Cati
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Cati
La bergerie, en bas du domaine est mon endroit préféré. La tante de Cati y habite. Nous sommes en vacances pour au moins 3 semaines. Cati est une fille spéciale pour son âge, elle n'est plus vierge depuis 5 ou 6 ans, Elle aime faire l'amour : pour elle c'est aussi indispensable que la nourriture ou la boisson. Elle sait se débrouiller fort bien sans homme : elle se masturbe souvent, ou elle se rabat sur des filles, une en particulier : moi. Je crois savoir que sa tante elle est plutôt lesbienne, avec des fois un homme pour la ramoner.
Moi, j'ai un mon premier amant vers 14 ans, depuis j'en ai eu pas mal. J'aime baiser moi aussi. Je savais en venant avec Cati que des fois nous nous amuserions ensemble. Nous étions dans des chambres séparées au domaine. Ce n'est que le lendemain de mon arrivée que nous sommes descendues voir la bergerie : un endroit de poupée, plein de paille de toiles d'araignée. Il devait y avoir eu des montons, il y a longtemps. Je visitais l'intérieur : pour moi c'est charmant.
Cati fait la moue. Pour elle le domaine était plus confortable.
J'ai eu raison l'après midi où il a fait un gros orage. Nous étions trempées à quelques mètres de la bergerie, seul abri à proximité. Nous riions comme des folles en entrant, en secouant la tête pour faire tomber l'eau des cheveux. Mais quand l'eau froide atteignait nos corps nous nous dépêchions de tout enlever. Nous grelottions encore un peu quand pour nous réchauffer nous nous enlaçons. Un corps réchauffe l'autre. Nous frottons le corps de l'autre pour le réchauffer. Nous nous retrouvions seins contre seins.
Nous faisons insensiblement monter le désir. Malgré l'heure qui tourne nous ne pouvions échapper à une petite baise entre copines. Et puis tant pis si nous avons du retard nous avouerons ce que nous avons fait à la tante : elle comprendra bien, elle serait capable de nous demander de lui en faire autant. En attendant c'est Cati qui sans prévenir met deux doigts en crocher pour me pénétrer le vagin.C'est bien sa façon, aller à la hussarde pour monter la pression. Ça elle le réussit bien : je suis excitée, mouillée comme elle veut. J'espère qu'elle me baisera bien avec des débordements comme elle en connaît. Je suis juste en équilibre sur les pieds, les jambes bien ouvertes : elle peut aller partout dans mon intimité : je la lui offre. Ses doigts naviguent dans la chatte : ils me font un bien fou. Je me laisse aller sur la paille. Elle est vite sur moi pour commencer mon déshabillage. Elle se met aussi nue contre moi.
Je n'attends pas longtemps ses caresses douces et profondes. Je suis toute tendue vers elle, les yeux fermés. Mon ventre sent sourdre le plaisir qui arrive trop doucement. Quand il éclate c'est pire qu'un feu d'artifice. Les étoiles brillent dans le vagin. Je soupire comme si j'avais un manque. Mes muscles du vagins se serrent en spasmes incontrôlés : je jouis longuement. C'est magnifique, merveilleux. Cati vient déposer son sexe sur ma bouche, je sens ses odeurs, celle surtout de son jus qui coule un peu. J'ai toute sa moule dans la bouche, j'aspire pour prendre son clitoris. Il vient sur ma langue. Je le lèche avec amour : c'est bon de la lécher. Ce qui est meilleur est de la sentir prendre son orgasme grâce à moi.
Nous restons enlacées, immobiles, consciente, qu'il faut rejoindre le domaine. Pour cela nous devons être un tant soit peu couvertes, il bruine un peu. Heureusement nous trouvons de vieilles capes grises de berger. Nous avons l'allure de fantômes du moyen âge.
Nos vêtements roulés en désordre, toujours avec nos capes nous arrivons au domaine. Surprise de la tante de nous voir ainsi attifées. Nous sommes couvertes à notre façon : les épaules et le dos caparaçonné, le devant à moitié ouvert sur nos seins, nos jambes et surtout le principal : nos chattes aussi nues qu'à la création. Le pire est que Cati présente des tâche de cyprine à moitié sèche sur ses cuisses. Nous ne pourrions nier bien longtemps ce que nous venons de faire.
