Ce dont tu as besoin. (5)
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ce dont tu as besoin. (5)
Le lendemain matin,
Le soleil s’est mis à taper de bonne heure.
Je le sentais sur mon corps nu, dans ma petite cage j’attendais que l’on vienne me « délivrer », j’avais peu d’espace, j’avais soif, j’avais besoin de faire pipi.
J’attendais, le temps semblait long… Très long ! Je repensais à la journée de la veille, j’avais honte, chaque instant, chaque image qui me revenait m’emplissaient de honte.
Je la vis finalement arriver, une bouteille d’eau à la main et un seau dans l’autre.
- Comment te sens-tu petite chienne ?
- Honteuse madame.
- Ah bon, veux-tu qu’on arrête et te ramène chez toi ?
- Non madame…
- Alors, tu dois être heureuse ! Comment te sens-tu ?
- Heureuse madame.
Elle prit le seau et le mis au-dessus de la cage, elle le retourna et de l’eau froide me tombait dessus, je poussais un cri, j’étais trempée.
- Je ne vais pas laisser ton joli petit corps se déshydrater !
Dit-elle d’un sourire narquois, elle ouvrit la cage, elle attendait de voir si j’allais sortir de moi-même, elle vit que non et me tendis la bouteille, avant de refermer la cage.
- Je vais aller faire quelques courses, ne bouge pas de là.
Je la regardais partir, mon regard fixé sur son fessier, je me retrouvais à nouveau seule, nue, dehors dans ma petite cage.
Le temps fut super long ! Je ne sais pas combien de temps il fallut avant qu’elle revienne, je la vis juste sortir de chez elle déposant deux gamelles par terre à l’entrée, elle vint vers moi et ouvrit la cage, et me dis de la suivre, je la suivis à quatre pattes et elle s’arrêtait à côté des gamelles, je compris que je devais m’abreuver et manger, ce que je fis.
On rentrait toutes les deux et on montait dans la salle de bain, je la suivais partout comme un chien, elle se mit sur la toilette et fit pipi, je devais la regarder, j’avais besoin moi aussi… Je n’avais pas osée de peur de rester dedans trop longtemps.
Elle fit ensuite couler son bain, ce qui me donnait juste envie de me tortiller, je devais baisser les yeux et garder les mains dans le dos. Elle prenait bien son temps.
- Puante, peut tu me passer mon essuie.
- Oui madame.
Je me retournais et prit l’essuie, je pris garde de ne pas la regarder.
Elle sortit de son bain, j’entendais l’eau partir dans le siphon ça devenait insupportable, alors qu’elle s’essuyait, en regardant toujours au sol, je voyais ses pieds, ma curiosité prenait le dessus et je relevais un rien les yeux, elle avait de jolies jambes.
Lorsqu’elle eut fini, on partit dans sa chambre, elle enfilait des sous-vêtements et une robe et puis on redescendait dans le salon, elle me dirigeait vers mon panier, et j’y pris place, elle partit dans la cuisine et revint avec un plateau, s’assit sur son divan et se mit à manger.
Lorsqu’elle eut fini, elle m’appelait.
- Petite chienne, tu as faim ?
- Oui madame.
Elle crachait plusieurs fois dans son plat et le déposait au pied du divan, je me mis à manger son reste de purée avec la viande qu’elle avait coupée en petit morceau.
- Tu as tout fini, bravo ! Maintenant, on me dit merci.
- Merci madame.
- Pas ainsi, malpolie !
Elle tendit son pied, je m’en approchais à quatre pattes et me mis à les embrasser, je finis très vite par passer ma langue dessus. Je fis cela avec l’un puis l’autre, elle finit par retirer son pied.
- Viens sur mes genoux, sur le ventre.
Je me posais sur ses genoux comme demandée, je m’apprêtais à recevoir la fessée, elle écartait mes fesses et se mit à rire.
- Et bien, tu as le cul tout sale puante.
- …
- Ça te fait quoi ?
- Je ne sais pas madame.
- Tu aimes être sale pour le plaisir de quelqu’un d’autre ?
- Oui madame.
- Brave petite chienne.
