Ce dont tu as besoin. (3)
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ce dont tu as besoin. (3)
Le lendemain je reçus un message sur mon téléphone.
« Je vais envoyer quelqu’un venir te prendre, suis là. »
Je savais que je ne pouvais pas discuter, je répondais juste pour dire que j’avais bien reçu et bien compris son message.
Assise sur mon divan, je me disais que je n’avais aucune information… Qui ? Quand ? Je devais m’habiller comment ?
Je restais assise, un peu la peur au ventre et puis décidait d’aller prendre une bonne douche pour me détendre, ce qui, n’eut pas l’effet escompté !
En string devant mon armoire, je regardais en me disant « je n’ai rien à me mettre », oui, nous disons toutes cela, je vous entends là pendant que vous me lisez !
Et je décidais de laisser les pantalons de côté, en me disant que ça ne plairait pas, une jupe ? Mais laquelle ? Je n’ai rien à me mettre, mais j’en ai de trop ! Et puis je vis la petite noire flottante, m’arrivant un rien en dessous des fesses, c’était osé, mais au final, c’est ce qu’il attendait, non ?
La jupe déposée sur mon lit, me voilà les mains sur les hanches a scruté les dessus de mon armoire, qu’allais-je mettre ? Un tee-shirt, il fait beau, mais lequel ? Je sors un blanc, un rose, un bleu et un vert pomme… J’essaie ce dernier, mais je remarque sans avoir mis de soutiens-gorge, tout est fort visible, c’est beaucoup trop osé ! Le bleu ne veut pas avec ma jupe, je regarde le blanc et le rose qui sont de la même collection, avec un décolleté tous les deux… Je les essaye à tour de rôle, ça met mes seins en valeur sans pour autant trop montrer, avec un soutien-gorge ça devrait aller, mais lequel ?
Je m’assis sur mon lit, les deux tee-shirts à côté de moi, je me mis à trop penser, beaucoup trop, j’avais envie de me caresser, d’ailleurs ma main avait commencée à parcourir ma jambe, mais je ne pouvais pas, c’était interdits…
Je finis par mettre le blanc, rangeais mes affaires et tournais en rond, assise devant la télévision, deux heures avaient déjà passées ! Et on finit par faire retentir la sonnette de chez moi.
J’allais ouvrir et tombais nez à nez avec une femme.
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Comment t’appelles-tu ?
- Coralie et vous ?
- Prends ta clé et suis-moi.
- Attendez, je vais mettre mes chaussures.
- Prends ta clé et suis-moi ! Dit-elle d’un ton plus autoritaire.
Ne sentant pas avoir le choix, je retirais la clé de la serrure de la porte et sortie, pieds nus… On avançait jusqu’à sa voiture et une fois dedans toutes les deux on démarrait.
- Tu sais pourquoi je suis là, n’est-ce pas ?
- Oui, vous venez me chercher.
Malgré nos âges qui semblaient être très proches, je savais que je devais la vouvoyer.
- Je vais t’aider dans ton apprentissage.
- D’accord…
- Tu sembles déjà être sage, c’est un bon début, mais est-ce que tu apprends bien ?
- Oui !
- Oui, qui ?
- Oui, madame ?
- C’est bien, tu n’es pas bête.
On roulait pendant une trentaine de kilomètres, je ne connaissais pas le coin, et pourtant ce n’était pas si loin que ça de chez moi, on s’arrêtait devant une barrière.
- Va l’ouvrir. Me dit-elle.
Je sortis de la voiture et à peine un pied déposé, j’étais dans la boue, sachant que je ne pouvais discuter, j’avançais jusqu’à la barrière et l’ouvris, je revins à la voiture.
- Hum, tu vas aller jusqu’à la maison à pied, je ne veux pas que tu salisses ma voiture.
- D’accord madame…
Elle démarrait et je fermais la barrière derrière elle, et avançait jusqu’à la maison à pied, dans la boue, ce n’était pas loin, mais, j’avais jamais marchée pieds nus dans la boue, alors que j’avançais vers la maison, je me disais que c’était une belle journée et me demandais à quel moment il avait pu pleuvoir pour qu’il y ait autant de boue ?
