Carole continue à se dévergonder.

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Récit libertin : Carole continue à se dévergonder. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Carole continue à se dévergonder.
Résumé de l'épisode précédent :

Carole est très excitée par son amant qui lui fait exhiber les parties intimes de son corps. Il lui fait découvrir la soumission. Il lui a fait épiler son sexe et enlever son string sous sa petite jupe. Puis il l'a baisée dans un appartement en chantier et lui a caressé le cul en relevant sa jupe en pleine rue.

***

Ils arrivent devant un restaurant qui a une terrasse ombragée. Michel demande une table. Le serveur lui en propose trois différentes. Il fait asseoir sa soumise à une petite table carrée. Il s'assoit, séparé d'elle juste par un coin de la table.

- N'oublie pas la règle des genoux, dit-il

Sans réfléchir, elle écarte un peu ses jambes pour laisser de l'espace entre les genoux. Mais en levant la tête, elle comprend pourquoi son maître lui a dit ça. Il y a un couple dans la soixantaine en face d'eux. La femme est de profil et ne la regarde pas, mais l'homme a déjà les yeux rivés sur ses cuisses. Michel, qui a vu le regard de Carole sur leur voisin de table, lui dit :

- Reste comme ça. Tu n'es pas assez écartée pour qu'il voie ta chatte. Mais ce n'est certainement pas tous les jours qu'il voit l'intérieur des cuisses d'une bourgeoise adultère. Laisse-lui ce plaisir.

Carole obéit, elle discute avec son amant comme si elle ne se rend pas compte du regard de son voisin. Après qu'ils aient passé commande au serveur, Michel dit à Carole :

- Regarde-moi sans t'occuper de notre voisin et laisse-toi faire, c'est le moment de lui montrer ta chatte lisse.

- Ho non, dit-elle, je ne peux pas faire ça.

La main de son amant vient sur sa cuisse, plus bas que la jupe. Il tire dessus pour l'écarter en disant :

- Bien sûr que tu peux. La première raison c'est parce que tu as envie de m'obéir et la deuxième raison c'est que tu dois avoir les agréables frissons dans le ventre.

Malgré sa honte, Carole se laisse faire. C'est vrai qu'elle est excitée d'obéir et son voyeur est un inconnu qu'elle ne reverra certainement jamais. Heureusement pour elle, sa jupe droite empêche son maître de trop ouvrir ses jambes.

- Le voyeur ne doit pas voir grand-chose avec ta jupe, dit-il. Mais je pense qu'il a au moins vu que tu n'as pas de culotte. Je vais enlever ma main, mais je t'interdis de refermer les jambes.

- Bien Monsieur, murmure-t-elle

Carole n'ose pas regarder devant elle. C'est la première fois qu'elle se montre comme ça à un inconnu. Elle est morte de honte, mais son excitation est telle qu'elle n'imagine pas désobéir à son maître. Dix a quinze minutes plus tard, l'homme se lève pour aller aux toilettes. Carole pense avoir un moment de répit, mais son maître a une autre idée et lui dit :

- On va lui faire une petite surprise pour son retour. Retrousse ta jupe au milieu de tes fesses, comme quand tu étais assise sur la moto.

- Ho non, s'il vous plaît, pas ça, pas ici, proteste-t-elle assez mollement.

- Tu n'as pas mouillé d'excitation de t'exhiber?

- Si, mais quand même.

- Tu ne risques rien, tu es une inconnue pour lui. Obéis!

Aussi discrètement que possible, pour ne pas de faire remarquer, elle se contorsionne sur sa chaise pour remonter sa jupe. Lorsque l'homme revient, elle est soulagée, car son maître ne lui demande pas d'écarter plus les jambes.

Lorsque Michel finit son entrée, il pose une main sur la cuisse de la bourgeoise. La caresse est agréable, mais Carole se crispe tout de même un peu, craignant la suite. Michel lui dit :

- Tu es prête pour le spectacle? Tu vas passer pour une véritable salope, mais il va beaucoup aimer. Laisse-toi faire, dit-il en tirant sur la cuisse, et écarte l'autre jambe simultanément.

