Catherine se branle!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Catherine se branle! Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Catherine se branle!
Ma femme partit à son rendez-vous chez son dentiste, je profite de l’occasion pour me rendre dans la grande maison, où normalement Catherine, femme de ménage doit travailler. Pour cela, je m’avance jusqu’à la porte d’entrée. Depuis quelques semaines je n’arrête pas de signaler à mon épouse que sa femme de ménage doit passer plus de temps à se tourner les pouces, car faire le ménage.
- Tu le penses, ou tu le crois ? Me fait-elle.
- Un pressentiment !
Cela la fait rire.
Donc ce matin-là, je profite de l’absence de la ma femme pour aller me rendre compte, par moi-même.
Le fait que notre voiture n’est plus stationnée sur le parking, je pense que cela joue en ma faveur. Alors, sans faire de bruit, je monte jusqu’au premier niveau et je tends l’oreille. Pas un bruit, comme si j’étais seul dans les locaux. Mais alors que je m’apprête à m’engager dans les escaliers pour me rendre au deuxième palier, j’entends un éternuement.
Ça vient du fond du couloir. Sans doute dans la chambre d’enfant. J’accélère le pas, en silence bien sûr, pour arriver devant la porte de la fameuse pièce. Elle est bien sûr fermée. Avec mille précautions, je pèse sur le poignet et je fais délicatement tourner la porte sur ses gonds. Assez pour jeter un coup d’œil à l’intérieur. Et ainsi de surprendre la fameuse Catherine.
Je la trouve assise devant un magazine, calant confortablement son dos contre le dossier de son fauteuil. De temps à autre, elle jette un coup d’œil du côté de la fenêtre. Sans doute pour s’assurer que notre voiture est toujours absente. Suite à cela son regard revient obstinément vers les pages glacées en face d’elle.
C’est à cet instant que je découvre qu’elle a son jean baissé sur le haut de ses cuisses. Ainsi que sa culotte. Elle est de couleur verte clair, dès plus banale. Elle forme une espèce de ligne au-dessus de son pantalon.
Plus haut, c’est pour moi le choc ! La vision précise d’un triangle sombre de sa toison, dense et fournie. Le triangle de mes désirs ! Ce pourquoi, j’aime toutes les femmes sans exception, et qui me déclenche à chaque fois des pensées lubriques. Je retiens mon souffle devant l’incroyable luxure de cette nudité, qui dépasse mes rêves les plus fous.
Surexcité, la queue en ébullition, je me sens pris dans un terrible dilemme. Poussé la porte en grand et la prendre en flagrant délit, ou alors, attendre la suite.
Surtout que depuis un moment, Catherine a abandonné sa revue pour fixer ses petites nymphes brunes et fripées où perlent quelques gouttelettes blanches. La femme de ménage s’amollit lentement. Une main vient de se plaquer sur ses fesses. Un doigt inquisiteur s’incruste lentement dans sa raie. Instinctivement, elle ferme les yeux en cambrant les reins.
Sa respiration devient oppressée. Elle s’abandonne totalement à leur bon vouloir. Son index glisse dans la raie de son cul, se pointe à présent contre son anus. Son index disparaît dans son anus. Les yeux hagards, elle semble ne pas comprendre ce qui lui est arrivé.
Elle se masturbe le cul, la salope ! Je n’aurais jamais cru cela de sa part.
Ses yeux clos, de son autre main, elle fait rouler son clitoris à toute vitesse sous son autre index.
Ses jambes outrageusement écartées, en appui sur les accoudoirs du fauteuil, montrent l’intérieur de son con. Les muqueuses roses sont luisantes de mouille. Elle continue à astiquer son bourgeon de chair, et branler son trou du cul. Je devine l’odeur de son doigt. La jouissance sans tabou ni complexe. La coquine se croyant à l’abri dans cette pièce. Mais voilà, je suis là, témoin de voir ses doigts lui donner du plaisir.
Je décide qu’il est temps pour moi de me montrer. Je rugis déjà de joie. Je fais aisément tourner la porte sur ses gonds en grand. Et j’effectue les quelques pas qui me séparent d’elle.
Pour me retrouver devant elle. Elle ne peut me voir puisqu’elle a les yeux clos.
Je passe un moment à patienter. J’ai les mains qui transpirent. La bite prête à exploser. Sous mes rétines, son ventre, avec une masse fournie de sa toison comme un gros buisson noir.
D’où débordent des mèches bouclées jusqu’à l’intérieur de ses cuisses. Je trique comme un âne.