Arriver devant la maison, elle me regardait, d’un air satisfait et me fis signe de la suivre, on fit le tour de la maison, elle marchait sur les dalles de son allée et moi dans l’herbe, on arrivait derrière, c’était un super grand jardin ! Et je le dis d’ailleurs à voix haute.
- Comment t’appelles-tu ? Me demanda-t-elle à nouveau.
- Coralie madame.
- Déshabille-toi.
Un peu surprise, et à la fois non, je la regardais et puis m’exécutait avant qu’elle ne s’impatiente, je retirais mon tee-shirt et ma jupe les déposant sur la petite table de jardin à proximité de moi, et dégrafais mon soutien-gorge, sans la regarder je retirais mon string, une fois entière nue, elle me regardait, aucune expression sur son visage.
- Tourne-toi.
Je me retournais lui montrant mes fesses.
- Comment t’appelles-tu ?
Encore cette question ?
- Coralie madame.
- Couche-toi par terre et roule-toi dans la boue.
Je tournais la tête vers elle, surprise et interrogatrice, mais sur un ton sec.
- Grouille-toi !
Je me mis par terre et commençait à me rouler dans la boue, est-ce de là l’expression être trainée dans la boue ? Après avoir bien fait plusieurs tours sur moi-même dans la boue et d’en être de la tête au pied, elle me fit me relever et m’amenait de l’autre côté de l’arrière de la maison, et me fit me mettre à genou dans la terre, me mettant un collier métallique au cou.
- Tu aimes cela avoir un collier on m’a dit, j’ai souhaitée te faire plaisir.
Et elle partit, à genoux dehors, complètement nue, le corps recouvert de boue, je remarquais très vite que le collier était fixé au mur, assez bas afin que je ne puisse me relever, que si j’avais les mains déliées c’était juste parce que je n’avais rien à proximité à attraper, que ce collier se déverrouillerait seulement avec une clé.
J’étais « prisonnière » d’une inconnue, une jolie inconnue devait-je avouer, je ne vous l’es pas décrite, mais je vais le faire.
Une dizaine de centimètres en plus que moi, une blonde aux yeux verts, par rapport à moi une énorme poitrine, surement du D, et pas toute fine comme moi, des rondeurs, mais qui ne la rendais pas « grosse », loin de là !
Après un long moment à rester dans ma boue, elle revenait avec un bol.
- Tu veux boire ?
- Oui, madame…
- Comment t’appelles-tu ?
- Coralie madame…
Elle versait l’eau par terre et me tendis son pied, était pour celle que je pouvais m’abaisser ? Je me penchais pour lui embrasser son pied et elle le retirait, me laissant interrogatrice.
Elle me regardait « de haut », le sourire au coin de la bouche et me dit ;
- Tellement obéissante, mais si peu futée.
Et elle repartit, pour revenir assez vite avec une bouteille d’eau.
- Comment t’appelles-tu ?
- …
- Dis-moi ton nom.
- Soumise… Madame ?
- Ce n’est pas le nom que j’attendais, mais c’est mieux que rien, tiens bois tout.
Elle me donnait la bouteille et je du toute la boire, j’avais le ventre lourd et elle semblait contente, elle prit la chaise et le tabouret un peu plus loin que moi et s’assis dessus les jambes tendues.
- Explique-moi tout depuis le début avec monsieur.
Et je lui expliquais tout, dans les moindres détails, lorsque j’eut finis, elle me dit alors.
- Et je parie que ça te donne tellement d’envie que tu ne te rends pas compte que tu te pisses dessus ?
À peine avait-elle commencée à parler que je me rendais compte de ce qu’elle affirmait.
- Svp madame, laisser moi sortir.
- Tu n’aimes pas patauger dans la boue et ta pisse ?
- Non madame…
- Dis-moi comment tu t’appelles.
- Salope madame ?
- C’est mieux, mais non.
Dit-elle fermant les yeux, ne prêtant plus attention à moi et laissant le soleil se déposer sur elle.
Me laissant ainsi.