Incapable de la moindre parole, la quinquagénaire obéit et se laisse faire. Elle se retrouve les jambes bien écartées. Elle n'ose pas regarder devant elle, mais c'est sur que le mec doit bien voir sa chatte lisse. Elle a un coup de sang en sentant la main remonter sa cuisse. Elle ne resserre pas les jambes, mais dit paniquée :

- Non, tu ne vas pas...

- C'est quoi ce tutoiement? Tu n'as pas honte, dit-il calmement.

- Pardon Monsieur, vous n'allez pas remonter votre main jusqu'à mon... mon trou à bite?

- Imagine le spectacle de mon doigt noir qui va caresser ta fente blanche et peut-être même entrer dans ton trou.

Carole reste tétanisée sans oser bouger. Elle se dit qu'il bluffe, qu'il ne va pas oser. Pourtant la caresse agréable de la main qui est maintenant en haut de l'intérieure de la cuisse ne s'arrête pas. Assez rapidement, elle sent le doigt entrer dans son vagin. Michel se moque d'elle :

- C'est une vraie fontaine là-dedans. Ça te plaît tant que ça de passer pour une salope?

Comme le serveur arrive avec leurs assiettes, il retire sa main et lui disant de garder les jambes écartées. Heureusement pour Carole, l'homme n'a pas envie que sa femme se rende compte du spectacle. Il reste donc discret dans sa façon de faire le voyeur. Comme ils arrivent au bout de leur repas, le couple s'apprête à payer l'addition et à partir.

Le reste du repas est plus calme pour Carole, mais Michel entretien tout de même bien l'excitation de sa femelle en lui caressant l'intérieur des cuisses ou même en passant une main sous le débardeur.

Ils reprennent, ensuite, la moto. Mais elle voit bien qu'il ne prend pas la direction de l'hôtel. Ils s'arrêtent près d'une plage. Michel dit :

- Je t'ai prévu un bain de minuit avant de te ramener à ton cocu. Tu vas tout lui raconter?

- Non, répond-elle. Je n'oserai jamais.

- Tu as raison, rigole-t-il, il n'a pas besoin de tout savoir.

Il se garde bien de lui dire qu'il fera un message détaillé au cocu. Dans le sable, Carole tient ses escarpins à la main pour marcher. Comme il fait nuit, ils trouvent facilement un coin de plage tranquille.

- À poil ma belle salope. Tu as déjà baisé dans la mer?

- Non, dit-elle en enlevant déjà son débardeur.

Ils se retrouvent rapidement les deux nus. Il lui tape le cul pour la faire aller dans l'eau. Dès qu'ils ont l'eau au niveau du torse, il pince et tire sur les deux tétons, ce qui la fait crier de surprise. Il rigole en disant :

- Si tu fais assez de bruit, tu vas attirer des spectateurs.

Il la soulève et la fait redescendre sur son sexe dur. Elle couine de plaisir alors qu'il lui dit :

- Tu es une véritable chienne en chaleur, toujours prête à jouir!

Il la fait monter en descendre sur son sexe alors qu'elle se cramponne à son cou. Quand elle a joui, il lui dit :

- On retourne sur la plage, une chienne c'est fait pour être prise en levrette!

Il la prend par la main pour l'aider à revenir sur la plage. La coquine se met à quatre pattes sans attendre et lui dit, joueuse :

- Votre chienne est prête à vous accueillir, Monsieur.

Carole prend un immense plaisir à être prise en levrette comme une salope par son amant black sur cette plage. Elle a un bel orgasme en sentant son amant éjaculer dans son ventre.

Son amant dominateur ne la laisse pas aller se rincer dans la mer. Il lui dit :

- Tu as été une bonne vide-couille. Garde mon sperme, tu te sentiras bien salope comme ça en retournant voir ton cocu.

- Mais ça va couler sur mes jambes.

- Oui, mais c'est normal pour une salope.

Elle venait de se faire traiter une fois de vide-couille et 2 fois de salopes en 2 phrases. Pourtant elle ne dit rien, elle est même contente de plaire à son amant et maître. Le voyant se rhabiller, elle veut faire la même chose, mais il l'arrête en lui disant :

- Non, reste nue, tu es belle comme ça et il fait nuit, personne ne te voit.