La tante fait celle qui ne voit rien. Elle nous demande simplement de nous changer comme des filles civilisées. Un peu confuses nous venons nous mettre à table. Cati comme une gamine en faute cherche des explications confuses. La tante l'écoute calmement : je sens qu'elle va éclater.
Ça ne manque pas quand elle nous demande si notre baise a été bonne, si nous avons pensé aux soucis qu’elle a eu pendant l'orage. Elle demande à Cati comment je suis en faisant l'amour. La réponse la tranquillise. Moi, je suis sur des charbons ardents : que va-t-elle penser de moi.
Cati veut aller dans sa chambre, je m'apprête à la suivre. La tante me demande de rester. Pire je dois venir près d'elle. Elle entoure ma taille, commence à caresser les fesses. Elle passe sa main sous la jupe, revient sur les fesses. Elle caresse bien mieux que Cati. Au fond j'ai envie qu'elle me fasse connaître ses caresses que je suppose plus relevées que celle de sa nièce. Et j'en ai peur à la fois : baiser une femme de 40 ans n'est pas naturel pour moi.
Mes appréhensions tombent quand ses lèvres sont sur le miennes. J'ouvre ma bouche pour accueillir sa langue.Elle me fouille partout, sans exclusive. Sa salive est sucrée, pile comme j'aime. Elle m'excite plus fort que Cati. Je suis toutes ouvertes à ses propositions. Sa main sur les fesses descend plus bas sans jamais fouiller la raie. Elle passe sur les cuisses, l'aine pour venir sur le pubis. Je me laisse faire sans réagir. Elle en profite pour trouver la fente. Elle ne va pas loin. Elle attend que je me tourne vers elle totalement. La paume de sa main sur le pubis me donne chaud. J'écarte déjà les jambes dans l'attente de l'attaque finale. Elle m'embrasse encore une fois profondément, prend ma main, se lève pour aller dans sa chambre, juste en face de celle de Cati. Elle ne ferme pas la porte, s'assoit sur le lit, me fait venir sur ses genoux. Elle pose une main sur un genou, la remonte doucement entre les cuisses, sur la peau tendre. Je m'ouvre complètement : elle atteint sa cible. J'ai la chatte en feu. Elle écarte les lèvres, fait ressortir le clitoris. Je me souviens avoir mit ma tête en arrière, quand elle caresse ce petit bout de chair. Elle m'embrasse encore juste au moment où j'allais crier mon orgasme.
C'est une femme qui connaît son affaire, elle n'arrête pas là, elle met deux doigts dans le vagin : elle me baise comme avec une queue. A croire qu'elle en a une. Je serre la serre contre moi. Je cherche sa chatte. Elle ne me la donne pas. Elle se couche sur le lit. Il faut que j'aille sur elle. Je l'embrasse encore, ma bouche descend sur son cou, ses seins, son ventre, son pubis. Elle est douce de partout. J'allais mettre ma langue dans se sexe quand je suis assaillie par son odeur plus forte que celle de Cati, plus féminines aussi et excitantes.
J'allais lui lécher le sexe quand elle me fait mettre totalement sur elle. J'ai ma chatte vers sa bouche. Je la sens chercher avec sa langue. Je n'ai plus le courage de la lécher. Je me laisse faire, la langue va dans des endroit où aucune autre langue ne s'est aventurée. Je connais des plaisir inédits. Surtout qu'elle caresse le périnée. Elle lèche encore plus bas. Je ne sais si c'est simplement pour mon plaisir ou pour que je le lui fasse aussi. Je trouve étrange la caresse légère sur l'anus. C'est excitant. Je voudrais qu'elle continue, qu'elle ne s'arrête pas ou alors qu'elle.......D'elle même elle entre sa langue dans mon petit trou. Je ne sais plus comment me tenir. C'est si nouveau, si bon, si discutable pour certaines de mes copines pour qui le cul est leur propriété. Le mien n'est plus à moi. Elle l'a prit elle m'encule.
Je penche ma tête encore plus, j'avale en parti son bouton, j'entre par politesse dans la vulve. Mon but est d'aller comme elle sur son cul. Je trouve les plissures de l'entrée. C'est agréable de lécher cet endroit plus qu'intime. Je met la langue et là, surprise elle s'ouvre, oh pas en grand, elle me laisse passer le bout de la langue. Je force un peu. Je suis à l'entrée de ses boyaux. Je commence une danse particulière. Ses muscles participent aussi. Ils se ferment quand elle jouit. J'en ai presque mal au bout de la langue.
