Ce dont tu as besoin. (2)
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Ce dont tu as besoin. (2)
Je restais là, debout devant lui, les yeux toujours baissés, il fit le tour de moi, je sentis l’un de ses doigts caresser ma joue, descendre vers ma nuque, longer mon dos à travers ma robe et s’arrêtait au bas de mon dos, laissant à peine de quoi sentir la pression de son doigt.
Ses deux mains vinrent sur mes hanches, par-dessous la robe, mon cœur battait, j’avais le ventre en feu, il fit glisser ses mains le long de mes fesses, les effleurant, il allait me prendre par le cul, je le savais, je le sentais, il jouait un peu avec son doigt sur le bic, le faisant « vibrer » et puis retirait ses mains.
Fit glisser ma robe le long de mes épaules, la faisant tomber au sol.
Il repassait devant moi, me regardant surement.
- Sors le stylo de ton cul.
Je m’exécutais directement, poussant un petit soufflement lorsqu’il sortit.
- Maintenant, tu vas le déposer entre tes lèvres, pas dans ta bouche comme une bite, si tu te trompes, tu seras punie.
Je le mis parallèle à mes lèvres, j’entendis un « c’est bien » et restait ainsi, mettant mes mains derrière mon dos.
Il s’approchait de moi et passait ses doigts sur mon entre jambes, il du sentir que c’était humide, il le caressait un petit moment et puis avec deux doigts me pénétrait, j’avais envie qu’il me prenne, alors que j’avais envie de me laisser aller, je pensais au stylo, et j’étais certaine que je ne devais pas le faire tomber ! Il retirait ses doigts et fit un pas en arrière.
- Ramasse ta robe et donne-la moi.
Je ramassais ma robe et la lui tendis, prenant soins de ne pas le regarder. Qu’allait-il faire ?
- À présent, tu vas monter sur la table et te mettre à 4 pattes en exposant bien ton cul de trainée.
Ni une, ni deux, je pris position, me cambrant exposant mon petit derrière qui avait été offert quelques minutes avant à un stylo. Il vint me bander les yeux.
- Tu restes là et ne bouge pas, je vais revenir, si quelqu’un passe et te prend, tu le laisses faire et le remercieras.
Et je l’entendis partir, peu à peu jusqu’à ne plus entendre ses pas. Je restais là, les fesses en l’air, le menton contre la table et les mains dans le dos comme il m’avait placée. Une position bien inconfortable !
Je sentais parfois le vent se faufiler entre les arbres, caresser mon corps nu.
J’avais « peur », peur d’être prise par un inconnu, par plusieurs… Être vue, mais tout cela m’excitait et il ne revenait pas, après un très long moment d’attente, j’entendis des pas, un mélange de peur et d’excitation se fit encore plus fort en moi.
Un doigt passait le long de ma colonne, je savais que c’était lui, je faillis me redresser lorsque je sentis un liquide froid couler sur mon dos, ma tête et mes fesses, je ne bougeais pas, devant le laisser faire.
Il retirait mon bandeau et tirait sur la laisse.
- Allais salope, à 4 pattes et on rentre.
À 4 pattes dans les bois, ou plutôt dans le petit sentier dans les bois, j’imagine qu’il regardait mon petit cul se trémousser ? Le stylo toujours en bouche, on arrivait tout doucement à la voiture, il me laissait m’asseoir côté passager, après avoir pris soin de mettre une couverture sur celui-ci afin que je ne salisse pas.
Tout le voyage, nue, le stylo en bouche, il ne dit aucun mot, ne me regardait pas, une fois arrivée à ma voiture, il tournait la tête vers moi.
- On se revoit bientôt, tu as interdiction de te toucher, ou que quelqu’un te touche, tu vas apprendre à prendre sur toi.
Je le regardais quelque instant, attendant qu’il me rende ma robe.
- Allais, sors, ne me fais pas perdre plus de temps !
Il me donnait mes clés et je sortis, complètement nue, mes clés en main et le stylo en bouche, je tentais de vite rentrée dans ma voiture, une fois dedans, il me jetait un regard satisfait et parti.
Je démarrais ma voiture à mon tour et rentrait chez moi, évidemment, à cet heure-ci pas de place devant ma maison, à environs 3 maisons de la mienne, il y avait une place, je me garais, regardais dans le rétroviseur que personne n’était là et sortit vite, fermant aussi vite la voiture, je courrais jusqu’à chez moi et rentrait aussi vite fait.
Une fois à l’intérieur, je soufflais, laissant tomber le stylo, je le regardais un moment, je l’avais gardée, je le ramassais et me regardais dans le miroir de mon hall d’entrée, nue, pleine de terre aux genoux et aux mains, les cheveux décoiffés, mon collier au cou et la laisse qui se voyait entre mes jambes… Je montais dans la salle de bain, déposais le stylo à côté de mon évier, le collier et la laisse aussi et pris ma douche…Un drap autour de moi je retournais vers mon lit, me couchais et m’endormis ainsi.
