Caroline, la bourgeoise abandonnée (4)

- Par l'auteur HDS Surcouf -
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Caroline, la bourgeoise abandonnée (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Caroline, la bourgeoise abandonnée (4)
Je te retourne sur la table et entreprends de jouer avec ton clitoris. Tu as les jambes en l’air, légèrement écartées, mais retenues l’une à l’autre par le fil de ton tanga qui est au niveau de tes chevilles. Glissant un doigt, puis deux dans ta chatte chaude et humide, j’accélère les mouvements de ma langue sur ton organe du plaisir, et tu te mords les lèvres pour éviter de hurler. Tes mains ont déboutonné ta chemise, sortis tes seins de leur prison de baleines et de tissu, et s’activent à triturer les deux tétons rosés qui pointent fortement. J’insiste pendant quelques minutes, jusqu’au moment où, cédant à l’orgasme, tu te cambres sur le bureau et laisse échapper trois giclées de cyprine qui viennent maculer mon avant-bras.
Une fois les vagues de plaisir quelque peu estompées, je me redresse, enfile un préservatif sur ma verge tendue et la place à l’entrée de ton vagin.
— Je vais te baiser, maintenant, dis-je.
Tu ne dis rien, mais tu me regarde avec insistance. Je peux percevoir dans ton regard le désir qui t’envahit, mais aussi la peur de l’interdit. Finalement, tu hoches la tête et je m’introduis en toi, lentement, délicatement. Tu sens ce chibre gonflé qui te remplis toute entière, et qui vient buter dans le fond de ton intimité, à intervalles réguliers. J’effectue des mouvements amples, délicats et profonds, et tu n’arrives pas à réprimer tes gémissements de plaisir. Mes mains parcourent ton corps, caresses tes jambes, tes cuisses relevées, tes hanches, ton ventre et pétrissent tes seins gonflés par le désir, j’accélère la cadence, te porte jusqu’au point de l’orgasme, puis m’arrête d’un coup, pour te torturer sexuellement. Je recommence cette manœuvre vicieuse plusieurs fois, et, à chaque fois, le plaisir est plus grand et l’orgasme plus proche. Tu n’en peux plus tu fonds, tu gémis, tu me dis.
— Arrête, stop. Retourne-moi. Prends-moi en levrette.
— Comme une petite chienne ?
— Oui… prends-moi comme une chienne, dis-tu, amusée de t’entendre prononcer ces paroles.
Je m’exécute alors, te retourne sur le bureau, me place derrière toi et pose mon gland turgescent contre l’entrée de ton sexe et m’introduis d’un seul coup. Tu es extrêmement étroite, dans cette position, ta chatte est serrée, mais elle est tellement trempée que je coulisse naturellement à l’intérieur. Je recommence à faire des allers et retour dans ton vagin qui se contracte et se détends à intervalles réguliers, me procurant un massage des plus exquis. Les aller-retours délicats du début s’accélèrent, et se transforment en véritables coups de boutoir. J’empoigne ton sein d’une main et pose l’autre main sur ton clitoris, accélérant encore le rythme. Tu laisses échapper un gémissement de plaisir, que tu réprimes de peur de nous faire remarquer. Tu cambres le dos davantage afin que mon sexe vienne buter avec insistance contre ta paroi antérieure, sur ton point G, et tu halètes, les deux coudes posés sur la table du bureau. A mesure que j’accélère la cadence, ma main s’active sur ton clitoris et sur ton sein, et je sens un deuxième orgasme monter en toi. Afin d’éviter de crier dans le bureau, tu te retournes vers moi, nos yeux se fixent du regard avec une lueur de passion et de désir, puis tu m’embrasses avec force pour réprimer les gémissements de ton orgasme. A mon tour, je n’en peux plus, je sens l’éjaculation monter, alors je te préviens, mais tu me dis :— Non, pas dedans, je veux que tu gicles sur mes fesses.
Tu te retourne, arrache le préservatif de mon sexe, et t’allonge sur la table, exposant ton séant rebondi et magnifique. Tu me regardes comme une véritable chienne qui veut se faire arroser de semence. Ma main s’active avec force sur ma hampe et je sens l’orgasme monter. Tu me regardes dans les yeux, ton visage est allumé d’une lueur sauvage, comme je ne l’avais jamais vu avant et tu me dis :— Jouis mon chéri! Pour moi !
Ne pouvant résister à l’ordre que tu me donnes, je jouis à mon tour et déverse sur tes fesses les salves de ma foutre, qui viennent s’étaler sur ces deux miches blanches et fermes.