Elle attendait son heure. J'ai moi aussi sa langue sur l'anus. Je ne pensais jamais que se soit si excitant, si jouissif. Je me laisse aller complètement. Pour certains c'est la drogue, et là nous c'est le cul.
Elle se lève après avoir pas mal joui. Elle cherche sa nièce dans la chambre voisine. Elles viennent donc les deux pour que nous jouions en trio. Ce sera ma première fois. Je connais les autres corps, les deux femmes me connaissent aussi. La tante se couche entre nous. Elle nous prend par les épaules, descend ses mains pour prendre un sein à chacune. Nous venons contre elle, nous la caressons aussi. C'est presque un concours pour savoir qui de nous seras la première sur la moule de la tante. Nous y sommes ensemble. Ce qui est bon est de sentir ses mains à elle sur nos abricots. Elle nous branle ensemble, sans fausse note. Elle sait bien ce qu'aiment les femmes, alors elle en use. Dans l'immédiat elle nous excite simplement, puisqu’elle nous installe pour que nous puissions sucer une en étant léchée par une autre.
La position est fatigante, elle permet des débordements autres. J'ai aimé quand, je crois que c'est Cati, me léchait le con, passait deux doigts dans le vagin et un autre enfoncé dans le cul. Je devais en crier ma jouissance. Nous nous sommes endormies ainsi.
Le petit matin, l’odeur de café nous réveille, Cati et moi: la tante porte le petit déjeuner pas plus habillée que la nuit. Nous buvons raidement le jus pour nous remettre à des occupation plus conformes à l'idéal féminin du moment. Que cette femme est bien faite.
La baise prenait la principale occupation des vacances que nous avons prolongées.
La dernière fois nous étions sur le même lit, les corps nus, cette fois pour une fois avec l'amant dépassé il faut le dire par le nombre. Il faisait ce qu'il pouvait avec sa queue presque inutile, juste bonne à entrer dans un seul sexe et une bouche à la rigueur. C'est surtout la tante qui en a profité comme il faut. Nous regardions en nous caressant, nous voyons un couple baiser devant nous. Nous avons quand même bien jouit avec Cati.
Nous nous rencontrons souvent avec Cati pur évoquer à notre manière les souvenirs de vacances. Nos corps nus se frottent avant que nos mains ne prennent le relais pour reposer les langues qui elles font le gros de la besogne en léchant jusqu’à petits trous.
Moi, j'ai un mon premier amant vers 14 ans, depuis j'en ai eu pas mal. J'aime baiser moi aussi. Je savais en venant avec Cati que des fois nous nous amuserions ensemble. Nous étions dans des chambres séparées au domaine. Ce n'est que le lendemain de mon arrivée que nous sommes descendues voir la bergerie : un endroit de poupée, plein de paille de toiles d'araignée. Il devait y avoir eu des montons, il y a longtemps. Je visitais l'intérieur : pour moi c'est charmant.
Cati fait la moue. Pour elle le domaine était plus confortable.
J'ai eu raison l'après midi où il a fait un gros orage. Nous étions trempées à quelques mètres de la bergerie, seul abri à proximité. Nous riions comme des folles en entrant, en secouant la tête pour faire tomber l'eau des cheveux. Mais quand l'eau froide atteignait nos corps nous nous dépêchions de tout enlever. Nous grelottions encore un peu quand pour nous réchauffer nous nous enlaçons. Un corps réchauffe l'autre. Nous frottons le corps de l'autre pour le réchauffer. Nous nous retrouvions seins contre seins.
Nous faisons insensiblement monter le désir. Malgré l'heure qui tourne nous ne pouvions échapper à une petite baise entre copines. Et puis tant pis si nous avons du retard nous avouerons ce que nous avons fait à la tante : elle comprendra bien, elle serait capable de nous demander de lui en faire autant. En attendant c'est Cati qui sans prévenir met deux doigts en crocher pour me pénétrer le vagin.C'est bien sa façon, aller à la hussarde pour monter la pression. Ça elle le réussit bien : je suis excitée, mouillée comme elle veut. J'espère qu'elle me baisera bien avec des débordements comme elle en connaît. Je suis juste en équilibre sur les pieds, les jambes bien ouvertes : elle peut aller partout dans mon intimité : je la lui offre. Ses doigts naviguent dans la chatte : ils me font un bien fou. Je me laisse aller sur la paille. Elle est vite sur moi pour commencer mon déshabillage. Elle se met aussi nue contre moi.
