Caroline, la bourgeoise abandonnée (7) - histoire érotique

Bonjour, à tous.
Je suis de retour après de long mois d'arrêt.
J'ai perdu mon profil "Surcouf" sur HDS, mais je reviens avec un nouveau nom et la suite de "caroline, la bourgeoise abandonnée (6)" que vous pouvez trouver sous mon ancien pseudo.
Nous avions laissé notre bourgeoise à l'opéra, au bord de l'orgasme sous les vibrations incessantes de son jouet connecté. Je lui ai donné rendez-vous dans les toilettes, afin de satisfaire la coquine. Bonne lecture, et n'hésitez pas à m'écrire si vous souhaitez que je partage certaines de vos histoires ou en écrire une à 4 mains.

Le vibro est toujours allumé et ma copine joue allègrement avec toutes ses fonctionnalités, alternant douceur et force, pour te porter jusqu’à l’extase. Je fais glisser les bretelles de ta robe pour exposer ta poitrine nue à ma bouche avide. Je n’ai jamais eu autant de désir et de fougue que ce soir-là, dans cette salle de bain, et l’action combinée de ma bouche et du vibromasseur te font jouir comme jamais et tu inondes le carrelage de ton liquide chaud et amer. Profitant de ton orgasme, je te soulève, te porte à bout de bras, et t’empales sur mon chibre tendu. La présence de mon sexe et du vibro dans ta vulve brulante te procurent un nouveau spasme orgasmique et tes yeux se révulsent en arrière tandis que tu hurle ton bonheur à qui veut bien l’entendre. Heureusement, la musique dans le hall a couvert tes cris aux autres convives. Je te repose sur le sol, te laisse reprendre ta respiration, et reprends le massage de ta poitrine.
— Ce soir, je vais t’enculer, te prendre par derrière. Je veux te prendre le cul pendant que ta chatte seras remplie par le vibromasseur. Tu es d’accord ?
Tu gémis, hésite, puis hoche la tête en me lançant un regard soumis et désœuvré.
— Prépare-toi, ma chérie, je te conseille de le lubrifier un peu avec de la salive, d’accord ?
Tu mets ton majeur dans ta bouche et le suce avidement afin de le lubrifier correctement. Pendant ce temps, je m’active toujours sur tes seins et ton clitoris tandis que ma compagne, restée en bas, s’amuse à te torturer la vulve. Tu glisses un doigt, puis deux dans ton petit trou serré, qui mouille rapidement et s’ouvre sous tes caresses, puis tu m’annonces que tu es prête. Je sors de ma poche un préservatif et m’apprête à l’enfier sur mon sexe turgescent mais tu me dis.
— Non, pas ce soir, je veux te sentir en moi.
Alors, je me place à l’entrée de ton petit trou, place mon gland humide sur ta rondelle et pousse doucement pour en forcer l’entrée.
—Non… doucement… tu me fais mal… doucement hhhh…arrête.
— Écarte les jambes, salope, que je la rentre.
Tu t’exécutes et mon sexe entre de quelques centimètres dans ton cul trempé de désir.
— Doucement… hhhh doucement mmm… arrête ! Non reste ! Tu l’as toute entrée.
— Je suis au bord, serre les dents, tu vas l’avoir dans le cul, salope !
— Non.. non arrête.. je ne peux pas.. je ne veux pas, c’est trop serré.
A ce moment, ma copine intensifie les vibrations du jouet qui s’active entre tes jambes et tu lâches complètement prise.
— Vas-y pousse, salaud, pousse, défonce-moi !
— Tu es trop étroite, j’en ai encore la moitié dehors, penche-toi en avant.
Tu te penches en avant et écartes les fesses pour me permettre de coulisser complètement dans ton cul.
— Ouais, j’y suis, comme ça… ouais… oh ! Oooh ! c’est trop bon !
— Pousse, pousse encore, vas-y détruit moi, je la sens partout… Mmmm… je jouis, je jouiiiiiis Oh mon petit chériiiii!
Mes allers-retours combinés aux mouvements du Lush dans ta chatte ont raison de toi une troisième fois et tu inondes de nouveau le sol de ton liquide intime. Je continue mes aller-retours en toi et arrives rapidement à l’extase, à mon tour.
— Je vais finir dis-je.
— Oh non, aujourd’hui, tu ne peux pas jouir sur mes seins, je dois rester présentable. Viens.
Tu t’agenouilles sur le sol et prends mon chibre dans ta bouche avide. Tu l’aspire tellement goulument que je jouis presque immédiatement dans ta bouche. Tu avales à grandes gorgées mon foutre laiteux et nettoies avec application les quelques coulées qui se sont échappées et coulent le long de ma hampe. Une fois mon sexe nettoyé, tu te redresses et réarrange ta robe sur tes épaules. Je prends ta tête entre mes deux mains et t’embrasse passionnément. J’adore le goût de nos langues et de mon sperme dans ta bouche si douce. Tu me rends mon baiser avec autant de fougue, et me remercie pour ce moment d’extase tout particulier. Comme si elle était douée d’un sixième sens, ma copine a arrêté les vibrations du jouet qui te remplis encore pour laisser à ton corps quelques minutes de répit.

Mais ce répit ne sera que de courte durée…