Caroline, la bourgeoise abandonnée (6)
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Caroline, la bourgeoise abandonnée (6)
Le samedi, donc, je gare mon scooter devant la grille ouvragée de cette magnifique maison de maître de banlieue parisienne et remonte au bras de ma compagne l’allée boisée qui mène à cette grande bâtisse. Elle mesure 1m68, a de magnifiques cheveux bruns coupés en un carré qui arrive à hauteur de ses épaules et des yeux d’un bleu hypnotisant. Son maquillage précis et intense souligne avec force la puissance de son regard et rehausse les traits de son visage. Elle a tout d’une beauté slave. Son visage délicat aux traits harmonieux est sublimé par des lèvres charnues, sa poitrine est généreuse, ferme, et ne semble mystérieusement pas soumise à la gravité. Elle porte une robe Marc Jacob aux motifs géométriques bleus rouges et blancs qui moule harmonieusement ses hanches et ses fesses et descend jusqu’à mi-cuisse. Elle porte des escarpins noirs et se tient à mon bras pour éviter de se tordre la cheville sur le sol inégal de l’allée. Je porte des chaussures élégantes, un pantalon gris clair, une chemise blanche à boutons de manchettes et une veste de coton léger d’un gris assorti à mon pantalon. Je n’ai pas de cravate et laisse négligemment les deux derniers boutons de ma chemise ouverts.
Nous remontons l’allée, sans manquer de nous faire remarquer par les invités qui discutent dans le parc, un verre de champagne à la main, et nous présentons les deux invitations au personnel chargé de la réception.
Nous ne mettons pas très longtemps à vous trouver. Hervé et toi êtes absorbés dans une conversation passionnante avec un patron du CAC 40 et un ministre, et vous débattez vivement. Tu es de dos, et tu ne nous as pas vu. Je montre du doigt ta silhouette à ma compagne, qui te déshabille du regard en une fraction de secondes.
Tu es très belle, dans ta longue robe Chanel noire. Elle est ouverte sur le côté, dévoilant la finesse et la douceur de tes longues jambes délicates, et remonte sur les épaules par deux bandes de tissu en triangle qui viennent se nouer dans ton cou, révélant à la vue de tous ton dos merveilleux et tes omoplates saillantes. On peut aisément voir que tu n’as pas mis de soutien-gorge.
Je sors mon téléphone et ouvre l’application. Je décide de t’envoyer une longue et puissante vibration. L’effet de surprise est total, tu gémis de plaisir, te plie en deux pour serrer le jouet entre tes cuisses et lâche ton verre de champagne qui vient se vider dans l’herbe. Tu te redresse, rouge de honte, et tente de faire passer ce gémissement pour un cri de surprise.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? te demande Hervé.
— Je, rien, je crois que je me suis fait piquer par un moustique.
— Ce n’est pas la petite bête qui va manger la grosse, ajoute le patron du CAC 40 en riant grassement.
Rapidement, ton mari et le ministre s’éloignent pour parler affaires, te laissant seule avec ce vieux monsieur graveleux, bedonnant et grisonnant. Il ne manque pas de te faire des allusions sur ta tenue ou tes seins et cela t’énerve au plus haut point, mais tu es coincée, tu ne trouves pas d’excuse pour lui échapper. Tu sais que je ne suis pas loin et tu regardes de tous les côtés afin de croiser mon regard. Tu m’aperçois à quelques mètres derrière toi, avec ma compagne qui rayonne autant que toi dans ta fête. Tu me fais un signe du regard pour que je vienne te libérer des griffes de ce gros lourdaud mais je te souris et j’ignore ta requête, embrassant tendrement mon aimée. Tu ressens une pique de jalousie qui te transperce l’estomac et reporte ton attention sur le triste rhéteur qui te tient compagnie. Alors qu’il t’expose sans gêne les raisons pour lesquels les enfants de 14 ans qui travaillent dans ses usines en Chine ne sont pas exploités parce que, là-bas, l’âge légal du travail est à 13 ans, tu te pinces les lèvres pour éviter de le gifler. J’en profite pour allumer l’application et entreprendre un massage doux et continu de ton intimité. Rapidement, les « Hum hum » sceptiques que tu opposais à son monologue capitaliste se transforment en des « Mmmm » irrépressibles, fruit des vagues de chaleur irradiant depuis ton sexe en extase. Je monte l’intensité encore d’un cran et tes tétons se mettent à pointer sous les bandes de tissu délicat de ta robe. Il le repère aussitôt et n’hésite pas à te faire une remarque à ce sujet, que tu ignores royalement en fermant les yeux pour te concentrer sur le massage intense que j’applique à ta vulve. Tu es tellement mouillée que tu sens le liquide déborder tes lèvres et couler le long de tes cuisses. Tu attrapes au vol un coupe de champagne sur le plateau d’un des serveurs qui se baladent entre les convives et la vide d’un trait. Tu chancelle, te rétablis en t’appuyant à deux mains sur le torse de cet immonde personnage et lui dis :— Désolé, je dois y aller, je dois me rendre aux toilettes. Une envie urgente.
Tu t’éloignes en titubant, serrant entre tes cuisses l’objet qui te torture depuis le début de la soirée, et te diriges vers moi. Tu souris à ma copine et me dis, en pinçant les lèvres :— Rejoins-moi aux toilettes. Maintenant !
Avant de t’éloigner à pas pressés sur le sol meuble de la pelouse. Je souris, embrasse ma chérie sur la joue, et lui confie mon téléphone avec l’application allumée.