Elle se mit à jouer avec mon entre jambe, le caresser, le pénétrer de ses doigts, c’était humide, elle le sentait et en profitait.
- Aurais-tu des envies petite chienne ?
- Peut-être madame…
Une claque retentit sur ma fesse droite me faisait crier.
- Aurais-tu des envies petite chienne ?
- Oui, madame…
- J’aime mieux ça.
Elle continuait des plus belles, je me laissais aller, mais je ressentis de plus en plus le besoin de faire pipi.
- Je dois faire pipi ! Dis-je rougissant.
Elle me fit descendre de ses genoux et on allait jusqu’à la cuisine, une fois là-bas elle me mit un collier et on sortit dehors, je devais comme une brave petite chienne chercher où je voulais faire mes besoins, je me mis près de la grille, abaissait le bassin et fit mes besoins.
- Bravo, c’est ton maitre qui va être content ! Dit-elle.
Je tournais la tête et je voyais qu’elle tenait son téléphone en main, me filmant, elle me remontrait la scène, je me vis sortir avancer en laisse et faire mes besoins.
- Tu es vraiment une brave fifille.
On rentrait et elle me dit de me mettre à genoux devant elle et me caresser pour me féliciter, ce que je fis, faisant passer mes doigts sur mon entre jambes, mes seins…
- C’est marrant, tu as le visage tout rouge, aurais-tu chaud ? Arrête maintenant.
Me dit-elle, elle me fit signe de la suivre et on descendait dans la cave, il faisait sombre, elle me fit me mettre au milieu de la pièce et attachait mes mains à une sorte d’anneau qui sortait du sol.
- Tu as un seau là pour faire tes besoins et une gamelle avec de l’eau.
- Merci madame.
- Ne fais pas de bruit, j’ai une amie qui va venir, je n’aimerais pas qu’elle ait honte que je m’occupe d’une petite chienne comme toi.
- D’accord madame.
- Si t’es sage, tu pourras aller jouer dehors, sinon, je te laisse regarder ce que tu vois autour de toi. A tout à l’heure.
Et elle fermi la porte, laissant la petite lumière qui laissait à peine un peu de visibilité.
Le soleil s’est mis à taper de bonne heure.
Je le sentais sur mon corps nu, dans ma petite cage j’attendais que l’on vienne me « délivrer », j’avais peu d’espace, j’avais soif, j’avais besoin de faire pipi.
J’attendais, le temps semblait long… Très long ! Je repensais à la journée de la veille, j’avais honte, chaque instant, chaque image qui me revenait m’emplissaient de honte.
Je la vis finalement arriver, une bouteille d’eau à la main et un seau dans l’autre.
- Comment te sens-tu petite chienne ?
- Honteuse madame.
- Ah bon, veux-tu qu’on arrête et te ramène chez toi ?
- Non madame…
- Alors, tu dois être heureuse ! Comment te sens-tu ?
- Heureuse madame.
Elle prit le seau et le mis au-dessus de la cage, elle le retourna et de l’eau froide me tombait dessus, je poussais un cri, j’étais trempée.
- Je ne vais pas laisser ton joli petit corps se déshydrater !
Dit-elle d’un sourire narquois, elle ouvrit la cage, elle attendait de voir si j’allais sortir de moi-même, elle vit que non et me tendis la bouteille, avant de refermer la cage.
- Je vais aller faire quelques courses, ne bouge pas de là.
Je la regardais partir, mon regard fixé sur son fessier, je me retrouvais à nouveau seule, nue, dehors dans ma petite cage.
Le temps fut super long ! Je ne sais pas combien de temps il fallut avant qu’elle revienne, je la vis juste sortir de chez elle déposant deux gamelles par terre à l’entrée, elle vint vers moi et ouvrit la cage, et me dis de la suivre, je la suivis à quatre pattes et elle s’arrêtait à côté des gamelles, je compris que je devais m’abreuver et manger, ce que je fis.
On rentrait toutes les deux et on montait dans la salle de bain, je la suivais partout comme un chien, elle se mit sur la toilette et fit pipi, je devais la regarder, j’avais besoin moi aussi… Je n’avais pas osée de peur de rester dedans trop longtemps.