Ses deux mains vinrent sur mes hanches, par-dessous la robe, mon cœur battait, j’avais le ventre en feu, il fit glisser ses mains le long de mes fesses, les effleurant, il allait me prendre par le cul, je le savais, je le sentais, il jouait un peu avec son doigt sur le bic, le faisant « vibrer » et puis retirait ses mains.
Fit glisser ma robe le long de mes épaules, la faisant tomber au sol.
Il repassait devant moi, me regardant surement.
- Sors le stylo de ton cul.
Je m’exécutais directement, poussant un petit soufflement lorsqu’il sortit.
- Maintenant, tu vas le déposer entre tes lèvres, pas dans ta bouche comme une bite, si tu te trompes, tu seras punie.
Je le mis parallèle à mes lèvres, j’entendis un « c’est bien » et restait ainsi, mettant mes mains derrière mon dos.
Il s’approchait de moi et passait ses doigts sur mon entre jambes, il du sentir que c’était humide, il le caressait un petit moment et puis avec deux doigts me pénétrait, j’avais envie qu’il me prenne, alors que j’avais envie de me laisser aller, je pensais au stylo, et j’étais certaine que je ne devais pas le faire tomber ! Il retirait ses doigts et fit un pas en arrière.
- Ramasse ta robe et donne-la moi.
Je ramassais ma robe et la lui tendis, prenant soins de ne pas le regarder. Qu’allait-il faire ?
- À présent, tu vas monter sur la table et te mettre à 4 pattes en exposant bien ton cul de trainée.
Ni une, ni deux, je pris position, me cambrant exposant mon petit derrière qui avait été offert quelques minutes avant à un stylo. Il vint me bander les yeux.
- Tu restes là et ne bouge pas, je vais revenir, si quelqu’un passe et te prend, tu le laisses faire et le remercieras.
Et je l’entendis partir, peu à peu jusqu’à ne plus entendre ses pas. Je restais là, les fesses en l’air, le menton contre la table et les mains dans le dos comme il m’avait placée. Une position bien inconfortable !
Je sentais parfois le vent se faufiler entre les arbres, caresser mon corps nu.
J’avais « peur », peur d’être prise par un inconnu, par plusieurs… Être vue, mais tout cela m’excitait et il ne revenait pas, après un très long moment d’attente, j’entendis des pas, un mélange de peur et d’excitation se fit encore plus fort en moi.
Un doigt passait le long de ma colonne, je savais que c’était lui, je faillis me redresser lorsque je sentis un liquide froid couler sur mon dos, ma tête et mes fesses, je ne bougeais pas, devant le laisser faire.
Il retirait mon bandeau et tirait sur la laisse.
- Allais salope, à 4 pattes et on rentre.
À 4 pattes dans les bois, ou plutôt dans le petit sentier dans les bois, j’imagine qu’il regardait mon petit cul se trémousser ? Le stylo toujours en bouche, on arrivait tout doucement à la voiture, il me laissait m’asseoir côté passager, après avoir pris soin de mettre une couverture sur celui-ci afin que je ne salisse pas.
Tout le voyage, nue, le stylo en bouche, il ne dit aucun mot, ne me regardait pas, une fois arrivée à ma voiture, il tournait la tête vers moi.
- On se revoit bientôt, tu as interdiction de te toucher, ou que quelqu’un te touche, tu vas apprendre à prendre sur toi.
Je le regardais quelque instant, attendant qu’il me rende ma robe.
- Allais, sors, ne me fais pas perdre plus de temps !
Il me donnait mes clés et je sortis, complètement nue, mes clés en main et le stylo en bouche, je tentais de vite rentrée dans ma voiture, une fois dedans, il me jetait un regard satisfait et parti.
Je démarrais ma voiture à mon tour et rentrait chez moi, évidemment, à cet heure-ci pas de place devant ma maison, à environs 3 maisons de la mienne, il y avait une place, je me garais, regardais dans le rétroviseur que personne n’était là et sortit vite, fermant aussi vite la voiture, je courrais jusqu’à chez moi et rentrait aussi vite fait.
Une fois à l’intérieur, je soufflais, laissant tomber le stylo, je le regardais un moment, je l’avais gardée, je le ramassais et me regardais dans le miroir de mon hall d’entrée, nue, pleine de terre aux genoux et aux mains, les cheveux décoiffés, mon collier au cou et la laisse qui se voyait entre mes jambes… Je montais dans la salle de bain, déposais le stylo à côté de mon évier, le collier et la laisse aussi et pris ma douche…Un drap autour de moi je retournais vers mon lit, me couchais et m’endormis ainsi.
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