— Je dois y aller. Tu sais ce qu’il te reste à faire.
Je prends la direction de l’immense bâtisse et entre dans le hall de réception. Le carrelage est brillant et il y a un lustre et des dorures au plafond. Je te vois en haut du grand escalier de pierre qui monte à l’étage. Je te suis.
Nous entrons dans une immense salle de bains richement décorée, et je prends soin de fermer la porte derrière moi. Tu me sautes dessus et m’embrasse langoureusement.
— Oh mon dieu, tu es si cruel… tu m’as torturé… J’ai la chatte en feu. Je veux que tu me prennes sauvagement.
Nous remontons l’allée, sans manquer de nous faire remarquer par les invités qui discutent dans le parc, un verre de champagne à la main, et nous présentons les deux invitations au personnel chargé de la réception.
Nous ne mettons pas très longtemps à vous trouver. Hervé et toi êtes absorbés dans une conversation passionnante avec un patron du CAC 40 et un ministre, et vous débattez vivement. Tu es de dos, et tu ne nous as pas vu. Je montre du doigt ta silhouette à ma compagne, qui te déshabille du regard en une fraction de secondes.
Tu es très belle, dans ta longue robe Chanel noire. Elle est ouverte sur le côté, dévoilant la finesse et la douceur de tes longues jambes délicates, et remonte sur les épaules par deux bandes de tissu en triangle qui viennent se nouer dans ton cou, révélant à la vue de tous ton dos merveilleux et tes omoplates saillantes. On peut aisément voir que tu n’as pas mis de soutien-gorge.
Je sors mon téléphone et ouvre l’application. Je décide de t’envoyer une longue et puissante vibration. L’effet de surprise est total, tu gémis de plaisir, te plie en deux pour serrer le jouet entre tes cuisses et lâche ton verre de champagne qui vient se vider dans l’herbe. Tu te redresse, rouge de honte, et tente de faire passer ce gémissement pour un cri de surprise.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? te demande Hervé.
— Je, rien, je crois que je me suis fait piquer par un moustique.
— Ce n’est pas la petite bête qui va manger la grosse, ajoute le patron du CAC 40 en riant grassement.
Rapidement, ton mari et le ministre s’éloignent pour parler affaires, te laissant seule avec ce vieux monsieur graveleux, bedonnant et grisonnant. Il ne manque pas de te faire des allusions sur ta tenue ou tes seins et cela t’énerve au plus haut point, mais tu es coincée, tu ne trouves pas d’excuse pour lui échapper. Tu sais que je ne suis pas loin et tu regardes de tous les côtés afin de croiser mon regard. Tu m’aperçois à quelques mètres derrière toi, avec ma compagne qui rayonne autant que toi dans ta fête. Tu me fais un signe du regard pour que je vienne te libérer des griffes de ce gros lourdaud mais je te souris et j’ignore ta requête, embrassant tendrement mon aimée. Tu ressens une pique de jalousie qui te transperce l’estomac et reporte ton attention sur le triste rhéteur qui te tient compagnie. Alors qu’il t’expose sans gêne les raisons pour lesquels les enfants de 14 ans qui travaillent dans ses usines en Chine ne sont pas exploités parce que, là-bas, l’âge légal du travail est à 13 ans, tu te pinces les lèvres pour éviter de le gifler. J’en profite pour allumer l’application et entreprendre un massage doux et continu de ton intimité. Rapidement, les « Hum hum » sceptiques que tu opposais à son monologue capitaliste se transforment en des « Mmmm » irrépressibles, fruit des vagues de chaleur irradiant depuis ton sexe en extase. Je monte l’intensité encore d’un cran et tes tétons se mettent à pointer sous les bandes de tissu délicat de ta robe. Il le repère aussitôt et n’hésite pas à te faire une remarque à ce sujet, que tu ignores royalement en fermant les yeux pour te concentrer sur le massage intense que j’applique à ta vulve. Tu es tellement mouillée que tu sens le liquide déborder tes lèvres et couler le long de tes cuisses. Tu attrapes au vol un coupe de champagne sur le plateau d’un des serveurs qui se baladent entre les convives et la vide d’un trait. Tu chancelle, te rétablis en t’appuyant à deux mains sur le torse de cet immonde personnage et lui dis :— Désolé, je dois y aller, je dois me rendre aux toilettes. Une envie urgente.
Tu t’éloignes en titubant, serrant entre tes cuisses l’objet qui te torture depuis le début de la soirée, et te diriges vers moi. Tu souris à ma copine et me dis, en pinçant les lèvres :— Rejoins-moi aux toilettes. Maintenant !
Avant de t’éloigner à pas pressés sur le sol meuble de la pelouse. Je souris, embrasse ma chérie sur la joue, et lui confie mon téléphone avec l’application allumée.
— Je dois y aller. Tu sais ce qu’il te reste à faire.
Je prends la direction de l’immense bâtisse et entre dans le hall de réception. Le carrelage est brillant et il y a un lustre et des dorures au plafond. Je te vois en haut du grand escalier de pierre qui monte à l’étage. Je te suis.
Nous entrons dans une immense salle de bains richement décorée, et je prends soin de fermer la porte derrière moi. Tu me sautes dessus et m’embrasse langoureusement.
— Oh mon dieu, tu es si cruel… tu m’as torturé… J’ai la chatte en feu. Je veux que tu me prennes sauvagement.
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