Elle fit ensuite couler son bain, ce qui me donnait juste envie de me tortiller, je devais baisser les yeux et garder les mains dans le dos. Elle prenait bien son temps.
- Puante, peut tu me passer mon essuie.
- Oui madame.
Je me retournais et prit l’essuie, je pris garde de ne pas la regarder.
Elle sortit de son bain, j’entendais l’eau partir dans le siphon ça devenait insupportable, alors qu’elle s’essuyait, en regardant toujours au sol, je voyais ses pieds, ma curiosité prenait le dessus et je relevais un rien les yeux, elle avait de jolies jambes.
Lorsqu’elle eut fini, on partit dans sa chambre, elle enfilait des sous-vêtements et une robe et puis on redescendait dans le salon, elle me dirigeait vers mon panier, et j’y pris place, elle partit dans la cuisine et revint avec un plateau, s’assit sur son divan et se mit à manger.
Lorsqu’elle eut fini, elle m’appelait.
- Petite chienne, tu as faim ?
- Oui madame.
Elle crachait plusieurs fois dans son plat et le déposait au pied du divan, je me mis à manger son reste de purée avec la viande qu’elle avait coupée en petit morceau.
- Tu as tout fini, bravo ! Maintenant, on me dit merci.
- Merci madame.
- Pas ainsi, malpolie !
Elle tendit son pied, je m’en approchais à quatre pattes et me mis à les embrasser, je finis très vite par passer ma langue dessus. Je fis cela avec l’un puis l’autre, elle finit par retirer son pied.
- Viens sur mes genoux, sur le ventre.
Je me posais sur ses genoux comme demandée, je m’apprêtais à recevoir la fessée, elle écartait mes fesses et se mit à rire.
- Et bien, tu as le cul tout sale puante.
- …
- Ça te fait quoi ?
- Je ne sais pas madame.
- Tu aimes être sale pour le plaisir de quelqu’un d’autre ?
- Oui madame.
- Brave petite chienne.
Elle se mit à jouer avec mon entre jambe, le caresser, le pénétrer de ses doigts, c’était humide, elle le sentait et en profitait.
- Aurais-tu des envies petite chienne ?
- Peut-être madame…
Une claque retentit sur ma fesse droite me faisait crier.
- Aurais-tu des envies petite chienne ?
- Oui, madame…
- J’aime mieux ça.
Elle continuait des plus belles, je me laissais aller, mais je ressentis de plus en plus le besoin de faire pipi.
- Je dois faire pipi ! Dis-je rougissant.
Elle me fit descendre de ses genoux et on allait jusqu’à la cuisine, une fois là-bas elle me mit un collier et on sortit dehors, je devais comme une brave petite chienne chercher où je voulais faire mes besoins, je me mis près de la grille, abaissait le bassin et fit mes besoins.
- Bravo, c’est ton maitre qui va être content ! Dit-elle.
Je tournais la tête et je voyais qu’elle tenait son téléphone en main, me filmant, elle me remontrait la scène, je me vis sortir avancer en laisse et faire mes besoins.
- Tu es vraiment une brave fifille.
On rentrait et elle me dit de me mettre à genoux devant elle et me caresser pour me féliciter, ce que je fis, faisant passer mes doigts sur mon entre jambes, mes seins…
- C’est marrant, tu as le visage tout rouge, aurais-tu chaud ? Arrête maintenant.
Me dit-elle, elle me fit signe de la suivre et on descendait dans la cave, il faisait sombre, elle me fit me mettre au milieu de la pièce et attachait mes mains à une sorte d’anneau qui sortait du sol.
- Tu as un seau là pour faire tes besoins et une gamelle avec de l’eau.
- Merci madame.
- Ne fais pas de bruit, j’ai une amie qui va venir, je n’aimerais pas qu’elle ait honte que je m’occupe d’une petite chienne comme toi.
- D’accord madame.
- Si t’es sage, tu pourras aller jouer dehors, sinon, je te laisse regarder ce que tu vois autour de toi. A tout à l’heure.
Et elle fermi la porte, laissant la petite lumière qui laissait à peine un peu de visibilité.
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