Comment devais-je m’appeler ?
« Je vais envoyer quelqu’un venir te prendre, suis là. »
Je savais que je ne pouvais pas discuter, je répondais juste pour dire que j’avais bien reçu et bien compris son message.
Assise sur mon divan, je me disais que je n’avais aucune information… Qui ? Quand ? Je devais m’habiller comment ?
Je restais assise, un peu la peur au ventre et puis décidait d’aller prendre une bonne douche pour me détendre, ce qui, n’eut pas l’effet escompté !
En string devant mon armoire, je regardais en me disant « je n’ai rien à me mettre », oui, nous disons toutes cela, je vous entends là pendant que vous me lisez !
Et je décidais de laisser les pantalons de côté, en me disant que ça ne plairait pas, une jupe ? Mais laquelle ? Je n’ai rien à me mettre, mais j’en ai de trop ! Et puis je vis la petite noire flottante, m’arrivant un rien en dessous des fesses, c’était osé, mais au final, c’est ce qu’il attendait, non ?
La jupe déposée sur mon lit, me voilà les mains sur les hanches a scruté les dessus de mon armoire, qu’allais-je mettre ? Un tee-shirt, il fait beau, mais lequel ? Je sors un blanc, un rose, un bleu et un vert pomme… J’essaie ce dernier, mais je remarque sans avoir mis de soutiens-gorge, tout est fort visible, c’est beaucoup trop osé ! Le bleu ne veut pas avec ma jupe, je regarde le blanc et le rose qui sont de la même collection, avec un décolleté tous les deux… Je les essaye à tour de rôle, ça met mes seins en valeur sans pour autant trop montrer, avec un soutien-gorge ça devrait aller, mais lequel ?
Je m’assis sur mon lit, les deux tee-shirts à côté de moi, je me mis à trop penser, beaucoup trop, j’avais envie de me caresser, d’ailleurs ma main avait commencée à parcourir ma jambe, mais je ne pouvais pas, c’était interdits…
Je finis par mettre le blanc, rangeais mes affaires et tournais en rond, assise devant la télévision, deux heures avaient déjà passées ! Et on finit par faire retentir la sonnette de chez moi.
J’allais ouvrir et tombais nez à nez avec une femme.
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Comment t’appelles-tu ?
- Coralie et vous ?
- Prends ta clé et suis-moi.
- Attendez, je vais mettre mes chaussures.
- Prends ta clé et suis-moi ! Dit-elle d’un ton plus autoritaire.
Ne sentant pas avoir le choix, je retirais la clé de la serrure de la porte et sortie, pieds nus… On avançait jusqu’à sa voiture et une fois dedans toutes les deux on démarrait.
- Tu sais pourquoi je suis là, n’est-ce pas ?
- Oui, vous venez me chercher.
Malgré nos âges qui semblaient être très proches, je savais que je devais la vouvoyer.
- Je vais t’aider dans ton apprentissage.
- D’accord…
- Tu sembles déjà être sage, c’est un bon début, mais est-ce que tu apprends bien ?
- Oui !
- Oui, qui ?
- Oui, madame ?
- C’est bien, tu n’es pas bête.
On roulait pendant une trentaine de kilomètres, je ne connaissais pas le coin, et pourtant ce n’était pas si loin que ça de chez moi, on s’arrêtait devant une barrière.
- Va l’ouvrir. Me dit-elle.
Je sortis de la voiture et à peine un pied déposé, j’étais dans la boue, sachant que je ne pouvais discuter, j’avançais jusqu’à la barrière et l’ouvris, je revins à la voiture.
- Hum, tu vas aller jusqu’à la maison à pied, je ne veux pas que tu salisses ma voiture.
- D’accord madame…
Elle démarrait et je fermais la barrière derrière elle, et avançait jusqu’à la maison à pied, dans la boue, ce n’était pas loin, mais, j’avais jamais marchée pieds nus dans la boue, alors que j’avançais vers la maison, je me disais que c’était une belle journée et me demandais à quel moment il avait pu pleuvoir pour qu’il y ait autant de boue ?