Nous nous rhabillons en vitesse, afin d’éviter de nous faire surprendre dans cet état. Tu as mal reboutonné ton chemisier et ton tailleur est tout froissé. Cette allure débraillée m’excite énormément et je ne peux pas m’empêcher de te plaquer contre la porte du bureau afin de t’embrasser sauvagement en te pétrissant les seins. J’introduis mes doigts dans ta fente humide et tu gémis de nouveau.
— Non arrête, pas encore… On va finir par nous surprendre… mmmm non… oui… encore… comme ça, continue, masse la bien… oh je t’adore je t’adoooooore.
Je te laisse reprendre ton souffle, et t’aide à te rhabiller. Tu me regardes et je lis l’amour et le plaisir dans tes yeux verts. Tu embrasses frénétiquement chaque morceau de mon visage.
— Oh tu ne vas pas t’en tirer comme ça, mon chéri, dis-tu. Je veux te voir et te revoir encore. Si tu savais comme j’ai aimé tromper mon mari avec toi… Samedi prochain, nous sommes invités, mon mari et moi, chez des notables, à quelques kilomètres de Paris. J’aimerai beaucoup que tu viennes, avec ta femme. Je vous laisserai deux invitations à l’entrée.
— Je vais lui proposer. Elle sera ravie, j’en suis sûr, elle adore les soirées mondaines. Mais je ne veux pas que tu laisses les invitations à l’entrée, cela risquerait d’attirer sur nous les soupçons de ton mari, et il vaut mieux qu’il reste étranger à notre relation le plus longtemps possible.
Alors, je fouille dans la poche de mon pantalon et j’en sors une petite clef en argent.
— Cela tombe bien, j’avais prévu de te la donner, de toute façon. C’est la clef d’une boîte postale que je possède dans le bureau de poste du XVème arrondissement, Rue de la Convention. Tu pourras y déposer les invitations, j’ai un double de la clef. D’autre part, je compte utiliser cette boîte pour que nous puissions communiquer les lieux et dates de nos prochains rendez-vous, et te faire passer ainsi quelques surprises… Pour cela, je veux que tu te rendes tous les jours à la Poste après ton café avec tes amies afin d’ouvrir la boîte et voir ce que je t’y ai réservé. Pour préserver notre anonymat, je l’ai mise au nom de Surcouf. C’est la numéro 1806, c’est facile, c’est la date de notre rencontre. Est-ce bien clair ?
Tu sembles à la fois surprise, excitée et contente de mon initiative. En effet, cette boîte postale est un moyen sûr et discret de communiquer sans risquer de nous faire prendre. Et tu as hâte de savoir ce que je t’ai réservé comme surprise.

Le lendemain matin, en quittant tes amies, tu prends la direction de la Poste, partagée entre l’angoisse et l’excitation. Sophie te demande pourquoi tu ne prends pas le chemin de ton bureau et tu lui réponds que tu as un colis à aller chercher. Après avoir cherché quelques minutes parmi les dizaines de boîtes de la poste, tu trouves finalement la numéro 1806. Le nom de Surcouf est écrit de mon écriture fine et penchée. Tu prends la petite clef d’argent que tu avais soigneusement remisée dans ton porte-monnaie et tu l’introduis fébrilement dans la serrure qui tourne en grinçant légèrement. A l’intérieur, il y a un petit paquet cadeau et une enveloppe sur laquelle il est inscrit :A n’ouvrir qu’à l’abri des regard indiscrets.
Tu mets le paquet et l’enveloppe dans ton sac, et tu reposes les invitations dans la boîte avant de la refermer et de quitter le bureau de poste. La journée te semble extrêmement longue et tu n’arrives pas à te concentrer à ton travail, trop curieuse de savoir ce que renferme le mystérieux paquet. Le soir venu, tu couches tes enfants tôt afin de déballer ton cadeau.
A l’intérieur de la boîte en carton, il y a un une paire de boules de geisha en métal brillant. Elles font la taille de deux beaux calots, et sont reliées par une fine lanière de cuir. Tu ouvres la lettre qui y est associée et lis mon mot :Caroline,Voici un petit cadeau de ma part pour te remercier de m’avoir tant procuré de plaisir, hier. Comme tu le vois, il s’agit d’une paire de boules de geisha. Je veux que tu prennes bien soin de les laver avec application, ce soir, car tu vas en avoir besoin demain. En effet, je souhaite que tu les mettes avant de te rendre au bureau ainsi, Chaque pas, chaque mouvement de tes jambes les fera bouger à l’intérieur pour te faire frissonner de plaisir. Bien évidemment, tu devras garder ton calme pour ne pas éveiller les soupçons autour de toi…Bonne chance, Marc.

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Texte coquin : Caroline, la bourgeoise abandonnée (4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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