Doucement, sans faire de bruit, je dégage ma bite de sa prison et commence à me branler. Le visage de Catherine a quelque chose de cotonneux. Ce spectacle est si violemment obscène, que j’ai la queue qui mouille. Je me comprime les couilles. Une méthode qui me réussit parfois, pour ne pas jouir. Peu à peu l’orgasme s’éloigne.
Alors je reprends mon branlage, et cette fois avec précaution pour m’entretenir à la limite de la jouissance.
Alors que son index se pose languissamment sur ses grandes lèvres, lisse les poils afin de les repousser, se met à en suivre les contours, pour écarter les chairs, du pouce elle se retrousse le bouton, à petits coups, se le gratte avec l’ongle, le déplie, appuie dessus, le triture en tous sens.
L’odeur qui se dégage est forte. Des gouttes ambrées brillent au bout de ses doigts. Sur ses ongles coupés courts et laqués en rouge. J’exalte l’odeur de sa chatte en me branlant. Ma queue est une barre cuisante. J’éprouve de nouveau une impression de plaisir qui inonde tout mon bas-ventre, et ça, jusque dans ma gorge. Je me mords les lèvres pour me retenir d’aller lui bouffer la chatte à cette salope. Un reste de lucidité me dit que ce serait une connerie.
Maintenant, elle s’enfonce de nouveau les doigts dans le vagin. Pour mieux faire, elle se penche en avant et je vois ses seins qui se balancent sous le décolleté de son tee-shirt.
C’est alors qu’elle s’aperçoit de ma présence. Pas plus perturber que ça.
Ça fait longtemps que tu me regardes ? Me fait-elle.
- Assez longtemps pour me mettre dans cet état ! Je lui exhibe ma queue.
-Et bien ! Lâche-t-elle, avec un sourire amusé.
De ma main gauche, je me saisis de sa main et la porte à mes narines. Je hume l’odeur de ses doigts. Le parfum piquant qu’ils exhalent n’est pas pour arranger mon état, tout au contraire !
Cela la fait même rire.
- Qu’est qu’il y a de drôle ?
- Rien, rien du tout !
Vas, j’insiste !
Je n’en reviens pas que je fasse encore faire bander un homme !
Elle a un petit rire équivoque. Je ne sais pas au juste ce qui m’a pris. Je mets cela sur le compte de l’odeur forte de sa chatte que j’ai sentie sur ses doigts. Je serre son poignet dans ma paume et la force à poser la main sur ma queue. Elle paraît épouvantée par mon geste. Ce qui ne fait que m’exciter davantage. Je maintiens ses doigts sous les miens, l’obligeant à me branler. Cela dure un certain temps. Mais très vite, je ne trouve pas ce petit jeu suffisant excitant pour moi.
Je la prends par la nuque pour l’obliger à se pencher en avant et je serre jusqu’à ce que sa bouche soit à la hauteur de mon bas-ventre. Je guide dans l’élan sa tête vers le bout de ma queue. Je veux qu’elle me la suce. Mais elle s’y refuse. Détournant la tête. Gardant les lèvres obstinément closes, tout en se mettant à sangloter. Ses larmes ne s’arrêtent pas.
-Tu vas me faire jouir, que tu le veuilles ou non !
Je me branle avec ses doigts tout en frottant ma queue contre son visage. Mon gland contre ses narines. Ses joues ou ses lèvres fermées.
Aller, fais-moi plaisir, suce-moi là !
Je suis dans un état second. Des larmes lui roulent sur les joues. Mais ses mines de victime ne font que m’exciter davantage et me rendent plus cruel.
Les doigts se nouent de nouveau sur ma queue. Elle doit sentir mon éjaculation proche, car elle se débat essayant de m’échapper. Mais je la tiens bon. Là contre toute attente j’éjacule, sans vraiment y trouver de plaisir.
Ce que j’éprouve, c’est la jouissance perverse de l’humilier en tenant ma verge braquée proche de ses lèvres pendant que je lâche mon plaisir. La première giclée l’oblige à fermer les yeux. Poissant une paupière avant de s’écouler sur la joue. La seconde et la troisième lui empestent la bouche et le menton de traînées blanchâtres qui pendent en filaments.
A l’instant où je relâche mon étreinte, elle se rajuste tant bien que mal et bondit hors de la chambre.
Cette aventure s’est arrêtée là, jusqu’à ce que je rencontre son beau-fils dans un bar.

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