Je n'attends pas longtemps ses caresses douces et profondes. Je suis toute tendue vers elle, les yeux fermés. Mon ventre sent sourdre le plaisir qui arrive trop doucement. Quand il éclate c'est pire qu'un feu d'artifice. Les étoiles brillent dans le vagin. Je soupire comme si j'avais un manque. Mes muscles du vagins se serrent en spasmes incontrôlés : je jouis longuement. C'est magnifique, merveilleux. Cati vient déposer son sexe sur ma bouche, je sens ses odeurs, celle surtout de son jus qui coule un peu. J'ai toute sa moule dans la bouche, j'aspire pour prendre son clitoris. Il vient sur ma langue. Je le lèche avec amour : c'est bon de la lécher. Ce qui est meilleur est de la sentir prendre son orgasme grâce à moi.
Nous restons enlacées, immobiles, consciente, qu'il faut rejoindre le domaine. Pour cela nous devons être un tant soit peu couvertes, il bruine un peu. Heureusement nous trouvons de vieilles capes grises de berger. Nous avons l'allure de fantômes du moyen âge.
Nos vêtements roulés en désordre, toujours avec nos capes nous arrivons au domaine. Surprise de la tante de nous voir ainsi attifées. Nous sommes couvertes à notre façon : les épaules et le dos caparaçonné, le devant à moitié ouvert sur nos seins, nos jambes et surtout le principal : nos chattes aussi nues qu'à la création. Le pire est que Cati présente des tâche de cyprine à moitié sèche sur ses cuisses. Nous ne pourrions nier bien longtemps ce que nous venons de faire.
La tante fait celle qui ne voit rien. Elle nous demande simplement de nous changer comme des filles civilisées. Un peu confuses nous venons nous mettre à table. Cati comme une gamine en faute cherche des explications confuses. La tante l'écoute calmement : je sens qu'elle va éclater.
Ça ne manque pas quand elle nous demande si notre baise a été bonne, si nous avons pensé aux soucis qu’elle a eu pendant l'orage. Elle demande à Cati comment je suis en faisant l'amour. La réponse la tranquillise. Moi, je suis sur des charbons ardents : que va-t-elle penser de moi.
Cati veut aller dans sa chambre, je m'apprête à la suivre. La tante me demande de rester. Pire je dois venir près d'elle. Elle entoure ma taille, commence à caresser les fesses. Elle passe sa main sous la jupe, revient sur les fesses. Elle caresse bien mieux que Cati. Au fond j'ai envie qu'elle me fasse connaître ses caresses que je suppose plus relevées que celle de sa nièce. Et j'en ai peur à la fois : baiser une femme de 40 ans n'est pas naturel pour moi.
Mes appréhensions tombent quand ses lèvres sont sur le miennes. J'ouvre ma bouche pour accueillir sa langue.Elle me fouille partout, sans exclusive. Sa salive est sucrée, pile comme j'aime. Elle m'excite plus fort que Cati. Je suis toutes ouvertes à ses propositions. Sa main sur les fesses descend plus bas sans jamais fouiller la raie. Elle passe sur les cuisses, l'aine pour venir sur le pubis. Je me laisse faire sans réagir. Elle en profite pour trouver la fente. Elle ne va pas loin. Elle attend que je me tourne vers elle totalement. La paume de sa main sur le pubis me donne chaud. J'écarte déjà les jambes dans l'attente de l'attaque finale. Elle m'embrasse encore une fois profondément, prend ma main, se lève pour aller dans sa chambre, juste en face de celle de Cati. Elle ne ferme pas la porte, s'assoit sur le lit, me fait venir sur ses genoux. Elle pose une main sur un genou, la remonte doucement entre les cuisses, sur la peau tendre. Je m'ouvre complètement : elle atteint sa cible. J'ai la chatte en feu. Elle écarte les lèvres, fait ressortir le clitoris. Je me souviens avoir mit ma tête en arrière, quand elle caresse ce petit bout de chair. Elle m'embrasse encore juste au moment où j'allais crier mon orgasme.