C'est donc nue, en portant ses habits et ses escarpins qu'elle traverse la plage. Quand ils arrivent sur le chemin en dur, après le sable, elle obéit à Michel en remettant ses escarpins, mais pas ses habits. Pendant le trajet jusqu'au parking, il lui demande :

- Tu m'as dit avant que tu ne raconteras pas tout à ton cocu, qu'es-ce que tu ne vas pas lui dire?

- Les trucs les plus hard que vous m'avez fait faire : que j'ai passé la soirée nue sous ma jupe, que j'ai été à moitié à poil dans un ascenseur ou que vous avez exhibé mon cul dans la rue et ma chatte au restaurant.

- Tu veux passer pour une bourgeoise raisonnable à ses yeux, qui a un amant juste pour baiser sans perversité. Tu as raison, le reste ne le regarde pas. La salope que tu aimes être, c'est pour les autres, pas pour lui.

Elle n'ose pas répondre, mais elle doit bien s'avouer qu'il a raison. Arrivé à la moto, il lui dit :

- Comme on n'est pas très loin de l'hôtel et que tu aimes d'exhiber, reste nue. Ne mets que le casque.

- Ho non pas ça sil vous plaît. À l'hôtel, ils vont dire quoi?

- Ne t'inquiète pas, je m'arrêterai et tu te rhabilleras avant d'entrer dans l'hôtel

Même s'il y a peu de circulation, des appels de phare et des coups de klaxon montrent qu'elle a été remarquée. Mais le trajet se passe sans problème et il la dépose, comme promis, tout au bout de parking, pas visible depuis l'hôtel. Il lui dit :

- N'oublie pas ton pyjama et le cadeau pour ton cocu. Et surtout, respecte ce qu'on a dit : il ne doit pas voir ton sexe lisse et tu lui expliques qu'il ne te baisera pas de toutes les vacances. Qu'il a son vagin en silicone pour se soulager !

- Oui, promis, Monsieur, lui répond-elle.

- Demain je suis absent, mais ne t'inquiète pas, tu auras de mes nouvelles par message et mardi je me viderai de nouveau les couilles dans toi.

***

Le lendemain matin, André repense au retour de sa femme et à sa nuit. Il a vécu un mélange d'excitation et de frustration lorsqu'elle est apparue en pyjama et lui a dit qu'elle laissait la primeur de son sexe à son amant, que lui ne le verrait plus avant leur retour de vacances. Au réveil, il profite d'un passage de sa femme aux toilettes pour lire discrètement le message qu'il a reçu de Michel. Il ne peut pas retenir une belle érection quand l'amant lui raconte tout ce qu'il a fait avec sa femme.

À son retour, Carole voit qu'il se carresse et qu'il bande. Elle dit :

- C'est d'être cocu qui te met dans cet état. Essaye ton nouveau jouet, il est fait pour ça.

Un peu honteux d'utiliser un vagin en silicone, André obéit tout de même. Il n'a pas de difficultés à enfiler le jouet sur son sexe. Avec les vibrations sous son gland, il éjacule en à peine cinq secondes. Ça a bien fait rire Carole qui lui a dit :

- Eh bien, j'avais l'habitude de te voir éjaculer assez vite, mais avec ce jouet, tu as été vraiment précoce! Tu aimes tant que ça être cocu?

- Oui, tu sais bien que ça m'excite beaucoup.

Elle ne le dit pas à son mari, mais Carole aussi est excitée, son sexe lisse lui procure des sensations qu'elle découvre avec plaisir. D'ailleurs, en s'habillant pour aller faire la petite randonnée qu'ils ont prévue, après une courte hésitation, elle enfile son short en jeans à même la peau pour sentir le frottement du tissu sur son sexe.

En plus de ces frottements, elle repense sans arrêt à sa soirée de la veille et elle échange quelques messages chauds avec son amant. L'excitation qu'elle en ressent l'excite beaucoup. À la fin de leur ballade, ils vont jusqu'à la plage pour se rafraîchir. Elle se souvient d'un message de Michel : « Ne te protège pas avec ton linge pour te changer. Enlève d'abord le t-shirt, puis le short pour être quelques secondes nue avant d'enfiler le bas du bikini. N'oublie pas que ton cocu ne doit pas voir ton sexe lisse, mais par contre, débrouille-toi pour qu'au moins une personne le voie. »

Ils posent leurs linges dans un endroit avec pas trop de monde. Mais Carole se rend vite compte qu'il y a déjà des hommes qui la regardent s'installer et qu'on va inévitablement la regarder si elle se déshabille. Après avoir enlevé ses chaussures, elle murmure à son mari :

- Un cocu n'a pas à voir sa femme se changer sur une plage, alors reste assis et tourne moi le dos.