Arriver devant la maison, elle me regardait, d’un air satisfait et me fis signe de la suivre, on fit le tour de la maison, elle marchait sur les dalles de son allée et moi dans l’herbe, on arrivait derrière, c’était un super grand jardin ! Et je le dis d’ailleurs à voix haute.
- Comment t’appelles-tu ? Me demanda-t-elle à nouveau.
- Coralie madame.
- Déshabille-toi.
Un peu surprise, et à la fois non, je la regardais et puis m’exécutait avant qu’elle ne s’impatiente, je retirais mon tee-shirt et ma jupe les déposant sur la petite table de jardin à proximité de moi, et dégrafais mon soutien-gorge, sans la regarder je retirais mon string, une fois entière nue, elle me regardait, aucune expression sur son visage.
- Tourne-toi.
Je me retournais lui montrant mes fesses.
- Comment t’appelles-tu ?
Encore cette question ?
- Coralie madame.
- Couche-toi par terre et roule-toi dans la boue.
Je tournais la tête vers elle, surprise et interrogatrice, mais sur un ton sec.
- Grouille-toi !
Je me mis par terre et commençait à me rouler dans la boue, est-ce de là l’expression être trainée dans la boue ? Après avoir bien fait plusieurs tours sur moi-même dans la boue et d’en être de la tête au pied, elle me fit me relever et m’amenait de l’autre côté de l’arrière de la maison, et me fit me mettre à genou dans la terre, me mettant un collier métallique au cou.
- Tu aimes cela avoir un collier on m’a dit, j’ai souhaitée te faire plaisir.
Et elle partit, à genoux dehors, complètement nue, le corps recouvert de boue, je remarquais très vite que le collier était fixé au mur, assez bas afin que je ne puisse me relever, que si j’avais les mains déliées c’était juste parce que je n’avais rien à proximité à attraper, que ce collier se déverrouillerait seulement avec une clé.
J’étais « prisonnière » d’une inconnue, une jolie inconnue devait-je avouer, je ne vous l’es pas décrite, mais je vais le faire.
Une dizaine de centimètres en plus que moi, une blonde aux yeux verts, par rapport à moi une énorme poitrine, surement du D, et pas toute fine comme moi, des rondeurs, mais qui ne la rendais pas « grosse », loin de là !
Après un long moment à rester dans ma boue, elle revenait avec un bol.
- Tu veux boire ?
- Oui, madame…
- Comment t’appelles-tu ?
- Coralie madame…
Elle versait l’eau par terre et me tendis son pied, était pour celle que je pouvais m’abaisser ? Je me penchais pour lui embrasser son pied et elle le retirait, me laissant interrogatrice.
Elle me regardait « de haut », le sourire au coin de la bouche et me dit ;
- Tellement obéissante, mais si peu futée.
Et elle repartit, pour revenir assez vite avec une bouteille d’eau.
- Comment t’appelles-tu ?
- …
- Dis-moi ton nom.
- Soumise… Madame ?
- Ce n’est pas le nom que j’attendais, mais c’est mieux que rien, tiens bois tout.
Elle me donnait la bouteille et je du toute la boire, j’avais le ventre lourd et elle semblait contente, elle prit la chaise et le tabouret un peu plus loin que moi et s’assis dessus les jambes tendues.
- Explique-moi tout depuis le début avec monsieur.
Et je lui expliquais tout, dans les moindres détails, lorsque j’eut finis, elle me dit alors.
- Et je parie que ça te donne tellement d’envie que tu ne te rends pas compte que tu te pisses dessus ?
À peine avait-elle commencée à parler que je me rendais compte de ce qu’elle affirmait.
- Svp madame, laisser moi sortir.
- Tu n’aimes pas patauger dans la boue et ta pisse ?
- Non madame…
- Dis-moi comment tu t’appelles.
- Salope madame ?
- C’est mieux, mais non.
Dit-elle fermant les yeux, ne prêtant plus attention à moi et laissant le soleil se déposer sur elle.
Me laissant ainsi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est une sacrée "formation" qui débute là !
Bravo, j'ai adoré.
Rudy
Bravo, j'ai adoré.
Rudy