avec un plaisir non dissimulé. Après quelques aller-retour assez lents, elle accélère le mouvement en couinant de plus en plus fort. Son corps se met à trembler et elle a un orgasme violent. Elle reste un moment sans bouger, affalée sur l'épaule de Michel sur lequel elle est toujours empalée. Lorsqu'elle reprend ses esprits, il lui dit :

- Tu mouilles et tu jouis facilement, tu es faite pour être une salope. Remets-toi à genoux et recommence à me sucer.

Sans dire un mot, pas encore complètement remise de son orgasme, elle obéit. Le sexe de son amant a maintenant le goût de sa mouille, ce qu'elle trouve plutôt agréable.

- Bonne suceuse, lui dit-il. Je vais éjaculer dans ta bouche. Avale bien tout, je ne veux rien à côté!

Elle n'ose pas protester, pourtant elle n'a jamais laissé un homme gicler dans sa bouche. Elle a toujours pensé que c'était trop humiliant d'accepter ça. Pourtant elle continue à le sucer avec application. Elle aimerait qu'il lui tienne la tête pour qu'elle n'ait pas à décider de garder le sexe dans sa bouche. Mais il n'en fait rien et lorsqu'elle sent le sperme gicler dans sa gorge, elle pourrait facilement se retirer. Mais elle ne le fait pas et garde même le sexe dans sa bouche un moment pour bien tout prendre dans son gosier.

Satisfait, il lui dit de se rhabiller et ils quittent l'appartement. Il l'emmène dans un restaurant en marchant à côté d'elle, une main posée sur son cul. Il lui dit :

- Dans nos échanges de messages pendant une année, tu m'avais caché que tu mouillais et jouissais aussi facilement. Tu es une vraie chienne en chaleur!

- C'est peut-être parce que tu as su bien m'exciter, se justifie-t-elle.

- Tu as déjà oublié une règle! ça mérite une punition.

Elle se rend alors compte qu'elle l'a tutoyé. Elle répète sa phrase en s'excusant :

- C'est peut-être parce que vous m'avez su bien m'excitée, se justifie-t-elle.

- C'est mieux, dit-il. Mais tu vas quand même avoir une petite punition. Tu aimes sentir ma main sur ton cul? que penses-tu que les gens pensent en voyant ça?

- Oui j'aime bien, Monsieur. Je suppose qu'ils pensent que je suis une femme un peu chaude qui prend du plaisir à se laisser faire avec vous.

- Ta punition sera simple, tu continues à marcher à mes côtés et tu me laisses passer ma main sous ta jupe et la mettre à même ta croupe.

- Je vais passer pour une salope si vous faites ça, dit-elle inquiète.

- Oui, mais c'est la vérité, non? Tu es bien une salope soumise avec moi non?

- Oui vous avez raison, murmure-t-elle.

Elle sent la main de son amant remonter sa jupe et empoigner sa fesse à même la peau. Morte de honte, elle essaye de rester aussi naturelle que possible. Ce qui lui fait le plus honte, c'est qu'elle sent qu'elle recommence à mouiller. Pour faire plaisir à son amant, elle lui avoue à l'oreille :

- Mon trou à bite recommence à mouiller.

- Ne t'inquiète pas, la soirée n'est pas finie, tu vas encore jouir, rigole-t-il

Heureusement, ils arrivent vers un restaurant et il laisse Carole reprendre un peu de décence.