Penaud, André obéit sans protester et il sent son zizi durcir. En peu tremblante, Carole enlève son t-shirt. Il ne lui reste plus que le short sur elle. Elle prépare le bas de bikini, mais n'ose pas se mettre nue sans protection. Après quelques hésitations, elle met son linge autour de sa taille pour enlever son short. Lorsqu'elle enfile la première jambe du bikini, elle sent le nœud de son linge se desserrer. Voulant quand même un peu obéir à son amant, elle décide de le laisser tomber par terre. Elle est donc complètement nue en enfilant la deuxième jambe et en remontant le bas du bikini. Lorsqu'elle lève la tête, elle voit un homme à moitié chauve, un peu bedonnant qui la regarde en souriant. Elle rougit et détourne les yeux.

Un peu plus tard, André reçoit un message de Michel et il s'en suit ce petit échange :

« Dis-moi si le maillot de bain de ta femme lui moulle son sexe avec sa chatte lisse. »

« oui on devine même ses lèvres »

« tous les voyeurs et pervers qui sont sur la plage ont dû le remarquer. Ta femme est dans la catégorie des salopes pour eux. »

« oui, vous avez raison, il y en a même un qui est à dix mètres de nous et qui la regarde sans arrêt. »

En fin d'après midi, il y a beaucoup moins de monde, car la plage a commencé à se vider. Mais l'homme est toujours là et il a souvent un regard pour Carole. Par message, elle informe son amant de ce regard qui la met mal à l'aise. Elle reçoit alors ce message « dit à ton cocu de déjà rentrer à l'hôtel parce que tu as envie de téléphoner à ton amant, que tu rentreras à pied ». Jouer avec son cocu l'excite beaucoup et elle n'hésite pas à obéir. Une fois seule, elle téléphone à son amant. Après un moment de discussion où il la chauffe bien, il lui demande :

- Le voyeur est toujours là?

- Oui

- Couche-toi sur le dos, jambes écartées face à lui.

- Je suis déjà dans cette position.

- Parfait, d'autres personnes sont près de toi?

- Non, pas tout près.

- Parfait, tu vas lui faire un petit spectacle. Passe ta main sous ton maillot et caresse-toi le clito.

Carole, qui est bien excitée, n'hésite pas beaucoup avant d'obéir. Le voyeur voit tout de suite la main sous le bikini et cette femme qui se caressent avec le téléphone à l'oreille. Comme son mari vient de partir, il pense qu'elle parle avec son amant et il la catalogue définitivement comme salope.

Voulant que Carole reste excitée sans jouir, Michel lui dit d'arrêter de se caresser. Il lui donne ses directives pour la suite de son exhibition. Sans protester, Carole lui obéit. Elle pose le. Une jambe de chaque côté du smartphone, caméra allumée et posé sur son linge. Face au voyeur, elle enlève son maillot de bain, nue en restant debout, elle le met dans son sac et en sort le short qu'elle enfile. Puis elle prend son t-shirt en l'enfile aussi avant de reprendre son téléphone et d'entendre son amant lui dire :

- Beau spectacle, ton voyeur a dû se régaler. En partant, passe vers lui et dis-lui « Au revoir, peut-être à demain ».

Elle obéit, rougissante, sans raccrocher le téléphone. Après son amant lui dit :

- Je t'interdis de te faire jouir ce soir. Ton prochain orgasme se sera demain, quand tu auras une bite noire dans le ventre.

La perspective de se faire baiser par son amant l'excite beaucoup et elle lui promet d'obéir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cela continue la blanche dominée par un black qui ne pense qu’à l’avilir et à l’humilier en public tout en frustrant le mari.la femme n’aime plus son mari elle lui ment se refuse à lui le nomme le cocu pauvre couple qui va finir par se déchirer

Histoire Libertine
Superbe troisième épisode. Vivement la suite car Carole a encore beaucoup de besoins.



Texte coquin : Carole continue à se dévergonder.
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