C'est une femme qui connaît son affaire, elle n'arrête pas là, elle met deux doigts dans le vagin : elle me baise comme avec une queue. A croire qu'elle en a une. Je serre la serre contre moi. Je cherche sa chatte. Elle ne me la donne pas. Elle se couche sur le lit. Il faut que j'aille sur elle. Je l'embrasse encore, ma bouche descend sur son cou, ses seins, son ventre, son pubis. Elle est douce de partout. J'allais mettre ma langue dans se sexe quand je suis assaillie par son odeur plus forte que celle de Cati, plus féminines aussi et excitantes.
J'allais lui lécher le sexe quand elle me fait mettre totalement sur elle. J'ai ma chatte vers sa bouche. Je la sens chercher avec sa langue. Je n'ai plus le courage de la lécher. Je me laisse faire, la langue va dans des endroit où aucune autre langue ne s'est aventurée. Je connais des plaisir inédits. Surtout qu'elle caresse le périnée. Elle lèche encore plus bas. Je ne sais si c'est simplement pour mon plaisir ou pour que je le lui fasse aussi. Je trouve étrange la caresse légère sur l'anus. C'est excitant. Je voudrais qu'elle continue, qu'elle ne s'arrête pas ou alors qu'elle.......D'elle même elle entre sa langue dans mon petit trou. Je ne sais plus comment me tenir. C'est si nouveau, si bon, si discutable pour certaines de mes copines pour qui le cul est leur propriété. Le mien n'est plus à moi. Elle l'a prit elle m'encule.
Je penche ma tête encore plus, j'avale en parti son bouton, j'entre par politesse dans la vulve. Mon but est d'aller comme elle sur son cul. Je trouve les plissures de l'entrée. C'est agréable de lécher cet endroit plus qu'intime. Je met la langue et là, surprise elle s'ouvre, oh pas en grand, elle me laisse passer le bout de la langue. Je force un peu. Je suis à l'entrée de ses boyaux. Je commence une danse particulière. Ses muscles participent aussi. Ils se ferment quand elle jouit. J'en ai presque mal au bout de la langue.
Elle attendait son heure. J'ai moi aussi sa langue sur l'anus. Je ne pensais jamais que se soit si excitant, si jouissif. Je me laisse aller complètement. Pour certains c'est la drogue, et là nous c'est le cul.
Elle se lève après avoir pas mal joui. Elle cherche sa nièce dans la chambre voisine. Elles viennent donc les deux pour que nous jouions en trio. Ce sera ma première fois. Je connais les autres corps, les deux femmes me connaissent aussi. La tante se couche entre nous. Elle nous prend par les épaules, descend ses mains pour prendre un sein à chacune. Nous venons contre elle, nous la caressons aussi. C'est presque un concours pour savoir qui de nous seras la première sur la moule de la tante. Nous y sommes ensemble. Ce qui est bon est de sentir ses mains à elle sur nos abricots. Elle nous branle ensemble, sans fausse note. Elle sait bien ce qu'aiment les femmes, alors elle en use. Dans l'immédiat elle nous excite simplement, puisqu’elle nous installe pour que nous puissions sucer une en étant léchée par une autre.
La position est fatigante, elle permet des débordements autres. J'ai aimé quand, je crois que c'est Cati, me léchait le con, passait deux doigts dans le vagin et un autre enfoncé dans le cul. Je devais en crier ma jouissance. Nous nous sommes endormies ainsi.
Le petit matin, l’odeur de café nous réveille, Cati et moi: la tante porte le petit déjeuner pas plus habillée que la nuit. Nous buvons raidement le jus pour nous remettre à des occupation plus conformes à l'idéal féminin du moment. Que cette femme est bien faite.
La baise prenait la principale occupation des vacances que nous avons prolongées.
La dernière fois nous étions sur le même lit, les corps nus, cette fois pour une fois avec l'amant dépassé il faut le dire par le nombre. Il faisait ce qu'il pouvait avec sa queue presque inutile, juste bonne à entrer dans un seul sexe et une bouche à la rigueur. C'est surtout la tante qui en a profité comme il faut. Nous regardions en nous caressant, nous voyons un couple baiser devant nous. Nous avons quand même bien jouit avec Cati.
Nous nous rencontrons souvent avec Cati pur évoquer à notre manière les souvenirs de vacances. Nos corps nus se frottent avant que nos mains ne prennent le relais pour reposer les langues qui elles font le gros de la besogne en léchant jusqu’à petits trous.
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